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Michel Garroté – Depuis bien longtemps, je voue admiration aux hommes de la trempe de Simon Wiesenthal (auteur de « Justice n’est pas vengeance », Robert Laffont, 1989) et Natan Sharansky (auteur de « Défense de la démocratie : comment vaincre l’injustice et la terreur par la force de la liberté », Bourin Éditeur, 2006). J’admire ce genre d’hommes pour une raison très simple. Ils ont survécu tantôt aux camps d’extermination hitlériens (Simon Wiesenthal), tantôt au goulag soviétique (Nathan Sharansky). Ils étaient et ils demeurent des Veilleurs pour l’Humanité. Natan Sharansky a lancé un appel vibrant suite aux propos et aux comportements, à la fois négationnistes et génocidaires, du président iranien Ahmadinejad (Natan Sharansky avait lancé cet appel dans un article intitulé « Mobilisez-vous maintenant, sauvez le monde », paru dans le Jerusalem Post, édition anglophone).
Mais il y a également autre chose. Il y a l’identité. Curieusement, en termes d’identité, certains de mes coreligionnaires Chrétiens reprochent aux Juifs précisément ce que nous autres Chrétiens pratiquons sans problèmes de conscience. Je veux ici parler notre identité chrétienne et donc de notre assimilation partielle – et non pas totale – à la société dont nous faisons partie. En effet, nous autres Chrétiens affirmons – avec foi et raison – que nous sommes « dans » le monde, sans être « du monde », ou sans être « de ce monde ». Ce qui signifie que nous avons deux appartenances : notre Patrie, dont nous avons la nationalité ; et notre culture judéo-chrétienne.
Or, lorsque le Peuple juif, pour des raisons différentes des nôtres qui lui sont propres, et afin de préserver son identité juive (exactement comme nous préservons notre identité chrétienne), lorsque le Peuple juif pratique, exactement comme nous autres Chrétiens, l’assimilation partielle – et non pas totale – restant à la fois citoyens du pays dont ils ont la nationalité, citoyens de culture juive et citoyens reliés à Israël, alors, certains de mes coreligionnaires Chrétiens, au lieu de reconnaître là un point commun entre Chrétiens et Juifs, préfèrent reprocher aux Juifs de ne pas s’assimiler. Ce qui reviendrait à alléguer que – ce qui nous est permis en tant que Chrétiens disciples de Jésus-Christ – est interdit aux Juifs.
On pourrait toujours me rétorquer – question de démolir mon argumentation – que l’attachement au Christianisme, ce n’est « tout de même pas la même chose » que l’attachement à Israël ; que dans le premier cas il y a Jésus-Christ ; et que dans le deuxième cas il n’y a pas Jésus-Christ. Ce à quoi je réponds d’emblée, qu’Israël est antérieur à l’Église ; que lorsque le Verbe s’est fait chair, le Verbe s’est fait Juif, et non pas Grec, Romain ou Égyptien ; qu’à la messe ou au culte, nous lisons les Prophètes d’Israël, et non pas uniquement les Évangélistes et les Apôtres ; que dans tous nos monastères, nous prions chaque jour, plusieurs fois par jour, les Psaumes du Roi Juif David, et non pas les poèmes écrits par nos Saintes et par nos Saints ; que notre identité catholique, chrétienne, est une identité d’origine juive.
