Je suis en déplacement en ce moment, et je ne passe jamais deux jours au même endroit. Je voulais néanmoins réagir à ce qui vient de se passer concernant ce que j’appellerai la flotille de la propagande terroriste.
Il est évident que cette opération n’avait strictement aucun but humanitaire, mais des buts destructeurs, meurtriers, antisémites.
Il est tout aussi évident que l’objectif ne visait pas à aider les populations arabes de Gaza de quelque façon que ce soit, mais à aider des oppresseurs totalitaires et avides de sang.
Il est évident, enfin, que ceux qui ont participé a cette opération voulaient tuer des juifs et aider des assassins.
Ils devaient être traités comme on traite les gens de ce genre.
N’importe quel autre pays aurait réagi comme a réagi Israël, voire de manière plus violente et plus décisive.
Ce genre de bateau aurait du être coulé comme un navire de guerre, car il s’agissait d un navire de guerre.
Tous les occupants survivants devraient être arrêtes pour complicité avec des activités terroristes.
Si l’Europe était constituée de démocraties et d’états de droit dignes de ce nom, la réaction unanime devrait être une condamnation de tous ceux qui ont participé a la flotille, et une condamnation de la flotille elle même, et pas une condamnation d’Israël.
La France a parlé de réaction israélienne disproportionnée, bien sur : toute réaction israélienne, pour la France est disproportionnée.
Le rôle des israéliens et des juifs, pour les autorités françaises, est de se faire tuer sans même crier, car un cri lui même serait disproportionné.
Le gouvernement d’Israël doit sortir d’une position défensive et adopter une position ferme et claire.
Il n y a rien à gagner à adopter une position défensive.
Il y a tout à gagner à dire la vérité, et celle-ci commence par le rappel des faits :
1 il n’y a aucun besoin d’aide humanitaire pour Gaza, car tout ce qui est de l’ordre de produits non guerriers passe abondamment.
2 le contrôle sur les produits se fait non seulement depuis Israël, mais aussi depuis l’Egypte.
3 le Hamas est une organisation terroriste, tout complice d’une organisation terroriste est non pas un humanitaire, mais un terroriste potentiel ou un complice de terroristes.
4 tout participant a une action du type de la flotille ne peut qu’être considéré que comme terroriste ou complice de terrorisme, et doit être mis hors d’état de nuire.
5 le rôle d’une démocratie est de défendre les valeurs de la démocratie et du droit, pas de se faire l’allié ou le complice de terroristes ou de complices de terroristes.
6 le rôle de journalistes doit être de rapporter les nouvelles et d’appeler les choses par leur nom, parler d’action humanitaire pour une action de soutien au terrorisme relève de l’imposture.
7 le gouvernement israélien lui même ne doit rien céder, et surtout pas sur le vocabulaire : un terroriste est un terroriste.
8 ceux qui veulent la paix et la liberté pour les arabes de Gaza doivent souhaiter la destruction sans restes du Hamas, et de toutes les organisations terroristes, car ces organisations n’apporte ni la paix ni la prospérité. Nul ne peut associer les mots paix liberté et Hamas sans être considéré lui même comme un imposteur.
Guy Millière
………. Non seulement les soits disants pacifistes agressent des soldats venus rencontrer des humanitaires qui soudainement se muent en terroristes et comble de l ‘ironie , après avoir essayer de tuer les soldats israéliens , ils se font soigner chez les sionistes en israel ! dans un sens on les comprend la médecine du hamas ne doit pas être au top de la profession …………
la flottille depuis des semaines, ses meilleures unités de commandos et d’intervention anti-terroristes se sont entrainées pour cette opération, pourtant, tant les images retransmises par une des équipes de télévision turques à bord du Marmara ainsi que celles tournées par les drones montrent que les commandos qui descendaient des filins de l’hélicoptère, un à un se sont laissés “prendre au piège”, le premier se fait tabasser, le second aussi, le troisième aussi, ils sont sur la défensive et ne sont équipés que de fusil paintball, qui ne tirent des billes en plastique de peinture et qui éclatent au premier contact et sont inoffensives. Pourtant, bien que tout ce qui se passe sur le pont est visionné en direct, les commandos continuent de descendre, un à un et subissent le même sort que leurs camarades, et ne font que se protéger du mieux qu’ils peuvent sans essayer même de tirer une seule fois. Étonnant.
