Ils ont fait tout ce caca nerveux parce que les israéliens leur ont demandé de tourner légèrement à gauche pour livrer par Ashdod, et que eux ont insisté pour aller tout droit.

Maintenant, ils crisent : ils refusent les camions. Hier soir 3 juin à 22:00, trente camions d’aide humanitaire ont été déchargés coté Gaza au point de passage de Kerem Shalom. Ils refusent d’en prendre livraison.

Et ça s’aggrave.

Après le caca, ils font pipi par terre en se roulant dedans.

Sans la moindre explication, Hamas vient d’attaquer six organisations humanitaires de Rafah. Ils ont saisi leurs ordinateurs, fax, imprimantes, appareils photos et tous les documents qu’ils ont pu trouvé, et se sont fait remettre les clefs des locaux, dont ils ont interdit l’accès.

Robert Serry, le coordinateur des Nations Unies au moyen orient, a condamné le Hamas pour cette “violation des normes de toutes sociétés libres” (il s’est permis cette remarque parce qu’il parlait depuis la zone libre, Israël ?) “L’autorité de fait du Hamas doit cesser cette escalade répressive et doit réouvrir ces ONG sans le moindre délai” a t-il déclaré, selon le rapport du journaliste palestinien  KHALED ABU TOAMEH ce vendredi 4 juin 2010.

A part le gros caprice nerveux avec bave qui coule des lèvres, rien ne peut expliquer pourquoi, en plein milieu de l’affaire de la “flotille de la paix”, ces dangereux dérangés du ciboulot se sont acharnés comme des malades sur six ONG, dont certaines palestiniennes. A moins qu’ils les avaient dans le collimateur, et qu’ils se sont imaginé que profitant de l’écran de fumée des flotilles, personne ne remarquerait rien ?

Si cette hypothèse se vérifie, elle confirmera mon intuition : Hamas est une bande de sombres abrutis (sanguinaires par dessus le marché), et ni eux ni les arabes palestiniens ne méritent leur titre de champions toutes catégories des médias et des relations publiques.

Ces “champions” seraient de banales petites frappes terroristes s’ils ne bénéficiaient pas de la crasseuse complicité de ces mêmes médias. Avec des journalistes qui cachent leurs crimes et se font le relai de leurs mensonges, l’affaire est belle. Sans la complicité d’un Enderlin, le mensonge Al Dura n’existerait pas, n’est ce pas.

Les médias ont ils mentionné l’exécution, par le Hamas, de deux membres du Fatah en mars dernier ?

Se sont ils fait le relais des habitants de Gaza qui ont vu leurs maisons rasées (entre 30 et 40 selon les témoins) par le Hamas au mois de mai dernier ?