Publié par Jean-Patrick Grumberg le 20 mai 2012
Il n’est pas fréquent d’apprendre, de la bouche d’un journaliste, qu’une future ministre, en l’occurrence Cécile Duflot, est « une tête à claque ».
Et comme elle ne s’appelle pas Nicolas Sarkozy, que les journalistes ont pourchassé de son “casse-toi pauvre con” pendant des années, le “connard” de la Ministre, bien que jeté à la tête d’un de leurs collègues, dans la plus pure neutralité de leur travail, ne sera pas repris par les journalistes.
Récit d’une rencontre, publiée dans le journal l’Union Champagne Ardennes, entre une Cécile Duflot grossier personnage, et le journaliste Bruno Testa, au restaurant bio de la rue des Moulins de Reims.
Bruno Testa :
A voir en face de soi (Cécile Duflot) ne pas lever le nez de ses deux téléphones, pire que Nicolas Sarkozy durant sa grande période, ignorer les journalistes qu’elle avait pourtant invités ça couperait l’appétit même du journaliste le plus alimentaire.
C’est comme ça que doucettement j’ai senti comme une irritation monter, alors que la carotte est censée rendre aimable et la betterave rouge prévenir la démence.
Pour dire les choses autrement, et employer une métaphore champêtre, Cécile Duflot commençait à me les brouter menu (Note de JPG : du journalisme de terrain).
On avait beau faire remarquer à la fille de cheminot que ses deux téléphones même ornés d’un porte-clef avec trois petits moutons, ce n’était pas très écolo et même pour tout dire pas très poli, rien à faire.
Nos remarques tombaient dans le puits sans fond de son regard bovin qui a vu passer plus d’un train.
Peut-être que Cécile habituée des télés, des grands journaux, des vedettes journalistes, s’ennuyait-elle à l’idée de commenter la campagne (à) des esprits arriérés de la Marne…
Peut-être que Cécile la Crécelle en avait-elle tout simplement marre…
Je ne le saurai jamais. Car malgré l’attrait du veau Marengo, j’ai préféré fuir et laisser notre autiste verte jouer avec ses téléphones comme d’autres jouent avec leur sex toy dans leur bain.
Cécile Duflot effectivement bovine, répondit, dans un tweet : « regard bovin, sex toy ==> pas 1 journaliste mais 1 connard … »
Puis, hautaine, un autre tweet : « plus la peine de m’insulter pour que je vous fasse de la pub comme une bêtasse » (note de JPG : bêtasse ou pétasse ?).
Et dire qu’elle écrivait, peu de jours auparavant « aimer la presse locale et régionale : je réponds toujours avec attention aux petites radios indépendantes et aux étudiants journalistes. » On voit ça en effet.
Moralité : même en jeans, une pimbêche faux-cul reste une pimbêche faux-cul.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
(1) http://www.lunion.presse.fr/cecile-duflot-a-cote-de-la-plaque

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