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Par Miguel Garroté – Pour commencer, je note, en passant, la haine hystérique vomie sur leblogdrzz hier, jour de l’élection d’Obama. Les fans du nouveau président américain nous ont montré un bien étrange visage : celui de leur haine raciste et antisémite envers la société libre de culture judéochrétienne. J’ai écrit que 2008 ressemble un peu à 1938. Je vais très bientôt pouvoir écrire que 1938 ressemblait un peu à 2008. Les trolls postés hier sur leblogdrzz, trolls entre-temps partis aux toilettes, ont pulvérisé tous les records de la haine la plus vulgaire et la plus obscène qui soit. A croire que certains trolleurs sont des multi-toxicomanes en pleine cure dans le bloc psychiatrique d’une prison de haute sécurité. Si l’un d’entre nous avait écrit le dixième, le centième, le millième de ce que ces trolleurs ont écrits hier sur nous, il serait déjà au tribunal pénal ou même en prison.
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Mais au moins les choses sont devenues claires : avec la victoire d’Obama, le « changement » tant idolâtré durant la campagne présidentielle se manifeste (outre les fêtes et les cris de joie) aussi sous la forme d’un racisme anti-blanc, anti-juif et anti-chrétien sans précédent depuis Hitler. Certains l’avaient prédit sur les sites et blogues de notre communauté de pensée. Depuis hier, nous avons la preuve très concrète qu’ils avaient vu juste. Les événements que j’évoque ci-dessous, notamment les dizaines d’engins mortels tirés hier sur Israël, nous donnent un avant-goût de l’ambiance de ces quatre prochaines années. Ah, j’allais oublier : les Canadiens ont récemment élu un néoconservateur à la tête de leur pays. Les médias n’en ont pas parlé car cela eut gâché l’ambiance obamaniaque. Si vous en avez les moyens et la possibilité, allez vivre la période 2008-2012 au Québec. Les Canadiens francophones nous aiment bien. Ils accueillent déjà notre ami Dantec…
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A propos de la victoire d’Obama, Christian Vanneste, député UMP du Nord, nous livre sa réaction sur http://www.christianvanneste.fr (début des extraits de la réaction de Christian Vanneste) : « La victoire de Barack OBAMA est logique. Les frétillements de bonheur de la médiocratie française sont grotesques. L’Amérique a fort logiquement choisi le changement pour condamner une politique et un parti qu’elle juge responsables de la crise financière et de ses conséquences économiques (…) Si sa victoire est objectivement fondée sur l’apparente évidence de la nécessité du changement, l’enthousiasme panurgien des médias français, comme d’habitude, repose sur des éléments les plus superficiels et les moins déterminants : les américains auraient-ils, en dehors du contexte économique, choisi un beau parleur sans expérience, plutôt qu’un authentique héros, connu pour son travail de sénateur à la fois sérieux et ouvert ? ».
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« Si beaucoup ont critiqué l’aventurisme de Georges W. BUSH sur le plan international, il convient de rappeler les faiblesses coupables de CARTER avec l’Iran et de CLINTON en Somalie et au Yémen, pour souhaiter que le futur Président des États-Unis s’en tienne à une ligne médiane à la fois ferme et mesurée. Par ailleurs, je veux réagir à l’affirmation stupide du journal Le Monde (pléonasme ??), dans son édition du jeudi 6 novembre : ‘à cet instant, nous pouvons dire, avec beaucoup plus de convictions que le 11 septembre 2001 : nous sommes tous américains’. Je pense, pour ma part, que ce jour-là, le monde libre s’était senti américain parce que les valeurs communes du monde libre, nos valeurs, avaient été touchées en plein cœur, à travers des milliers de victimes innocentes. Aujourd’hui, les américains ont simplement élu celui qui devra défendre les intérêts américains dans le monde, intérêts qui ne seront pas toujours les nôtres comme c’était le cas pour son prédécesseur. Il est consternant que ceux qui prétendent informer se livrent à de pareilles confusions » (fin des extraits de la réaction de Christian Vanneste).
