La dette de la France, la crise mondiale. Elle a bon dos, la crise, pour excuser notre endettement.
Aucun de nos présidents, depuis 1975, ne semble avoir eu la moindre capacité à gérer la France, ni à serrer une autre ceinture que celle du peuple français. Et ni le dernier Président en date, ni le prochain, quel qu’il soit, ne propose de faire mieux. Ca promet.
A regarder les chiffres, j’ai un sentiment de gaspillage dégoûtant des richesses nationales, pour se livrer à des expériences ruineuses, tout droit sorties du cerveau malade d’élites formatées aux stupides théories Keynésiennes dans les grandes écoles. Déprimant.
D’ailleurs, et je serais le dernier à le soutenir, car je n’ai pas pour habitude d’excuser les mauvaise résultats des uns par les encore plus mauvais résultats des autres, Nicolas Sarkozy apparait, selon le tableau de l’Insee, comme le Président qui aura finalement fait – relativement – moins de dégâts que ses prédécesseurs, malgré les accusations dont il est répétitivement l’objet.
En Euros, Mitterrand a multipliée la dette de la France par 6, durant son mandant du 21 mai 1981 au 17 mai 1995.
Chirac, lui, l’a multipliée par 1,8 (17 mai 1995 – 16 mai 2007)
Sarkozy, accusé d’avoir explosé les compteurs, s’est « contenté » d’un « modeste » coefficient multiplicateur de 1,5, depuis le 16 mai 2007.
Et si l'on compare les gouvernements de gauche et les gouvernements de droite cela donne ceci :
Gouvernements Mauroy, Fabius, Rocard, Cresson, Bérégovoy, Jospin : la dette a été multipliée par 6,2.
Gouvernements Chirac, Balladur, Juppé, Raffarin, Villepin, la dette est multipliée par 2,3.
Gouvernement Fillon, la dette est multipliée par 1,5.
« La démocratie est une technique qui nous garantit de ne pas être mieux gouvernés que nous le méritons. » George Bernard Shaw
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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
La dette réelle totale est plutôt du côté des 2.500 milliards minimum. Faut pas nous amuser avec un carambar, caramba…
Tout en étant tout à fait d’accord avec vous sur le fond, je me permets une petite
remarque. Sans que celà change la trajectoire du train fou dans lequel ils nous
ont embarqués, je pense qu’il aurait mieux fallu compter l’augmentation de la
dette provoquée par chaque gouvernement en volume (quel montant d’augmentation
plutôt que quel pourcentage), car un faible % d’augmentation en 2012 pourra très
bien donner une valeur plus élevée qu’un % plus grand d’une valeur de dette plus
“petite” dans les années 90 par exemple…
Joli graphique en forme de planche à savon! De niais amateurs de luge y glisseront de droite à gauche.
A cet égard vos chiffres (en %) sont éloquants.
Pour la rigueur de la démonstration, les lecteurs perspicaces discerneront vite les CAUSES qui concoururent à l’inflation de cette dette, en chaque “ère” présidentielle / gouvernementale.
Les chocs pétroliers des ’70s ne s’y confondent pas avec les errements dogmatiques de l’ère Mitterrand. Ses con-seillers d’arrière-plan (Attali & la clique associée) furent à la base de tels errements.
A chaque stade, ajoutons la boulimie de nos structures publiques (gourmandes en fonctionnaires, dans toutes les strates de pouvoirs). Centralisation ou décentralisation? A tous les coups, ce fut prétexte à enfler les coûts publics et les déficits (dont la dette constitue l’intégrale au fil du temps).
La désindustrialisation amorcée durant les ’80s sous Mitterrand contribua (avec des effets retardateurs) à la chute des exportations françaises, perceptible dès les ’90s, donc à un accroissement de la pente pour les successeurs.
Enfin, sous Sarkozy? Ben, juxtaposons deux crises majeures (US+UE) et le refus orchestré de tout aspect de réformes susceptibles de tasser la pente à court terme. Gôches étroite et syndicats abscons en furent les acteurs-clés. A qui et/ou à quoi doit-on imputer les responsabilité des errements français apparait une évidence. G.Millière lui-même ne devrait pas en contester les causes (sinon nous vivroins selon des Ecoles d’économie placées aux antipodes.
