Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 juin 2010

Avertissement ! Les vidéos que nous vous montrons aujourd’hui, ainsi que celles que nous avons publié avant hier soir risquent de disparaître de YouTube.


Les pro palestiniens exercent de grosses pressions pour que ces vidéos, qui contredisent leur version des faits, soient retirées de la circulation. La guerre des images de ce coup monté de toutes pièces, destiné aux médias complaisants et aux dirigeants politiques peu soucieux de vérité lorsqu’Israël est impliqué, s’est retournée contre leurs auteurs.


Les occupants du Mavi Marmara étaient armés. On sait maintenant qu’il s’agissait de terroristes. Dans l’enregistrement audio suivant, deux soldats se retrouvent sous leur feu :

– ” ils arrivent de tous les cotés ! Il faut nous évacuer !”

– ” armes véritables ! armes véritables !”

– ” ils ont des armes ?!”

– ” oui, des vraies armes !”

– ” ils nous tirent dessus !”

– ” il y a des tirs réels en bas !”

– ” tirs réels en dessous !”

– ” tire lui dessus, où est il ?”

– ” impossible “


 


 

Dans la vidéo ci dessous, on entend le supérieur donner l’ordre au soldat, calmement, de descendre sur le bateau. Le ton de sa voix est on ne peut plus clair : il s’attend à trouver une bande de babas cool en train de chanter Hare Krishna. On apprendra plus tard que les premiers soldats étaient équipés de fusils paint ball. Ils n’avaient pas même de pistolets à balles en caoutchouc, ni de paralyseurs ou de gaz lacrymogènes.

Le commandant au premier soldat, d’une voix calme :

“descends comme ça, c’est bien, tout doucement”

“va un peu plus doucement”

“c’est très bien ! (s’adressant à une autre personne, toujours d’une voix très calme) : à quel endroit sont nos bateaux ?

Quelqu’un lui répond, toujours calmement : “ils sont là bas, tu les vois ?”


Soudainement, tout bascule. Sa voix panique : 

“ils se battent !”

“Attention !!!! Il a un couteau !!! Derrière toi !!!!”

“Là ! Ils viennent de jeter un soldat par dessus bord”

“Ils sont en train de le mettre en pièces !”

“Qui est mi en pièces ?”

“le soldat, sur le toit “


 


Ci dessous, le témoignage d’un soldat, juste après l’attaque.

-“nous étions stabilisé au dessus du bateau. Il y avait quinze homme en bas. Ils ont attrapé un de nos hommes, et l’ont attaché à une des antennes. On est descendu avec une autre corde, un par un, et chaque homme qui descendait était attendu par trois ou quatre attaquants. Ils étaient juste en train de commencer à le frapper tous ensemble, de l’écarteler, c’était un vrai lynchage. Chaque soldat qui descendait était pris par un groupe, séparément. Ils avaient des barres de fer, des couteaux, des bouteilles de verre et des frondes. A un moment, il y a eu des tirs. Ils ont commencé à tirer, deux types. Ils avaient des armes réelles. D’autres types ont commencé à me battre avec des barres de fer, et en tentant de me protéger, je pense que je me suis cassé le bras. Aucun d’entre nous n’avait d’armes à la main. Je n’avais même pas d’arme à la main.”

– Quoi ?

– On n’avait pas d’arme en mains. Nous étions les mains vides. Nos armes étaient dans notre dos en bandoulière. Et il faut préciser que nous n’avions pas d’armes de dispersion. C’était des fusils paint ball.

– ils tiraient des vraies munitions. Ils tiraient à balle réelle. Balles réelles.

– ils s’étaient préparés au combat, ils étaient là pour combattre. Nous étions venus pour mettre les choses au point, leur parler, tenter de les convaincre de décharger les bateaux.

– ils étaient juste… tout ceux qui ont accosté sur le bateau se sont fait prendre comme par une tempête. Ils sont arrivés et se sont jetés sur nous.

