Le site Spyworld (1), le 22 juin 2007, évoque la filière toulousaine du jihad en ces termes : « Ils se forment sur internet, partent en Irak combattre les « Croisés », puis rentrent dans leur pays, la France. Sont-ils prêts à commettre des attentats sur notre sol ? Peuvent-ils se transformer en kamikazes ? »
Abdelkader Merah, 29 ans, le frère de Mohammed, qui dans un premier temps disait ne rien savoir des activités de son jeune frère, pour se déclarer ensuite très « fier » des actes commis par Mohammed, a été inculpé pour complicité d'assassinats et association de malfaiteurs en vue de la préparation d'acte de terrorisme.
Ottawa Citizen (2) indique que les frères Merah, et pas seulement Mohammed, étaient connus des services de la DCRI en tant que membres du groupuscule islamiste Forsane Alizza qui a adopté une idéologie de purification religieuse qui rappelle la purification ethnique des nazis.
Ce groupe ultra-violent, dont le site internet vient d’être fermé et le groupe dissous, est associé à un autre groupe d’extrême droite islamiste, Sharia4Belgium (3), considéré comme une bande d’illuminés salafistes qui veulent imposer la Sharia en Belgique. L’un des leaders vient cependant de démontrer qu’ils ne sont pas si illuminés que ça, car il a été appréhendé en possession d’une Kalashnikov (4).
Les contacts de Mohamed Merah ont conduit à l'interpellation de 19 autres musulmans (sans faire d'amalgame) près de Nantes, Toulouse, en région parisienne, à Lyon, Nice et Marseille, y compris Mohammed Achamlane, interpellé à Couëron, et considéré comme le leader du groupe islamiste. Trois kalachnikov, un pistolet Glock, une grenade, cinq fusils, des armes de poing, des tasers, un gilet pare-balles et une réplique de kalachnikov" ont été saisis.
Selon le Daily Mail, (10) Mohammed Merah a bien suivi son entrainement dans les camps d’al Qaida. Le journal révèle qu’il a rencontré, en Afghanistan, lors de son « voyage touristique », des jihadistes d’un réseau anglais, et que son nom de code était « Youssef Toulouse ».
Mohamed Merah est dans le radar des autorités françaises depuis au moins 2008, date où il s’évade d’une prison afghane, ajoute le quotidien britannique, qui révèle l’appartenance de Mohammed Merah au réseau Jund al-Khilafah, une émanation d’al Qaida.« Non seulement (les frères Merah) étaient membres de ces groupes, mais ils étaient en contact avec eux, en Europe, et les ont rencontré en Afghanistan ».
Le réseau jihadiste, parfaitement connu de la DCRI et de la DST, qui va de Toulouse à Albi, en passant par l’Ariège et Narbone, de la Syrie à la Grande Bretagne, de la Belgique à l’Irak, de la région parisienne à l’Egypte, passe constamment par Mohammed Merah, jihadiste de moins en moins solitaire, et de moins en moins auto-radicalisé.
Son frère Abdelkader, selon Scotland Yard et le MI5, a fait des voyages en Grande Bretagne pour rencontrer des radicaux. Sharia4Belgium est lui-même associé à Sharia4UK, et au groupe extrémiste al-Muhajuroun de Anjem Choudary, le prédicateur des croisades contre l’occident qui promet d’instaurer la Sharia, un groupe aujourd’hui interdit.
Mohammed Merah était un des terroristes de cette organisation islamiste tentaculaire aux ramifications internationales.
Le Cheikh Syrien « Olivier » Abdulilah Qorel, surnommé « l’émir blanc » dans les milieux salafistes, est un des pivots des organisations jihadistes. Il vit dans l’Ariège, au sud de Toulouse, et a déjà été mis en examen (puis relaxé) pour association de malfaiteur en relation avec une entreprise terroriste. Il a indiqué au Daily Telegraph que Mohamed et Abdelkader Merah lui ont rendu visite « au moins une fois » cette année, et a déclaré au Parisien qu’il « connait les frères Merah ». Selon le Daily Telegraph, Mohamed et Abdelkader Merah lui ont rendu visite il y a quelques semaines pour discuter, entre autres, de la loi de l’islam, la Sharia. Le maire du petit village surveillé 24h/24 par la DCRI ou vit le cheikh, a déclaré avoir vu les deux frères Merah rendre visite au Cheikh quelques jours avant la tuerie de Toulouse.
Le mollah Qorel mentionne le coran en permanence, déclare ne reconnaître que la loi de l’islam, laquelle est au dessus de la loi des hommes, et pourrait, selon Le Parisien, être l’un des complices de la tuerie de Toulouse.
C’est également d’un réseau terroriste syrien, la filière de Toulouse, dont Qorel pourrait être la tête, et qui avait amené Abdelkader devant les tribunaux en 2009, lorsque six personnes ont été accusées d’avoir mis en place un réseau de recrutement de volontaires pour la guerre en Irak. « À l’époque, Abdelkader Merah est passé entre les mailles du filet, confirme une source. Mais il était très proche de ces gens-là. Il était surveillé par la DST. »
On sait par ailleurs qu’une dizaine de ces gentils jeunes, dans l’entourage de Mohamed Merah, décidément pas si solitaire que ça, ont été recrutés et envoyés en Syrie suivre un entrainement. « Il y avait une première phase d’endoctrinement, explique un enquêteur. Puis, les jeunes étaient envoyés en Égypte, pour des séjours de plus en plus longs. » Une phase de préparation, plus dure, était ensuite organisée : stages sportifs, conditionnement à base de vidéos de combats de djihad. Les candidats djihadistes devaient compléter leur « formation » en Égypte, dans une école du Caire, avant d’atteindre l’Irak, via la Syrie. (5)
Le 20 février 2008, deux frères ayant fait « des voyages religieux en Egypte », sont arrêtés à Toulouse. L’un deux sera mis en examen pour association de malfaiteurs. Qui sont et où sont, aujourd'hui, ces deux frères ?
Entre 2007 et 2008, les juges Coirre et Trédivic mettent en examen le toulousain Sabri Essid, 24 ans ; l’Albigeois Thomas Barnouin, 28 ans (tous deux de retour de Syrie) ; un marocain et cinq français convertis à l’islam ; Fabien Clain ; Mohamed Merghebi ; Anouar el Madhi ; Miloud Chachou.
La 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris prononcera à leurs encontre des peines de prison de 6 mois à 6 ans. Que sont devenus ces combattants islamistes ? Ont-ils été relâchés ? Habitent-ils toujours les quartiers des Izards, de la Reynerie ou de Papus ? Ont-ils participé à la minutieuse préparation des attentats ? Ont-ils reçu l’ordre d’en préparer d’autres ?
Sur le site du Monde (6), le nom de Sabri Essid réapparait pour détourner l'attention. On peut lire : « La justice et la police françaises sont formelles : le parcours de Mohamed Merah, principal suspect des attentats perpétrés contre des militaires et l'école juive de Toulouse, était le fruit d'une dérive solitaire. »
Dérive solitaire ?