A cet égard, par le biais d’un document intitulé « Faire face au défi de l’identité », Natan Sharansky, dans The Jerusalem Post, version anglophone (Adaptation française de sentinelle 5770) a écrit (début du document de Natan Sharansky) : « Il y a plusieurs années, quand j’étais ministre de l’industrie et du commerce, j’ai souvent conduit des délégations d’hommes d’affaires dans des voyages à l’étranger, recherchant des partenariats économiques autour du monde. Typiquement, nous atterrissions dans un pays étranger – par exemple le Brésil – passions un jour ou deux en réunions politiques ou d’affaires, et ensuite, je mettais un point d’honneur à passer une après-midi pour visiter les communautés juives locales. Je rendais visite aux écoliers et aux parents, ou visitais les synagogues, ou bien rencontrais les dirigeants de la vie juive locale. Je goûtais avec un plaisir évident l’opportunité d’avoir une sensation réelle de la texture de la vie juive locale. Les hommes d’affaires étaient généralement enchantés de m’accompagner où que j’aille – depuis les réunions avec d’importants ministres du commerce, en allant en aval voir même l’usine la plus obscure ou un syndicat. Mais j’étais étonné que quand on en venait à mes visites aux communautés juives, très peu montraient un véritable intérêt à venir avec moi. La majorité usait de leur temps libre pour faire leurs courses, une visite touristique et un saut au restaurant. Cela me déconcertait. Ces Israéliens s’identifiaient eux-mêmes fièrement comme Juifs. Pourquoi manquaient-ils tant d’intérêt à la vie juive ailleurs dans le monde ? Finalement, j’interrogeais certains d’entre eux à ce sujet. Ce qui apparut clairement, c’est que, comme beaucoup d’autres Israéliens, ils tendaient à considérer la vie juive en Diaspora comme quelque chose d’une vision fugitive dans le rétroviseur. C’était un vestige d’un passé antique – un passé au cours duquel les Juifs étaient humiliés et opprimés, et un passé dont nous Juifs, à travers le moderne Israël, commencions à nous lasser.
Ils n’avaient pas besoin de se soucier de visiter des écoles juives où des enfants se coltinaient avec l’hébreu, car c’était le monde d’hier. La vieille synagogue portugaise est pittoresque, mais en fait sans intérêt. Pourquoi devrais-je consacrer mon temps à visiter ces vieux musées ? Le football de plage à Copacabana est tellement plus intéressant. L’attitude condescendante de mes amis israéliens à l’égard de la Diaspora s’est reflétée, je crois, dans la façon dont la Diaspora a été liée historiquement à Israël. Les Juifs de la Diaspora occidentale avaient l’habitude de se considérer comme les puissants, aidant Israël aux heures de besoin désespérées. Qu’il s’agît des appels de l’UJA pour aider à l’installation d’immigrants sans ressources des pays arabes, ou encore de choses aussi simples que d’acheter des obligations du trésor d’Israël pour la Bar Mitzvah de votre cousin, les Juifs de Diaspora tendaient à se considérer comme le grand frère de la communauté juive d’Israël, quelqu’un sur qui Israël pouvait compter dans les moments difficiles. D’une étrange manière, les communautés juives d’Israël et celles de Diaspora considéraient chacune l’autre comme s’ils étaient de malheureux petits frères en danger de sombrer dans l’oubli à tout moment. Et, on doit à la vérité de dire qu’aucune de ces attitudes n’était complètement erronée – et chacune servait son objectif. D’un côté, l’esprit de lion de David Ben Gourion, son inébranlable conviction que le nouvel Israël serait puissant, auto-suffisant, et pourrait laisser derrière lui l’affreux souvenir de l’exil – avait sa place. Cette vision donnait aux halutzim la force, et leur conférait la détermination pour surmonter des défis pratiquement impossibles. De même, la notion romantique en Diaspora qu’ils sauvaient Israël d’une menace imminente, aidait à rallier des millions de Juifs aux côtés d’Israël quand son avenir était vraiment précaire. Chacune de ces attitudes était enracinée dans la réalité, et servait un objectif important.