D’autre part, il n’était même pas nécessaire que les services de renseignements militaires etc… soient particulièrement performants puisque tout ce qui se passait depuis le départ à bord du bateau des islamistes du IHH était retransmis en direct par satellite sur leur chaine internet, et ce ne sont pas les déclarations d’intentions de combat jusqu’au-boutistes de dizaines d’interviewés qui manquaient. On y voyait déjà quelques heures avant le début de l’opération des hommes casqués avec des barres de fer et des masques à gaz. Étonnant.
N’importe quelle unité de police municipale confrontée à une centaine de voyous dangereux les aurait d’abord arrosés de fumigènes et de lacrymogènes, de grenades assourdissantes, de balles en caoutchouc voire de balles réelles afin de dégager et couvrir leur camarades, l’hélicoptère n’étant qu’à une trentaine de mètres au dessus du pont, cela aurait dû être d’une facilité déconcertante, mais non, ils laissent faire et assistent au lynchage sans intervenir, tout cela toujours sous les cameras de la télévision turque. Étonnant.
Cela dure deux interminables minutes, et puis soudain la liaison avec le satellite qui relaie les images de la télévision turque est coupée. Étonnant ? Non.
Dès le départ Tsahal connaissait les plans des islamistes du IHH, Tsahal savait que le vrai combat qui lui était imposé était celui des images et des médias. Les commandos qui se sont laissés “prendre au piège” pourraient avoir été…. le piège. Quelle meilleure preuve de la brutalité barbare de ces “humanitaires pacifistes” qui se préparaient eux aussi de longue date et qui, selon leur tactique récurrente, avaient prévus de se mêler au milieu de civils inoffensifs afin de s’en servir comme bouclier humain pour provoquer le maximum de pertes parmi les activistes du monde entier lors de la prise de contrôle du Marmara, qu’ils savaient inéluctable, que celles tournées par la télévision turque? Les images des camera thermiques des drones auraient été contestées et qualifiées de montage de synthèse. L’objectif de Tsahal peut avoir été de les attirer sur le pont, leur faire croire qu’ils avaient l’avantage, afin de dégager l’accès au coeur du bateau et de les séparer des militants non belliqueux. Pendant que les brutes barbares exultaient et jubilaient de pouvoir massacrer un soldat juif, qu’ils se déchainaient sur les “appâts”, une autre unité de commando abordaient le navire à partir de canots pneumatiques et sécurisait les points stratégiques du bateau, bloquant l’accès aux salles et aux cabines où se trouvaient les “inoffensifs” leur laissant seulement libre comme échappatoire, l’accès aux soutes du navire dans lesquels se réfugièrent ceux qui fuirent et qu’elle nettoyait” le noyau ultra dur dont certains munis de pistolets qui continuait le “combat” sur le pont.
Cette analyse n’est bien sûr qu’une hypothèse personnelle et non une version officieuse, cependant tout ses éléments reposent sur des faits avérés et vérifiables.
Merci Guy pour ces mises au point très clair.
Bon séjour aux states en passant, ça doit vous changer de dhimmiland ^^
Merci monsieur Millière de cette analyse rapide mais sans appel et dont je partage totalement les données. Mais je dois avouer que je suis écrasé par tant de haine venue non pas seulement des pays arabes mais aussi et surtout de ces pays occidentaux menacés comme Israël de terrorisme et de destruction. Quand est-ce que le monde Comprendra ?
Commentaires postés sur le Figaro de ce matin pour l’article :
« Le mode opératoire des commandos de marine de Tsahal en question »
Et du mode opératoire des “activistes pacifistes”… pas de question ?
Ils ont donc atteints leur but : avoir les martyrs espérés. Triste, très triste, mais gratifiant par l’attitude irréfléchie et irresponsable de nos états et de nos médias ; véritables cibles bien sûr de cette manifestation propagandiste palestinienne.
Mais il faut bien reconnaître de la part de Tsahal une insigne maladresse pour tomber dans un piège si grossier et si grotesque que personnes ne semble (lâchement ? hypocritement ?) vouloir voir et encore moins dénoncer !
Qu’attendre de loups déguisés en agneaux ? Qu’attendre de ceux qui se rangent au côté des terroristes du Hamas en criant paix, paix paix ! N’ont-ils pas lu la charte très explicite de cet organisme quant à ses fins et moyens !