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A propos des persécutions des chrétiens en Irak et en Inde – je suis sûr qu’Obama va tout prochainement se pencher sur les souffrances de ses frères chrétiens…- Annie Laurent dans Valeurs Actuelles – http://www.valeursactuelles.com – écrit (début des extraits de l’article d’Annie Laurent) : « Dans le monde entier, le cycle des persécutions commence toujours de la même façon : une sourde pression sociale, des petites vexations administratives, suivies de menaces verbales, puis d’agressions physiques jusqu’aux attentats meurtriers. Le ‘nettoyage religieux’ qui s’opère à Mossoul est dramatique pour les chrétiens d’Irak, parce que cette ville du Nord est un symbole fort. Voisine du site de l’antique Ninive biblique, Mossoul est, avec toute sa région, l’un des principaux points d’ancrage du christianisme mésopotamien. Selon la Tradition, l’apôtre saint Thomas y a instauré les prémisses de l’Église avant de partir pour l’Inde ».
« Bien que se définissant officiellement comme une démocratie laïque et doté d’une Constitution qui garantit le droit de professer la religion de son choix et celui d’en changer, l’État fédéral [indien] laisse l’hindouisme s’affirmer avec de plus en plus de force, au détriment de tout autre culte. De nombreux États ont adopté des lois anticonversion qui interdisent aux hindouistes, sanctions pénales à l’appui, de choisir une autre religion. Par ailleurs, des programmes de ‘reconversion’ visant les chrétiens intouchables sont mis en oeuvre à l’aide de menaces et d’intimidations » (fin des extraits de l’article d’Annie Laurent). J’ajoute quant à moi que depuis que l’élection d’Obama est devenue une certitude dans les sondages, les persécutions et les assassinats de chrétiens – par Al Qaïda en Irak et par des hindous en Inde – ont augmenté de façon dramatique. J’y reviens à la fin du présent article.
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Missile RS-18 russe
La Russie a salué l’élection d’Obama de façon originale en annonçant des mesures de soi-disant rétorsion contre les USA. Concrètement, la Russie a annoncé, le jour de l’élection d’Obama, sa décision de maintenir en état d’alerte – et de suspendre le démantèlement de – la division de missiles stratégiques stationnée à Kozelsk, au sud-ouest de Moscou, division dotée de missiles RS-18 (équivalent du SS-19 de l’Otan) d’une portée de 10.000 km. Bons baisers de Moscou pour Obama.
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Une roquette a atterri aujourd’hui jeudi à l’aube sur la ville israélienne de Sdérot. Hier mercredi, les mouvements armés palestiniens, pour fêter à leur manière l’élection d’Obama, ont rompu toute trêve, ont tiré une quarantaine roquettes Qassam et des dizaines d’obus de mortier depuis la Bande de Gaza sur Israël, notamment sur le Néguev occidental. Meilleurs vœux et feu d’artifice de Gaza pour Obama.
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En Irak, en Inde, au Proche Orient, en Russie, l’élection programmée puis réalisée d’Obama se solde – déjà – par un accroissement des conflits et des menaces. Cela n’a rien d’étonnant. Quant le camp adverse sent venir chez nous une période de mollesse, il met les bouchées doubles. Après Carter, il a fallu Reagan pour redresser la situation. Les Républicains américains auraient tout avantage à trouver rapidement un candidat d’exception pour 2012. Car Jimmy Carter c’est – si j’ose dire – peanuts en comparaison de Barack Hussein Obama. Quant à Israël, je lui souhaite vigilance de tout instant.
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© Miguel Garroté
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@ ofek :
C’est en effet le cas depuis hier. Derrière la grande fraternité universelle se cache le pire des sectarismes.
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Pour l’élection américaine, la presse française s’est fortement mobilisée en faveur Obama. La couverture alternative de l’Express, au cas où John McCain aurait gagné est symptomatique de ce parti pris. Mais les images parlent mieux :
Celle pour la victoire d’Obama, sortie en kiosque, à côté de celle préparée en cas de victoire des Républicains. MJ (merci à HV)
Le président du Front National de Belgique, le sénateur Michel Delacroix, fait l’apologie de la Shoah dans une vidéo. Sur cette vidéo, on voit M. Delacroix entonner une chanson sur l’air de “L’eau vive” de Guy Béart. Les paroles ont été modifiées, M. Delacroix entonnant un pamphlet macabre. “Ma petite Juive est à Dachau, Elle est dans la chaux vive, Elle a quitté son ghetto, Pour être brûlée vive”, chante M. Delacroix dans un petit film qu’a pu voir l’Agence BELGA.