Tout sioniste que je suis, et par-delà les responsabilités de la gauche ou de la droite, j’aimerais bien quand même avoir des éclaircissements sur le rapport entre la loi dite “Pompidou-Rothschild” passée en catamini le 3 janvier 1973 à l’Assemblée Nationale et l’explosion de la dette française dès ce moment-là… Même remarque d’ailleurs avec l’explosion de la dette américaine sitôt après la création de la “Fed”, le 23 décembre 1913, en catimini également, alors que la majorité des sénateurs et députés étaient déjà partis fêter Noël aux quatre coins du pays, en un temps où n’existaient pas encore les avions de ligne… Merci d’avance à tous ceux qui sauront éclairer ma lanterne sur ces points-là…
En préambule, je ne suis pas juriste, ni politique, ni banquier. Ce que j’en ai compris, c’est qu’elle plafonne (avec un plafond très bas) les sommes que la banque de France peut “prêter” au Trésor Public. (prêter entre ” ” car il semble que cela revêtait plusieurs formes pas aussi simples).
Dès lors qu’on emprunte avec intérêts, la dette se creuse mathématiquement, les intérêts étant dus annuellement, le capital remboursé est amputé d’autant (à pression fiscale égale).
Pour faire ultra simple : avant la loi le gouvernement empruntait à la banque de France, après il a dû se financer par les marchés financiers uniquement.
Ceci évitait un risque de dérapage de création de monnaie qui aurait conduit à l’inflation. Si vous voulez c’est ce qui permet l’indépendance de la Banque de France qui ne devait plus subir le diktat du gouvernement pour mener sa politique monétaire.
On fait souvent cette corrélation entre le passage de la loi et les déficits qui ont suivi, mais cela n’a rien à voir. Il y a eu en 1974 le premier choc pétrolier et c’est à partir de là que tout a dérapé. Et une mauvaise gestion popu
Iste de tous les présidents plus la dogmatique socialiste qui ont terminé le travail de sape de l’économie française.
Erratum : 3ème ligne de mon commentaire : je voulais bien évidemment dire “en catimini” , et non en “catamini”… encore moins en catamaran… 😉
Des mégalomanes à la conscience calcinée comme mitterrand où obama comprennent vite que le peuple ne veut voir et entendre que les espèces sonnantes qui tombent de suite dans son escarcelle, même s’il s’agit de les confisquer à leurs enfants.
Garçon un plat de lentilles right now!
Après moi le déluge….
La recette, du succès en démocratie élective est simple mais bonne
Bien sûr qu’on nous prend pour des billes, et le pire c’est que les français ont appris, par l’assistanat, à tout gober.
Lorsqu’on entend les promesses des candidats à la présidentielle on se rend compte que l’on roule à tombeau ouvert vers une situation « à la grecque ».
George Bernard Shaw à raison.
Il existe un pacte implicite entre les électeurs et ceux vers qui ils inclinent (en majorité).
La majorité des français choisissent la sécurité à court terme. La sécurité à court terme c’est l’assistanat. Or, l’assistanat crée encore plus d’assistés, et la mentalité d’assisté devient la norme.
Le travail est considéré comme une aliénation. Les employeurs deviennent des exploiteurs. Résultat: les travailleurs pensent légitime d’en faire un minimum. L’exercice consiste à en faire le moins possible tout en gagnant autant, voire plus.
Ce qui est possible puisqu’en cas de problème, il reste la solution magique de l’arrêt maladie (grâce à la sollicitude du corps médical à qui cela ne coûte rien). Etre payé sans travailler…c’est peut-être ça le summum de la civilisation…
Sauf que tout cela comporte un prix! “Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme”. Quel est le prix de ce confort à court terme? L’endettement massif!
Comment rembourser?
A l’évidence, c’est impossible. Puisque l’hyperinflation engendrerait probablement une guerre civile.