Aussi, l’indignation des gouvernements occidentaux n’en est pas moins grotesque. Quant aux commentaires de notre président… je ne voudrais pas être censuré par manque de modération.
Enfin, il faut le dire et le répéter. Israël ne fait pas le blocus de Gaza. L’état hébreux contrôle l’ensemble des entrées et sorties des marchandises pour empêcher l’importation d’armes sur ce territoire en main terroristes et éviter les tirs de roquettes et autres affrontements armés. Il organise le passage en continu de tous les biens de consommation nécessaires. Il accueille souvent les cas sanitaires les plus difficiles (en particulier les enfants) dans ses hôpitaux ou pour un transfert dans les hôpitaux de Judée-Samarie (Cisjordanie).
Quel écho de cela dans nos médias ?
Les organisateurs de cette “flotille de la liberté” sont liés au groupe terroriste du hamas et ont ou entretiennent des liens étroits avec plusieurs organisations terroristes comme Al Qaida.
http://www.weeklystandard.com/blogs/terror-finance-flotilla
http://www.terrorism-info.org.il/malam_multimedia/English/eng_n/pdf/hamas_e105.pdf
Par ailleurs, les participants de ce convoi ont proféré des chants appelant à la mort des juifs.
http://palwatch.org/main.aspx?fi=676&fld_id=676&doc_id=2337
Soignés à l’hopital Hadassah de Jérusalem, ils auraient dû les expédier de faire soigner par le Hamas avec la cargaison…
Hadassah est réputé pour accueillir et soigner les Palestiniens, (même les auteurs d’attentats…) , je trouve cela complètement disproportionné, pas vous ?
Le journaliste israélien Ron Ben Yishai vient de publier un récit très complet de l’assaut mené ce matin par la marine israélienne contre la flottille pro-palestinienne, au cours duquel sans doute près de vingt personnes ont été tuées. On peut le lire ici en version anglaise. Ron Ben Yishai, qui travaille pour le grand quoditien Yedioth Aharonoth, s’appuie sur des sources militaires. Il est l’un des journalistes les mieux informés de son pays sur les affaires militaires. Ron Ben Yishai est l’un des héros du film d’animation “Valse avec Bachir” (illustration ci-contre) – on le voit entrer dans les camps de Sabra et Chatila.
En conclusion de son article – qui n’est qu’une version des faits – il pointe les deux erreurs commises par Tsahal. “L’erreur dans la planification de l’opération a été d’estimer que les passagers [du cargo Marmara] étaient vraiment des militants politiques et des membres de groupes humanitaires qui cherchaient une provocation politique, mais n’utiliseraient pas la violence brutale. Les militaires pensaient qu’ils auraient à faire face à une violence dans le style de Bilin [un village palestinien qui proteste pacifiquement contre la construction du mur de séparation]. A la place, ils ont eu Bangkok [référence aux récents évènements violents dans la capitale thaïlandaise]. Les forces qui ont débarquées des hélicoptères étaient peu nombreuses, à peine quelques douzaines, pas assez pour contenir un groupe important qui les attendait.” Selon le journaliste, les commandos étaient équipés d’armes non-léthales lorsqu’ils sont arrivés sur le pont du bateau, par corde lisse. Devant la dégradation de la situation (deux blessés graves dans leur rang), ils ont obtenus l’autorisation d’ouvrir le feu avec leurs armes de poing.
L’assaut a été mené par la Shayetet 13 (13ème flottille), qui regroupe les commandos de la Marine israélienne.
“La seconde errteur provient du fait que les commandeurs n’ont pas pris assez au sérieux le fait qu’un groupe d’hommes attendaient les soldats sur le pont supérieur. L’auraient-ils pris au sérieux, ils auraient tirés des grenades lacrymogènes et fumigènes depuis l’hélicoptère pour créer un écran de fumée qui leur aurait permis de remplir leur mission, sans que les combattants tombent juste entre les mains des émeutiers, qui les attaquaient sévèrement”.
