Publié par Rosaly le 25 avril 2012

Par Rosaly
 
La tolérance est une très belle vertu. 
 
Encore faudrait-il qu’elle soit partagée, or ce n’est point le cas. Car l’intolérance est inhérente à l’islam.
 
Qui utilise la liberté d’expression pour tuer cette dernière ? Qui prône le délit de blasphème et applique la peine de mort en cas de critique de l’islam ? Qui détruit les églises et massacre les minorités chrétiennes ? Qui appelle à la mort des Juifs ? Qui interdit le port de la croix et la Bible ? Qui refuse de s’intégrer, sous prétexte qu’il appartient à la meilleure communauté ? Qui n’arrête pas d’exiger encore et encore des accommodements religieux, et vouloir les imposer aux autre ? Qui refuse le vivre ensemble, en créant des zones d’apartheid, car côtoyer l’infidèle est illicite, « haram » ? 
 
C’est bien d’être ouvert à l’autre, mais à condition que cela soit réciproque. 
 
Au nom de la tolérance, devons-nous accepter l’intolérance islamique et nous laisser submerger par cette idéologie, championne toute catégorie de l’intolérance envers tout ce qui n’est pas musulman ? Le coran incite au racisme et à l’esclavage des infidèles. Penchez-vous sur le sort des travailleurs immigrés en Arabie Saoudite, au Liban, dans les émirats. C’est à eux que les associations de défense des droits de l’homme doivent transmettre leurs belles citations sur la tolérance, la fraternité, l’amour du prochain. Je ne suis pas certaine qu’ils seront bien accueillis.
 
L’Occident fait preuve d’une très grande tolérance, surtout envers les islamistes, au risque de le conduire à sa perte, et à la mort de la civilisation judéo-chrétienne. Les ennemis de la liberté, les apologistes de la peine de mort contre les apostats et les homosexuels, de la lapidation des femmes adultères, de la suppression des droits de l’homme, de la soumission de la femme, du mariage forcé de fillettes, les défenseurs des crimes d’honneur, utilisent notre liberté d’expression pour imposer leur intolérance et leur totalitarisme.
 
L’islam a plusieurs points communs avec les totalitarismes du vingtième siècle et en particulier le totalitarisme nazi, mais son statut de religion lui accorde des avantages stratégiques et tactiques auxquels les autres totalitarismes ne pouvaient prétendre.
 
Le nazisme est identifié aux camps de la mort et à la Shoah, le communisme aux goulags, mais l’islam, malgré la tyrannie qu’il impose et les horreurs perpétrées par ses adeptes est toujours considéré comme un monothéisme honorable.
 
Il a été possible de criminaliser le nazisme et de discréditer le communisme, mais l’islam est régulièrement exonéré de ses crimes. On peut en conclure qu’il est, de par son statut de religion, dispensé de toute reddition de comptes. La Chrétienté n’a pas ce privilège.
 
Les démocraties occidentales, dans un effort d’ouverture et d’apaisement, ont délibérément établi une distinction artificielle entre l’islam et l’idéologie qui motive les terroristes musulmans, comme s’il s’agissait d’entités étrangères l’une à l’autre. Elles ont par ailleurs mis en place des « politiques d’intégration » qui ont permis aux semences de la tyrannie islamique de prendre racine et de s’étendre » (source : L’islam implosera-t-il ? par Hélios d’Alexandrie)
 
Günter Grass : je vous réfère à l’article de Michel Garroté paru sur Dreuz : « Après Stéphane HeSSel voici Günter GraSS » le 5 avril dernier. Si ce type est votre référence, je comprends que vous souteniez Fournier, qui lui cite Siegrid Hunke, deux antisémites pro-islam, idéologie totalitaire qui ignore la notion même de tolérance, mais pratique l’ intolérance sans modération.
 
Le tolérant ne doit pas se laisser exterminer par l’intolérant au nom de la tolérance !
 
Si l’islamophobie progresse, les musulmans devraient s’interroger sur les raisons et non seulement crier à la stigmatisation. Ils devraient accepter de faire des efforts pour s’assimiler à nos sociétés, comme les vagues précédentes d’immigrés le firent, malgré les remarques racistes, les moqueries, la pauvreté, qu’ils subirent, et sans l’aide d’aucune association pour les défendre. Pour s’assimiler, ils devraient se débarrasser des passages durs et fascistes du coran, incorporer nos valeurs à leurs valeurs, et non les rejeter au nom de leur idéologie, et chercher à imposer les leurs, incompatibles avec nos démocraties et les droits de l’homme. 
 
Là, le vivre ensemble sera enfin possible.
 
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© Rosaly pour www.Dreuz.info

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