Alors, comment compenser notre impossibilité à rembourser?
En nous soumettant à nos créanciers (par exemple, on ferme notre gueule sur le tibet ou on favorise l’expansion de l’islamisme en Europe ou on intervient en Lybie sur demande du Qatar…)
Qui sait? Demain on nous proposera peut-être une certaine somme pour rejoindre la Secte. Je suis certain que ses rangs grossiraient d’un coup d’un seul! Que pèse la dignité humaine, l’honneur, devant une belle liasse de billets…
Pourquoi prendre la peine de combattre lorsqu’on peut acheter l’ennemi?
Après tout, si l’ennemi se laisse acheter, il n’aura que ce qu’il mérite…A une époque où le mot “indignation” est à la mode, on est en droit de se demander ce qu’il nous reste de dignité, à nous les esclaves aux chaînes dorées!
Le travail est considéré comme une aliénation. Les employeurs deviennent des exploiteurs.
Cyril,
le travail n’a pas à être considéré comme une aliénation, il peut l’être dans bien des cas selon le type de management mis en place, les employeurs n’ont pas “à devenir” des exploiteurs, ils le sont bien souvent, et souvent malgré eux selon les objectifs mis en place au sein des conseils d’administration. Si vous souhaitez vous informer sur le monde du travail ce ne sont pas les documents qui manquent.
Le travail permet à l’homme de s’épanouir, de s’exprimer, d’avoir une vie sociale, et de s’enrichir, sans compter qu’il lui permet de se nourrir et nourrir sa famille, acheter un appartement, une voiture, l’éducation des enfants, sa santé, et des vacances. Les employeurs ne deviennent ni ne sont des exploiteurs : les lois sociales et les tribunaux sont bien trop attentifs pour sanctionner les employeurs marginaux qui voudraient le faire. D’ailleurs les employeurs sont eux-mêmes des travailleurs. La fonction publique, les syndicats, les ONG, sont des employeurs.
Cette article n’apporte aucune précision, quand au sommes engagé par les présidents.
Car multiplié par 6, 10 € et multiplié par 2, 1000 €, ce n’est pas la même chose.
De plus selon le tableaux en image, je vois que nous sommes passé de 100 à 600 milliards en 15 ans,
Mais nous sommes passé de 1100 milliard à 1600 milliards en à peine 5 ans.
Nous voyons surtout au delà des dépenses que le président actuelle, dépense 3 fois plus vite. On peut dire aussi qu’il dépense autant que 3 président réunis.
Facile de pointer l’assistanat, les français sont des loosers, des feingants etc etc…souvent ce sont les rentiers qui tiennent ces propos ce qui est à mourir de rire…pourtant c’est assez drole de constater qu’avant le milieux des années 70 qusiment rien puis dès qu’on emprunte avec interets ça explose…bizarre non ? Et puis considerer une augmentation en pourcentage est un manque d’honneteté intellectuelle puisque si je fais 100M de deficit en partant de 100 je multiplie par deux et si j’en fais 100 en partant d’une dette cummulée de 1000 j’augmente de 10%….je suis meilleur gestionnaire selon vous…soyons serieux…un pays de non ssistés comme les USA c’est comment ? Ah mince c’est pire…ben oui je suis bete c’est à cause d’obama…facile quand meme….
Le facile n’est pas ennemi des faits et de la vérité.
Damien : vous devriez apprendre à lire l’article ET divers commentaires pertinents qui s’y ajoutent.
Puis-je vous faire remarquer ainsi que je prends la peine de lire le vôtre (15/03 10:18), mais que vous flinguez ici sans (par exemple) avoir lu ce que je déposais hier 14/03 à 21:00 ? Un peu de maturité ne vous ferait pas de tort…
Jean-Patrick Grumberg ce que je veux dire c’est que j’ai parfois l’impression que vous cedez à un certain dogmatisme dans vos articles et pourtant je prend plaisir à venir sur votre site ! Encore une fois je ne cherche pas à défendre qui que se soit et je redoute autant une réélection de Nicolas Sarkozy (qui fera définitivement éclater la société française ou ce qu’il en reste) que la bêtise et le manque de courage dont fera preuve Hollande. Je n’ai malheureusement pas les solutions aux problèmes actuels de ce pays et j’ai parfois un certain frémissement en me disant que quoi qu’on fasse maintenant les esprit et les comptes sont tellement vides qu’il vaut encore mieux se préparer intelligemment au cataclysme qui s’annonce…
Le choix de la méthode de calcul pour les comparaisons est amusant.