Mauvaise évaluation de la situation, erreur tactique – tout était réuni pour le fiasco et le drame.
http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2010/05/gaza-un-journaliste-isra%C3%A9lien-pointe-les-deux-erreurs-de-larm%C3%A9e.html
A brutal ambush at sea
Ron Ben-Yishai
Yedioth Aharonoth
05.31.10
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3896796,00.html
Ron Ben Yishai recounts bloody clash aboard Gaza-bound vessel: The lacking crowd-dispersal means, the brutal violence of ‘peace activists,’ and the attempt to bring down an IDF helicopter
Our Navy commandoes fell right into the hands of the Gaza mission members. A few minutes before the takeover attempt aboard the Marmara got underway, the operation commander was told that 20 people were waiting on the deck where a helicopter was to deploy the first team of the elite Flotilla 13 unit. The original plan was to disembark on the top deck, and from there rush to the vessel’s bridge and order the Marmara’s captain to stop.
Officials estimated that passengers will show slight resistance, and possibly minor violence; for that reason, the operation’s commander decided to bring the helicopter directly above the top deck. The first rope that soldiers used in order to descend down to the ship was wrested away by activists, most of them Turks, and tied to an antenna with the hopes of bringing the chopper down. However, Flotilla 13 fighters decided to carry on.
Navy commandoes slid down to the vessel one by one, yet then the unexpected occurred: The passengers that awaited them on the deck pulled out bats, clubs, and slingshots with glass marbles, assaulting each soldier as he disembarked. The fighters were nabbed one by one and were beaten up badly, yet they attempted to fight back.
However, to their misfortune, they were only equipped with paintball rifles used to disperse minor protests, such as the ones held in Bilin. The paintballs obviously made no impression on the activists, who kept on beating the troops up and even attempted to wrest away their weapons.
One soldier who came to the aid of a comrade was captured by the rioters and sustained severe blows. The commandoes were equipped with handguns but were told they should only use them in the face of life-threatening situations. When they came down from the chopper, they kept on shouting to each other “don’t shoot, don’t shoot,” even though they sustained numerous blows.
‘I saw the tip of a rifle’
The Navy commandoes were prepared to mostly encounter political activists seeking to hold a protest, rather than trained street fighters. The soldiers were told they were to verbally convince activists who offer resistance to give up, and only then use paintballs. They were permitted to use their handguns only under extreme circumstances.
The planned rush towards the vessel’s bridge became impossible, even when a second chopper was brought in with another crew of soldiers. “Throw stun grenades,” shouted Flotilla 13’s commander who monitored the operation. The Navy chief was not too far, on board a speedboat belonging to Flotilla 13, along with forces who attempted to climb into the back of the ship.
The forces hurled stun grenades, yet the rioters on the top deck, whose number swelled up to 30 by that time, kept on beating up about 30 commandoes who kept gliding their way one by one from the helicopter. At one point, the attackers nabbed one commando, wrested away his handgun, and threw him down from the top deck to the lower deck, 30 feet below. The soldier sustained a serious head wound and lost his consciousness.
Only after this injury did Flotilla 13 troops ask for permission to use live fire. The commander approved it: You can go ahead and fire. The soldiers pulled out their handguns and started shooting at the rioters’ legs, a move that ultimately neutralized them. Meanwhile, the rioters started to fire back at the commandoes.
“I saw the tip of a rifle sticking out of the stairwell,” one commando said. “He fired at us and we fired back. We didn’t see if we hit him. We looked for him later but couldn’t find him.” Two soldiers sustained gunshot wounds to their knee and stomach after rioters apparently fired at them using guns wrested away from troops.
2 errors
During the commotion, another commando was stabbed with a knife. In a later search aboard the Marmara, soldiers found caches of bats, clubs, knives, and slingshots used by the rioters ahead of the IDF takeover. It appeared the activists were well prepared for a fight.
Some passengers on the ship stood at the back and pounded the soldiers’ hands as they attempted to climb on board. Only after a 30-minute shootout and brutal assaults using clubs and knifes did commandoes manage to reach the bridge and take over the Marmara.
It appears that the error in planning the operation was the estimate that passengers were indeed political activists and members of humanitarian groups who seek a political provocation, but would not resort to brutal violence. The soldiers thought they will encounter Bilin-style violence; instead, they got Bangkok. The forces that disembarked from the helicopters were few; just dozens of troops – not enough to contend with the large group awaiting them.
The second error was that commanders did not address seriously enough the fact that a group of men were expecting the soldiers on the top deck. Had they addressed this more seriously, they may have hurled tear-gas grenades and smoke grenades from the helicopter to create a screen that would have enabled them to carry out their mission, without the fighters falling right into the hands of the rioters, who severely assaulted them.
