Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 juillet 2010

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Les musulmans modérés ne bougent pas le petit doigt, au point qu’on se demanderait presque s’ils existent.


Les pouvoirs publics cherchent l’apaisement et vont de lâcheté en soumission, de bassesses en abandon du peuple français, de sa fierté, de ses symboles.Ils se voient dans un mauvais rêve, et pensent se réveiller le lendemain matin dans la douce France de Charles Trenet.

 

Les politiciens font la course à qui sera le premier à capter ces millions de votes, à celui qui se fera la plus belle auto flagellation. Demain, ils vont expliquer aux arabes comment brûler le drapeau français, et aux français pourquoi ce drapeau symbole de la colonisation de l’Algérie, dérange.

 

Les médias sont les gardes du corps des arabes. Jamais un mot de travers contre les musulmans, le mot « arabe » ne doit être utilisé que pour parler de son institut et de sa culture. Les journalistes ont créé un front national qui interdit qu’un arabe soit mentionné en cas de trouble à l’ordre public, et quand ils ne peuvent pas faire autrement, ils sortent leur petit livre rouge sur la responsabilité de l’état, le chômage des jeunes, et la faute de la société.

 

Quand un français honteux noir ou arabe, attaque un français fier et blanc, les ONG et défenseurs officiels autorisés des droits de l’homme font semblant de ne rien voir.

 

A propos de la monstrueuse culture sexiste islamique, les féministes regardent ailleurs ou pire, elles crachent sur leurs propres valeurs, et continuent à dénoncer l’inégalité professionnelle.

 

Les homosexuels rejettent toute solidarité avec les autres homosexuels, persécutés dans les pays arabes.

 

Les noirs ne veulent pas savoir que leurs frères servent d’esclaves dans des écoles coraniques et les écuries de course de nababs du pétrole.

 

Les communistes jurent la main sur la bible que finalement, la religion n’est plus l’opium du peuple mais son éveil et sa conscience.

 

Les socialistes revendiquent le monopole de la culture et baisent les pieds de ceux qui l’interdisent (la liberté d’expression, la musique contemporaine, la presse, sont totalement muselés à Gaza. Le prix Nobel El Baradei a menacé de brûler lui-même les livres juifs qu’il trouvera dans les librairies d’Egypte).

 

Les voyous de l’extrême droite veulent les chasser à coups de pieds au cul, comme des malpropres, comme des sous hommes.

 

Entre le racisme et la langue de bois, entre la haine raciale et la censure pratiquée par le politiquement correct, entre les ratonades et le lèche cul, entre l’interdiction du débat et la complicité passive avec les communautaristes, il doit bien y avoir des solutions respectueuses et fermes ?

 

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