Publié par Jean-Patrick Grumberg le 9 septembre 2011

On ne le répètera jamais assez : l’écologie au service des hommes, oui bien entendu. 
 
Mais l’écologie détournée, utilisée à des fins idéologiques (suivez mon regard), et dirigée contre nous en une forme de dictature 2.0, c’est ni plus ni moins qu’un procédé moderne pour limiter, puis détruire, un peu plus, nos libertés, pour nous assommer de nouvelles taxes, et pour enrichir une poignée de mandarins.
 
Et bien entendu, cette écologie là repose sur des mensonges et des épouvantails.
 
C’est le cas du réchauffement climatique, cette escroquerie à échelle mondiale inventée par des « scientifiques » sans scrupules qui se sont enrichis à nos dépens et avec notre argent.
 
Mais la NASA vient de siffler la fin de la récréation des charlatans. A nous d’agir maintenant.
 
Les données satellites réelles depuis l’année 2000 jusqu’à 2011 viennent d’être publiées, et elles montrent que l’atmosphère dissipe infiniment plus de chaleur dans l’espace qu’indiqué dans les rapport alarmistes des Nations Unies.
 
L’étude, publiée dans la revue scientifique Remote Sensing (1 – rapport complet en pdf en fin de cet article), apporte les preuves que le réchauffement climatique sera bien moindre, dans le futur, que les modélisations des ordinateurs l’ont évoqué, et confirme plusieurs études indiquant que le dioxyde de carbone retient beaucoup moins de chaleur que ce que les alarmistes ont prétendu. Enfin !
 
L’un des deux auteurs de l’étude, le Professeur Roy Spencer, chercheur à l’Université d’Alabama d’Huntsville, écrit dans son rapport que les données réelles fournies par le satellite Terra de la NASA contredisent les multiples hypothèses des modélisations alarmistes qui ont été données à traiter par les ordinateurs des partisans du réchauffement climatique.  
 
« les observations du satellite montrent qu’il y a beaucoup plus d’énergie qui se perd dans l’espace avant et après le réchauffement que ce que montre les thèses climatiques », explique Spencer dans un dossier de presse (2) publié le 26 juillet. 
 
« il y a une gigantesque différence entre les chiffres réels et les suppositions, tout particulièrement au dessus des océans »
 
En plus d’avoir constaté que beaucoup moins de chaleur que les alarmistes le prétendent se retrouve coincée, le satellite de la NASA montre que l’atmosphère commence à dissiper la chaleur dans l’espace bien plus tôt que ce que prédisaient les ordinateurs de l’ONU.
 
Ces révélations sont très importantes, et devraient bouleverser profondément le débat sur le réchauffement global, car les scientifiques, jusqu’à présent, étaient tombés d’accord sur la quantité de chaleur qui est capturée par les émissions de dioxyde de carbone d’origine humaine.
 
La vraie réponse est : « pas grand chose ».
 
De plus, le point le plus important du débat sur le réchauffement planétaire vole lui aussi en éclat – décidément ! Il s’agit de l’argument selon lequel le dioxyde de carbone réchauffe indirectement la température en créant une augmentation importante de l’humidité et des cirrus (variété de nuages présent dans la troposphère), lesquels sont très efficaces à retenir la chaleur. Hélas pour cette théorie, les données réelles ont montré que les émissions de dioxyde de carbone ne fabriquent pas, et de loin, autant d’humidité et de cirrus que les prédictions des ordinateurs, qui étaient programmés avec des données alarmistes.
 
Les données de la réalité de l’espace livrées par le satellite Terra – par opposition aux prévisions des ordinateurs des scientifiques des Nations Unies qui ont donné naissance aux théories alarmistes du réchauffement climatique, confirment les données réelles collectées par le satellite ERBS, qui a montré que beaucoup plus de chaleur s’est échappé dans l’atmosphère entre 1985 et 1999 que les prédictions des ordinateurs.
 
Les données collectées par le satellite Terra et le satellite ERBS montrent que depuis 25 ans, le dioxyde de carbone a retenu finalement très peu de chaleur.
 
En résumé.
 
A- L’argument central de la théorie alarmiste du réchauffement climatique est que le dioxyde de carbone est responsable du réchauffement global.
 
B- Les mesures réelles montrent qu’il n’en est rien : très peu de chaleur est retenue par le dioxyde de carbone, et beaucoup plus de chaleur que supposé est relâchée dans l’atmosphère. 
 
C- quand les données objectives, les relevés de la NASA, publiées dans une revue scientifique, montrent une « différence énorme » entre les hypothèses alarmistes du réchauffement global et les chiffres réels, les scientifiques des théories du réchauffement climatique, les médias et les élus feraient bien d’en tenir compte.
 
Le fait qu’ils tiennent compte ou non de ces données factuelles récentes apportera la preuve du degré d’honnêteté de ceux qui relaient les théories du réchauffement. 
 
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
 
(1) http://www.mdpi.com/2072-4292/3/8/1603/pdf
(2) http://pielkeclimatesci.wordpress.com

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