(via http://jcdurbant.wordpress.com/2010/05/31/flotille-de-gaza-un-acte-inhumain-de-terrorisme-detat-erdogan-unleashes-his-attack-dogs-on-israels-security-forces/)
Vidéo des attaques contre les soldats israéliens :
http://www.theaugeanstables.com/2010/05/31/idf-posts-footage-of-the-attack-on-their-soldiers-do-you-see-what-they-say-is-happening/
Vidéo de l’arrivée des soldats israéliens sur le pont d’un navire :
http://www.telegraph.co.uk/news/newsvideo/7791546/Israeli-commandos-attacked-on-aid-ship.html
http://www.telegraph.co.uk/news/newsvideo/7792255/Israel-questions-activists-as-world-condemns-raid.html
(et salut popi)
Je ne crois pas que la France ait à dire quoi que ce soit, sachant qu’elle se laisse traiter par l’algérienne arabo-musulmane Houria Bouteldja, de “SOUS-CHIENS parce qu’il faut donner un nom à ces Blancs”! La France n’a plus de fierté. Mais très forts, comme la présentatrice du JT/ FR2 de 13h aujourd’hui qui, malgré les vidéos montrant les soldats se faisant tabasser par les activistes, ose dire ” l’attaque MEURTRIERE d’Israël”?! contrairement au JT de la TSR qui a été plus équitable et a montré les vidéos visionnées hier ici même, ce qui n’est pas le cas de FR2 qui a montré des “boules” des “lances pierres”? Alors que lors de l’affrontement c’est bien l’arsenal montré par Israël qui a été utilisé? Les Israéliens n’étant pas des SOUS-CHIENS, mais de vrais hommes qui savent se défendre en cas d’attaque!
En outre, je suis tout à fait d’accord avec l’analyse faite des images vidéos par haneelam! et pas besoin d’être expert pour décripter ces images. Je me suis demandée si les militaires qui se trouvaient sur le pont arrière avaient été filmés après l’affrontement au corps à corps ou une fois les activistes maitrisés?
“Quel écho de cela dans nos médias ?
Aucun Monsieur! cela n’est pas vendable?!
De Sami El Soudi publié sur le site de Menapress
(…)
« Disons les choses les plus importantes, celles qui permettent de comprendre une situation : il n’y a aucune pénurie dans le califat (Gaza), ni de denrées de base, ni de carburant, ni de matériel médical, pas plus que de biens de consommation courants, qui ne sont pas de première nécessité.
Le ferry turc Mavi Marmara transportait 10 000 tonnes d’aide humanitaire et de matériaux divers vers la Bande. Israël a, de son côté, acheminé des millions de tonnes de marchandises vers la même destination, permettant ainsi à une population d’un million trois cent mille personnes de vivre correctement depuis janvier 2009 jusqu’à présent.
L’Egypte et Israël, et non pas Israël uniquement, ont décidé d’un blocus sur l’approvisionnement des marchandises permettant de confectionner des armes ou des constructions fortifiées à usage militaire.
Les matériaux nécessaires à la construction ne sont pas sujets à l’embargo, mais ils sont livrés par projet, selon une quantification préalablement établie.
L’Egypte a interdit tout transit de militants pro-islamistes par son territoire, après que les membres d’une caravane maritime précédente, autorisés à débarquer à El-Arish dans le Sinaï, y ont déclenché des émeutes, coûtant la vie à un policier.
Pour sa part, l’Etat hébreu permet et encourage la fourniture d’aide à Gaza, à la condition que le matériel soit débarqué et contrôlé dans le port d’Ashdod, avant d’être acheminé par routage vers la Bande.
Au vu de ces éléments, la flottille, qui battait pavillon turc, ne poursuivait aucun objectif humanitaire digne de ce nom. Comme ses instigateurs l’avaient annoncé dimanche, leur but réel consistait à forcer le blocus imposé au Hamas.
Certains observateurs se demandent aujourd’hui quelle est la raison qui a poussé les Israéliens à empêcher les six embarcations arraisonnées de se rendre à Gaza, avançant que l’enjeu ne valait pas l’écho médiatique très négatif suscité par leur appontage, ni les blessures et les morts infligées lors de l’opération.