– il y a des soldats, ils les ont jetés par dessus bord depuis le pont supérieur.

– j’ai fouillé un des types. Il portait deux couteaux, deux couteaux pour la même personne ! Un couteau pliable, et un long comme une tige. Dans l’autre poche, il avait un spray de gaz lacrimogène et un de gaz au poivre.



 


 

La vidéo suivante montre que l’armée s’attendait à un groupe de pacifistes.

Le militaire donne l’ordre au bateau de se détourner vers le port d’Ashdod ou les marchandises seront livrées à Gaza par camion. (ce qui a été effectivement fait)

Réponse du bateau : NEGATIF


 

 

 


Les archives commencent à faire surface. Pas celles venant d’Israël ni des Etats Unis, mais celles du gouvernement Turc lui même.

 

L’organisation humanitaire IHH à la tête de la “flotille de la paix” n’est en fait qu’une organisation semi souterraine terroriste, aux ramifications troubles, et qui finance d’autres organisations terroristes.

 

Ses dirigeants ont été arrêtés une première fois le 5 décembre 1997 par la police Turque, suite à une affaire de vente d’arme. La police Turque déclarait avoir trouvé, dans leurs locaux, “des objets troublants pour une organisation humanitaire” : des explosifs, deux bâtons de dynamite, des instructions pour confectionner une bombe, et un drapeau du Jihad.

 

 

Selon le rapport d’un magistrat français, cité dans le dossier de l’Institut Danois d’Etudes Internationales en 2006, spécialiste du contre espionnage, et qui était chargé du procès de l’IHH, “il apparaît que l’activité principale de cette organisation, sous couvert d’œuvre humanitaire, était de recruter des vétérans de l’armée pour s’engager dans la guerre Sainte en Afghanistan, en Bosnie et en Tchéchénie, et de renverser le régime turc pour instaurer un état islamique régit par la Sharia. En particulier, certains de leurs membres étaient envoyés dans des pays musulmans en guerre afin d’acquérir l’expérience du combat.”

 

En août 1999, le gouverneur d’Istambul déclarera au Washington Post qu’il a fait geler les comptes bancaires de l’IHH suite aux fortes suspicion d’activités criminelles.

 

La vidéo suivante montre le chargement de l’aide humanitaire des bateaux de la flotille de la paix, dans les  camions qui les ont livrés hier à Gaza. Le port était organisé depuis plusieurs jours dans l’attente de la flotille. Cela démontre, au passage, que les autorités israéliennes avaient bel et bien l’intention de livrer ces marchandises à Gaza, mais seulement après en avoir vérifié le contenu, pour s’assurer qu’aucunes armes n’étaient cachées.

 

Le constat du contenu des bateaux est consternant.

 

D’après le Colonel Moshe Levi commandant en chef de la liaison avec Gaza, “nous avons travaillé non stop durant les dernières 24 heures pour charger trois bateaux sur les camions, et il apparaît que ce qui était à bord n’est d’aucune utilité pour les habitants de Gaza (à qui Israël livre chaque semaine des milliers de tonnes d’aide humanitaire, voir les rapports publiés sur drzz.info)

 

– marchandises avariées et inutilisables.

– Médicaments aux dates périmées, et d’autres chargés en vrac au point qu’ils sont inutilisables.

– biens de consommation et équipement dont Gaza ne manque pas, et qui ne correspondent pas à la demande des habitants.

– chaises roulantes électriques (rappelons que Gaza se plaint de manquer d’électricité et d’infrastructures. Pour une chaise roulante électrique, il faut des trottoirs, des routes et… de l’électricité)

 

 

 

 

De plus, les bateaux étaient partiellement vides. Le contenu des trois premiers bateaux a été chargé sur vingt camions seulement. A rapprocher de la taille des bateaux, et du tableau suivant, qui détaille les livraisons d’aide humanitaire par Israël pour la semaine du 23 au 27 mai dernier.

 

 livraisons gaza


Jean-Patrick Grumberg

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