Pourtant en 2008, Mohamed Merah obtient un permis pour rendre visite en prison à … Sabri Essid. Les services de police notent, à cette époque, qu'il lui apporte de l'argent. Sabri Essid a été arrêté, rappelons-le, les armes à la main, à la frontière entre la Syrie et l'Irak. (7)
Plus tard, le père du combattant islamiste Sabri Essid épousera Zoulikha Aziri, la mère de Mohammed. Drôle de famille intégrée…
Sans parler du grand frère peintre en bâtiment qui porte barbe et tunique, dont la femme est voilée, qui se rend plusieurs fois avec sa femme en Egypte « pour étudier la Sharia », qui est fier de l’acte de son frère, et que la brigade antiterroriste vient de faire inculper.
C’est un Mohammed Merah, jihadiste salafiste, impliqué dans les réseaux islamistes internationaux, bien différent du gentil garçon solitaire psychologiquement fragile (8) qui en 2010, tentait de recruter pour la filière jihadiste (9).
Spyworld : « En 2003, sur les conseils de Qorel (note de JPG, que les frères Merah ont rencontré peu de temps avant la tuerie de Toulouse), un de ses jeunes disciples, Thomas, s’inscrit à l’université de Médine, en Arabie Saoudite, puis revient à Toulouse. De retour à Médine, il trouve une filière pour gagner l’Irak et échappe de justesse à un raid de la police saoudienne. Des passeurs le font entrer en Syrie. Son ami Sabri (note de JPG : le beau fils de la mère de Mohammed) le rejoint. Les deux hommes sont repérés et arrêtés par les services secrets syriens, fin 2006. Deux mois plus tard, ils sont renvoyés en France et remis à la DST. »
Spyworld : « Cette affaire illustre la vraie crainte des services antiterroristes aujourd’hui : le développement d’un terrorisme purement national, mené par des jeunes Français convertis au djihad sur internet. Des enfants du pays sans histoires, sans organisation, beaucoup plus durs à repérer que des terroristes venus de l’étranger. L’Irak sert de moteur, de force d’attraction à ces nouveaux fanatiques. Depuis 2003, une soixantaine d’entre eux y sont partis ». Note de JPG : une soixantaine, évoluant tous autour de Mohamed et Abdelkader Merah.
Spyworld : « Une dizaine y ont trouvé la mort… D’autres, enfin, sont parvenus à rentrer au pays. Pour tous, une seule plaque tournante, la Syrie. Déjà en 2005 un groupe de djihadistes arrêté à Trappes a vu son chef effectuer un stage à Damas pour préparer des attentats en Europe »
En février 2007, Les juges d'instruction parisiens Jean-Louis Bruguière et Philippe Coirre ont validé les soupçons des policiers, en mettant en examen quatre Toulousains, un Ariégeois et un Albigeois interpellés mardi et mercredi, pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste »; trois ont été aussi mis en examen pour « financement du terrorisme ».
« Issus des quartiers de la Reynerie, de Papus, des Izards (note de JPG : le quartier de Mohamed Merah), Stéphane Lelièvre, Imad Djebali, Mohamed Megherbi et Sabri Essid (le "demi-frère" de Mohamed), ainsi que l'Albigeois Thomas Barnouin, partageaient leur vie entre petits boulots et prières à la mosquée. « Le réseau comprenait de cinquante à soixante personnes, à Toulouse, en région parisienne, en Belgique », précise un enquêteur. (5)
Mohammed Merah et son frère, au cœur du réseau de recrutement jihadiste de la région toulousaine…
En avril 2005, les enquêteurs de la Direction nationale antiterroriste interpellent à Toulouse un homme de 52 ans ainsi que son fils âgé de 21 ans. Ils avaient été relâchés.
En juin 2005, un islamiste radical, marocain de 35 ans, est interpellé à Montpellier et mis en examen dans une enquête dite « des filières irakiennes ».
Zacarias Moussaoui, condamné à perpétuité pour les attentats du 11 septembre est lui aussi de la région : il a grandi à Narbonne.
Spyworld publie en 2005 : « Parfois, ces « islamistes invisibles » décident d’agir en solo. « Une personne isolée peut faire aujourd’hui presque autant de dégâts qu’une organisation » , prévient le commissaire Chaboud, et cite un exemple qui rappelle étonnement Mohammed Merah pour n'y vois qu'une coïncidence : le mois dernier, à Nancy, un homme de 34 ans s’est autoproclamé kamikaze sur internet. Kamel Bouchentouf se dit prêt à poser des bombes dans sa région. Ses cibles : la préfecture de Meurthe-et-Moselle, des McDo, le consulat américain au Luxembourg et le 13e régiment de dragons parachutistes à Dieuze, Moselle. » (Note de JPG : déjà les parachutistes, comme à Toulouse)
Le parcours de Hamid Bach, jihadiste de Montpellier emprisonné à Fleury Merogis (11), ressemble tellement au parcours de Mohammed Merah et de Kamel Bouchentouf que le doute n'est plus possible : nous ne sommes pas en présence, avec Mohamed Merah, d'un loup solitaire qui subitement est devenu fou, mais d'un soldat de dieu obéissant à un plan préparé avec soin depuis l'étranger, exécuté par des jihadistes qui ont suivi le même parcours, le même endoctrinement, et le même entraînement.
Examinions les similitudes entre le cas de Hamid et celui de Mohamed :
D’origine marocaine, Hamid Bach vit de RSA et de la revente de voitures d’occasion. Il a été initié par son camarade Hamza Safi, 21 ans, rencontré dans l’équipe de foot du quartier. Ils ont l’habitude de surfer ensemble le soir sur les sites djihadistes et de télécharger les vidéos guerrières d’Al-Qaida. Un restaurateur de Montpellier, Amine Liassine, leur a financé un voyage à Londres pour aller prier à la mosquée de Finsbury Park, haut lieu islamiste radical. « Un matin de juin 2004, à mon réveil, il n’était plus là, raconte Salima, son épouse, entièrement voilée de noir. J’ai tout de suite eu un mauvais pressentiment. » Bach était parti en Syrie avec Safi. Ils ont pris des avions différents. Pour une même destination : un institut islamique radical de la banlieue de Damas. Ils y restent plus d’un mois. Bach prend sa décision, il veut faire la guerre sainte.
Un jour, Bach et Safi sont conduits dans une maison près de la frontière irakienne. Ils y rencontrent Mohammed l’Irakien, un lieutenant du chef de guerre Abou Moussab al-Zarqaoui. Les deux Français doivent servir de kamikazes – Merah avait reçu la même demande. Safi accepte. Il trouve la mort quelques semaines plus tard à Falloujah. Bach, lui, refuse – comme Merah. Sa famille lui manque. « Pour s’en sortir, il n’avait pas le choix, raconte son avocat, Jean-Robert Phung. Il devait montrer qu’il serait plus utile à la cause en rentrant en France qu’en se faisant sauter. » Les chefs djihadistes acceptent que Bach ne serve pas de bombe humaine à la condition qu'il constitue une cellule dormante d’Al-Qaida à Montpellier.