Cependant, ce modèle – l’image du “malheureux plus jeune frère” que chaque communauté incorporait à l’égard de l’autre – a suivi son cours ; elle est devenue dépassée. Israël est devenu un laboratoire de hautes technologies, et peut plus ou moins se suffire à lui-même. De la même façon, la Diaspora a prouvé qu’elle demeurera encore pour un bon moment ; les rumeurs sur sa disparition sont très exagérées. Ainsi, chaque communauté doit reconnaître que son modèle, la paire de lunettes à travers laquelle elle a traditionnellement jeté son regard sur l’autre, nécessite un renouvellement de prescription. Cherchant à ajuster notre vision de l’avenir, nous devons nous demander : si la construction de l’État et la facilitation de l’Aliya de plus de trois millions de nos frères de pays d’oppression étaient les défis définissant les 60 dernières années, quels sont les défis qui définiront les 60 prochaines ? Et alors que nous avançons vers ces 60 prochaines années, la Diaspora et Israël peuvent-ils forger une nouvelle relation – une relation fondée sur quelque chose de plus durable que la charité mutuelle ou le parrainage bienveillant envers l’autre ? Et finalement : Sur quelle fondement Israël et la Diaspora peuvent-ils développer une manière partagée de regarder le futur, plutôt que de se cramponner à la vision binaire qui a défini leurs passés respectifs ? Commençons par traiter la première de ces questions : Quelles sont les menaces, les opportunités émergentes, et les besoins qui retiendront notre attention et nos ressources dans les décennies à venir ? La réponse la plus évidente est la menace existentielle provenant du terrorisme arabe et de l’Iran. Mais bien que cela soit vrai, je crois fermement qu’il existe aussi une autre menace existentielle, qui ne vient pas de l’extérieur, mais de l’intérieur. En un mot, le défi primordial du futur sera posé par une expression bien innocente : l’Identité.
La grande menace à laquelle nous sommes confrontés est l’assimilation de masse, par défaut, dans une culture mondiale, homogénéisée. Dans un monde ou des employés à New Delhi répondent par téléphone pour l’agence de location de voitures MacDonald et de messages Twitter – dans ce monde, Israël se trouvera sous une pression de plus en plus grande pour justifier son existence en tant qu’État juif, et le Peuple juif se trouvera sous une pression encore plus grande pour se maintenir comme entité distincte. Dans un tel environnement, notre avenir s’élèvera ou s’effondrera à partir de notre capacité à communiquer à nous-mêmes, à nos enfants, et au monde, pourquoi le Peuple juif doit continuer d’exister comme unité en lui-même. Si nous ne parvenons pas à relever ce défi, nous nous désintègrerons en silence de l’intérieur, aussi sûrement que si nous avions été attaqués de l’extérieur. Comment faisons-nous face au défi de l’identité ? Je suis convaincu qu’une façon de le faire est d’abandonner le vieux modèle – dans le sens où nous sommes des communautés isolées – et de commencer de rencontrer, chez l’autre, notre statut national le plus large. D’une certaine manière, au cours des 60 dernières années, il semble que les plus évidentes vérités ont échappé à la conscience aussi bien des Israéliens que des communautés juives des Diasporas : chacun de nous a besoin de l’autre. Nous avons besoin de l’autre matériellement, mais bien plus que cela, nous avons besoin de l’autre pour comprendre qui nous sommes réellement, en tant que Peuple. La raison de se soucier de regarder de l’autre côté de l’océan n’était pas seulement de savoir de quelle sorte d’aide avait besoin l’autre communauté pour survivre, ou d’être reconnaissant que vous ne disparaissiez pas comme eux. Il en était ainsi parce que vous pouviez prendre contact avec l’autre, dans la réalité – et ce faisant, pratiquer ce qui signifie faire partie de ’Klal Yisrael’, le Peuple juif, au sens large.
