Michel Garroté – On me dit que DSK sera au Journal de 20:00, sur TF1, dimanche 18 septembre. Selon divers médias, le choix du Journal de Claire Chazal – et donc de TF1 – serait dû à l'amitié qui lie la journalisteClaire Chazal à Anne Sinclair, épouse de DSK. On peut le voir comme ça. Bien que ce ne soit pas le sujet. En fait, vu l’ambiance, je suis même surpris, que l’on n’ait pas encore soupçonné DSK, d’avoir choisis Claire Chazal, dans un but lubrique et libidineux.
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Ainsi donc, des commentaires de DSK sont attendus, dimanche chez Claire Chazal, notamment sur l'affaire Nafissatou Diallo ; sur Tristane Banon qui lui attribue une tentative de viol présumée ; et aussi, question de passer des histoires de fesses à des histoires de trous du cul, sur les sublimes, les inénarrables, les grandioses, les coquilleuses, les couillues primaires socialistes.
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Sur le site Internet de l’hebdomadaire français de centre-gauche ‘L’Express’, Renaud Revel écrit (extraits adaptés et commentés par mes soins ; cf. lien vers la source en bas de page) que « l'ancien directeur du FMI, conseillé par Anne Sinclair, peaufine son dispositif de reconstruction médiatique.A peine rentré à Paris, Dominique Strauss-Kahn a rameuté ses troupes et organisé la riposte. Décidé à réhabiliter au plus vite son image décrépite auprès d'une opinion majoritairement critique à son égard, l'ancien patron du FMI – qui avait réuni le 10 septembre, en compagnie d'Anne Sinclair, son premier cercle, sur une péniche des bords de Seine – a longuement travaillé son "plan média" » (Michel Garroté – 1- Avant même que DSK n’ait eu le temps d’arriver à Paris, les médias parisiens réclamaient, déjà, qu’il s’exprime au plus vite. 2- Laissons d’abord DSK s’exprimer ; l’on pourra, par la suite, ergoter sur la réhabilitation de son image ; et notons que malgré l’affaire Nafissatou Diallo, il n’y a justement pas eu d’opinion massivement critique à l’égard de DSK ; c’est bien ou c’est mal, mais c’est un fait, tout simplement. 3- Une péniche des bords de Seine est un moyen plutôt original de garder les paparazzi à une distance raisonnable).
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Renaud Revel : « Et c'est entouré d'un quatuor de fidèles, composé des communicants de l'agence Euro-RSCG, Anne Hommel et Stéphane Fouks, du conseiller Ramzy Khiroun et du théoricien du clan, Gilles Finkelstein, que le couple Strauss-Kahn-Sinclair met la dernière main au dispositif médiatique supposé purger une bonne fois pour toute l'invraisemblable épisode du "Sofitel Gate". Pour cela, DSK et Anne Sinclair ont décidé de s'appuyer sur des relais fidèles, de faire appel à des journalistes qui n'auraient pas, à leurs yeux, participé à la traque ou pris ostensiblement leurs distances quand l'histoire basculait de l'autre côté de l'Atlantique » (Michel Garroté – 1- « Clan », « dispositif », « purger », « relais », « traque » : que de formules à la fois puissantes et théâtrales ! 2- L'agence Euro-RSCG est, certes, connue, mais cela, dit elle est, depuis longtemps déjà, considérée, avant tout, comme un machin pipolisé ; du reste, Anne Hommel, que les médias nous présentent, souvent, comme la porte-parole de DSK, est, à n’en point douter, une demoiselle appliquée, mais elle n’est pas ce que j’ai connu de plus performant en terme de communication, si l’on veut bien me permettre de formuler cette appréciation en ma qualité de vieux routard de l’info et de la com. Enfin, je me permets de rappeler le rôle du biographe de DSK, Michel Taubmann, que Renaud Revel a, semble-t-il, oublié de mentionner).
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Renaud Revel : « Anne Sinclair récuse le terme de "liste noire" – auquel elle dit préférer la liste de celles et ceux qui ne les ont jamais lâchés durant ces semaines de cauchemar – mais elle a gardé en mémoire les écrits des uns et les propos des autres. Et ce n'est donc pas un hasard si DSK semble avoir décidé de réserver sa première intervention publique àClaire Chazal, dont il devrait être l'invité ce week-end. Cela fait des années que le couple entretient des relations plus que chaleureuses avec celle qui aura fait preuve d'une grande retenue durant toute l'affaire DSK. A l'image de TF1, qui n'a pas "couvert" cette affaire de la même manière que France 2, où le cas DSK a été examiné sous toutes les coutures des semaines durant, au travers de très nombreux directs et d'enquêtes fouillées. Un traitement chirurgical que n'a pas souhaité TF1 » (Michel Garroté – 1- On ne va pas chercher à savoir jusqu’à quel point toutes ces relations étaient chaleureuses ; même si Renaud Revel dans L’Express se croit obligé de spéculer en la matière. 2- France 2, chaine publique de gauche, soutient, de toute évidence, Martine Aubry ; ce n’est donc pas au nom de l’éthique que France 2 a lancé son feuilleton sur DSK).