Mohammed Merah est lui aussi parti dans les camps d’entrainement, il s’est vu également proposer de mourir en kamikaze. Il refusera, et sera renvoyé en France. Il a donc, très certainement, été renvoyé en France sous la condition qu'il constitue une cellule dormante d’al-Qaida, ce qui ne semble pas être contredit par l'arrestation si rapide, fin de semaine, de 19 musulmans.
La DST dira d'ailleurs de Hamid Bach que son itinéraire ressemble à celui de tout apprenti djihadiste.
Ghulam Faruq, directeur de la prison de Kandahar, citant des documents de la prison, confirme d’autres sources indiquant que Mohammed Merah aurait combattu contre les forces de l’Otan en Afghanistan, au coté des Taliban. Il a déclaré à Reuters (12) que les forces afghanes ont arrêté Mohammed Merah le 19 décembre 2007, et qu’il a été condamné à trois ans de prison pour avoir posé des bombes dans la province de Kandahar, le berceau des Taliban. Faruq ajoute que Merah s’est échappé de la prison avec un millier d’autres prisonniers, dont environ 400 Taliban, lors d’une attaque de la prison Sarposa, en juin 2008, quand les Taliban ont fait exploser la porte principale avec un camion chargé d’explosifs. Ahmad Jawed Faisal, le porte parole du gouverneur de la province a cependant déclaré qu’aucun français du nom de Mohammad Merah n’a été détenu, ce qui ne veut pas dire qu’il n’ait pas été détenu sous un autre nom.
Un monde de Taqiyya pour soutenir la thèse d'un Mohamed victime de la société
Yamina Mesbah, l'épouse d'Abdelkader Merah, qui a refusé de se marier civilement parce qu’elle ne reconnait pas les lois de la république, mais seulement la Sharia, dit n’être au courant de rien des activités terroristes de son mari alors qu’elle l’accompagnait dans ses voyages chez les fondamentalistes. Elle dit ne plus avoir de contacts avec Mohamed depuis plusieurs années, pourtant elle était présente lors de la dernière visite que les deux frères Merah ont rendu à Qorel il y a quelques semaines – pour ce qui pourrait bien être la mise au point des derniers détails des meurtres.
La mère de Mohamed qui disait n’avoir aucun ascendant sur son fils est loin d’avoir dit toute la vérité également : elle a épousé en seconde noce un intégriste dont le fils, Sabri Essid, est un jihadiste qui a combattu à la frontière entre la Syrie et L’Irak avant d’être capturé et expulsé vers la France.
Saïd Arif est le terroriste islamiste condamné à 10 ans de prison en 2007 que la Cour européenne des Droits de l’homme a interdit de renvoyer en Algérie car sa sécurité ne serait pas assurée. Il avait été reconnu coupable d’avoir fomenté des attentats islamistes dans le nord de la France en 2001-2002, et fut arrêté en 2003 à Damas. Il a fait récemment parler de lui car il était assigné à résidence depuis décembre 2011 dans un hôtel de Millau.
Comme Mohamed Merah, il fait partie des filières Jihadistes qui envoient des jeunes des banlieues en Afghanistan, en Irak ou en Syrie. Le 22 janvier, deux mois avant la tuerie de Toulouse, il a échappé à la surveillance des hommes de la DCRI, et a disparu dans la nature. Millau est à deux heures de Toulouse…
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
on peut aller plus loin que la famille de merah, puisque ce cher comique Djamel Debbouze, a egalement dit son mot sur cette tuerie.
evidemment il pense la meme chose; ” une societe qui rejete ses habitants, ne peut qu’aboutir a ce resultat etc…”. des salades quoi…
j’aimerai qu’on ne s’en prenne pas a ses chers bambins.
qu’en pense la belle Melissa?
Comment qualifier le mental de toute cette “racaille immonde”?
Des “Hyènes à barbe” me semble assez probante : l’espèce s’identifie aux carnassiers harcelant tout ce qui peut constituer une proie parmi les espèces différentes de la leur.
Animaux sans foi ni lois , saccageant des territoires définis “Etats de lois et de droits”, là où les institutions et la légalité se retrouvent bafouées à la suite d’actions irresponsables nées en des Con-seil de l’Europe, Con-seil des D.H. onusien … mais appliquant ces notions de D.H. (droits fondamentaux) à l’inverse de toute logique d’équité humaine!
à ajouter à la longue liste des sites indiqués par JPG que je remercie pour ce remarquable travail de compilation que je n”aurais jamais eu le temps d”effectuer
« Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l’intégrisme n’est pas la maladie de l’Islam. Il en est la lecture intégrale. L’islam des intégristes, des islamistes, c’est tout simplement l’Islam juridique qui colle à la norme »[2].
Un rapport des renseignements généraux, que le journal Le Monde avait pu se procurer en 2004, révèlait une inquiétante progression de l’islam salafiste pour la seule Ile de France. Voici un extrait de l’article :
« A ce jour, 32 mosquées ou salles de prières se trouvent sous le contrôle d’islamistes radicaux, dont la grande majorité sont des salafistes.”
En février 2005, les renseignements généraux photographièrent l’évolution du phénomène : « L’étude de la DCRG montre que le salafisme, mouvance éclatée en perpétuelle évolution, a étendu son influence ces dernières années sur la quasi-totalité du territoire, notamment dans des villes moyennes comme Brest, Rouen ou Châteauroux. En 2000, cette conception radicale de l’islam rassemblait des adeptes dans six régions ; aujourd’hui quatre seulement sont épargnées (la Basse-Normandie, la Corse, le Limousin, Poitou-Charentes). »
Safwat al-Hijazi, un Égyptien, imam et prédicateur à la télévision, invité de l’UOIF : «Oui, je suis antisémite. Si ce ne sont pas les dirigeants arabes, nous devrons dévorer les juifs avec nos dents.»
hier, au cours d’un “gouter entre copines” j’ai évoqué le problème de l’islam et du “lavage de cerveau” que l’on nous inflige au sujet de la religion de paix, tolérance et amour. J’ai failli me faire étriper par 2 de ces dames (dont l’une est musulmane). Rien dans le Coran n’incite au meurtre, nulle part il est question de tuer les mécréants ou les juifs, etc, etc.
Je leur ai demandé si elles avaient lu le Coran dans sa version intégrale à savoir la partie Mecquoise et la partie Medhinoise qui, quoiqu’imbriquées l’une dans l’autre étaient parfaitement identifiables l’une étant plutot bienveillante et l’autre particulirement guerrière.
Réponse : NON on n’a pas lu le coran, mais tout ce que tu dis est faux,c’est des mensonges, ça a été ajouté après par les intégristes, mais ça ne figure pas dans le Coran. Inutile donc d’insister.
Quant à l’affaire Mérah, ce matin, quelqu’un de sans doute bien informé m’a dit : Il a été exécuté à la demande des américains qui voulaient se débarrasser de leurs taupes ! là, j’en suis restée sans voix !
Et dire que ces gens votent……
L’Islam n’est pas soluble dans la tradition Judeo-Chretienne, ni dans la Laicité.
Il faut reviser toutes les naturalisations obtenues tribalement en France. On n’a pas besoin de ces millions “d’invités” qui restent apres la fin du festin.
