«Quand allez-vous enlever les gants?», demandait une supportrice républicaine à John McCain. « Mardi », avait-il répondu en référence au deuxième débat qui opposera les deux candidats. D’ici là, il laisse le tour de chauffe à sa colistière Sarah Palin. Celle qui s’était volontiers présentée comme un « pitbull avec du rouge à lèvre » a franchi un pas supplémentaire vers un affrontement sans retenue, en accusant Barack Obama de « copiner avec les terroristes ».
« Notre adversaire est quelqu’un qui voit l’Amérique semble-t-il comme tellement imparfaite qu’il copine avec des terroristes qui prendraient pour cible leur propre pays », a-t-elle lancé samedi lors d’une réunion de collecte de fonds à Englewood (Colorado, centre).
Cette rude attaque, répétée à deux reprises lors de visites dans des villes de Californie, est une allusion à un article du New York Times sur Bill Ayers, un ancien militant contre la guerre du Viet Nam qui avait lancé une campagne d’attentats aux Etats-Unis avec son groupe des « Weathermen ».
L’article explique que la route d’Ayers, devenu professeur, a croisé celle de Barack Obama vers 1995 à l’occasion d’un projet éducatif. Selon les témoignages rapportés par le journal, les deux hommes auraient depuis échangés e-mails et coups de téléphone, mais ne semblent pas être des proches. Et Obama n’a jamais exprimé la moindre sympathie pour le passé terroriste d’Ayers, selon le New York Times.
L’équipe démocrate, qui dément qu’Ayers ait eu un quelconque rôle de conseil ou une quelconque influence sur Obama, a qualifié cette attaque de «désespérée et fausse».
Sarah Palin a judicieusement cité le NYT car il s’agit d’un journal gauchiste, mais l’article su NYT est truffé de mensonges et d’omissions:
Deux sources de rectifications: cet article intitulé NYT’s Ayers-Obama Whitewash et un autre ICI .
Pour en savoir plus sur les liens entre Ayers et Obama, cliquez ICI (en français).
Pour en savoir plus sur les liens entre Ayers et Obama, cliquez ICI et ICI et ICI et ICI et ICI (en anglais).
Pour en savoir plus sur les liens entre Ayers et Obama, cliquez ICI et ICI et ICI et ICI (vidéos).
Pour en savoir plus sur les liens entre Ayers et Obama, rendez-vous sur Barack Book: dossier complet, ICI.
Pour en savoir plus sur les actions terroristes menées par Ayers, cliquez ICI.
And, yet The New York Times wants you to believe that their paths just happened to cross!
In this must see video Barack Obama admits that one of his major qualifications for political office was the job terrorist Bill Ayers gave him.
In this video Obama also calls Rev Meeks, Father Pfleger, and Jeremiah Wright his friends:
Via a previous Ace of Spades posting.
In a recently discovered video Barack Obama admits that it was his work with terrorist Bill Ayers that qualified him for his election to the US Senate:
I am in my second term but it’s true that certainly Senator Trotter and Congressman Rusher(?) have been in elected office longer than I have. I can’t deny that. I would argue though that my experience previous to elected office equips me for the job. I have a background as an attorney. I’ve represented affordable housing organizations that build affordable housing something that’s a major issue in the district. I’ve chaired major philanthropic organizations efforts in the city like the Chicago Annenberg Challenge that gave $50 million to prompt school reform effors throughout the city.
World Net Daily has more on the NY Times whitewashing of the Ayers-Obama relationship.
“One reasons cited by his superiors, says the analyst, is that involvement by the Justice Department or FBI would be indicative of a criminal investigation, something the FEC would prefer not take place a month before the presidential election.”
Mais Yoman trouve que le terroriste Ayers, dont les bombes ont tués en plusieurs occasions, a juste fait des conneries (sic), que les fréquentations d’Obama ne méritent semble t’il pas d’être dénoncés.
Yoman nous dit son inquiétude du fait que les républicains entendent porter l’éclairage sur ces dérives du candidat démocrate et il réserve son indignation au durcissement de la campagne…
Que voulez-vous dialoguer avec un type pareil !
@Seth, merci
C’est en partie le texte que CHris avait mis en ligne
Collecte de fonds douteux par des étrangers
Les préoccupations relatives à la collecte de fonds étrangers ont été soulevées par d’autres témoignages d’activités illégales.
“Toutes les personnes dans le monde arabe et islamique en Afrique et applaudi cet homme”, le leader libyen a dit. “They welcomed him and prayed for him and for his success, and they may have even been involved in legitimate contribution campaigns to enable him to win the American presidency…” “Ils se sont félicités de lui et a prié pour lui et pour son succès, mai et ils ont même été impliqués dans le contribution légitime des campagnes afin de lui permettre de gagner la présidence américaine …”
Jusqu’à récemment, le site Web Obama a permis une contribution pour sélectionner le pays où il a résidé à partir de l’ensemble des Membres de l’ONU, y compris les lieux conviviaux comme la Corée du Nord et la République islamique d’Iran.