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A l’occasion de la réunion au Vatican du Forum catholico-musulman, le Pèlerin publie ce témoignage : « Je suis prêtre et j’habite en terre d’islam depuis un demi-siècle. Dans mon pays, alors que la communauté était florissante avant l’arrivée de l’islam, il reste très peu de chrétiens. Là où je vis, comme dans la plupart des pays musulmans, les chrétiens sont tolérés, mais à des conditions inacceptables. Ainsi nous est-il interdit de témoigner de notre foi dans la langue du pays. Nous n’avons ni séminaire ni monastère. Nous ne pouvons pas non plus construire d’église. Quant aux conversions, elles sont passibles de la peine de mort. Pour l’islam, tout musulman qui veut le baptême est un traître à reconvertir ou à tuer.
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Or, je m’occupe d’accompagner les convertis, de les former jusqu’au baptême. J’en connais un grand nombre, que je ne suis pas allé chercher avec une épuisette, mais qui ont frappé un jour à ma porte, en me demandant que je leur parle de Jésus-Christ. Des personnes qui, après avoir étudié le Coran, ont choisi librement l’Evangile pour rencontrer Dieu. J’ai accepté de témoigner pour que les chrétiens de France sachent la détresse dans laquelle vivent ces convertis. Et pour que les responsables réunis à Rome pour dialoguer avec des musulmans n’oublient pas les difficultés qui frappent les minorités chrétiennes en pays d’islam.
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J’aimerais vous raconter l’histoire d’Ahmed, étudiant de 25 ans. Pour lui, tout a débuté par un songe. Un homme en blanc lui mettait la main sur l’épaule. Chez nous, sur cette terre d’Orient où Dieu s’est révélé aux hommes, les rêves jouent un rôle capital. A partir du moment où Ahmed a eu ce songe, il n’a eu de cesse d’en chercher la signification. Grâce à Internet, il a découvert un Evangile dans sa langue et l’a lu. Puis il m’a rendu visite après des heures de voyage. « J’ai plein de questions sur l’Evangile », m’a-t-il lancé. Il n’avait pas d’Evangile. Trop dangereux. « Mais j’ai un téléphone portable. » Et là, stupéfait, j’ai découvert tout l’Evangile, enregistré dans son téléphone. Durant des heures, il m’a posé des questions sur Jésus et sur la prière.
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Ahmed n’est pas une exception. Rachid est arrivé chez moi, saisi lui aussi par Jésus grâce à un songe. Il devait, selon ses mots, « poursuivre son chemin jusqu’au bout ». Il m’a demandé le baptême. Je l’ai freiné, car je ne baptise qu’après trois ans de formation. « Il faut savoir si l’appel de Jésus est vraiment solide, ai-je rétorqué. Si ton rêve vient vraiment de Dieu. » C’est toujours ainsi que je procède.
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Je dis aussi à ces personnes les difficultés qui les attendent. « Une fois baptisé, vous devrez vivre votre foi dans la clandestinité, vous cacher de vos voisins, voire de votre famille. Vous aurez du mal à vous marier. Si les autorités découvrent que vous êtes convertis, vos enfants seront placés chez des musulmans pour être rééduqués. » L’histoire de Fatima illustre ces problèmes. Cette jeune femme issue d’une famille de notables musulmans, s’est vue, en songe, crucifiée sur la croix. Ce rêve la hantait. Elle finit par découvrir Jésus, trouve un Evangile dans sa langue, le lit, le médite. Elle se fait baptiser, mais elle est dénoncée. Son mari l’enferme dans sa chambre sans nourriture, jusqu’à ce qu’elle perde l’enfant qu’elle attendait. Comme elle refuse de renier le Christ, il la jette dehors. Ses parents la battent. Son père menace de la tuer. Elle parvient à s’enfuir. Depuis, elle vit cachée, dans une extrême pauvreté mais heureuse. Elle veut devenir religieuse.
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Chaque année, j’accompagne une cinquantaine de convertis. Nous organisons des réunions, en étant très méfiants. Dans nos groupes, personne ne sait comment s’appelle son voisin. Ainsi, si l’un de nous est arrêté, il ne peut rien révéler. Une fille nous aide aussi. Elle prend l’Eucharistie et la met sous son voile pour aller donner la communion. L’on se demande souvent pourquoi ces musulmans deviennent chrétiens. Il n’y a pas d’explication rationnelle. C’est une rencontre d’amour foudroyante. La plupart sont jeunes et insatisfaits avec l’islam, imposé ici par la force. Et puis, ils se posent des questions. Les contradictions du Coran les travaillent.