Giscard d’estaing a commis 2 grandes fautes historiques: le regroupement familial des Mahgrebins et le traité de Lisbonne, la France a disparu, prise en étau.
franchement c’est gens la ils sont pas bien dans leur tête ils commet des actes barbare et se permette de dire que c’est dans le coran qu’ils ont vu sa hors que le coran et un livre sacré pour les musulman comme la bible et un livre sacrée pour les chrétiens revenir a dire que le coran nous incite nous musulman a tué reviendrai a dire que la bible pousse au meurtre ce qui ai complètement faux quand on y regarde de plus prés c’est toujours un arabe ,un algérien ou un marocain qui sont les auteur de c’est actes et pourtant comme musulman y en a plein d autre et pourquoi c’est toujours les même c’est juste qu’il ne sont pas bien dans leur tète ils ont des pulsion meurtrière et salisse l’image de la religion islamique
“shariah4belgium” sauf erreur de ma part a publié sur you tube la mort de merah.
Et il se trouve que comme pour l’assasin de sofiane, les racailles appaudissent.
Il y a certaines vérités qu’il faut clamer même si l’on n’est pas toujours du même avis que cet auteur :
Affaire Merah : la question qui nest pas posée
par Bruno Gollnisch, Député européen
La plupart des commentaires sur l’affaire Merah demandent de ne pas stigmatiser tous les Musulmans. Ils ont raison. Il n’y a pas dans notre culture occidentale, et il ne saurait y avoir, de responsabilité collective. En revanche, on voudrait être plus certain que l’Islam est bien pour tous les Musulmans cette religion de paix et d’amour que l’on nous vante dans autant de discours lénifiants. Poser la question, c’est hélas y répondre.
Un responsable de l’enquête a exposé que la date choisie par Merah pour ses crimes n’était pas choisie au hasard. Et notamment celle du 19 mars, jour anniversaire de l’entrée en vigueur des accords d’Evian. Puisque l’on nous y « invite » donc, rappelons que l’ islamisme fanatique et l’anti-occidentalisme furent parmi les principaux ressorts de l’action du F.L.N. algérien, aujourd’hui encensé de façon indécente, qui pratiqua systématiquement les assassinats de civils, y compris les assassinats d’enfants européens, (enfants de deux et trois ans égorgés, crucifiés sous les yeux de leurs parents) mais aussi musulmans, comme l’entière population du village de Melouza, les familles des malheureux harkis abandonnés par la France, etc.
Pas plus tard que cette semaine, dans Marianne, Zohra Drif, Sénatrice algérienne, revendique fièrement d’avoir contribué à l’attentat du « Milk Bar » et justifie ses assassinats. Mme Danielle Michel-Chich, qui avait alors 5 ans, y perdit une jambe, et sa grand-mère, qui l’y avait emmenée pour manger une glace. Elle lui répond de façon digne mais ferme. Les morts, eux, ne sont plus là pour répondre à la sénatrice meurtrière.
Mais revenons à Merah. Je laisserai de côté les aspects seconds, voire secondaires, comme les discussions pour savoir s’il aurait dû être neutralisé dès que la DCRI avait eu connaissance de son séjour au Pakistan. La gauche, qui a voté contre tous les systèmes de collecte d’information, paraît s’indigner de la carence des autorités. Que n’aurait-elle pas dit si l’on avait inculpé ou inquiété ce bon jeune homme au seul motif de cette ballade « touristique ».
Il est tout de même étrange, avouons-le, qu’on ait laissé prospérer ce réseau salafiste que la Dépêche du Midi qualifiait de « Bureau de recrutement pour le Djihad », et dont onze membres avaient été arrêtés…dès le 14 février 2007 ! Quant à la « neutralisation » de Mohammed Merah, il est vrai qu’il eut bien mieux valu le prendre vivant, afin d’en tirer plus d’informations. Mais c’est facile à dire pour des commentateurs qui écrivent tranquillement leur « papier » dans leur bureau, et qui n’ont jamais entendu siffler que des balles de tennis. Moins facile pour des policiers en situation dont la vie est directement menacée.
Ce qui m’intéresse ici se situe en amont de tout cela : que faisait ce garçon dans un pays –le nôtre- qu’il haïssait, comme d’autres membres de sa famille ? Comment d’ailleurs, et pourquoi, cette famille est-elle arrivée-là, dans un pays où théoriquement l’immigration de travail a cessé depuis 1975 ? A quelle rationalité obéissait cette présence ? Quel profit la communauté nationale a-t-elle retiré de cet « apport » au regard des coûts ? Je ne parle pas des coûts consécutifs au drame : humains-ils sont irréparables- ou matériels : les pensions dues aux veuves, aux orphelins, etc. Non, je parle de ce qu’il y a eu avant, et que l’on n’évoque pas, ou si peu, ou par bribes, et pour cause :
Combien donc a coûté la famille Merah à la France ? le Père, Mohammed Melal Merah, qui nous a légué ses rejetons et s’en est si peu ou mal occupé, incarcéré ici quatre années pour trafic de drogue, et qui a eu le bon goût de retourner en Algérie. La mère, les deux frères, les deux sœurs, M. Essid le beau-père, et Sabri Essid, le fils de ce dernier, autre militant salafiste, arrêté les armes à la main, fin 2006 en Syrie, près de la frontière avec l’Irak, condamné et incarcéré en France !
– Quelle partie des dépenses de la collectivité a été couverte par leur travail ?
Et en particulier pour feu Mohammed Merah : combien a –t-il coûté à ce pays, qu’il a remercié par ces actes affreux, en allocations pré- et post- natales, en scolarisation gratuite (avec bourses ?), en allocations familiales, en soins gratuits remboursés par la sécurité sociale, y compris l’hépatite A contractée au Pakistan, en formation professionnelle (C.A.P. Carrossier), en Aide Personnalisée au Logement, en R.S.A. ? Combien ont coûté ses méfaits précédents, ses 18 arrestations, ses 15 condamnations, en dommages, déprédations, temps passé de policiers, de magistrats, de greffiers, d’éducateurs, etc. ? et ses 21 mois d’incarcération ?
Oui, combien tout cela a-t-il coûté ? 200.000, 300.000, 400.000 € ? moins ? plus ?
Et ceci induit bien sûr une deuxième question. LA question. Question taboue pour le « politiquement correct ». Question qui NE DOIT pas être posée selon, entre autres, le journal Libération. Et qui de fait ne l’a pas été. La question de la Nationalité. Il paraît qu’à l’UMP Jacques Myard, député, l’a soulevée avec trois autres parlementaires du même bord. Ils demandent que désormais l’octroi de la nationalité française à des étrangers nés en France n’ait plus de caractère automatique.
Dans Libé, journal passé du maoïsme à Rothschild, aujourd’hui son principal actionnaire, devenu gazette officielle de la bien-pensance, et arbitre des élégances morales, M. François Sergent, éditorialiste, s’en indigne. Il stigmatise le « Propos ignoble et hystérisé » (sic). Il s’écrie : « Merah est aussi français que Jacques Myard ». Il martèle « Merah est certainement un monstre, mais un monstre français ». Nous y voilà. Il faut que Merah soit de chez nous. Bien de chez nous. Rien que de chez nous. Parce qu’il faut que quelque part la France soit coupable. Et personne d’autre.