Une paire de frères palestiniens nommé Hosam et Monir Edwan contribué plus de $ 31,300 à la campagne de Obama en Octobre et Novembre 2007
Bravo Quelles references!!!!
la loi fédérale américaine interdit à tout étranger de faire don à une campagne électorale américaine
Ce ne sont que quelques morceaux de ce texte qu’a mis en lien Seth, les dons douteux dont on a la connaissance, sans parler des autres, abu dhabi, Pakistan, Nigeria….
Un futur candidat a la Maison Blanche en partie finance par des ennemis de l’Amerique et D’Israel…
Une casserole, que dis-je une batterie de cuisine, quand a moi je continues de chercher….car je n’ai pas eu toutes les reponses a mes questions…
@Yoman
POINT SUR LES « i »
Concernant Ayers,
Un officier de police est tué et plusieurs policiers sont blessés plus ou moins gravement.
October 20, 1981 / Attaque de la Brinks près de Nyack, New York.
2 policiers sont tués et 1 agent de la Brinks, le butin est de 1 Mo de dollars.
September 11, 2001 / “Je ne regrette pas d’avoir posé des bombes. J’ai le sentiment de ne pas l’avoir fait assez” Bill Ayers
Il n’y a donc aucun flou sur la notion de terroriste !
Quant à Obama qui a travaillé dans la même association que Ayers et s’est rendu à son domicile à plusieurs reprises, je ne sais pas quels sont ces liens « intimes » ou « personnels » avec Ayers. Je me garderai bien de dire quoi que ce soit sur ce détail que j’ignore. Pas comme vous, qui semblez vraiment avoir vécu l’épisode de près, puisque vous vous autorisez d’en apporter l’éclairage et d’en préciser la nature…
Mais personnellement, Yoman, je ne ferai pas cause commune dans une association avec, par exemple, une personnalité comme Le Pen, qui cautionne le racisme, ou encore avec feu George Marchais qui était travailleur volontaire en Allemagne nazie et plus tard grand promoteur des horreurs communistes, et bien sûr, à fortiori, pas avec un assassin et un traître de type Ayers !
Aussi Yoman, qui vous offrez d’hypocrites et sélectives indignations, le menteur c’est vous !
Personnellement, je trouve que, même en ayant des billes dans son jeu, cette campagne républicaine est mal orchestrée et que les “révélations” qui sont de notoriété publique depuis des mois, sauf à déclencher une véritable investigation juridique contre Obama, mais alors pourquoi ne pas l’avoir empêché plus tôt de prétendre à une candidature dont il s’avérerait une fois en place, indigne?, semblent botter en touche, faire donner la charge de l’arrière-garde, arriver à mauvais escient.
On est à un mois de l’élection et on espère un renversement de tendance la veille au soir?
Je crois que la crise financière a joué énormément contre le Gouvernement en place et ses héritiers, que leur responsabilité soit entière ou que les causes profondes soient clintoniennes ne change rien à l’affaire : au bout de 8 ans de gouvernance, on ne va pas chercher ce qu’a fait Bill ou Joe, on constate ce que ce gouvernement-là a fait ou non pour prévenir la crise durant son mandat : voilà à quelle sauce les Républicains sont en train de se faire manger. L’électorat se fout des analyses économiques macro ou micro, il voit ce qu’il y a dans sa gamelle à l’instant t. C’est un réflexe pavlovien si on veut, mais c’est comme ça : l’élection repose à 90 % sur des croyances collectives en vogue et pas sur la rationalité ou la lucidité. Et l’Amérique se cherche un Messie, un sauveur, aussi bidon ou Biden soit-il! Obama “paraît” plus calé en économie de Mc Cain? Soit, même si c’est du flanc, il a une partie de la finance derrière lui…
Alors aux gens lucides de prévoir d’entrer en future opposition contre les fausses évidences et les contre-vérités. Mais pour l’instant, vrai ou faux, tout cela est mal ficelé ou tombe au plus mauvais moment. Parce que cela génère d’abord un vote “protestataire” comme on dit en France, ou d’écoeurement et que l’Amérique profonde se sent trahie par ses élites. Et prête à se lancer dans le “negro spiritual” en espérant un avenir meilleur…
The New York Times looks at the relationship between Barack Obama and Bill Ayers. It concludes that Obama may have downplayed his relationship with Ayers, but believes the relationship between the two was not close.
A review of records of the schools project and interviews with a dozen people who know both men, suggest that Mr. Obama, 47, has played down his contacts with Mr. Ayers, 63. But the two men do not appear to have been close. Nor has Mr. Obama ever expressed sympathy for the radical views and actions of Mr. Ayers, whom he has called “somebody who engaged in detestable acts 40 years ago, when I was 8.”
Stanley Kurtz, a National Review writer who has extensively researched Barack Obama’s working relationship with Ayers in connection with the Chicago Annenberg Challenge, an educational foundation based in Chicago, vehemently disagrees.
