Publié par Dreuz Info le 11 octobre 2007
dsadasasd-1.jpgN’en déplaise aux pseudo-pacifistes et au pas du tout pacifiste Vladimir Poutine, le principal et premier objectif, en matière de sécurité moyen-orientale et mondiale, et donc, le principal et premier objectif, en matière de paix moyen-orientale et mondiale, c’est, avant tout, d’empêcher l’Iran, d’acquérir l’arme nucléaire ; et de l’en empêcher par tous les moyens, même pacifiques.
  
Le problème, c’est que le programme nucléaire iranien avance, et que, par conséquent, le temps presse. Ni l’opinion publique internationale, ni les chefs d’Etat démocratiques, n’ont réellement conscience, de la nécessité urgente d’agir, avec fermeté, contre l’Iran. Des vraies sanctions, décidées individuellement par chaque Etat, se font encore et toujours attendre. Ce n’est pas le Conseil de sécurité de l’ONU qui permettra d’avancer. Pourquoi ? Parce que deux membres de ce Conseil – la Chine et la Russie – sont contre de vraies sanctions avec de vrais effets.
  
L’exemple le plus déconcertant en la matière, c’est celui de l’actuel gouvernement israélien. D’un côté, ce gouvernement veut repousser la menace nucléaire iranienne. Mais d’un autre côté, la diplomatie de ce même gouvernement permet que la menace terroriste iranienne se rapproche. Or, la menace nucléaire iranienne et la menace terroriste iranienne participent d’une seule et même politique iranienne.
  
Le retrait israélien du Sud-Liban a transformé celui-ci en province hezbollïaque de l’Iran génocidaire. Le retrait israélien de la bande de Gaza a transformé celle-ci en république hamastanique financée notamment par l’Iran. L’actuel gouvernement israélien planifie maintenant le retrait : 1- de la Judée-Samarie (Cisjordanie) ; 2- d’une partie importante de Jérusalem ; 3- des Lieux Saints de cette ville.
  
1- Pour la population d’Israël, au centre du pays et sur le littoral, lâcher la Judée-Samarie, cela signifie se placer sous la menace des tirs de roquettes des milices palestiniennes :le Hamas, les Brigades An-Nasser Salah Addin, les Brigades Abu Ali Mustafa, les Brigades Fatah’s Al-Aqsa Martyrs, les Brigades Al-Aqsa, les Brigades Islamic Jihad’s Al-Quds, les Brigades National Resistance et les Brigades Qassam.
2- Pour les Israéliens qui habitent dans les quartiers juifs de Jérusalem et ses environs, cela signifie devenir des enclaves juives en territoire infiltré par le Hamas, les Brigades An-Nasser Salah Addin, les Brigades Abu Ali Mustafa, les Brigades Fatah’s Al-Aqsa Martyrs, les Brigades Al-Aqsa, les Brigades Islamic Jihad’s Al-Quds, les Brigades National Resistance et les Brigades Qassam.
3- Le retrait des trois Lieux Saints de Jérusalem – le Mur Occidental du Temple, le Saint Sépulcre et l’Esplanade des Mosquées – ce serait une catastrophe pour les Juifs, pour les Chrétiens et pour les Musulmans. Car jusqu’à présent, seule la présence de l’armée israélienne a permis et permet encore l’accès libre et pacifique à ces Lieux Saints. Remplacer l’armée israélienne par des forces armées floues au mandat ambigu, genre casques bleus, roses ou verts, c’est le chaos garanti dans les vingt-quatre heures. Ceux qui en doutent ont la mémoire courte et sélective.
  
Conclusions :
1-    Ni Bush, ni Sarkozy, ni Brown ne devraient attendre, un impossible consensus onusien, pour mettre en place, des sanctions politiques et économiques drastiques, contre la théocratie islamofasciste des mollahs iraniens. Car cette théocratie est actuellement le maillon fort de la chaîne islamoterroriste qui traverse de part en part l’Asie centrale et le Moyen Orient.
2-    La société israélienne et l’opposition israélienne auraient tout intérêt à se mobiliser, pour exiger, au plus vite, soit des élections législatives anticipées, soit un report de la conférence dite de paix prévue aux USA en novembre.
3-    Les USA, la Grande-Bretagne, la France et Israël devraient coordonner, sans plus tarder, leurs efforts communs, à la fois contre le nucléaire iranien en Iran et contre le terrorisme iranien hors d’Iran, y compris avec d’éventuelles options militaires concertées.
4-    La dictature oligarchique et clanique des milices terroristes en tous genres au Liban, à Gaza et en Cisjordanie devrait être renversée par la force militaire. Il n’y aura pas de paix israélo-palestinienne viable aussi longtemps que la terreur règnera au Sud-Liban, à Gaza et en Cisjordanie. Avant de planifier la paix, on commence par renverser ce qui l’empêche, à savoir la terreur. C’est une question de bon sens au service du bien commun.
5-    Le reste, ce ne sont que des discours politiques démagogiques, carriéristes, opportunistes, pseudo-humanitaires et pseudo-pacifistes qui, à défaut d’obtenir la paix, aggravent les guerres. L’histoire passée – notamment celle des années 1920-1930 – en témoigne. Osez l’écrire, c’est passer, à tort, pour un soi-disant belliciste. Ne pas l’écrire, c’est se ranger, à tort, du côté des futurs collabos.
6-    En temps de guerre, on ne finasse pas avec des analyses géostratégiquesusseisn.jpg alambiquées qui satisfont tout le monde et personne. En temps de guerre, on fixe des objectifs concrets, des priorités concrètes, des moyens concrets et on passe à des actes concrets.
  

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