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Renaud Revel : « L'autre explication tient à Anne Sinclair. L'ancienne journaliste de 7 sur 7 a toujours conservé de profonds liens d'amitié avec la présentatrice du 20-Heures. Evincée de la chaîne en 2001, après de violents désaccords avec son ancien PDG, Patrick Le Lay, l'épouse de Dominique Strauss-Kahn reçut le soutien sans failles de Claire Chazal. Elle n'oublia jamais. Sommée de quitter ses bureaux dans l'heure, après un traitement rugueux, Anne Sinclair trouva chez cette dernière une épaule et une oreille attentives. Depuis, les deux femmes ont toujours conservé des relations étroites, qui se sont manifestées par des échanges téléphoniques durant cet été noir » (Michel Garroté – 1- Personnellement, j’aurais essayé d’éviter la formule « été noir ». 2- Si vraiment Renaud Revel tient un décompte détaillé du nombre de coups de fil échangés par Anne Sinclair et Claire Chazal cet été, cela voudrait dire, soit qu’il fait partie du premier cercle de DSK, soit qu’il écrit sur des choses privées dont il ne sait, en réalité, pas grand chose).
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Renaud Revel : « TF1 pour l'image et Le Point pour l'écrit. C'est en effet l'hebdomadaire de Franz Olivier Giesbert qui devrait hériter du premier témoignage, en presse écrite, de DSK. Là aussi, tout n'est que connivences. Indépendamment du fait que ce magazine a sans doute moins lourdement traité cette affaire que nombre de ses confrères, il abrite en son sein quelques plumes qui entretiennent de longue date des relations ténues mais anciennes avec l'ex-locataire de la prison de Rikers Island. Qu'il s'agisse du grand reporter Claude Askolovitch, un familier du ryad du couple à Marrakech (Réponse de Claude Askolovitch aux affirmations de Renaud Revel : « 1/ je ne suis pas rédacteur en chef mais reporter au Point. 2/ J'ai mis deux fois les pieds au ryad de DSK à Marrakech, à chaque fois pour des raisons professionnelles, plus simple que d'aller à Washington, ce qui doit faire en cumulé 8, disons 9 heures de mon existence. En guise de familier »), qui avait entamé avant que n'éclate l'affaire une biographie de DSK, ou encore du journaliste politique Hervé Gattegno » (Michel Garroté – Renaud Revel allègue que « tout n'est que connivences ». La réalité est un peu différente. ‘Le Point’ et ‘L’Express’, deux hebdomadaires concurrents et néanmoins amis, se sont partagé les rôles. ‘Le Point’ dans un rôle plutôt pro-DSK et ‘L’Express’ dans un rôle plutôt anti-DSK. Dans ce sens là oui, Renaud Revel a raison, « tout n'est que connivences »).
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Renaud Revel : « Ce n'est donc pas Paris-Match qui héritera des premiers commentaires de l'ancien directeur du FMI, comme on l'a pensé à un moment. L'hebdomadaire du groupe Lagardère, qui a toujours entretenu d'excellentes relations avec lui – notamment en raison du soutien d'Arnaud Lagardère lui-même et de l'influence de son conseiller, Ramzy Khiroun – pourrait néanmoins jouer un rôle dans la stratégie de reconstruction médiatique de DSK. Il n'est pas dit, en effet, que l'hebdomadaire ne dégoupille pas dans les semaines qui viennent un reportage photo ripoliné, montrant le couple sous le soleil marocain ou les boiseries de leur appartement de la place des Vosges. L'autre feuilleton DSK, médiatique celui-ci, ne fait que commencer », conclut Renaud Revel sur le site Internet de l’hebdomadaire français ‘L’Express’ (Michel Garroté – Ouilla ! En quoi cela concerne-t-il Renaud Revel – et donc L’Express – que DSK et Anne Sinclair se fassent, ou, ne se fassent pas, dégoupiller et ripoliner, à la marocaine ou à la vosgienne, par devant ou par derrière, par Lagardère, dans un Match, fut-il Paris-Match ? Non mais de quoi qu’on cause là ? Allez ! A tantôt tout le monde ! Shabbat Shalom et Bon Dimanche…).
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Michel Garroté
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Copyright 2011 Michel Garroté pour www.dreuz.info & source citée
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La CIA a t-elle tenté de faire taire des témoins du 11 septembre qui accusent l’Iran et le Hezbollah?
septembre 12th, 2011 Marc
iran-nucleaire (Copier)
Une procédure judiciaire est en cours, qui accuse l’Iran et le Hezbollah d’être directement impliqués et d’avoir facilité les attentats du 11 septembre. Gênés dans leur évolution de carrière, parce qu’ils n’ont pas su recouper les informations dont ils disposaient, depuis les années 1990, sur les liens entre le terrorisme chi’ite et Al Qaeda, des responsables haut-placés de l’Agence américaine ont tenté de suborner des témoins et ont alimenté la fable de l’incompatibilité structurelle entre les uns et les autres…
Ronen Bergman, expert israélien sur le terrorisme et, principalement la guerre secrète entre Iran et Israël, et Kenneth Timmerman, investigateur américain, également, spécialiste de l’Iran, relancent toute l’enquête sur les attentats du 11 septembre. Une femme seule, veuve de l’un des pilotes, a, pour ainsi dire, mené seule ce dossier d’accusation contre l’Iran, alors que Kenneth Timmerman évoquera, dans un autre article, les pressions subies par certains témoins, pour qu’ils « tournent la page ». Non seulement, les conséquences politiques sont déterminantes au Moyen-Orient, mais des hommes en poste, au plus hauts échelons, auraient pu « sauter » pour incompétence et dissimulation.