Coupable, la France, de n’avoir pas été assez gentille avec celui que son ex-avocate, dans le même journal, nous présente comme « Gentiment crâneur, attachant, maladroit » (pas dans le maniement des armes, semble-t-il), car « Son rapport aux adultes était marqué par une grande politesse, une certaine délicatesse. Il était attentif à ses interlocuteurs » (les victimes apprécieront). Elle gardera donc l’ « image de ce gosse souriant, nuque courte, jean taille basse, polo « Ralph Lauren » (sic). Comme tout cela est touchant ! D’autant plus que Libé prend bien soin de ne pas nous dire un mot des raisons qui ont valu à Merah ses déboires judiciaires. Et de conclure :
« Jusqu’à quelle génération un enfant né français sera-t-il renvoyé à son origine algérienne, pour combien de générations son ascendance le fera-t-il éternellement étranger au pays qui est le sien ? ». Voilà, M. Sergent, un noble et beau discours, que beaucoup d’enfants d’origine européenne eussent aimé entendre lors de l’indépendance algérienne, eux dont les familles étaient en Algérie depuis parfois six générations, au lieu de se voir proposer le « choix » entre la valise ou le cercueil !
Mais il n’est pas besoin de remonter si loin ! Mohammed Merah est de la première génération à être francisée, et il l’a été, sans perdre sa nationalité d’origine, par l’effet quasi-automatique d’un Code de la Nationalité qui distribue la qualité de Français aussi bien à ceux qui l’on méritée qu’à ceux qui ne la méritent pas, à ceux qui la désirent comme à ceux qui la méprisent, à ceux qui aiment la France comme à ceux qui la haïssent. Et c’est là tout le problème ! Un problème tabou, mais un vrai, un grave, un très grave problème !
En réalité, comme je l’ai dit dès le début de cette affaire, et comme presque tous les media l’ont occulté, le plus longtemps possible, Merah, né le 10 octobre 1988 de parents algériens, avait la double nationalité. C’était d’ailleurs une évidence. Croyez-vous un seul instant que la France ne revendiquerait pas comme l’un des siens, par exemple, un enfant né de père français et de mère française au Guatemala, et ce au seul motif que sa naissance dans ce pays lui vaudrait la nationalité guatemaltèque ?
A ce compte-là, Valéry Giscard d’Estaing serait allemand ; Jean-Luc Mélenchon, Elisabeth Guigou et Dominique de Villepin marocains ; Edouard Balladur, turc ; Bertrand Delanoë, tunisien ; puisqu’ils sont nés respectivement à Coblence, à Tanger, à Marrakech, à Rabat, à Smyrne, à Tunis ! Absurde ? Oui, absurde, en effet ! C’est donc que la filiation, est un critère a priori bien plus fort que le lieu de naissance dans l’attribution de la nationalité. Et voila justifié ce fameux droit du sang, ius sanguinis, que d’incultes crétins font remonter à Adolf Hitler, alors que ce concept de droit romain, le plus important dans les droits de la nationalité de tous les pays du monde, se trouve depuis toujours dans tous les manuels de droit international privé des facultés de droit, sans exception. Concept si peu « racial » qu’il englobe aussi l’attribution de la nationalité de l’adoptant à l’adopté, du moins dans l’adoption plénière.
Eh bien si nous considérons qu’un enfant né de parents français, même à l’étranger, est français, l’Algérie, très légitimement, fait de même pour les siens. Merah était donc algérien, et son père vient de vendre la mèche en révélant qu’il avait toujours eu un passeport algérien.
Et j’en viens à ma conclusion : si le Code de la Nationalité était ce qu’il devrait être, comme ce qu’il est dans la plupart des pays du monde, la naissance sur le sol français ne lui aurait conféré aucun droit automatique. Elle eût été un simple élément à l’appui d’une éventuelle demande de naturalisation. Naturalisation accordée à ceux qui s’en sont montré dignes-(il y en a, bien sûr !), et refusée aux autres, comme ç’eût été le cas en l’espèce, compte tenu de ses multiples méfaits. Mieux : les méfaits des rejetons –et du père- auraient conduit dans n’importe quel pays à la résiliation des autorisations de séjour de cette famille étrangère.
Car le séjour en France n’est pas un droit. C’est une faveur. Les parents Merah qui, contrairement aux exigences de la loi, ne se sont pas présentés lors des comparutions de leur rejeton, n’auraient pas pour autant été condamnés. Mais il leur aurait été enjoint de retourner dans leur pays avec leur descendance, puisque certains de leurs enfants troublaient gravement l’ordre public français. C’est ce qui arrive en pareil cas dans la plupart des pays du monde.
C’est certainement ce qui arriverait à une famille française dont les enfants commettraient des méfaits en Algérie. C’est conforme au droit international public. Et c’est le bon sens. Et cela aurait très certainement sauvé six vies, sans compter celle de Merah lui-même qui aurait eu cependant intérêt à filer doux : la police et la justice algérienne sont moins compréhensives que les nôtres.
Un dernier mot. Je connais M. Myard depuis 26 ans. C’est un collègue aimable. Quand j’étais député en 1986 à l’Assemblée Nationale, membre de la commission des Affaires Etrangères, il était Conseiller de M. Michel Aurillac, ministre de la Coopération dans le gouvernement Chirac. J’avais été élu sur le programme du Front National ; la majorité chiraquienne avait été élue sur un pâle décalque de ce programme FN, qui s’appelait « la plate-forme commune RPR-UDF » (on dirait aujourd’hui : « la plate-forme UMP »). Dans ce document, RPR et UDF s’engageaient solennellement à changer le Code de la Nationalité pour faire disparaître les cas de « naturalisation automatique ». Il fallait empêcher les électeurs d’aller massivement vers le Front…
Quand la mandature s’est terminée, RPR et UDF avaient renoncé à changer quoi que ce soit. Ils n’ont pas changé un seul mot des lois sur la nationalité. 26 ans après, ils en sont toujours aux promesses électorales. Votez Marine Le Pen.
P.S. Cet article me vaudra, c’est sûr, comme d’habitude, des accusations de dureté de cœur, d’incitation à la haine, de récupération politique, et tout le bazar habituel de la rhétorique des bien-pensant. Je m’en contrefiche. Comme l’écrivait Chateaubriand, il est des temps où il faut être économe de son mépris, à cause du grand nombre de nécessiteux. Je réserve ma compassion aux victimes : aux soldats français, aux enfants et à leur maître assassinés d’aussi ignoble façon.
