Par Charles Mueller, http://www.climat-sceptique.com/article-6110236.html
Difficile de ne pas le savoir, puisque tous les médias l’ont répété à l’envi : l’hiver 2006-2007 serait le plus chaud depuis 1880. Selon la NOAA-NCDC, du moins. Problème : l’autre grande base de températures (Hadley Center, Climate Research Unit) ne raconte pas la même histoire. Pas plus que les deux grandes bases de températures de la basse troposphère analysées par satellite (MSU), RSS (Remote Sensing System) et UAH (University of Alabama, Huntsville).
Comme on peut le constater sur le graphique ci-dessous, les moyennes décembre-janvier-février (hiver météorologique) ont été plus chaudes en 1997-98 qu’en 2006-07 selon le Hadley Center et les deux bases satellite. L’hiver dernier est assez proche de 2003-04 pour ces mêmes bases (un peu plus froid selon le RSS, un peu plus chaud selon le Hadley et l’UAH, de un à trois centièmes de degré dans ce dernier cas).
Ce genre de “record” sur une saison n’a guère d’intérêt du point de vue climatique, où les moyennes de référence se calculent habituellement sur 30 ans. Mais le réchauffement médiatique étant ce qu’il est, il faut bien créer des événements pour entretenir la terreur populaire et l’impression d’un emballement sans précédent.
Plutôt que de traduire sans trop d’effort les communiqués de presse de la NOAA, les médias auraient été bien inspirés de commenter les divergences persistantes entre les grandes bases de stations de surface d’une part, entre les bases de surface et les bases satellite d’autre part. En janvier 2007 par exemple, on enregistre pas moins de 0,2°C d’écart entre les valeurs d’anomalies du Hadley CRU et des deux bases américaines fondées sur le réseau NDCD (NOAA et Nasa Gistemp). Or, cette valeur de 0,2°C est supérieure à l’insoutenable rythme décennal du réchauffement actuel (qui s’établit à 0,16-0,17 °C/ décennie pour 1977-2006 ou 1997-2006, en moyenne mobile). On n’ose imaginer la précision de ces mêmes bases sur les valeurs des températures de surface terrestre et marine 1850-1950.
Que tant de bruit et de fureur émane de quelques dixièmes de degré aussi incertains est décidément une expérience fascinante sur le comportement collectif de l’humanité, à un âge soi-disant débarrassé des croyances irrationnelles…
Newsweek, 28 avril 1975 : “Le refroidissement climatique global”
Même mode opératoire : des cartes des régions condamnées, des prédictions apocalyptiques, des appels à l’arrêt du développement des sociétés…. Seule la thèse d’origine diffère.
LISEZ LE rapport SUR LE MYTHE DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE
Le documentaire évènement contre les délires des écolos, sous-titré en français
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La version originale, EN ANGLAIS est disponible ici
http://news.nationalgeographic.com/news/2007/02/070228-mars-warming.html
Signalons que l’on observe le même phénomène sur les autres planètes et satellites du système solaire.
Voir, à ce sujet, l’excellent article rédigé par un chercheur en physique théorique, spécialiste de la théorie des cordes:
Global warming on other planets
“Mars, Jupiter, Triton, Neptune, Pluto, and others share the fate of Earth”
Je sature avec Mozart, je vais aller chercher un site de fans de Metallica!
http://213.188.106.66/mozart00.htm
(malheureusement, le téléchargement est très très lent…)
“L’Iran est en train d’installer 3.000 centrifugeuses à Natanz et possède actuellement 1.600 centrifugeuses en activité”, a déclaré à Téhéran Abdolreza Rahmani Fazli, adjoint du secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale, chargé du dossier nucléaire iranien.
Des représentants de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ont constaté dimanche, en inspectant les installations nucléaires iraniennes à Natanz (sud), que les centrifugeuses – les machines pour enrichir l’uranium – fonctionnaient à plein rendement, selon des sources diplomatiques à Vienne.
Selon l’une de ces sources, 1.600 centrifugeuses sont opérationnelles et une “cascade” de 164 autres est ajoutée environ tous les 10 jours.
L’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz, le 30 mars 2005. Photo: Henghameh Fahimi (AFP/Archives)
Téhéran pourrait donc atteindre cet été son objectif de 3.000 centrifugeuses, qui théoriquement pourrait lui permettre de construire une bombe atomique par an. L’uranium utilisé dans les réacteurs civils est faiblement enrichi (autour de 5%), tandis que celui destiné aux armes nucléaires doit atteindre le niveau d’au moins 90%.
Le putsch contre Wolfowitz est arrivé à ses fins. Après l’ONU, c’est la Banque mondiale qui s’est débarassée d’un “gêneur” un peu trop scrupuleux à ses yeux.
Les dictateurs africains peuvent ouvrir le champagne, leur peuple ne vont plus toucher un seul centime, vu comment les Anglais, les Français et les Allemands vont dilapider l’argent public…
Prions que Bush nomme un successeur valable…
Wall Street Journal :
“Nous avons dit depuis le début que les accusations contre M. Wolfowitz étaient sans valeur, que sa tête était voulue par ceux qui lui reprochent son rôle dans l’administration Bush et la bureaucratie de la Banque Mondiale qui n’aime pas sa politique anti-corruption. Le communiqué d’hier montre bien que les arguments du dossier n’ont rien à voir avec la décision finale.
http://opinionjournal.com/editorial/feature.html?id=110010095
Kouchner sera expulsé du parti socialiste…
Hollande s’enterre tout seul. Après le FN, Sarkozy va–t-il accrocher le trophée du PS dans son bureau ?
Sur l’affaire Wolfowitz. Si le comité d’administration de la Banque mondiale s’est contenté de prendre acte de la démission de Wolfowitz, tout en reconnaissant qu’il a agi “honnêtement”, c’est parce que le dossier ne contient aucune preuve sérieuse d’un quelconqe népotisme. Si la direction de la Banque mondiale avait sali Wolfowitz dans son communiqué, il aurait pu les traîner en justice et il aurait gagné. Il s’agit donc clairement d’une manoeuvre politique :
http://leblogdrzz.over-blog.com/article-6410074.html
Et le soutien des pays émergents à Wolfowitz. Pour les pays africains, sa campagne anti-corruption permettait un contrôle accru des dépenses, ce qui favorisait les populations du Tiers Monde aux dépens des gouvernements corrompus.
Visiblement, les pays européens ne partagent pas cette vue, et préfèrent dépenser l’argent public sans rendre de comptes :
http://leblogdrzz.over-blog.com/article-6491792.html
Dans l’édition d’aujourd’hui, le Wall Street Journal demande à l’administration de Bush de contrôler la Banque mondiale, un système corrompu que Wolfowitz n’aura à terme pas eu le temps de réformer en profondeur.
En tant que premier bailleur de fonds, les Etats-Unis peuvent couper les fonds à la BM si elle recommence ses malversations, notamment sur le continent africain.
Le WSJ recommande au Trésor américain de faire pression sur l’institution, et si les disfonctionnements se poursuivent, de l’enterrer une fois pour toutes.