Ceux qui cherchent de l’information sur les deux grands débats actuels devraient pratiquer un peu leur anglais et commander ces deux ouvrages absolument salutaires.
A l’ère de la désinformation de masse, voici les faits concernant la bataille pour la survie de la civilisation, le coeur de l’islam, et les faits concernant le réchauffement climatique, un second débat créé par ceux qui ne veulent pas aborder le premier.
Deux best-sellers aux Etats-Unis
Conseillés à tous ceux qui ne veulent pas mourir idiots !
de mon point de vue, les choses sont simples:
s’il ne pleut pas essez, =risque de disette !
sècheresse,=migrations des populations affamées .
danrées rares=hausse des prix …………………………..
La Cour de cassation a estimé que l’humoriste Dieudonné s’était rendu coupable d’injure raciale en assimilant, dans une interview en 2003, les Juifs à une "secte" et à une "escroquerie", et a cassé une décision de la cour d’appel de Paris qui avait jugé le contraire.
(Avec AFP)
l’islamiste de Paris paie enfin… mais "juif" n’est pas une race.
Dieu sait ce que le jurisprudence d’une telle décision produira comme monstre dans les années à venir…
Moi je repete que ce sont les cerveaux des "self appointed" elites philosophes de compoir qui nous rechauffent la grosses bleue.
Al Gore n’avait plus de platforme politique pour survivre ici, alors il nous a trouve le global warming et hop son tremplin est tout trouve!!!!!!!!!!!
Global warning!
$penderz, voici une nouvelle pour toi:
L’ancien vice-président américain, héraut de la lutte contre le réchauffement climatique, ne compte pas entrer dans la course à la Maison-Blanche en 2008. C’est ce qu’il a affirmé dans un entretien réalisé à Los Angeles pour la BBC.
(Avec AFP)
[entre nous soit dit, qui donc se préoccupe des envies présidentielles d’Al Gogo, à part lui-même ?]
Pour une fois, je ne suis pas tout à fait d’accord avec Drzz, et ceci au sujet de la condamnation du sinistre Dieudonné.
En effet, il faut relire précisément les propos du faux humoriste: "Les Juifs, c’est une secte, c’est une des plus graves parce que c’est la première".
Avec la malveillance perverse qui est la sienne, tout en faisant semblant de lancer une attaque religieuse, le sinistre personnage attaque "les Juifs" (et non le judaïsme, ce qui serait tout à fait licite), c’est-à-dire attaque des gens en raison de leur RACE, et non de leur CROYANCE (il y a de nombreux Juifs athées). Ces propos sont donc racistes. Et le racisme dirigé contre les Juifs, cela s’appelle antisémitisme.
J’ajoute que les antisémites attaquent toujours les Juifs en raison de leur race. voir par exemple les hallucinantes réglementations du troisième Reich et celles du régime de Vichy, qui avaient pour but de décréter qui était Juifs et qui ne l’était pas, et cela uniquement en fonction de la filiation (tant et tant de grands-parents juifs), c’est-à-dire pour des raisons génétiques, donc "raciales".
Là où je rejoins Drzz, c’est que ces propos du faux humoriste, qui jouent avec perversité sur la notion limite de "juif/judaïsme", qui n’est pas claire pour beaucoup de gens, ne sont pas les pires, et de loin, qu’il a tenus. Et, malheureusement, il a été systématiquement relaxé par la justice française pour ces autres propos pourtant clairement antisémites.
Mon pronostic est que, lors du nouveau procès en Cour d’Appel qui va devoir être tenu pour ces propos, le faux-humoriste-vrai-antisémite sera à nouveau relaxé.
Le justice française a une longue tradition d’indulgence compréhensive envers les antisémites.
Sur l’attitude extrêmement indulgente et compréhensive (pour rester poli) de la justice française envers les personnes ayant tenu des propos clairement antisémites, on peut lire le texte excellent des avocats Gilles William Goldnadel et Aure Weill-Raynal:
Les territoires perdus de la Justice française.
Première partie ici: http://www.primo-europe.org/showdocs.php?rub=12.php&numdoc=Do-422622127
Deuxième partie ici: http://www.primo-europe.org/showdocs.php?rub=12.php&numdoc=Do-106155257
Les diverses déclarations antisémites du faux humoriste Dieudonné sont analysées dans le chapitre 9 de la deuxième partie de ce texte.
Le 17 décembre 2003, le conseil de discipline du lycée Montaigne à Paris décide de l’exclusion de deux élèves de sixième d’origine maghrébine et âgés de onze ans à l’époque des faits.
L’un des élèves a reconnu avoir maltraité la victime juive et est exclu pour «violences physiques» et le second, qui a reconnu l’avoir insultée en le traitant de «sale juif», pour «complicité de violences accompagnées de propos antisémites».
