Publié par Michel Garroté le 1 août 2011

Marie-Victorine

« DSKGATE », Saison 4, épisode 2.

De mère espagnole et de père congolais, la ravissante Marie-Victorine (photo ci-dessus) entretient une liaison bunga bunga de quelques mois avec DSK en 1997. C’est via son père congolais, socialiste à Sarcelles, ville dont DSK est maire, que Marie-Victorine rencontre celui-ci.

DSK et Marie-Victorine se voient, entre autre, au Sofitel (ah ?) du 15e arrondissement. Pour du golo golo, un Sofitel, ce n’est pas très discret, entre nous soit dit.

Marie-Victorine précise : « Il m’a forcée à ne rien faire du tout ». Elle veut dire par là qu’il ne l’a jamais forcée à faire quoi que ce soit qu’elle ne voulait pas faire.

Zut alors ! Ce n’est pas ce que raconte Nafissatou dans son feuilleton sofitelasque à elle…

Marie-Victorine ajoute que DSK est un homme « physique » qui « aime le sexe ». Comme des millions d’hommes et de femmes depuis la nuit des temps. Et elle a appris les accusations contre DSK avec « stupéfaction ». Il est vrai que l’accusation nafissatouboloïde, c’était un peu « gros », si je puis m’exprimer ainsi.

Marie-Victorine explique : « Je ne le vois pas forcer, insister, on peut être physique sans être violent ». Marie-Victorine rappelle qu’elle n’a jamais eu peur de DSK pendant la relation qu’elle a eue avec lui.

Crotte alors ! DSK ne serait pas, le Yeti-en-rut-tout-le-temps, créé par les studios de Nafissatou & Co.

En revanche, Marie-Victorine dénonce le harcèlement qu’elle a subi de la part de Me Kenneth Thompson, avocat de Nafissatou, et, à ses heures, vilain petit canaillou lançant des coups de fils roses : « Je lui ai répondu sèchement parce que ses questions étaient très personnelles, brutales, chirurgicales, salaces », témoigne-t-elle.

Puis, contactée par le procureur Cyrus Vance, Marie-Victorine promet que si on le lui demande, elle ira témoigner. Elle précise : « Après tout, on est tous à la recherche de la vérité ». On peut, certes, dire ça comme ça, oui, mais je ne suis pas certain que tout le monde en soit convaincu.

Et Marie-Victorine ajoute que son témoignage « servirait sans doute plus la défense (du cochonnet DSK) que l’accusation (portée par la piètre artiste intérimaire Nafissatou) ».

Marie-Victorine aimerait aussi revoir DSK, en tout bien tout honneur, naturellement ; et n’importe où sauf dans un Sofitel (faudrait pas trop pousser non plus). Elle explique : « Il me dirait la vérité. C’était un grand truc entre nous : ses yeux parlent énormément ».

La charmante Congolaise de Sarcelles, semble devenir, une épine, une épine de plus, dans les pieds de la – déjà peu crédible, pas jolie et très embourbée – Guinéenne Nafissatou.

Quant à vous et moi, nous avons rendez-vous (sans arrière-pensées), bientôt, dans « DSKGATE », Saison 4, épisode 2.

A cet égard, les paris sont ouverts. Qui gagnera le prochain match ? L’équipe congolaise de Sarcelles ou l’équipe guinéenne de Manhattan ?

Moi je « soutiens » (si j’ose écrire) Sarcelles.

Rien que pour emmerder.

Michel Garroté

Reproduction autorisée avec les mentions ci-dessous :

©  Michel Garroté 2011 http://dreuz.info/

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