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On me fait souvent le reproche d’évangéliser. « Vous nuisez au dialogue. » Cela m’a été dit par des autorités dans l’Eglise, qui m’accusent de mettre des gens en danger, de provoquer des divisions dans les familles. Un jour, le nonce apostolique m’a reproché mon prosélytisme. « Ce ne serait pas l’Esprit saint qui ferait du prosélytisme ? ai-je répondu. Qui mène l’Eglise, sinon Lui ? Si je ne porte pas la bonne nouvelle, ma mission de prêtre est inutile. Et si je refuse la confrontation avec les autorités musulmanes, en restant dans les limites qu’elles me fixent, que vaut le dialogue ? » Je demande aux responsables chrétiens qui, à Rome, dialoguent avec des dignitaires musulmans, de ne pas tenir des propos tièdes. Le dialogue interreligieux est indispensable, mais il se doit d’être chrétien, solidaire avec les Eglises persécutées. Il faut affirmer haut et fort les valeurs des Eglises d’Orient. Elles sont en dialogue depuis des siècles, mais persécutées depuis l’arrivée de l’islam sur leurs terres. Il les a réduites à l’état de petit reste silencieux et stérile. Ces Eglises ne peuvent accueillir aucun converti ! Que nos amis musulmans d’Occident qui réclament des droits exigent de leurs coreligionnaires, en pays d’islam, les mêmes droits à l’égard des minorités chrétiennes. C’est cette réciprocité, nécessaire pour un franc dialogue, que rappelle souvent Benoît XVI ».
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Mon nez me dit que tu serais sûrement l’animal qui a déjà changé de nom 2 fois au moins hier, celui qui est passé à la fosse sceptique pour propos antisémites, tu sais, l’antisioniste chronique.
Abruti, Rahm Emanuel faisait partie de l’équipe Clinton, tu te souviens ? Ceux qui ont pondu les « accords » d’Oslo, ceux qui ont voulu troquer la terre d’Israël contre la Paix (Judenrein), tu as oublié ? Ceux qui embrassaient Arafat sur la bouche devant les caméras pendant qu’on explosait des femmes, enfants et vieillards dans des bus qui n’arrivaient jamais à destination.
Ah pour des sionistes, on aurait pu mieux faire !
Tiens, je te remets le texte de Victor qui résume très bien quel genre d’antisioniste tu es !
Excrément !
Combattre le Sionisme est devenu, pour certains de plus en plus nombreux, une raison de vivre. Tout antisioniste se revendiquant publiquement de ce combat se drapera, pour se justifier, des vertus des droits de l’homme. Il vous exposera, au fil du temps, qu’il n’a rien contre les Juifs mais est contre la politique du gouvernement israélien qui perpétue « l’occupation des territoires palestiniens », « sa colonisation » ainsi que la « répression des autochtones ».
On peut en déduire, en conséquence, qu’être antisioniste de nos jours c’est être, sans conteste, contre le gouvernement d’Ehud Olmert qui n’a pas hésité à déclencher des représailles contre les ‘’résistants’’ palestiniens, a développé les ‘’colonies’’ et a poursuivi ‘’l’occupation’’ des territoires. Sans pour autant cesser de rechercher, vainement, un accord de paix avec l’autorité palestinienne.
L’antisioniste était donc aussi, il y a quelques années, contre les gouvernements successifs d’Ariel Sharon qui n’a pas hésité, lui non plus, à guerroyer contre les ennemis de son pays jusqu’à la victoire, a étendu les ‘’colonies’’ et poursuivi ‘’l’occupation’’. Tout en décidant un retrait unilatéral de la bande de Gaza espérant un début de solution au conflit mais récoltant, en lieu et place, une base arrière des ennemis les plus acharnés de l’état juif.
L’antisionisme, c’était encore en remontant le temps une ‘’doctrine’’ justifiant l’opposition au gouvernement d’Ehud Barak qui persista, lui aussi, dans les représailles, ‘’l’occupation’’ et l’extension des ‘’colonies’’. Mais qui cependant, parallèlement, ordonna le retrait du Liban et discuta, lui aussi en vain, à Camp David avec Yasser Arafat d’une paix juste et durable pour la région.
Être antisioniste, c’était tout pareillement combattre le gouvernement de Benyamin Netanyahou qui ne fit rien contre ‘’l’occupation’’, les ‘’colonies’’, augmenta les représailles contre les bombes humaines et leurs commanditaires mais ordonna après un accord le retrait de la ville de Hébron.
