Publié par Guy Millière le 22 mars 2011

(Deuxième extrait de mon livre « Comme si se préparait une seconde Shoah ») 

L’Europe était entrée dans des enchaînements dont elle n’allait plus en sortir.  
 
Des voiles firent leur apparition qui vinrent couvrir la chevelure des femmes, et qui se trouvèrent noués sur un mode montrant que celles qui les portaient se faisaient le vecteur d’une revendication militante plutôt que d’une simple tradition. 
 
Des hommes commencèrent à se laisser pousser la barbe, et se vêtir d’une manière destinée à les démarquer du reste de la population et à souligner leur appartenance à la communauté des croyants.  
 
Les dirigeants européens ne réagirent pas, sinon pour dire que voiles, barbes et autres vêtements relevaient de la liberté de chacun de s’habiller comme il l’entend.  
 
La réalité porta alors d’autres marques.  
 
Des boucheries s’appelèrent « boucherie musulmane », puis « boucherie islamique ». Des librairies prirent les mêmes intitulés, et on commença à y vendre des ouvrages qu’on avait pu trouver en Allemagne et dans les pays voisins pendant les années trente.  
 
L’égorgement des moutons en place publique, le jour de l’Aïd al-Adha, se répandit.  
 
Des piscines se virent demander des horaires réservés strictement aux femmes musulmanes.  
 
Des prières de rue commencèrent à s’organiser à des fins de prosélytisme et de marquage de territoire.  
 
Les dirigeants européens se contentèrent de réglementer l’abattage des animaux permettant que la viande soit hallal, de fermer les yeux sur la vente d’ouvrages qu’aucune librairie non musulmane n’aurait pu proposer sans devoir fermer, d’organiser l’égorgement des moutons en demandant que des lieux soient prévus à cet effet, d’inciter à la construction de lieux de prière plus vastes.  
 
D’autres marques vinrent alors.  
 
Des organisations prônant le djihad se créèrent dans plusieurs pays européens.
 
Des pratiques polygames commencèrent à se répandre, et on vit, même, dans plusieurs pays, des hommes se plaindre à la télévision de ce que les appartements en Europe sont trop petits pour accueillir quatre épouses et de nombreux enfants.
 
Les mariages arrangés devinrent monnaie courante et constituèrent des filières d’immigration supplémentaires.   
 
Les dirigeants des pays d’Europe, où s’étaient créées les organisations djihadistes, conclurent des ententes avec elles, leur accordant la liberté de parole en échange de la promesse qu’aucun acte violent ne serait perpétré dans le pays concerné.
 
Les dirigeants européens, en leur ensemble, dirent que la polygamie, les mariages arrangés et les divers sévices subis par des femmes « impures » ou « infidèles » n’étaient pas conformes aux normes européennes, mais n’allèrent pas plus loin.
 
Les enchaînements, de fait, n’ont pas cessé. Ils se poursuivent.
 
Guy Millière

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