D’ailleurs j’ai fait pareil avec les USA pour voir, et ça donne ceci:
Meilleurs gestionnaires (de très loin) :
Obama suivi de Clinton, et Bush père un peu plus loin
Pires gestionnaires (de très loin aussi) :
Georges W. Bush, et Reagan, qui est la pire des calamité
Là je pense que vous avez tenu votre calculette à l’envers. J’ai publié plusieurs fois l’endettement des présidents US, c’est pas beau à voir pour Obama.
Je sais, justement. Je voulais mettre en évidence que votre mode de comparaison basé sur des coefficients multiplicateurs ne permet pas de comparer grand chose en fait.
La dette des USA et son historique est disponible partout, elle est montée en flêche sous gw bush.
Vous devriez prende des cours d'Anglais pour vérifier vos sources : ce n'est pas dans Le Monde qu'on trouve de l'info. Obama a fin octobre 2011 avait augmenté la dette de 23.5%, soit bien plus en 1 mandat, que Bush (+21%) en 2 mandats. En fait, Obama a plus augmenté la dette, en valeur, que celle de tous les présidents des Etats Unis depuis Georges Washington à George Bush. ici : http://blog.heritage.org/2011/10/05/in-pictures-debt-by-president-obama-leads-the-pack/ et ici : http://cnsnews.com/news/article/obama-has-now-increased-debt-more-all-presidents-george-washington-through-george-hw
Sauf que le choix des éléments de comparaison peut donner des résultats complètement différents.
Si l’on regarde ce qu’il en est du volume de la dette américaine plutôt que de celle-ci en pourcentage du PIB (ce que vous avez d’ailleurs fait pour la dette française), on obtient ceci : http://www.iaed.org/banana/images/USA_Debt_9.jpg.
Tout ça pour dire qu’il est extrêmement difficile de trouver un modèle qui permette de rendre compte précisément de la gestion des dirigeants.
Hors de tout calcul et de toute discussion la gestion de Obama dans tous les domaines est catastrophique.
Lorsqu’on a qu’une vision binaire du monde, comme c’est le cas chez tous les fanatiques ou les enfants de 3 ans, on ne peut en effet que voir que tout est catastrophique dans tous les domaines d’un côté et tout est merveilleux dans tous les domaines de l’autre. Lorsqu’on est un peu plus réfléchi ou simplement adulte on sait que les choses sont un peu plus compliquées.
Compliquer les choses simple est du domaine de l’adulte. En politique comme en économie,les faits sont globalisés sans quoi on ne peut être décisionnaire. On ne peut être à moitié communiste et à moitié libéral. On trouvera toujours un peu de bien dans beaucoup de mal.
Vous ne pouvez pas sérieusement affirmer que «Sarkozy, accusé d’avoir explosé les compteurs, s’est «contenté» d’un «modeste» coefficient multiplicateur de 1,5 depuis le 16 mai 2007». Les chiffres vous donnent tort, incontestablement :
Il faut comparer ce qui est comparable car comparer des taux sur des montants bruts n’a qu’une valeur comptable. En matière de performance économique vous devez comparer les taux d’endettement par rapport aux PIB entre la prise de fonction et le départ des gouvernements (de gauche ou de droite). Comme pour un logement, il faut comparer les états des lieux d’entrée et de sortie.
Là, la performance de votre héros devient la «plus» pire (comme dirait ma fille) des 30 dernières années ! Près de trois fois le taux de progression de la dette par Mitterrand avant le gouvernement Balladur et plus de quatre fois celui observé sous Chirac !