Une immense pression pesait sur les épaules des membres de la Commission nationale chargée de rassembler les pièces à conviction, dans l’enquête sur les attentats du 11 septembre. Ils ont rendu leur rapport en juillet 2004, après une prolongation de 60 jours. Cependant, c’est seulement huit jours avant de remettre leur rapport que quelques-uns des commissaires ont entendu parler de nouvelles informations. Elles constituaient alors une véritable bombe à retardement, en matière de renseignement.
A l’heure qu’il est, cette perspective signifie simplement que l’élimination du symbole, Osama Ben Laden, n’a pas apporté de changement fondamental dans le bras de fer entre Islamisme radical et l’Occident. Comme la mort de « Che Guevara », en Bolivie, fin 1967, n’a qu’un lointain rapport avec la chute du Mur de Berlin en 1989.
Les membres de la Commission ne savaient pas comment procéder. Soit, il fallait donner une direction inédite au rapport, d’un autre côté, personne n’aurait pu traiter la vaste somme d’infos dsponible en si peu de temps. C’est la pire solution qui a été retenue : tous les éléments nouveaux ont été compressés en 3 pages (pp. 240-242 du rapport), prenant un tour anecdotique et parfaitement annexe, alors qu’on s’y trouve au cœur du problème. La Commission a donc fait en sorte d’éviter de répondre à la question centrale : qui est derrière le 11/09/2001 ?
Les quartiers généraux de la NSA (National Security Agency) à Fort Meade recèlent une pièce particulièrement intéressante : la NSA y a accumulé de conversations par dizaines de mille qui ne concernent qu’un seul et unique sujet d préoccupations : les iens entre les services secrets iraniens et Al Qaeda, depuis les années 1990 jusqu’à la veille du 11/09. On y trouve, au moins 75 documents de renseignements classés comme particulièrement critiques.
Au bout du compte, la Commission note, simplement, que ce problème mériterait u exmen plus minutieux par la suite, de la part de l’Administration américaine. Laquelle, bien entendu, ‘en a rien fait. L’affaire serait restée totalement enterrée, sans les efforts d’une femme courageuse, Ellen Saracini, pour les faire émerger à la surface.
Ellen Saracini est la veuve du capitaine du vol 175 d’United airlines, parti de Boston et qui s’est écrasé dans la tour-Sud du WTC.
Elle s’est rapproché de l’avocat Thomas Mellon, specialisé dans les poursuites contre les grandes corporations. Les adjoints de cet avocat ont relancé l’enquête, rencontré des témoinspotentiels, interviewé des responsables du renseignement, des agents de la CIA, des transfuges iraniens, un juge français (J.L Bruguière ?) et bien d’autres. Ils sont venus en Israël pour recueillir l’avis d’experts, tels que Ronen Bergman, afin de les faire témoigner, parmi les neufs avis de spécialistes recueillis.
L’investigation a progressé dans l’ombre, plongeant en profondeur dans les recoins du monde global du renseignement et du terrorisme. Dix ans plus tard ; Mellon est convaincu de détenir les preuves qui accablent l’Iran dans les attentats du 11/09.
L’équipe judiciaire a, récemment, remis ses propres conclusions au Tribunal du District de Manhattan. L’accusation est sans contorsions : elle porte sur les preuves claires et sans équivoque de l’implication de l’Iran et du Hezbollah, au même titre qu’Al Qaeda.
Ce dossier comporte, évidemment, des implications géostratégiques déterminantes qui expliquent que le Gouvernement américain n’était pas curieux de connaître le contenu exact des conversations enregistrées dans la fameuse pièce close de la NSA. Les conséquences d’un jugement favorable aux parties civiles constituent un test essentiel pour l’Administration : pourra t-elle l’ignorer ? La question centrale est de savoir ce qu’elle peut ou doit faire d’un tel jugement : y a-t-il moins de raisons de s’en prendre directement, cette fois, à l’Iran, comme elle l’a fait pour l’Afghanistan et l’Irak ? Peut-elle se dédouaner « au nom d’intérêts supérieurs » (éviter une nouvelle guerre : coût des précédentes : 400 milliards de $/Dette américaine) et, donc, ne pas punir les coupables et commanditaires ?
La connexion soudanaise.
Dès les débuts des années 1990, l’Iran et le Hezbollah ont aidé Osama Ben Laden et Ayman Al Zawahiri a créer leur nouvelle organisation terroriste, dirigée par des vétérans d’Afghanistan (contre l’Union soviétique) et de membres du Jihad islamique égyptien. L’Iran a entraîné les membres du groupe, les a équipé de moyens technologiques avancés, leur a permis de se mettre librement en mouvement, leur a fourni toute l’expertise et l’expérience accumulée, notamment autour d’Imad Moughniyeh, du Hezbollah, dans ses opérations anti-israéliennes et anti-américaines.
Un peu plus tard, l’Iran a assisté al Qaeda dans la préparation même des attentats du 11/09. Si Mellon et son équipe prouvent chacun des éléments qu’ils avancent, toute la perspective de la guerre contre la terreur change du tout au tout.
