L’Eglise catholique a décidé de contre-attaquer face aux crieurs du GIEC.
Benoît XVI :
“Nous devons prendre soin de l’environnement. Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils cultivent une liberté responsable, pour le bien de toute la création.
Les êtes humains, évidemment, sont redevables à la création, mais respecter l’environnement ne signifie pas considérer que la matière ou l’animal sont plus importants que l’homme.
Il est important lorsque l’on parle d’un sujet comme celui-ci de le traiter avec prudence, par le dialogue avec les experts et les hommes sages, eux-mêmes immunisés face à aux pressions idéologiques.”
L’achevêque de Sydney, George Pell :
“On nous a bombardés d’absurdités à propos de désastres climatiques et certains fanatiques nous ont dépeint des scénarios extrêmes afin de nous effrayer. Ce que nous entendons chez ces crieurs d’apocalypse, c’est un mélange d’hystérie semi-religieuse, dangereusement proche de la superstition.”
Et l’achevêque d’ajouter que les preuves du réchauffement climatique sont extrêmement faibles : “la science est plus compliquée que la propagande !”