Et aussi aux victimes d’avant le crime : à Bitru, figure du français de souche –du « souchien », comme ils disent- qui part au boulot tous les matins, qui n’emmerde personne, qui élève ses gosses, qui n’aura jamais de quoi se payer le pavillon de ses rêves, qui vivra ses dernières années avec 750€ de retraite, et qui, sans le savoir-et sans qu’on lui ait jamais demandé son avis- a entretenu Merah par son travail, ses cotisations et ses impôts…
Quant à ceux qui m’accuseront d’écrire par détestation de l’Algérie ou des Arabes, ils ont aussi tout faux : je n’ai rien contre les Algériens ; je souhaite des relations apaisées et mutuellement profitables avec l’Algérie. La famille Merah aurait pu venir d’Argentine, d’Albanie, du Kirghizistan ou du Zimbabwé, mon raisonnement serait le même
Un autre Saïd Arif:
merouanne benhamed
http://www.youtube.com/watch?v=HaF9HeC3GzE
on peut aller plus loin que la famille de merah, puisque ce cher comique Djamel Debbouze, a egalement dit son mot sur cette tuerie.
evidemment il pense la meme chose; ” une societe qui rejete ses habitants, ne peut qu’aboutir a ce resultat etc…”. des salades quoi…
j’aimerai qu’on ne s’en prenne pas a ses chers bambins.
qu’en pense la belle Melissa?
En France vous avez DieuDo une sacré racaille
C’est peu de dire que nous sommes dans un sacré merdier. Merci la gauche,merci la fausse droite , nous vous devons tout cela.
Comment qualifier le mental de toute cette “racaille immonde”?
Des “Hyènes à barbe” me semble assez probante : l’espèce s’identifie aux carnassiers harcelant tout ce qui peut constituer une proie parmi les espèces différentes de la leur.
Animaux sans foi ni lois , saccageant des territoires définis “Etats de lois et de droits”, là où les institutions et la légalité se retrouvent bafouées à la suite d’actions irresponsables nées en des Con-seil de l’Europe, Con-seil des D.H. onusien … mais appliquant ces notions de D.H. (droits fondamentaux) à l’inverse de toute logique d’équité humaine!
à ajouter à la longue liste des sites indiqués par JPG que je remercie pour ce remarquable travail de compilation que je n”aurais jamais eu le temps d”effectuer
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/14/1284116-un-islamiste-algerien-dans-la-nature.html
Comment cela pas une victime de la société ?
Longue vie à l’éducation nationale part II :
«Est-ce une bonne chose que Mohammed Merah soit mort? Pour les victimes, leurs familles, le Raid, la justice, sa famille, lui-même, les gens»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/31/1320090-lavelanet-un-prof-propose-un-sujet-sur-mohamed-merah-a-ses-eleves.html
à lire pour mieux comprendre et informer :
« Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l’intégrisme n’est pas la maladie de l’Islam. Il en est la lecture intégrale. L’islam des intégristes, des islamistes, c’est tout simplement l’Islam juridique qui colle à la norme »[2].
http://www.islamisation.fr/archives/category/1-_connaitre_l_islam/index-0.html
Un rapport des renseignements généraux, que le journal Le Monde avait pu se procurer en 2004, révèlait une inquiétante progression de l’islam salafiste pour la seule Ile de France. Voici un extrait de l’article :
« A ce jour, 32 mosquées ou salles de prières se trouvent sous le contrôle d’islamistes radicaux, dont la grande majorité sont des salafistes.”
En février 2005, les renseignements généraux photographièrent l’évolution du phénomène : « L’étude de la DCRG montre que le salafisme, mouvance éclatée en perpétuelle évolution, a étendu son influence ces dernières années sur la quasi-totalité du territoire, notamment dans des villes moyennes comme Brest, Rouen ou Châteauroux. En 2000, cette conception radicale de l’islam rassemblait des adeptes dans six régions ; aujourd’hui quatre seulement sont épargnées (la Basse-Normandie, la Corse, le Limousin, Poitou-Charentes). »
c’était en 2005… et aujourd’hui ?
http://www.islamisation.fr/archive/2012/04/01/32-mosquees-salafistes-en-ile-de-france-seules-quatres-regio.html
http://www.islamisation.fr/archive/2012/04/01/32-mosquees-salafistes-en-ile-de-france-seules-quatres-regio.html
Invité de l’UOIF
Safwat al-Hijazi, un Égyptien, imam et prédicateur à la télévision, invité de l’UOIF : «Oui, je suis antisémite. Si ce ne sont pas les dirigeants arabes, nous devrons dévorer les juifs avec nos dents.»
Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/04/l%e2%80%99uoif-et-moussaoui-rouvrent-ils-les-voies-de-%c2%ab-l%e2%80%99ijtihad-%c2%bb%e2%80%a6moussaoui-est-il-schizophrene-ou-se-fout-il-de-nous/#ixzz1qmqew4SW
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/03/29/01016-20120329ARTFIG00740-paris-interdit-la-venue-de-predicateurs-islamistes.php
Excellent. Bravo Monsieur.
hier, au cours d’un “gouter entre copines” j’ai évoqué le problème de l’islam et du “lavage de cerveau” que l’on nous inflige au sujet de la religion de paix, tolérance et amour. J’ai failli me faire étriper par 2 de ces dames (dont l’une est musulmane). Rien dans le Coran n’incite au meurtre, nulle part il est question de tuer les mécréants ou les juifs, etc, etc.
Je leur ai demandé si elles avaient lu le Coran dans sa version intégrale à savoir la partie Mecquoise et la partie Medhinoise qui, quoiqu’imbriquées l’une dans l’autre étaient parfaitement identifiables l’une étant plutot bienveillante et l’autre particulirement guerrière.
Réponse : NON on n’a pas lu le coran, mais tout ce que tu dis est faux,c’est des mensonges, ça a été ajouté après par les intégristes, mais ça ne figure pas dans le Coran. Inutile donc d’insister.
Quant à l’affaire Mérah, ce matin, quelqu’un de sans doute bien informé m’a dit : Il a été exécuté à la demande des américains qui voulaient se débarrasser de leurs taupes ! là, j’en suis restée sans voix !
Et dire que ces gens votent……
@secotine :
A l’intention de vos copines :
http://www.youtube.com/watch?v=7WiIjs3lfHU&feature=digest_sun
Ben là que dire
Il a été exécuté à la demande des américains qui voulaient se débarrasser de leurs taupes ! là, j’en suis restée sans voix !
On va dire que c’est une blague de mauvais gout
Une lapalissade :
http://www.youtube.com/watch?v=JD69dLeL5S0&feature=digest_sun
L’Islam n’est pas soluble dans la tradition Judeo-Chretienne, ni dans la Laicité.
Il faut reviser toutes les naturalisations obtenues tribalement en France. On n’a pas besoin de ces millions “d’invités” qui restent apres la fin du festin.
Giscard d’estaing a commis 2 grandes fautes historiques: le regroupement familial des Mahgrebins et le traité de Lisbonne, la France a disparu, prise en étau.
franchement c’est gens la ils sont pas bien dans leur tête ils commet des actes barbare et se permette de dire que c’est dans le coran qu’ils ont vu sa hors que le coran et un livre sacré pour les musulman comme la bible et un livre sacrée pour les chrétiens revenir a dire que le coran nous incite nous musulman a tué reviendrai a dire que la bible pousse au meurtre ce qui ai complètement faux quand on y regarde de plus prés c’est toujours un arabe ,un algérien ou un marocain qui sont les auteur de c’est actes et pourtant comme musulman y en a plein d autre et pourquoi c’est toujours les même c’est juste qu’il ne sont pas bien dans leur tète ils ont des pulsion meurtrière et salisse l’image de la religion islamique
@Nani : pensez-vous que l’islamisation de l’Europe est un fantasme inventé par les racistes ou une réalité ?