A question claire réponse claire : le projet affiché par les perceurs de blocus, avec la bénédiction de la Turquie, de l’Iran, d’Al-Qaeda, du Hamas et des Frères musulmans, consistait, suite à cette mission, à établir un pont maritime continu avec Gaza. D’autres navires sont déjà en cours d’affrètement. »
Commentaire perso : La premier pas vers une normalisation de la situation à Gaza est d’en éradiquer le régime de terreur qui contrôle Gaza, le Hamas. Ce régime a encore exécuté des opposants (partisans du Fatah) la semaine dernière après des simulacres de procès. Point d’écho dans les médias, de manifestations à Paris, d’indignation des frères arabes…
Posté sur le site du Figaro, l’extrait de l’article de sami Al Soudi n’a pas trouvé grâce auprès des modérateurs. Il a été refusé et donc pas publié.
Je n’aurai probablement pas dû en citer la source…
La pauvre Guitoune.
Réduite à taper sur la table en disant qu’elle n’existe pas.
Ce n’est plus de la mauvaise foi, c’est du délire.
Très édifiants, les commentaires… J’aime beaucoup cette condescendance pour les terroristes blessés lors de l’attaque et soignés à Jerusalem. Ainsi donc, ces ordures d’assassins auraient du se faire soigner à Gaza. Sous-entendu, ils y auraient crevé, et ce serait bien fait pour eux. Le sous-entendu que je note, moi, c’est qu’effectivement, on ne peut soigner personne à Gaza. Pourquoi?
Ah! si la mauvaise foi pouvait tuer… il n’y’aurait plus de problèmes au Moyen Orient … et pour cause … il n’y’aurait plus …de cause
Aider l’Armenie, et envoyer des bateaux…
Reveillez nous, nous avons une occasion unique de recevoir les media du monde entier en ce moment grace a Israel, la turquie fais la morale a Israel, d’avoir tue 9 personnes sur un bateaux de paix organiser par IHH groupe financer par le Hizbala et l’Iran. Pourquoi ne profiter vous pas de cet opportunite de manifester devant les Embasade de Turquie, et rappeller aux monde que la turquie a tue plus de 1.5 millions de Armenien, et que nous demandion a ce que l’on nous rende l’armenie qui est l’un des pays les plus riches en matiere premiere de cet region.
Pourquoi nous ne reagisson pas ??? S’est une opportunite qui ne reviendra pas. Je suis sur que les Israeliens se
ferons un plaisir de nous aider. Contacter toutes les organisation pro-Armenie a traver le monde pour la liberation de l’Armenie et Manifeston, vous verez touts les media vons nous inviter a fin de nous exprimer.
Nous somment supporter par plusieurs parlementaire europeen comme Charles Tannock, Comité des droits de l’homme du Parlement européen.
Sur sont site il est tres claire: http://www.charlestannock.com/article.asp?ID=280
Toutes les guerres prennent fin un jour ou l’autre. Mais les souvenirs des atrocités ne semblent jamais s’estomper, comme nous le rappellent les émeutes contre les Japonais attisées par le gouvernement qui se déroulent actuellement en Chine.
Le 90e anniversaire des massacres arméniens de 1915, ordonnés par les Jeunes-Turcs au pouvoir de l’Empire ottoman et aidés par les Kurdes, est une autre blessure qui ne se cicatrisera pas, mais qui doit être traitée si la progression de la Turquie vers l’adhésion à l’Union européenne doit se dérouler en douceur.
Le génocide arménien est supposé avoir inspiré les Nazis dans leurs plans d’extermination des Juifs. Toutefois, contrairement à l’Holocauste, une majorité des individus connaissent encore peu cet épisode sombre.
En effet, il est difficile pour la plupart d’entre nous d’imaginer l’ampleur des souffrances et de la dévastation infligées au peuple arménien et à leurs patries ancestrales. Mais de nombreux membres de la Diaspora arménienne, très dynamique dans le monde, ont des ancêtres directs qui ont péri. Ils sont garants aujourd’hui d’une tradition orale qui entretient la flamme du souvenir.
Quelle ironie que de nombreux Kurdes des provinces du sud-est de la Turquie, à qui l’on avait promis des biens arméniens et une place sûre au paradis s’ils tuaient des infidèles, aient été complices de leur plein gré de ce génocide. Par la suite, ils se sont retrouvés eux-mêmes perdants dans cette longue histoire de violences entre leurs forces séparatistes et l’armée turque, tout en étant soumis à une politique continue de discrimination et d’assimilation forcée.