Être antisioniste enfin, c’était encore et toujours être contre le gouvernement d’Itzhak Rabin (z’’l), autant ‘’colon qu’assassin’’ que ses successeurs, de surcroît chef d’état-major de TSAHAL lors de la guerre des six jours qui vit Israël s’étendre au-delà de ses frontières et néanmoins prix Nobel de la paix pour avoir signé les accords d’Oslo devant permettre à terme l’entente pacifique entre les belligérants.
Bref ! L’antisionisme c’est de tout temps, comme on le voit ici, être systématiquement contre les gouvernements israéliens, qu’ils soient de droite, du centre ou de gauche, quelles que soient leurs politiques de main tendue versla paix. Mais c’est aussi une opposition à toute personne -quel que soit son rang ou sa place dans la société- revendiquant son appartenance au Judaïsme et/ou à Israël et/ou au Sionisme.
On peut donc sans crainte affirmer que l’antisionisme est le paravent de l’antisémitisme et qualifier TOUT antisioniste d’ANTISEMITE. Déjà, en Août 1967, le Dr Martin Luther King écrivait : « L’antisémitisme, la haine envers le peuple juif, a été et reste une tache sur l’âme de l’humanité. (…) antisioniste signifie de manière inhérente antisémite, et il en sera toujours ainsi ».
A cette période, 1967, il n’y avait pas de ‘’colonies’’, ni de représailles, mais déjà des antisionistes. Ils étaient probablement, alors, contre le développement des colonies israéliennes, contre la dictature démocratique exercée à l’encontre des arabes locaux et, surtout, contre l’occupation par les Juifs d’une petite partie de leur terre ancestrale.
Congratulations, Mr President-elect, on your victory. After the longest presidential campaign in our history, you now have 77 days to prepare to govern. While foreigners might see eleven weeks as an eternity, you know only too well that it is precious little time to select your top advisers and then subject them to our cumbersome FBI and ethics screening of their backgrounds, their finances, their potential conflicts of interest, and whatever skeletons are hanging in their closets.
Then, of course, they need to learn the intricacies of their respective responsibilities, and, for many, begin the Senate confirmation process, which may take months. Time is already growing short.
The current economic turmoil will consume a significant amount of your Transition Team’s time and effort, and properly so. But in the wider world, our adversaries and even our friends are actively considering how to advance their interests as your January 20 Inauguration approaches.
You will have four full years of foreign-policy issues and problems, such as the rise of China and India, the decline of the European Union, and the role of Russia, but I suggest the following as priorities in your first Hundred Days:
You are the decider.
Although President Bush tried to make this his mantra, his Administration was plagued in its first term by incoherence in national security decision making. Crisp decisions were not made, strong differences of opinion among Cabinet Secretaries were not resolved, and policy too often oscillated between conflicting options with no consistency or direction.
Ironically, the Bush Administration’s second term erred in the opposite direction, almost eliminating differences in advice to the President until there was really only one voice in his ear at critical points. You must avoid both pitfalls, and you must make that clear immediately. You must resolve disagreements among your advisers, and not allow drift, and you must insist on discipline once you make a decision.
If anyone disagrees with this approach, you may invite them to do the honourable thing and resign, or not sign on in the first place. Iran Tehran’s ruling mullahs have no intention of affording you a “honeymoon”. They will move quickly to test your resolve both on their rapidly progressing nuclear weapons program and on their massive support for international terrorism.
Nearly six years of European diplomacy has failed to slow Iran’s nuclear program. Five UN Security Council Resolutions demanding that Iran halt uranium enrichment (and imposing risibly weak sanctions) have had essentially no effect.
Russia in particular is using Iran as the sharp tip of the spear to disrupt our policy throughout the Middle East. Moscow will watch what you do just as intently as Tehran. Any new President will be advised to engage in at least some renewed diplomatic effort. But do not be fooled. Insist on three months of intense, good-faith negotiations, and we will soon find out if Iran is serious.
If not, which I believe to be demonstrably the case, suspend negotiations quickly. Then, ratchet up efforts on the only options, unattractive though they are, that have a chance of stopping Iran from acquiring deliverable nuclear weapons: regime change or the targeted use of military force against Iran’s nuclear program.