“shariah4belgium” sauf erreur de ma part a publié sur you tube la mort de merah.
Et il se trouve que comme pour l’assasin de sofiane, les racailles appaudissent.
Il y a certaines vérités qu’il faut clamer même si l’on n’est pas toujours du même avis que cet auteur :
Affaire Merah : la question qui nest pas posée
par Bruno Gollnisch, Député européen
La plupart des commentaires sur l’affaire Merah demandent de ne pas stigmatiser tous les Musulmans. Ils ont raison. Il n’y a pas dans notre culture occidentale, et il ne saurait y avoir, de responsabilité collective. En revanche, on voudrait être plus certain que l’Islam est bien pour tous les Musulmans cette religion de paix et d’amour que l’on nous vante dans autant de discours lénifiants. Poser la question, c’est hélas y répondre.
Un responsable de l’enquête a exposé que la date choisie par Merah pour ses crimes n’était pas choisie au hasard. Et notamment celle du 19 mars, jour anniversaire de l’entrée en vigueur des accords d’Evian. Puisque l’on nous y « invite » donc, rappelons que l’ islamisme fanatique et l’anti-occidentalisme furent parmi les principaux ressorts de l’action du F.L.N. algérien, aujourd’hui encensé de façon indécente, qui pratiqua systématiquement les assassinats de civils, y compris les assassinats d’enfants européens, (enfants de deux et trois ans égorgés, crucifiés sous les yeux de leurs parents) mais aussi musulmans, comme l’entière population du village de Melouza, les familles des malheureux harkis abandonnés par la France, etc.
Pas plus tard que cette semaine, dans Marianne, Zohra Drif, Sénatrice algérienne, revendique fièrement d’avoir contribué à l’attentat du « Milk Bar » et justifie ses assassinats. Mme Danielle Michel-Chich, qui avait alors 5 ans, y perdit une jambe, et sa grand-mère, qui l’y avait emmenée pour manger une glace. Elle lui répond de façon digne mais ferme. Les morts, eux, ne sont plus là pour répondre à la sénatrice meurtrière.
Mais revenons à Merah. Je laisserai de côté les aspects seconds, voire secondaires, comme les discussions pour savoir s’il aurait dû être neutralisé dès que la DCRI avait eu connaissance de son séjour au Pakistan. La gauche, qui a voté contre tous les systèmes de collecte d’information, paraît s’indigner de la carence des autorités. Que n’aurait-elle pas dit si l’on avait inculpé ou inquiété ce bon jeune homme au seul motif de cette ballade « touristique ».
Il est tout de même étrange, avouons-le, qu’on ait laissé prospérer ce réseau salafiste que la Dépêche du Midi qualifiait de « Bureau de recrutement pour le Djihad », et dont onze membres avaient été arrêtés…dès le 14 février 2007 ! Quant à la « neutralisation » de Mohammed Merah, il est vrai qu’il eut bien mieux valu le prendre vivant, afin d’en tirer plus d’informations. Mais c’est facile à dire pour des commentateurs qui écrivent tranquillement leur « papier » dans leur bureau, et qui n’ont jamais entendu siffler que des balles de tennis. Moins facile pour des policiers en situation dont la vie est directement menacée.
Ce qui m’intéresse ici se situe en amont de tout cela : que faisait ce garçon dans un pays –le nôtre- qu’il haïssait, comme d’autres membres de sa famille ? Comment d’ailleurs, et pourquoi, cette famille est-elle arrivée-là, dans un pays où théoriquement l’immigration de travail a cessé depuis 1975 ? A quelle rationalité obéissait cette présence ? Quel profit la communauté nationale a-t-elle retiré de cet « apport » au regard des coûts ? Je ne parle pas des coûts consécutifs au drame : humains-ils sont irréparables- ou matériels : les pensions dues aux veuves, aux orphelins, etc. Non, je parle de ce qu’il y a eu avant, et que l’on n’évoque pas, ou si peu, ou par bribes, et pour cause :
Combien donc a coûté la famille Merah à la France ? le Père, Mohammed Melal Merah, qui nous a légué ses rejetons et s’en est si peu ou mal occupé, incarcéré ici quatre années pour trafic de drogue, et qui a eu le bon goût de retourner en Algérie. La mère, les deux frères, les deux sœurs, M. Essid le beau-père, et Sabri Essid, le fils de ce dernier, autre militant salafiste, arrêté les armes à la main, fin 2006 en Syrie, près de la frontière avec l’Irak, condamné et incarcéré en France !
– Quelle partie des dépenses de la collectivité a été couverte par leur travail ?
Et en particulier pour feu Mohammed Merah : combien a –t-il coûté à ce pays, qu’il a remercié par ces actes affreux, en allocations pré- et post- natales, en scolarisation gratuite (avec bourses ?), en allocations familiales, en soins gratuits remboursés par la sécurité sociale, y compris l’hépatite A contractée au Pakistan, en formation professionnelle (C.A.P. Carrossier), en Aide Personnalisée au Logement, en R.S.A. ? Combien ont coûté ses méfaits précédents, ses 18 arrestations, ses 15 condamnations, en dommages, déprédations, temps passé de policiers, de magistrats, de greffiers, d’éducateurs, etc. ? et ses 21 mois d’incarcération ?
Oui, combien tout cela a-t-il coûté ? 200.000, 300.000, 400.000 € ? moins ? plus ?
Et ceci induit bien sûr une deuxième question. LA question. Question taboue pour le « politiquement correct ». Question qui NE DOIT pas être posée selon, entre autres, le journal Libération. Et qui de fait ne l’a pas été. La question de la Nationalité. Il paraît qu’à l’UMP Jacques Myard, député, l’a soulevée avec trois autres parlementaires du même bord. Ils demandent que désormais l’octroi de la nationalité française à des étrangers nés en France n’ait plus de caractère automatique.
Dans Libé, journal passé du maoïsme à Rothschild, aujourd’hui son principal actionnaire, devenu gazette officielle de la bien-pensance, et arbitre des élégances morales, M. François Sergent, éditorialiste, s’en indigne. Il stigmatise le « Propos ignoble et hystérisé » (sic). Il s’écrie : « Merah est aussi français que Jacques Myard ». Il martèle « Merah est certainement un monstre, mais un monstre français ». Nous y voilà. Il faut que Merah soit de chez nous. Bien de chez nous. Rien que de chez nous. Parce qu’il faut que quelque part la France soit coupable. Et personne d’autre.