There is nothing “sporadic” about Barack Obama delivering hundreds of thousands of dollars over a period of many years to fund Bill Ayers’ radical education projects, not to mention many millions more to benefit Ayers’ radical education allies. We are talking about a substantial and lengthy working relationship here, one that does not depend on the quality of personal friendship or number of hours spent in the same room together (although the article greatly underestimates that as well).
Shane’s article buys the spin on Ayers’ supposed rehabilitation offered by the Obama campaign and Ayers’ supporters in Chicago. In this view, whatever Ayers did in the 1960’s has somehow been redeemed by Ayers’ later turn to education work. As the Times quotes Mayor Daley saying, “People make mistakes. You judge a person by his whole life.” The trouble with this is that Ayers doesn’t view his terrorism as a mistake. How can he be forgiven when he’s not repentant? Nor does Ayers see his education work as a repudiation of his early radicalism. On the contrary, Ayers sees his education work as carrying on his radicalism in a new guise.
Glenn Reynolds argues that whatever befall, the Obama-Ayers issue has now crept onstage. But where exactly might this issue lead? One of Glenn’s readers has flipped the question and argues that the real question isn’t what drew Obama to Ayers, but what drew Ayers to Obama. “Here is the thing that eats at me. What did Ayers see in him? … Dorhn, Ayers, Wright all saw something in Obama that made them want to be with him and promote him? These are not people who like promoting pro-America candidates.”
Of course Obama’s defenders can argue that people are in the unfortunate habit of projecting their aspirations onto politicians, especially one who famously described himself as a ‘blank screen’ on which different groups could project their dreams. Maybe what you see in Obama is whatever you want to see in Obama. Such as for example, these madrassa kids. Glenn Reynolds realizes that this argument applies both to the critics and believers in Obama. David Brooks caustically remarked that “Barack Obama loves the future because that’s where all his accomplishments are.” His supporters might argue that’s also where his defects lie. Which brings us back to Ayers.
Although Obama’s accomplishments may all lie in his glittering tomorrow, Ayers and the Chicago Annenberg Challenge are inconveniently part of his existing record. Ayers and the Chicago Annenberg Challenge are a substantial component of his political political career. It is one point upon which Obama actually has “history”. Unlike the prospective, which is infinitely malleable, Ayers is the one of those things about BHO by which he can actually be measured. Therein lies the danger.
Bernardine Dohrn speaks in November, 2007. This would have been the post-Obama Dohrn.
J’avais oublié une autre victime de Ayers, mais que je ne plaindrais pas trop ; sa petite amie morte criblée des clous de la mine qu’elle manipulait et qu’elle destinait à d’autres…
Décidemment vous avez des distinguos qui m’échappent.
Vous me demandez de trier dans le panier de crabes !
Ayers cofondateur de Weatherman, un des membres les plus autoritaires selon la police, un des plus enragés (cf Days of Rage) selon la légende, n’est donc pas, selon votre sensibilité extrême, responsable des victimes de ses engagements et des agissements de ses « associés » en terrorisme.
Avez-vous le même genre d’indignation pour Oussama à qui on reproche les milliers de morts des Twins’Towers ?
Bref, on a les héros qu’on mérite et vous l’aurez compris, le mien, c’est McCain !
Je savais qu’il ne servait à rien de dialoguer avec un type comme vous.
Obama retrouvera demain mardi McCain pour un second débat télévisé qui ne portera pas uniquement sur la crise financière et la politique étrangère, mais sur tous les sujets qui intéressent les électeurs américains. Cette fois-ci, les questions seront posées par des membres du public et des internautes.
@ Philip :
bien, très bien, très très bien, pourvu que ça continue….
Obama ne sera pas élu! il est manipulé par tous ces riches saoudiens qui tire les ficelles de la marionnette qu’il est ! les Américains ne l’éliront pas , ils vont ouvrir les yeux ! il ne peut nier ce qui est vrai , et il ne vas pas etre épargné ! les Français qui le soutiennent sont vraiment des crétins sans cervelle !
‘Pure and simple deceit,’ says enraged Uzi Dayan of American Jewish group that told him and other top Israeli figures they were being interviewed for documentary on Mideast challenges and found themselves touted as Obama supporters
The Associated Press
Three well-known Israeli security figures said Monday they were duped into participating in an ad supporting US presidential candidate Barack Obama.
In a similar case earlier this year, the Obama campaign returned $33,000 to two Palestinian brothers in the Gaza Strip who had bought T shirts in bulk from the campaign’s online store. (…) Some critics say the campaign hasn’t done enough. This summer, watchdog groups asked both campaigns to share more information about its small donors. The McCain campaign agreed; the Obama campaign did not. “They could’ve done themselves a service” by heeding the suggestions, said Massie Ritsch of the Center for Responsive Politics. http://www.newsweek.com/id/162403