1980 : 20,4 % du PIB
1981 F. Mitterrand (avant Balladur) : 12,5% du PIB en 7 ans, soit 1,8% par an
1987 : 32,9 % du PIB
1988 F. Mitterrand (depuis Balladur) : 15,8% du PIB en 7 ans, soit 2,3% par an
1994 : 48,7 % du PIB
1995 J. Chirac : 14,5% du PIB en 12 ans, soit 1,2% par an
2006 : 63,2% du PIB
2007 N. Sarkozy : 25,8% du PIB en 5 ans, soit 5,2% par an
2011 : 89% du PIB
Les chiffres de l’Insee sont sans appel : en moyenne, les taux d’endettement ont progressés 1,3 fois plus rapidement sous les gouvernements de droite que sous les gouvernements de gauche.
Gouvernement de gauche : 1,8% du PIB par an (12,5% en 7 ans)
Gouvernement de droite : 2,3% du PIB par an (56,1% en 24 ans)
Amusant!
Je veux dire la foire d’empoigne des commentaires, surtout quand du “Troll” (c’est comme ça qu’on d”signe les aboyeurs professionnels islamo-gauchistes et associés?) s’en mêle?
Il me semble que les interventions sérieuses (Wolf, David) étaient nécessaires, car effectivement, pour des réalités comptables, exprimées en une monnaie à peu près stable (bien que. . . )il faut parler en chiffres bruts et non en %. Ce ne sont pas des % qu’on aura à rembourser, mais des sommes, prises dans nos poches par le Fisc.
Ambiance électorale présidentielle oblige, le café du commerce résonne des noms des présidents passés et des présidentiables.
Ils ne représentent au plus que des capitaines d’équipe, inscrits sur la feuille de match.
On sait pourtant à qui attribuer la vraie responsabilité des dettes: à ceux qui détournent d’autorité l’argent public dans leurs poches ou celles de leur clientèle, et c’est chiffré:
syndicats des dockers, d’EDF, SNCF, associations, clientèle d’assistés des partis de gauche, immigrés, “bénéficiaires” prolifiques, polygames, canards boiteux nationalisés ou sous perfusion, du PDG désigné par l’État aux manœuvres désœuvrés, les Palestiniens, les potentats exotiques. . . Sans oublier la pléthore d’élus parasites et leurs comités Théodule; et surtout la bureaucratie européenne.
Regardez bien le tableau; y a-t-il le moindre infléchissement de la courbe après les élections présidentielles, en cours de route, sur les trente calamiteuses? Au moins une seule?
Conclusion: le vrai pouvoir de pomper le fric et d’endetter le pays est ailleurs qu’à l’Élysée et qu’à Matignon, dont les tréteaux ne servent qu’à amuser la galerie du chaland pendant qu’on lui fait les poches!
Quand les dockers CGT de Marseille bloquent le port ce sont eux qui décident qu’on va payer encore plus, peu importe le nom du guignol présidentiel qui va immédiatement baisser son froc en notre nom. Ce n’est que l’exemple le plus criant, le reste est à l’avenant.
Mr Grumberg ainsi que les amateurs de chiffres hâtivement mesurés ou devrais-je dire, agréablement présentés, je suis désolé mais, ne vous déplaise, les analyses non pas en montant bruts chiffrés mais en pourcentage de PIB présentées par Jean Pierre et Hotdooog sont hélas les seules valables pour une analyse sérieuse du calcul de la dette et de son imputation à tel ou tel gouvernement, car ayant une valeur de référence stable. C’est d’ailleurs bien ce système et non celui en données chiffrées brutes qui est seul pris en compte pour l’élaboration du cadre des critères de gestion budgétaire des états membres en vigueur dans notre chère zone euro (et de tout autre encadrement budgétaire d’u pays du monde quel qu’il puisse être)…
Ceci n’enlève hélas rien au désastre brut chiffré bien entendu, mais nuance sensiblement le “qui à fait quoi”…
Ah les chiffres et leurs présentations… 🙂