If you wait longer, you will surely have the worst of all worlds: Iran with nuclear weapons, and an even greater threat of nuclear proliferation as other Middle Eastern states draw the appropriate conclusions from its success at thwarting our non-proliferation efforts.
North Korea
We are kidding ourselves if we think North Korea will ever voluntarily give up its nuclear weapons program. Even during the campaign, as the Bush Administration was squandering our negotiating leverage, North Korea continued to try to proliferate ballistic missile technology.
As with Iran, there is essentially no chance that Pyongyang will be talked out of its nuclear weapons. Moreover, with the world in near-complete ignorance about the state of Kim Jong-il’s health or plans for regime succession, even more uncertainty surrounds the intentions of this prison camp of a country. Expecting that the long-running Six-Party Talks will “solve” the North Korean problem is a delusion.
Instead, you must deal directly with China as the highest priority in our bilateral relationship, and insist that we act together to eliminate the current regime in Pyongyang and is nuclear program, and ultimately reunite the Korean Peninsula.
China needs to understand that leaving the North with nuclear weapons is not an option, and that their inaction will have an increasingly negative impact on our bilateral relationship. Beijing alone can change North Korea, and it needs to get started.
America’s Image
Do not let global “public opinion” about the United States, from Albania to Zimbabwe, dissuade you from doing what you think is right for America. Your job is to defend and advance our interests and values, a task which invariably will displease our adversaries, and even many of our friends, especially those who wish we were, well, more European in our behaviour and attitudes.
What we must do, however, is more effectively advocate the policies you will be pursuing. Failure at both the political level in Washington and abroad, and at the level of the career Foreign Service, made the Bush Administration one of the most tongue-tied Presidencies in our history. We should try to shift international public opinion to support our policies, not modify our policies to try to satisfy international public opinion. The State Department will not understand this distinction. You must.
A final word
Many U.S. and foreign commentators have been quick to tell us that America is in decline, and that our role in the future will not be what it once was. They will be correct only if you fall prey to their pessimism.
And if you do, rest assured that they will shortly turn critical of “American isolationism,” just as they have been critical in recent years of “American unilateralism.” You will never satisfy them. Defend America and its friends, and the rest will take care of itself.
$penderz a écrit : “Pendant 8 ans, 77% de Francais anti-americains ont construit et conçu des monuments de haine. Je me demande maintenant sur qui cette haine va-t-elle se poser.”
–> Les anti-Américains sont des racistes. Ils continueront donc à critiquer les USA. De même qu’ils traînaient dans la boue les USA de Bill Clinton (campagnes massives contre Clinton dans “Courrier International”, “Le Monde”, “Libération”, et autres torchons, dans les années 1997-2000).
Et c’est pourquoi Obama et ses partisans se ridiculisent, quand ils disent vouloir “réconcilier le monde avec les USA”, “donner une meilleure image des USA”, et autres billevesées. En effet, ce ne sont pas les victimes du racisme (les Américains) qui peuvent mettre fin au racisme dont elles sont victimes : c’est aux racistes à cesser d’être racistes.
BRUXELLES – L’unique sénateur du Front National belge, Michel Delacroix, a démissionné jeudi de sa fonction de président du parti d’extrême droite, quelques heures après qu’une vidéo l’eut montré chantant une chanson ironisant sur le génocide des juifs, a indiqué le FN.
“M. Delacroix, parfaitement conscient de ce que son comportement implique, a décidé de remettre sa démission de sa fonction de président du FN”, précise un communiqué du bureau du parti, qui qualifie “d’inadmissible” l’attitude de son président.
Dans une vidéo diffusée jeudi midi par la télévision belge RTBF, Michel Delacroix, qui a succédé à Daniel Féret fin 2007 à la tête du FN belge, entonne une chanson sur l’air de “L’eau vive” de Guy Béart.
En séance plénière du Sénat, les groupes politiques ont unanimement exprimé jeudi après-midi leur “indignation et leur totale réprobation face aux propos antisémites de M. Delacroix”.
Le président de la chambre haute du parlement a indiqué qu’il allait étudier des “mesures de sanction”.
L’organisme para-public chargé de lutter contre les discriminations en Belgique a annoncé qu’il déposerait une plainte pour “négationisme” et “incitation à la haine raciale” à l’encontre de M. Delacroix.
