Il a voté, dit-il, pour Martine Aubry…
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Michel Garroté – Selon des estimations provisoires, 2,5 millions de Français (autrement dit 4% du corps électoral) se sont déplacés, hier dimanche 9 octobre, pour le premier tourd de la primaire socialiste. Au niveau national, François Hollande arrive en tête avec près de 40% des voix, devant Martine Aubry avec 30%. Arnaud Montebourg remporte – hélas – 17% de suffrages, ce qui est beaucoup trop pour un homme au moins aussi dangereux que Marine Le Pen sinon plus dangereux. Devant la pauvre Ségolène Royal qui a essuyé quelques larmes avec son score – désastreux – de 7%.
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Manuel Valls est à 5,6% et il vient de se rallier à François Hollande. En clair, le tandem Hollande-Valls, mi-socialiste, mi-social-démocrate, serait tout de même moins ravageur pour la France qu’un éventuel tandem islamo-gauchiste, christianophobe, israélophobe et altermondialiste Aubry-Montebourg. Enfin, Jean-Michel Baylet est plombé – et c’est tant mieux – avec un ridicule 0,6%. Les résultats définitifs de ce scrutin ne seront pas connus avant la fin de la matinée de ce lundi au plus tôt. Un chiffre correspondant à 90 ou 95% des résultats sera en principe donné vers 11:30.
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Vendredi soir, au Grand Journal, sur Canal+, il s’est raconté que si les sondages sur le premier tour des primaires socialistes s’avéraient erronés, alors, il faudrait remettre en question le rôle des instituts de sondages. Il est vrai qu’en octobre 2006, les sondages donnaient Ségolène Royal gagnante en mai 2007. En revanche, force est de constater que les sondages ne se sont pas trompés sur la percée de François Hollande au premier tour des primaires socialistes.
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Toujours vendredi soir, au Grand Journal, sur Canal+, il s’est raconté que, selon i-télé, Villepin se retirait de la politique. Quelques dizaines de secondes plus tard, Villepin démentait cette rumeur sur son Twitter. Et, au Grand Journal, FOG s’écria : « Quel métier de merde ! » (Il faisait allusion au journalisme, pas à la politique).
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Samedi soir, à l’émission ‘Salut les Terriens’, sur Canal+, une certaine madame Rosso, députée UMP, s’est improvisée porte-parole de la campagne présidentielle 2012 de Sarkozy. Et pour donner le ton de cette campagne sarkozyque, madame Rosso a allégué que Giscard avait été le meilleur de tous les présidents de la Ve République. Et, toujours à l’émission ‘Salut les Terriens’, il s’est dit que le Premier ministre de Sarkozy après les présidentielles de 2012, se sera Alain Juppé. Nous voici avertis.
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En résumé, si la droite – étatiste et molle – de l’UMP l’emporte en 2012, Sarkozy et Juppé gouverneront dans un esprit giscardien : un bide, un flop. Si le FN l’emporte, se sera l’étatisme jacobin. Si le PS l’emporte, se sera la grande catastrophe avec Aubry-Montebourg. Ou la petite catastrophe avec Hollande-Valls.
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Le déclin et la finitude d’une certaine France est imminent. Et par conséquent, il faut songer à une France nouvelle. J’ai écrit, la semaine dernière, qu’il fallait se ficher de 2012 et préparer 2017. Aujourd’hui, lundi 10 octobre 2011, je persiste et je signe.
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Déclin et finitude…
Disons que nous entrons dans la grande “dhimmitude” à moins de se révolter?
Ou bien de changer de pays…? Il faut se préparer au pire.
la France crève et votre “projet” c’est d’attendre 2017 ??!! et pourquoi pas 2022 !!
c’est de la non assistance à Pays en danger de mort.
mais peut être plaisantez vous , à moins que le sort de la France et des français soit le cadet de vos préoccupations……..
quel merdier excusez l’expression je ne sais pas où nous allons ? mais nous y allons..
chirac que je n’aime pas disait la maison France brûle et nous regardons de l’autre coté pour une fois il n’est pas bête car lui s’est déjà mis à l’abri quelque part devinez ?
Je crois que le peuple francais doit prendre sa destinee en main et creer avec des gens progessiste, optimiste, competent, esprit republicain, fideles a l’Histoire de la Gaule et un tantinet islamophobe, un Gouvernement de transition en attendant de faire mieux. Ce ramassis d’hommes politiques debutants, egoistes et laxistes meneront immanquablement la France la ou Michel Garrote l’a parfaitement defini. Dommage, la France de mon enfance…
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à petitjean :
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vous avez vos convictions.
J’ai les miennes.
Les miennes n’ont pas changé.
Dans un proche avenir, j’aurais l’occasion de revenir sur votre remarque,
et celles d’autres lectrices et lecteurs,
par le biais de mes articles.
Michel Garroté
Rédacteur en chef
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