Le Soudan des années 1990, sous le règne de Tourabi, second état islamiste radical après l’Iran, a été le terreau de cette cooperation au sommet.
Selon les témoignages de responsables de la CIA, le Président iranien Rasfandjani, son Ministre du renseignement Ali Fallahian et le chef des Gardiens de la Révolution Mohsen Rezaï, se sont rendus au Soudan, accompagnés d’Imad Moughniyeh (éliminé en 2008 dans une opération attribuée à Israël, à Damas). Ils y ont plaidé l’aide au Soudan sous la forme d’une assitance aux autres mouvements jihadistes du Moyen-Orient.
Dès qu’il a été clair que le Soudan devenait une plaque tournante du terrorisme, Israël y a déployé des ressources humaines et électroniques. Le dossier sur ces évolutions est connu en Israël sous le nom du « Schtroumpf bleu » (à cause de l’allure de Tourabi) et il contient une mine de trésor d’informations sur les germes du « Jihad global »
Quand les avocats de Saracini ont joint le gouvernement israélien pour ccéder aux dossiers du “Schtroumpf bleu”, celui-ci leur a répondu que ces informations avaient été acquises en collaboration avec un pays-tiers et qu’elles ne pouvaient être communiquées sans son approbation. A ce jour, l’autorisation n’a pas encore été donnée.
Tout ce que l’on est en droit de révéler, c’est que le renseignement israélien a identifié des relations étroites entre les terroristes radicaux islamistes en Egypte et le Département 15 du Ministère iranien du renseignement. La mission de ce Département est d’exporter la révolution islamiste dans les autres pays arabes.
C’est également Israël qui a identifié Ayman al-Zawahiri au Soudan, ancien détenu des prisons égyptiennes pour son rôle dans l’assassinat d’Anouar al Sadate. Peu de temps après, il devenait le stratège en chef d’Al Qaeda, le bras droit de Ben Laden et son successeur actuellement, recherché vivant ou mort contre une récompense de 25 millions de $ promise par le FBI.
En avril 1991, Zawahiri s’est rendu secrètement en Iran pour y chercher l’aide des Mollahs en vue d’une revolution au Caire. Ceci résonne bizarrement, 20 ans plus tard… Il a pu envoyer ses hommes s’entraîner dans les camps iraniens, dont la majorité s’est effectuée sous la tutelle d’Imad Moughnieyh.
Ce serait au cours de cette visite que les Iraniens auraient convaincu Al Zawahiri de l’immense impact qu’aurait un attentat suicide de grande ampleur, en tant que modus operandi efficace. La planification du 11/09 faisait donc son chemin dans l’esprit du dirigeant égyptien.
La découverte de Ben Laden
C’est en poursuivant leurs efforts que les renseignements israéliens ont vu apparaître le nom d’un dirigeant des Jihadistes vétérans d’Afghanistan, dont l’une des sociétés de bâtiment s’appelait : « Al Qaeda » (La base) : c’est Ben Laden.
Les services secrets israéliens se sont apercus de la fusion des forces de Ben Laden avec Al Zawahiri. Progressivement, les deux leaders devenaient plus proches, tout au long de cette période. Ben Laden était insuffisant rénal et Zawahiri s’est imposé comme son médecin personnel. C’est par son biais qu’Al Qaeda-Afghanistan a envoyé ses principaux aides de camp s’entraîner dans les infrastructures du Hezbollah au Liban. Tout était donc prêt pour le passae à l’action.
En 1998, un ancien Marine américain d’origine égyptienne, Ali Mohammed a avoué son implication dans les attentats anti-américains des ambassades de Tanzanie et du Kenya. Il a expliqué avoir participé à l’entraînement et au partage d’information à utiliser dans les attentats contre des cibles américaines.
Il a témoigné avoir géré les conditions d’une rencontre au Soudan entre Ben Laden et Moughniyeh. A la suite de quoi, le Hezbollah a fourni à Al Qaeda des matériaux explosifs conçus pour être identiques à des cailloux. Les vétérans israéliens du Liban connaissent parfaitement ces engins piégés.
La plupart des séances d’entraînement se sont déroulées dans un camp en Iran dirigé par le Ministère du renseignement. Certaines informations appartenant au dossier du « Schtroumpf bleu » ont été redécouvertes dans les bases de données de la NSA. La Commission a constaté que les membres dirigeants d’Al Qaeda ont pu recevoir un entraînement poussé et des dispositifs du Hezbollah, alors qu’ils se trouvaient au Soudan. C’est déterminant pour Ellen Saracini : si le Hezbollah est le bras droit de l’Iran et que les hommes de Ben Laden ont reçu une instruction poussée ud Hezbollah, c’est suffisant pour démontrer les liens entre Al Qaeda et l’Iran.
Le groupe identifié au Soudan a maintenu des liens étroits avec les veterans d’Afghanistan partout dans le monde et a travaillé sans relâché pour entretenir des réseaux globaux. Selon un responsable du renseignement israélien, « Nous sentions que quelque chose d’énorme et complètement différent de tout ce que nous connaissions était en trin de se mettre en place. Il ne s’agissait pas non plus, seulement, d’un Etat déployant des terroristes, mais d’une organisation qui, partant de là,s’auto-générait par elle-même ». Peu de temps après, un bureau spécial du renseignement s’est créé en Israël pour tenter de cerner le phénomène. De surcroît, le renseignement militaire de Tsahal et le Mossad ont été le premiers informés et à reconnâitre l’ampleur du danger.