“Je ne me souviens pas de l’avoir chantée, même si j’en connais les paroles depuis des années”, a déclaré à l’AFP M. Delacroix. “Je ne suis pas sûr de la véracité” de la vidéo, a ajouté le sénateur non-voyant.
“J’en reconnais immédiatement le mauvais goût, mais s’il y a quelque chose de réel dedans, ce n’était en rien public”, a-t-il souligné.
Selon M. Delacroix, cette vidéo “a dû être tournée en 2000 en Espagne”. “Ces documents proviennent d’un dossier relatif à mon divorce qui s’est mal terminé pour mon ex-épouse il y a quelques mois”, a-t-il ajouté, sous-entendant une vengeance personnelle.
Il a également affirmé que la diffusion de cette vidéo dans le public était l’oeuvre de Daniel Féret, renvoyé du parti à la suite de nombreux ennuis judiciaires.
Contrairement à l’extrême droite flamande, organisée autour du puissant Vlaams Belang, l’extrême droite francophone belge est depuis des années déchirée par des luttes intestines et son audience est restée marginale.
(©AFP / 06 novembre 2008 16h58)
Quand au Delacroix, sa langue a fourché, sa mémoire a flanché…
Rien que le fait de l’avoir penser, il sera retranché de l’éspèce humaine
Répand ton fiel chez tes semblables pendant qu’on récupère.
Mahasalem
« Le choix de Barack Obama ne correspond pas à celui que j’aurais effectué si j’avais voté aux USA. J’ai toujours été clair à ce sujet et je n’ai pas changé d’avis à propos de cet étrange messie, de ce produit de marketing, de cet homme dont je me méfie, car la presse a omis d’enquêter vraiment sur lui. Mais, comme je l’avais déjà écrit plus d’une fois par anticipation, les Américains l’ayant choisi, j’accueille le résultat de cette élection avec tout le respect que je dois à l’une des rares grandes démocraties et au nouveau président des Etats-Unis, malgré le flou d’un passé occulté. Pour le reste, on jugera sur ce que l’on verra une fois celui-ci installé.
Les dés ayant été pipés par la crise financière et un journalisme orienté, ce que l’on verra risque de ressembler à une période du genre « rock and roll », en ce sens que dans un pays profondément de centre droit la fonction suprême sera exercée par un élu censé être issu de la gauche, d’une gauche qui n’a évidemment rien à voir avec celle qui a ravagé la France, mais du Parti démocrate qui, théoriquement, a trouvé en lui le président le plus à gauche de l’histoire américaine. Trouvé ? Cela reste à prouver, car il a peut-être été fabriqué par opportunisme ou opportunité, à des fins électorales dont on ne connaît pas encore les tenants et les aboutissants.
Mais fait-il vraiment partie de la gauche de son parti ? Son discours a tellement changé, afin de l’adapter aux différentes catégories d’électeurs, que même de cela on peut douter. En effet, d’extrêmes au départ, la plupart de ses propositions ont glissé vers le centre. Le centre gauche certes. Loin cependant des premières indications de sa campagne dont l’élan initial l’aurait entraîné, tel un Européen, en marge de la plupart des Américains. Qui est donc Barack Obama ? On ne sait toujours pas en dehors de son image construite par les médias. Cela signifie que seul l’avenir répondra à cette question lourde d’incertitudes.
Une chose est certaine, en tout cas : la commande est grande pour l’icône qui devra répondre à une attente telle qu’elle risque de placer l’élu du monde entier dans une situation complexe, fruit de promesses semées à profusion, d’illusions difficiles à entretenir, riche de contradictions et inconfortable en raison d’un grand écart à maintenir. Heureusement, dans un premier temps, tout lui sera pardonné, car les médias ne pourront décemment pas critiquer d’entrée celui qu’ils ont choisi par idéologie, porté à grand renfort de publicités et à propos duquel ils ont fait l’impasse sur leur mission d’informer.
Gare toutefois au retour de manivelle, car il n’est de pire contempteur qu’un thuriféraire déçu, de réaction plus vindicative que celle d’un amoureux éconduit. La première à déchanter sera l’aile gauche du Parti démocrate étant donné que, prisonnier à son tour de la réalité, le président Obama ne pourra l’accompagner dans les combats dont elle a rêvé. Et d’autres catégories suivront, plus nombreuses à chaque confrontation entre le réel et l’illusion. Je crois même que le Parti républicain n’aura pas à s’en charger, car les plus chauds partisans du messie pourraient, s’il en est une, dégonfler la baudruche avant lui.