Sur recours des parents des élèves exclus, cette décision est annulée le 1er juin 2004 par le tribunal administratif de Paris.
L’Education Nationale fait appel.
Devant la Cour administrative d’appel, le commissaire du gouvernement s’est prononcé pour la confirmation de l’exclusion des deux élèves.
«Si les sanctions sont sévères, elles ne sont pas disproportionnées», avait-il déclaré.
«Les insultes à caractères racistes ou antisémites sont clairement interdites dans les établissements scolaires, il s’agit d’un interdit fondamental qui doit être respecté» avait ajouté le commissaire.
Par arrêt du 11 août 2004, la Cour administrative d’appel de Paris a confirmé le jugement du Tribunal, en accordant une indemnisation aux parents des exclus réintégrés.
L’enfant victime n’est, lui, pas revenu au lycée Montaigne
Il convient d’observer que la Ligue des Droits de l’Homme s’est félicitée de cette décision.
En outre, dans son édition du 15 juillet 2004, le journal Le Monde a recensé l’affaire, dont les insultes racistes étaient pourtant reconnues, au nombre des faux actes antisémites.
Le 27 juin 2002, vingt-deux jeunes filles de l’école Beth Rifka de Yerres (Essonne), une école juive sous contrat d’association avec l’Etat, se rendent dans les locaux du collège Albert Camus de Brunoy pour passer les épreuves du Brevet.
Dès le début de la journée, les jeunes filles sont insultées, harcelées, menacées puis molestées par des groupes de collégiennes maghrébines qui les ont identifiées comme juives en raison de leur tenue vestimentaire. Le caractère antisémite de ces agressions violentes ne fait aucun doute notamment en raison de la nature des injures proférées.
À plusieurs reprises, les élèves de l’école Beth Rifka vont se plaindre auprès de la principale du collège, Mme Annie Borde et de son adjointe Madame Dominique Nicolas mais sans que ces dernières ne fassent cesser le harcèlement et les violences dont sont victimes les jeunes filles.
Tout au long de la journée, et alors que la tension persiste dans l’enceinte du collège, aucune mesure particulière ne sera prise par la Principale pour prévenir de nouvelles agressions.
À l’issue des épreuves, en fin d’après-midi, une élève de l’école Beth Rifka, Guitel Ghebali, sera rouée de coups dans la cour de l’établissement par une dizaine de collégiennes.
Sérieusement atteinte aux vertèbres cervicales, la jeune fille se verra délivrer un certificat médical d’incapacité totale de travail de six semaines et devra porter une minerve de contention pendant la même période.
La direction du collège Albert Camus a refusé de porter plainte préférant ramener l’affaire à «un simple crépage de chignon entre deux élèves»
Pourtant, les enquêteurs, saisis par une plainte de la famille de la victime, établiront qu’au moins sept élèves du collège Albert Camus ont participé au passage à tabac. Ces sept collégiennes ont été identifiées et ont reconnu les faits.
Le 5 décembre 2002, le procureur de la république d’Évry décide de classer sans suite la plainte de la famille. Dans son avis de classement, le procureur à justifié sa décision au motif «qu’un avertissement ou rappel à la loi donnée à l’auteur (au singulier) a été suffisant pour faire cesser le trouble».
Devant le refus du parquet d’ordonner les poursuites, les parents de la jeune fille déposent plainte contre la principale du collège et son adjointe pour non-assistance à personne en danger.
Lors de l’audience qui s’est tenue le 12 mars dernier devant le tribunal correctionnel d’Evry, le procureur de la république a, de nouveau, justifié le classement de la plainte contre les auteurs de violence comme «une mesure d’apaisement» et a également demandé la relaxe la Principale et de son adjointe.
Quant à la Principale, elle a reproché aux parents des jeunes agressées d’avoir pénétré pour venir se plaindre dans l’enceinte de l’établissement scolaire «habillés en juifs» c’est-à-dire, de façon «ostentatoire» en costume foncé et chemise blanche…
C’est dans ces conditions, que le tribunal correctionnel d’Évry a suivi la demande de relaxe du Parquet.
Cependant, de manière exceptionnelle, pour ne pas écrire unique, le tribunal a condamné les parents de la victime à d’importants dommages et intérêts (4 000 euro) en relevant notamment que le public avait été nombreux (l’audience était obligatoirement publique) et que ce n’était certainement ni le tribunal, ni les prévenus qui l’avaient fait venir…
Appel a été relevé par les parents des victimes de cette décision : par arrêt de la 13ème chambre de la Cour d’Appel de Paris du 15 mai 2003, le jugement est confirmé.
Mieux encore : la condamnation des époux Ghebali à des dommages intérêts pour poursuites abusives est doublée puisque leur montant passe de 4 000 à 8 000 euro.