De fait, un nombre croissant de Juifs de Diaspora, des milliers et des milliers d’entre eux, commencent à le comprendre : faire l’expérience d’Israël, c’est rencontrer la nation juive d’une manière fascinante, viscérale, tangible. « Birthright », « Masa » et d’autres voyages expérimentaux en Israël produisent des impressions puissantes sur des étudiants – et il y a une raison à cela. C’est parce que un voyage en Israël est plus qu’une visite dans un pays étranger ; c’est une visite à la maison. En entendant l’hébreu parlé dans les rues, en voyant les images de pommes et de miel sur des publicités vers Rosh Hashana, les caractéristiques de la vie juive envahissent la vie de tous les jours en Israël, y compris de la vie profane. Pour un(e) étudiant(e) habitué(e) à faire l’expérience de sa vie juive d’abord comme dans une « prison », en restant plusieurs années au cours d’hébreu de l’après-midi, il s’agit d’une rencontre avec son Peuple immédiatement différente, rafraîchissante et réelle. A l’inverse, les Israéliens commencent à comprendre que la vie juive ne commence ni ne se termine en Israël, que les rencontres avec la vie juive de Diaspora peuvent aussi être bonnes pour l’âme d’Israël. J’ai récemment rencontré une femme d’affaires israélienne de premier plan, qui n’avait aucun intérêt auparavant dans la vie de la communauté juive en Diaspora, mais elle est devenue une dirigeante des programmes de partenariats de « l’Agence Juive ». Elle m’a raconté que sa rencontre avec une communauté de Diaspora l’avait revigorée. Il s’avère qu’il ne s’agissait pas seulement d’économie. Elle a découvert un aspect vibrant de la vie juive différent des stéréotypes dans lesquels elle avait grandi à la maison, et elle trouva cela lumineux – et spirituellement rafraîchissant. Le fond de l’affaire gît ici : Les communautés juives de Diaspora offrent à la communauté juive d’Israël quelque chose de valeur.
Quand des Israéliens rencontrent des Juifs de Diaspora élevés dans une société de ‘Gentils’ et ont choisi, pro-activement, de rester juifs de toute manière, c’est source d’inspiration. De plus, nous autres Juifs disposons d’un riche passé. Pour avoir un vrai sens de l’identité juive, les Israéliens ont besoin de comprendre l’importance des derniers 2000 ans de vie juive en Diaspora, d’apprendre à son sujet – et d’incorporer le meilleur de ce qu’il offre dans leur propre vie. Dans le monde post-identitaire, les communautés juives de Diaspora et d’Israël ont besoin l’une de l’autre. Aucun d’entre nous ne constitue Klal Yisrael : nous, ensemble, nous sommes Klal Yisrael. Quand nous entrons en contact avec l’autre, nous rencontrons quelque chose de majestueux, de merveilleux, de plus grand que la vie : nous rencontrons notre propre Peuple. Au cours des 80 années passées, l’Agence Juive a été un pont entre la Diaspora et la communauté juive d’Israël. En travaillant ensemble, nous avons accompli des choses historiques. Nous avons construit un État sur la terre de nos Patriarches et nous avons fait venir des millions de nos frères sur ses rives. Maintenant, franchissons la prochaine grande étape que la destinée exige de nous. Embrassons ensemble notre terre partagée d’« Eretz Yisrael », et notre Peuple uni d’« Am Yisrael » pour pouvoir enseigner à nos enfants la signification de leur judéité et les amener à prendre soin passionnément d’Israël. Ce faisant, nous maintiendrons la vitalité de notre Nation pour les siècles à venir ». (Fin du document de Natan Sharansky).
Michel Garroté
Rédacteur en chef
Reproduction autorisée avec mention de www.dreuz.info
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“c’est la fin de nos identités”
Et également la fin du pogramme à gogos.
“heu…j’avais oublié de vous dire que le plan Juppé en pire c’est tout de suite”
http://www.come4news.com/francois-hollande-face-au-grand-defi-de-la-reduction-des-depenses-publiques-571327
Il y a 30 ou meme encore 20ans, au moins 80% des Juifs etaient gauchards et bolcheviques. Si les muzzs attaquaient et tuaient seulement des francais de souche, que penserait les Juifs de notre lutte contre l’immigration????? Desole, mais cette question me parle depuis des mois!