Khobar, la première tour en flammes.
Le 25 juin 1996, les tours de Khobar explosent, à Dahran, importante ville pétrolière, en Arabie Saoudite. 19 soldats américains trouvent la mort et 500 sont blessés. C’est sans doute là que les terroristes-islamikazes du 11/09 ont expérimenté les effets considérables de l’explosion d’une tour. Officiellement, les auteurs de l’attaque n’ont toujours pas été retrouvés à ce jour. La signature du Hezbollah st, pourtant, patente, dans le droit fil des attentats de Buenos-Aires.
Yet the current trial includes testimony by then-FBI Director Louis Freeh, who asserts that the attack was an Iranian initiative carried out by Hezbollah in conjunction with al-Qaeda. Senior CIA officials said that the NSA possesses intercepted Bin Laden conversations that prove a direct link to the attack. Attorneys will be using this evidence in the trial to show that Iran was in the picture at the early stages of establishing al-Qaeda.
Le procès en cours comprend le témoignage du Directeur du FBI de l’époque, Louis Freeh, qui affirme que l’attentat découle d’une initiative iranienne, mise en œuvre par le Hezbollah, avec l’aide d’Al Qaeda. Des responsables de la CIA déclarent que la NSA est en possession de conversations de Ben Laden qui démontrent une relation directe avec l’attentat. Ces preuves seront mises en évidence par les avocats pour démontrer que la connexion Iran-Al-Qaeda-Hezbollah est présente dès les premières phases du « Jihad Global ».
L’équipe de juristes autour de Mellon détient ainsi des milliers de documents démontrant comment et en quoi l’Iran a supervise Al Qaeda pour en faire groupe terroriste de premier plan, aux attaques foudroyantes, à travers toute la période des années 1990. Selon la Loi américaine, ceci est suffisant pour déclarer l’Iran coupable et il n’est plus besoin de prouver une implication directe dans les attentats du 11/09. Mais l’équipe ne souhaite prendre aucun risque et pousser la démonstration plus loin, jusqu’aux éléments suffisants pour démontrer cette implication directe.
Depuis les débuts de la Commission, il s’est avéré que le problème des visas et billets de vol était une composante-clé de l’affaire. Selon les documents en possession de la Justice, une importante opération a été mise au point pour faciliter les nombreux séjours requis pour l’attentat final.
Seul un agenda et une planification bien huilée de l’ensemble des vols et des passages secrets de frontières a rendu les choses possibles, pour que les terroristes puissent entrer et sortir des Etats-Unis et, auparavant, se rendre en Afghanistan. N’importe qui voulant obtenir un visa américain le sait pertinemment.
Comment se fait-il alors que les services d’immigration en Allemagne et Arabie Saoudite ne se soient aperçues de rien? Ces questions sont restées sans réponse jusqu’à l’ouverture de la mine d’or détenue par la NSA. Beaucoup des terroristes sont allés d’Afghanistan en Iran, munis d’une autorisation de passage de la frontière iranienne fournie par les plus hautes autorités du pays, sans que l’estampille de l’Etat iranien n’y apparaisse. Les autres terroristes sont passés par Beyrouth, où c’est le Hezbollah qui a pris soin d’eux, de la même manière.
Selon l’équipe juridique de Mellon, c’est là que transpire la clé de la responsabilité conjointe de l’Iran et du Hezbollah, prouvant leur implication complète et directe dans les attentats. Si, en effet, ces autorités ne savaient rien des projets d’Al Qaeda, pourquoi s’abstenir de mettre le tampon iranien ou libanais sur leur passeport ?
Mais ce n’est pas tout : les renseignements fournis au Tribunal apportent un autre élément-clé établissement la culpabilité. Lors de certains vols, les terroristes ont été accompagnés par des personnages dont les noms sont identiques aux pseudos utilisés par Miad Moughniyeh et quelques-uns de ses lieutenants les plus proches. Difficile à démentir comme relevant d’une « étrange coïncidence ».
Les Transfuges iraniens.
Les pièces à conviction recueillies pour le procès comprennent trois témoignages exclusifs de trois membres iraniens du renseignement qui ont, depuis, fait défection. Leurs témoignages filmés apportent une plongée vertigineuse dans les profondeurs du royaume du mal. Un long récit raconte leur jeunesse et la façon dont ils ont été recrutés à des postes prestigieux de l’establishment du renseignement iranien. Ensuite commencent-ils à détailler les liens entre l’Iran, le Hezbollah et Al Qaeda.
L’un des témoins, X, atteste de la connaissance anticipée du plan d’attaque, consistant à détourner et à faire s’écrasser des avions de ligne sur Washington et New-York. Il raconte comment il s’est trouvé dans les installations où s’entraînaient les Jihadistes sunnites en Iran et ajoute une foule de détails sur la façon ont les services légitimes de l’Etat ont été utilisés à des fins terroristes, dont les propres compagnies maritimes et de lignes aériennes iraniennes.