En effet, il ne faut pas oublier que face à John McCain, pauvre… capitaliste selon les sommes qu’il a perçues, Barack Obama a bénéficié des capitaux faramineux mis à sa disposition par les gauchistes les plus fortunés répartis entre New York et San Francisco en passant par Hollywood et l’étranger. Or, il se fait que ces derniers, une fois la fête terminée et les masques tombés, redeviennent ce qu’ils sont en réalité, c’est-à-dire des égoïstes forcenés. Dès lors, la comédie sera finie, tout comme le sera leur attrait ludique pour le petit peuple sur le sort duquel ils se penchent le temps de se refaire une bonne conscience jusqu’à la prochaine échéance.
Redevenus eux-mêmes, ils ne s’intéresseront plus qu’à eux-mêmes, à commencer par leur portefeuille et tant pis pour ceux qui, par inadvertance ou par conviction, voudraient appliquer… leurs propres théories en puisant dans leur caisse pour respecter les promesses du candidat… qu’ils ont promu. Ils deviendront alors vite féroces, car leur générosité ne va jamais au-delà de la distribution de l’argent… des autres. Et c’est là que l’affaire pourrait se corser si, une fois établi à la Maison Blanche, Obama entrait dans l’habit d’honnête homme que l’on a taillé pour lui, dans la peau de celui qui fait de la politique… autrement.
Ce ne serait qu’un moindre mal, même si, dans ce cas précis, Obama déchaînerait contre lui la hargne des Américains les mieux nourris, les plus pourris, les « lefties limousine », frères des Européens sortis du même moule qui a engendré la gauche caviar. Mais dans le cas contraire, si le nouvel élu cassait l’image de l’ancien candidat, le revers serait irrémédiable même avec les démocrates à tous les postes de commande, car les Américains réagissent beaucoup plus vite que les Français quand la marchandise n’est pas livrée. Le président Obama est donc condamné à relever un défi haut placé, avec une marge de manœuvre bien plus étroite que celle dont il a rêvé… ou d’autres pour lui.
Pour moi, tout cela n’annonce pas forcément une catastrophe car, jusqu’à nouvel ordre, il n’est pas coulé dans le béton que l’inconnu Obama décevra et il faut lui accorder sa chance, ce que tous les enragés, surtout en Europe, ont refusé à George W. Bush déjà décrié dès avant son premier mandat. Par contre, tout au long de cette campagne présidentielle, bien au-delà d’une simple contrariété, j’ai ressenti une véritable gêne qui, petit à petit, s’est transformée en colère et en honte à l’encontre des médias qu’ils soient européens, américains ou canadiens. A mes yeux, ils n’avaient pourtant plus grand chose à perdre en matière de crédibilité.
Mais cette fois, le peu qui leur en restait a été définitivement emporté, car toutes les bornes ont été dépassées. En effet, l’élection de Barack Obama a été précédée de campagnes de presse qui n’avaient plus rien à voir, ni de près ni de loin, avec la retenue de rigueur, les réserves d’usage en d’autres temps, le recul nécessaire, l’impartialité à cultiver et l’objectivité dont il faut s’approcher. Dans les centaines d’articles que j’ai lus et reportages que j’ai vus, j’ai découvert une propagande qui dépasse l’entendement, une façon de traiter l’événement et un esprit partisan tels que, mêlés à des relents d’égout, ils ont provoqué en moi du dégoût.
Et maintenant ? Eh bien, profitez de l’euphorie qui pourrait s’emparer de la planète où, dès le 20 janvier prochain, le niveau des océans va commencer à baisser. Profitez de la présidence virtuelle de celui à qui l’on a fait promettre de changer les Etats-Unis et le monde aussi, jusqu’à cette date à laquelle sa présidence deviendra réelle. Ce jour-là, Bush partira et avec lui tous nos soucis. Mais qui, après son départ, sera responsable du réchauffement climatique, de la disparition des dinosaures et des nids de poules au Québec ? Encore lui, pendant quelques mois, héritage oblige. Et puis ? Rassurez-vous, je connais déjà le parfait candidat. Il s’appelle Obama, le futur maudit à qui je souhaite bonne chance et, surtout, bon courage. »
Laudance
jeudi 6 novembre 2008
Rahm Emanuel, homme d’expérience, est sur le point d’accepter la proposition de Barack Obama, selon un haut responsable du parti démocrate.