Historiquement, les anciens Arméniens chrétiens ont compté parmi les peuples les plus progressistes d’Orient. Mais au XIXesiècle, l’Arménie a été divisée entre l’Empire ottoman et la Russie. Le sultan Abdulhamit II a organisé les massacres de 1895-1897, mais c’est seulement au printemps 1915, profitant de la Première Guerre mondiale, que le gouvernement nationaliste des Jeunes-Turcs a trouvé la volonté politique de mener un véritable génocide.
Dans un premier temps, les intellectuels arméniens ont été arrêtés et exécutés lors de pendaisons publiques par groupes de 50 à 100. Privés de leurs chefs, les Arméniens ont ensuite été massacrés, beaucoup même, brûlés vifs. Environ 500000 d’entre eux ont été tués au cours des sept derniers mois de l’année 1915. La majorité des survivants fut déportée vers les régions désertiques de Syrie où ils sont morts de faim ou de maladie. On estime que 1,5 million d’individus ont ainsi péri.
Récemment, la Diaspora arménienne a demandé à la Turquie de faire face à son passé et de reconnaître son crime historique. La politique officielle de la Turquie soutient que cette allégation est basée sur des demandes infondées ou exagérées, et que les décès résultaient d’abord de combats menés contre les Arméniens, collaborateurs des forces russes d’invasion lors de la Première Guerre mondiale, de maladie et de faim lors des déportations forcées, ensuite. De son côté, la population turque locale prétend avoir subi des pertes similaires.
La Turquie affirme ainsi que l’accusation de génocide a pour but de ternir l’honneur de la Turquie et d’entraver sa marche vers l’accession à l’UE. Elle craint également, et c’est compréhensible, que tout écart à cette ligne de politique officielle ne déclenche un déluge de demandes d’indemnisation, comme cela fut le cas en Allemagne.
De nombreux politiciens, particulièrement en Amérique, ne sont pas disposés à contrarier la Turquie sans justification solide, étant donné son passé d’alliée fidèle de l’Otan et son statut de pays candidat putatif à l’UE. Mais en dépit d’un siècle d’adhésion au Conseil de l’Europe, prétendument gardien des droits de l’homme y compris de la liberté de parole et de conscience, la Turquie taxe encore de crime contre l’honneur national toute suggestion impliquant que le génocide arménien est une vérité historique. Heureusement, cet article du code pénal de la Turquie va être révisé et peut-être abrogé.
En effet, de vastes changements sont à l’oeuvre en Turquie. La presse et le gouvernement, soucieux des exigences inhérentes à l’adhésion à l’UE, ont finalement initié un débat sur la très sensible question arménienne. Même le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, sous la pression croissante de l’UE dont les négociations sur l’accession de la Turquie débutent en octobre, a accepté qu’une étude impartiale soit réalisée par des historiens universitaires. Ce qui ne l’a pas empêché de réitérer sa position comme quoi ce génocide n’avait jamais eu lieu. En France, le génocide arménien, événement historique, fait partie intégrante est reconnu par une loi et son révisionnisme est considéré de la même manière que le révisionnisme de l’Holocauste.
Le Parlement européen exhorte la Turquie à reconnaître le génocide arménien. Il lui demande également de mette fin à l’embargo commercial qu’elle impose avec son allié l’Azerbaïdjan à la République d’Arménie, de rouvrir les frontières et d’envisager la cession de territoires en vue d’un accord de paix du conflit territorial concernant la région de Nagorno Karabakh en Azerbaïdjan.
L’Arménie, un pays indépendant depuis 1991, continue à dépendre de la protection russe comme c’était le cas en 1920 lorsqu’elle rejoignit l’Union Soviétique pour se préserver d’une future invasion turque. Cette situation n’est guère salutaire pour le développement de la démocratie et d’une économie déjà faible en Arménie. La dépendance continue de l’Arménie envers la Russie n’est pas non plus de bon augure pour la coopération régionale vu le profond ressentiment à l’égard des Russes qui interfèrent dans les affaires de la Géorgie et de l’Azerbaïdjan, deux pays limitrophes.
Il n’existe qu’une seule voie pour la Turquie, l’Arménie et la région. Le futur pourra se construire seulement lorsque la Turquie, tout comme l’Allemagne par le passé et la Serbie et la Croatie maintenant, abandonnera sa politique de refus et affrontera ses crimes terribles de 1915. C’est seulement alors que le passé pourra vraiment être passé.