Le témoin Y atteste de l’engagement personnel d’Imad Moughniyeh dans l’entraînement des pirates de l’air du 11 septembre et de la garantie de sanctuaire et d’immunité offertes par l’Iran aux terroristes, après les attentats. Le 3è témoin, Z, évoque sa présence à des rencontres à Téhéran, impliquant des dirigeants d’Al Qaeda, des responsables locaux du renseignement et les hommes de main de Moughniyeh, au cours de mois précédant directement le 11 septembre.
A la suite des attentats, beaucoup de dirigeants de premier plan d’Al Qaeda ont trouvé refuge en Iran. Téhéran a, d’abord, démenti, puis a affirmé ensuite qu’ils étaient en « résidence surveillée ». Jusqu’à aujourd’hui, et sans doute pour très longtemps encore, les autorités iraniennes ont refusé de répondre aux injonctions de la Justice américaine. Comme cela se passe souvent, les Juges seront, sans doute, amenés à ordonner la saisie de compensations sur les avoirs iraniens gelés, dans le cadre des sanctions.
Ce mois-ci, Ellen Saracini, vit cette commémoration des attentats dans une intensité particulière. Saracini, accompagnée par les avocats Tom Mellon et Timothy Fleming, travaille nuit et jour avec eux, afin que toute la lumière soit faite sur la responsabilité pleine et entière de l’Iran dans les attentats du 11 septembre. L’objectif des familles qui se sont associées à elle est clair : « Empêcher ces barbares de commettre d’autres attentats contre les Etats-Unis, et de nouveaux crimes contre l’humanité ».
Source : http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4120430,00.html, Ronen Bergman
Par Marc Brzustowski
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Frères Musulmans indestructibles ? Foreign Affairs of US- Giulio Meotti
septembre 12th, 2011 admin
obama frères musulmans
Rome. En 2007, Foreign Affairs, l’organe officiel de politique étrangère américaine a publié un essai de Robert Leiken et Steven Brooke.
Ces deux universitaires demandaient au département d’État américain d’ouvrir un dialogue avec les Frères Musulmans qui étaient qualifiés de modérés en vertu de leur évolution vers la non-violence. Leiken et Brooke les décrivaient comme des pragmatiques que les pays occidentaux ne devaient pas redouter. Le journal Il Foglio avait mené une enquête pour vérifier ces allégations. Aujourd’hui, Foreign Affairs fait marche arrière.
Chers Lecteurs, un dossier complet sera bientôt mis à votre disposition sur cette menace.
Il publie un dossier de 20 pages au titre emblématique : Les Frères Musulmans indestructibles avec le sous-titre : Mauvaises perspectives pour une Égypte libérale. Le dossier est construit sur 30 entretiens de membres de la Fraternité des Frères Musulmans qui sont donnés comme favoris aux élections d’automne, les premières depuis la chute d’Hosni Mubarak.
Éric Trager, l’auteur de l’enquête écrit : « les manifestants qui ont mené la révolte en Égypte étaient jeunes et libéraux. Leur émulation ne venait pas de l’ayatollah Khomeiny mais plutôt de Thomas Paine, ils revendiquaient des libertés civiles, l’égalité religieuse et la fin de la dictature. C’est leur détermination qui a engendré la vision optimiste de l’éclosion d’un printemps arabe qui allait effacer l’exception de ce Moyen-Orient autocratique dans un monde démocratique. Mais la transition politique qui a suivi la révolte a détruit cet optimisme ».
Les Frères Musulmans dominent la vie politique depuis la fin de Mubarak. L’idéologie de la Fraternité ne prend pas la voie de la modération, écrit Foreign Affairs car pour devenir un Frère, il faut réussir un long parcours de huit années dans lequel les membres aspirants sont endoctrinés et au cours duquel on scrute leur loyauté ». « Lorsque les élections prévues pour cet automne donneront à la Fraternité des Frères Musulmans un pouvoir électoral et possiblement la majorité, elle utilisera sa position pour diriger l’Égypte vers une théocratie anti-occidentale ».
Foreign Affairs affirme que le recrutement de la Fraternité se fait avec des enfants de neuf ans. Le cycle commence avec le « muhib », le disciple qui entre dans une « usra », une famille dirigée par un « naqib », un capitaine. Puis il devient « muayaad », un partisan, puis « muntasib », un membre, puis « muntazim », un organisateur avant de terminer son noviciat avec le titre de frère « ach amal ». Aucun autre mouvement égyptien ne peut compter sur un réseau similaire, explique Foreign Affairs.
« Après la chute de Mubarak, la fraternité a continué à démontrer sa capacité unique pour mobiliser ses partisans ». Foreign Affairs dissipe le mythe d’une révolte seulement laïque et écrit que la Fraternité a eu un rôle pivot central. » La Fraternité au début, a évité de s’impliquer dans les manifestations qui ont commencé le 25 janvier, en raison de la menace d’une arrestation de Mohamed Badie, le guide suprême de la Confrérie. Mais le lendemain, le bureau rendait obligatoire la participation aux manifestations du 28 janvier. Même si la majorité des manifestants n’était pas affiliée à des partis politiques, c’est la Fraternité qui a catalysé le triomphe sur les forces de sécurité. Dès la fin des prières, des militants se tenaient à la sortie des mosquées et ordonnaient de chercher l’affrontement avec la police de Mubarak. Nombreux parmi eux étaient des Frères Musulmans ».