Coupable, la France, de n’avoir pas été assez gentille avec celui que son ex-avocate, dans le même journal, nous présente comme « Gentiment crâneur, attachant, maladroit » (pas dans le maniement des armes, semble-t-il), car « Son rapport aux adultes était marqué par une grande politesse, une certaine délicatesse. Il était attentif à ses interlocuteurs » (les victimes apprécieront). Elle gardera donc l’ « image de ce gosse souriant, nuque courte, jean taille basse, polo « Ralph Lauren » (sic). Comme tout cela est touchant ! D’autant plus que Libé prend bien soin de ne pas nous dire un mot des raisons qui ont valu à Merah ses déboires judiciaires. Et de conclure :
« Jusqu’à quelle génération un enfant né français sera-t-il renvoyé à son origine algérienne, pour combien de générations son ascendance le fera-t-il éternellement étranger au pays qui est le sien ? ». Voilà, M. Sergent, un noble et beau discours, que beaucoup d’enfants d’origine européenne eussent aimé entendre lors de l’indépendance algérienne, eux dont les familles étaient en Algérie depuis parfois six générations, au lieu de se voir proposer le « choix » entre la valise ou le cercueil !
Mais il n’est pas besoin de remonter si loin ! Mohammed Merah est de la première génération à être francisée, et il l’a été, sans perdre sa nationalité d’origine, par l’effet quasi-automatique d’un Code de la Nationalité qui distribue la qualité de Français aussi bien à ceux qui l’on méritée qu’à ceux qui ne la méritent pas, à ceux qui la désirent comme à ceux qui la méprisent, à ceux qui aiment la France comme à ceux qui la haïssent. Et c’est là tout le problème ! Un problème tabou, mais un vrai, un grave, un très grave problème !
En réalité, comme je l’ai dit dès le début de cette affaire, et comme presque tous les media l’ont occulté, le plus longtemps possible, Merah, né le 10 octobre 1988 de parents algériens, avait la double nationalité. C’était d’ailleurs une évidence. Croyez-vous un seul instant que la France ne revendiquerait pas comme l’un des siens, par exemple, un enfant né de père français et de mère française au Guatemala, et ce au seul motif que sa naissance dans ce pays lui vaudrait la nationalité guatemaltèque ?
A ce compte-là, Valéry Giscard d’Estaing serait allemand ; Jean-Luc Mélenchon, Elisabeth Guigou et Dominique de Villepin marocains ; Edouard Balladur, turc ; Bertrand Delanoë, tunisien ; puisqu’ils sont nés respectivement à Coblence, à Tanger, à Marrakech, à Rabat, à Smyrne, à Tunis ! Absurde ? Oui, absurde, en effet ! C’est donc que la filiation, est un critère a priori bien plus fort que le lieu de naissance dans l’attribution de la nationalité. Et voila justifié ce fameux droit du sang, ius sanguinis, que d’incultes crétins font remonter à Adolf Hitler, alors que ce concept de droit romain, le plus important dans les droits de la nationalité de tous les pays du monde, se trouve depuis toujours dans tous les manuels de droit international privé des facultés de droit, sans exception. Concept si peu « racial » qu’il englobe aussi l’attribution de la nationalité de l’adoptant à l’adopté, du moins dans l’adoption plénière.
Eh bien si nous considérons qu’un enfant né de parents français, même à l’étranger, est français, l’Algérie, très légitimement, fait de même pour les siens. Merah était donc algérien, et son père vient de vendre la mèche en révélant qu’il avait toujours eu un passeport algérien.
Et j’en viens à ma conclusion : si le Code de la Nationalité était ce qu’il devrait être, comme ce qu’il est dans la plupart des pays du monde, la naissance sur le sol français ne lui aurait conféré aucun droit automatique. Elle eût été un simple élément à l’appui d’une éventuelle demande de naturalisation. Naturalisation accordée à ceux qui s’en sont montré dignes-(il y en a, bien sûr !), et refusée aux autres, comme ç’eût été le cas en l’espèce, compte tenu de ses multiples méfaits. Mieux : les méfaits des rejetons –et du père- auraient conduit dans n’importe quel pays à la résiliation des autorisations de séjour de cette famille étrangère.
Car le séjour en France n’est pas un droit. C’est une faveur. Les parents Merah qui, contrairement aux exigences de la loi, ne se sont pas présentés lors des comparutions de leur rejeton, n’auraient pas pour autant été condamnés. Mais il leur aurait été enjoint de retourner dans leur pays avec leur descendance, puisque certains de leurs enfants troublaient gravement l’ordre public français. C’est ce qui arrive en pareil cas dans la plupart des pays du monde.
C’est certainement ce qui arriverait à une famille française dont les enfants commettraient des méfaits en Algérie. C’est conforme au droit international public. Et c’est le bon sens. Et cela aurait très certainement sauvé six vies, sans compter celle de Merah lui-même qui aurait eu cependant intérêt à filer doux : la police et la justice algérienne sont moins compréhensives que les nôtres.
Un dernier mot. Je connais M. Myard depuis 26 ans. C’est un collègue aimable. Quand j’étais député en 1986 à l’Assemblée Nationale, membre de la commission des Affaires Etrangères, il était Conseiller de M. Michel Aurillac, ministre de la Coopération dans le gouvernement Chirac. J’avais été élu sur le programme du Front National ; la majorité chiraquienne avait été élue sur un pâle décalque de ce programme FN, qui s’appelait « la plate-forme commune RPR-UDF » (on dirait aujourd’hui : « la plate-forme UMP »). Dans ce document, RPR et UDF s’engageaient solennellement à changer le Code de la Nationalité pour faire disparaître les cas de « naturalisation automatique ». Il fallait empêcher les électeurs d’aller massivement vers le Front…
Quand la mandature s’est terminée, RPR et UDF avaient renoncé à changer quoi que ce soit. Ils n’ont pas changé un seul mot des lois sur la nationalité. 26 ans après, ils en sont toujours aux promesses électorales. Votez Marine Le Pen.
P.S. Cet article me vaudra, c’est sûr, comme d’habitude, des accusations de dureté de cœur, d’incitation à la haine, de récupération politique, et tout le bazar habituel de la rhétorique des bien-pensant. Je m’en contrefiche. Comme l’écrivait Chateaubriand, il est des temps où il faut être économe de son mépris, à cause du grand nombre de nécessiteux. Je réserve ma compassion aux victimes : aux soldats français, aux enfants et à leur maître assassinés d’aussi ignoble façon.
Et aussi aux victimes d’avant le crime : à Bitru, figure du français de souche –du « souchien », comme ils disent- qui part au boulot tous les matins, qui n’emmerde personne, qui élève ses gosses, qui n’aura jamais de quoi se payer le pavillon de ses rêves, qui vivra ses dernières années avec 750€ de retraite, et qui, sans le savoir-et sans qu’on lui ait jamais demandé son avis- a entretenu Merah par son travail, ses cotisations et ses impôts…
Quant à ceux qui m’accuseront d’écrire par détestation de l’Algérie ou des Arabes, ils ont aussi tout faux : je n’ai rien contre les Algériens ; je souhaite des relations apaisées et mutuellement profitables avec l’Algérie. La famille Merah aurait pu venir d’Argentine, d’Albanie, du Kirghizistan ou du Zimbabwé, mon raisonnement serait le même
http://www.israel-flash.com/2012/04/france-a-propos-des-tueries-de-montauban-et-de-toulouse-raphael-drai/#axzz1qoJA5tX9