Selon l’organe du Council on Foreign Relations, un des plus prestigieux Think Tank de politique étrangère, « la fraternité s’apprête à gagner la grande majorité des sièges qu’elle convoite ». Le projet est clair : « l’islamisation de la société égyptienne ». Politiquement, » Washington doit regarder avec préoccupation la montée de la Fraternité parce que malgré les assertions selon lesquelles leurs objectifs sont modérés, ils définissent le monde selon des valeurs différentes de l’Occident ». La Fraternité va chercher à renforcer ses liens avec le grand ennemi des Américains, l’Iran et va chercher à dénigrer les accords de camp David avec Israël ».
La Maison-Blanche devrait augmenter « l’aide aux libéraux », elle doit promettre de reconnaître le résultat électoral seulement si les vainqueurs s’engagent à ne pas participer à des conflits en dehors des frontières de l’Égypte (référence à Israël) et elle doit parler au nom des Chrétiens chaque fois qu’ils sont attaqués ». « Les 600 000 Frères se consacrent à des idées qui ne sont pas modérées. Les États-Unis doivent se concentrer sur les autres 81 millions d’Égyptiens. La Fraternité a le pouvoir de les attirer à elle si les États-Unis n’agissent pas rapidement en vue d’une alternative, celle de la vision libérale pour laquelle les jeunes de la place Tahrir ont combattu courageusement ».
Adapté de l’Italien par Danilette lSource – informazionecorretta
Riportiamo dal FOGLIO di oggi, 09/09/2011, a pag. 1-4, l’articolo di Giulio Meotti dal titolo « Fratelli indistruttibili ».
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09/09/2011
Canada : Tarek Fatah sur le 10e anniversaire du 11 Septembre
Le relativisme culturel a rendu l’Occident plus vulnérable que jamais face aux machinations des islamistes. Tarek appelle l’Occident à se réveiller.
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[…] Le mois de septembre ne marque pas seulement l’anniversaire de l’attaque du 11 Septembre contre la liberté, la démocratie et les libertés individuelles.
C’est aussi l’anniversaire d’une autre attaque contre ces principes qui nous sont chers, par un ennemi beaucoup plus fort qui entretenait également des fantasmes de domination du monde : en septembre 1939, la redoutable armée d’Hitler, la Wehrmacht, attaquait la Pologne, déclenchant la Seconde Guerre mondiale – une guerre dans laquelle près de 50 millions de personnes sont mortes pour vaincre l’Allemagne nazie, et, avec elle, la doctrine de la suprématie aryenne qui prétendait asservir le reste de l’humanité.
La différence entre les deux guerres de Septembre est saisissante, et le contraste entre les résultats est sidérant. Alors que les nazis allemands et leurs alliés se vantaient de leur société à la pointe de la technologie avec les plus grandes armées jamais déployées, les terroristes du 11 Septembre étaient une bande de racailles djihadistes imprégnées d’amour pour la mort et de mépris pour les petits plaisirs de la vie.
Malgré la force, la détermination et le militantisme des nazis allemands, des fascistes italiens et des militaristes japonais, il a fallu moins de six ans aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à l’URSS pour infliger à l’ennemi une défaite décisive et humiliante. Ce qui a commencé le 1 septembre 1939 s’est terminé le 15 août 1945 avec la défaite complète de ceux qui aspiraient à dominer le monde.
Comparez cela aux lendemains du 11 septembre 2001. Dix ans plus tard, l’idéologie islamiste qui a inspiré le 11 Septembre est plus forte que jamais. La question qui se pose est la suivante : pourquoi avons-nous vaincu le nazisme, mais échoué à casser l’islamisme ?
Pourquoi les islamistes sont-ils devenus plus influents que jamais aux États-Unis, plutôt que de battre en retraite devant la guerre acharnée contre le terrorisme ? Essayez d’imaginer les responsables de la Maison Blanche frayant avec les nazis américains pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est inimaginable. Pourtant, l’ancien président américain George W. Bush et l’actuel président Barack Obama se sont tous deux mis en quatre pour accommoder les colporteurs de l’islamisme.
Pouvez-vous imaginer l’ancien président Franklin D. Roosevelt s’adressant à un groupe de nazis dans le but de leur « tendre la main » ? Non. Pourtant, nous avons à peine haussé les épaules quand Obama a invité les Frères musulmans à son célèbre discours du Caire en 2009, adressé aux musulmans dans le monde. Il aurait pu choisir l’Indonésie, le pays comptant la plus importante population musulmane, qui est aussi, incidemment, le pays où il a grandi. Au lieu de cela, il a fait le choix conscient de saluer ceux qui considèrent les États-Unis comme leur ennemi.
Alors que l’Occident comprenait le phénomène du nazisme et l’idéologie de la suprématie raciale, nous n’avions aucune compréhension des sociétés du monde islamique, et nous n’en n’avons toujours pas. Alors que nous avons combattu Hitler sans le moindre sentiment de culpabilité, la guerre contre le terrorisme est empreinte d’un sentiment de culpabilité des blancs à l’esprit libéral, et les dirigeants occidentaux s’excusent pour notre civilisation qui a apporté les droits humains, l’égalité des sexes et la citoyenneté basée sur les lois adoptées par les hommes plutôt que la race ou la religion.
Alors que Charlie Chaplin pouvait faire des films ridiculisant Hitler et le nazisme, personne aujourd’hui ne peut se moquer des islamistes djihadistes sans risquer des allégations de racisme et de discrimination. La propagande et la présence des islamistes sont tellement puissantes en Occident que, dix ans après le 11 Septembre, le discours suggère que ce ne sont pas les États-Unis qui ont été victimes d’une attaque par les musulmans, mais l’inverse.
Juste avant le 10e anniversaire du 11 Septembre, le directeur exécutif du Conseil canadien des relations américano-islamiques (CAIR) a publié une liste des « développements positifs » depuis cette catastrophe : un « plus grand dialogue interreligieux » figure en tête de liste. Il a également rappelé à ses lecteurs qu’il est « essentiel de demeurer vigilants et de reconnaître qu’il y a encore des défis à relever ».
Quels sont ces défis ? On aurait pu s’attendre à ce qu’il nomme en premier lieu les attaques incessantes des djihadistes tant contre les musulmans que les non musulmans. Le responsable du CAIR a plutôt suggéré le contraire. Il écrit: «Parmi ceux-ci, l’islamophobie et la rhétorique anti-musulman continuent sans relâche au Canada, en Europe, aux Etats-Unis et dans de nombreuses régions du monde. … Les attaques contre le droit à la vie privée et les libertés civiles se poursuivent. »
Le responsable du CAIR n’a condamné ni les attentats du 11 Septembre ni la doctrine du djihad armé qui a inspiré les djihadistes du 11 Septembre. Et il n’a pas dénoncé les efforts incessants des islamistes pour infiltrer la charia dans le domaine public.
Au lieu d’affirmer les valeurs de l’Occident, la deuxième Conférence mondiale sur les religions du monde après le 11 Septembre, qui s’est déroulée à Montréal le 7 septembre sous les auspices de l’Université McGill, semble avoir été dominée par les islamistes. Si les islamistes ont réussi à convaincre les participants de leur message, cela signifie que des non-musulmans tels que le Dalaï Lama, ainsi que les clercs et spécialistes universitaires d’études religieuses, vont entériner le document odieux promu par les Frères musulmans qui vise à censurer toute critique de l’islam en arguant qu’il s’agit d’une violation des droits humains.
Pendant que l’Occident dort, les islamistes qui se présentent comme des « modérés » s’assurent que nous luttons contre le djihad comme des tigres de papier. Tariq Ramadan, qui a pris la parole au festival interreligieux de Montréal, mène l’attaque contre l’ennemi. Ramadan représente la nouvelle aile sophistiquée du mouvement islamiste mondial qui voit l’Occident comme l’endroit idéal pour mener un djihad intellectuel et culturel. Il est le chouchou de l’establishment islamiste mondial tout en camouflant son agenda islamiste par son double langage ambivalent.
Si l’Occident ne prend pas conscience de la menace posée par l’islamisme, dans dix ans, nous serons toujours engagés dans la prétendue guerre contre le terrorisme qui a enrichi les corporations américaines tout en menant le pays au bord de la faillite – tant au plan financier qu’au plan des idées.
Source : 9/11: Ten Years and a Trillion Dollars Later, par Tarek Fatah, The Mark, 9 septembre 2011. Traduction par Poste de veille
http://www.postedeveille.ca/2011/09/tarek-fatah-sur-le-10e-anniversaire-du-11-septembre.html#more
pas besoin de lire cet article dans son entièrereté pour me dégouter de ce type et de sa femme… dans une émission de frédéric taddéi tous je dis bien tous les invités n’avaient que de la compassion pour ce pauvre DSK victime et personne ne se préoccupait de la femme de chambre ni des autres femmes dont il aurait abusé… moi ça me dégoute et je ne souhaitais même pas le voir revenir en France !
dimanche soir que va t’il nous dire ? qu’il n’a pas violé la femme de chambre ? va nous sortir sa mise en scène de victime déplorée et culpabilisant ainsi toutes les femmes ? Je pense que le mieux serait de ne pas lui donner audience personnellement je ne regarderai pas.. comme pour le débat des primaires des socialos certes 5 millions de personnes mais pas 5 millions de votants moi j’ai regardé car je savais pas quoi faire d’autre mais j’ai trouvé leurs discours fades et rien de nouveau, et aucun je dis bien, aucune d’entre eux et elles, n’a évoqué la pauvreté des retraités et l’immigration !
non vraiment ça sent pas la rose tout ça !
ce qui caractérise ce prédateur, c’est de ne pas se contenter de la relation sexuelle; elle n’est pas consentie, et, sur le moment, humilie et salit. Elle se continue ensuite lors du processus de défense; la victime passe, à défaut de bourreau, pour un boudin, une pute, une menteuse.
C’est ce genre de personne et ses complices qui font qu’une proportion de viol infime donne lieu à des plaintes. Les victimes ont peur, et c’est bien là le but de ces criminels et complices pour les faire taire.
Quand aux vieux, ils n’attirent pas le bulletin de vote, on les euthanasie passivement aux urgences car celà coûterait trop cher de les soigner de leurs “fractures du fémur!”