Vos chiffres sont faux. Vos références sont fausses : gauche ou pas gauche, “les Juifs” respectent la vie plus que toute autre chose. Vous semblez ignorer que le samedi, dans toutes les synagogues de France, on récite une prière pour bénir et protéger la France.
vous avez raison, Mr Grumberg. Mais avouez tout de même que nous avons dans les médias davantage de Juifs de gauche que de Juifs de droite (ce n’est pas valable que pour les Juifs, mais puisqu’il en est question ici). Je suis sidéré par les Birenbaum, Elkrief, BHL, Attali,Copé (et sans faire la liste de tous ceux qui sont au PS)…il y en a tellement.
Goldnadel, Zemmour, Levy, FInkielkraut…nous les voyons, entendons et lisons trop peu, trop raremement.
Des gens “normaux” (blancs, catholiques ou athées) me demandent parfois pourquoi tous ces Juifs dans les média sont pour l’immigration, pour le métissage, le vivrensemble…
j’ai beau leur répondre qu’ils sont gauchistes avant d’être Juifs, ça ne passe pas toujours.
ALors sur les chiffres en particuliers, je pense qu’il y a 50% de Juifs à gauche, 50% à droite…mais dans les médias, les Juifs subissent la même loi que les autres communautés: priorité à la gauche!
Vient ensuite le nombre de Juifs dans les médias de façon générale, et ce n’est pas facile à expliquer à un partisan des théories du complot etc etc. D’ailleurs je me bat sur le site fdesouche à chaque fois qu’il y a un thème de ce genre qui revient.
Merci beaucoup JPG de votre reponse, il faut dire que je suis depuis 10ans aux States et il n’y avait aucun conservateur Juifs de memoire (Tous, pro-immigration)!…C’est vrais que je suis un peu largue mais j’essaye de me tenir au courent le plus possible!…Il y a quand meme de bonnes nouvelles!
J’IGNORAIS que vous priez pour nous et la France dans les synagogues??????…DAMNNNN!… FAITES PASSER LE MESSAGE, TOUS LES FRANCAIS L”IGNORE! Et moi en premier!!!
Vous ne savez vraiment pas ce qu’est un antisémite vous. L’un d’entre eux à qui j’ai indiqué ce fait m’a répondu : “ça n’a pas la moindre valeur, c’est pour vous faire de la pub, pour vous faire bien voir.”
Si vous lisez les médias français, vos chances de vous tenir au courant sont assez proches de zéro. Je ne crois pas qu’il existe un seul sujet d’information qui ne soit pas détourné à des fins idéologiques.
C’est effarant de lire ça.
D’une part vous désolidarisez les Juifs des Français comme s’ils ne faisaient pas partie du pays de France et n’en étaient pas citoyens.
D’autre part, vous leur faites un magnifique procès d’intention.
Pour vous répondre : Les Juifs sont, tout comme l’ensemble des Français, en perpétuelle évolution politique au gré des évènements. S’il est vrai qu’en majorité ils votaient plutot à gauche non communiste ils ont viré casaque suite à la trahison des dirigeants de cette meme gauche quant aux valeurs qu’ils prétendaient défendre. La lutte contre les inégalités en fait partie sauf qu’aujourd’hui, pour paraphraser Mouna, la gauche a rendu les immigrés plus égaux que les Français dont les Juifs font partie.
Rappelez vous de ça une bonne fois pour toutes.
OUI, j’ai fait cette erreure en y reflechissant, mais aux US, les juifs se communautarisent d’avantage, donc=????!…
Les Juifs laïcs sont démocrates avant d’être juifs. Les Juifs religieux sont pro-israéliens avant d’être démocrates ou républicains, et ils voteront républicain pour ne pas réélire Obama. Le vote Juif démocrate est tombé à 70%, voire 65% selon les sondages.
bravo Paul !j’aime tes analyses anticommunautaristes et profondément laïques!c’est ça la démocratie et le bien vivre ensemble!il faut condamner tous les fanatismes!
Parmi les initiateurs de la théorie du français catho, chauvin et raciste on trouve pas mal de juifs.
Maintenant que par leur propagande culpabilisatrice les vannes de l’immigration arabo-musulmane ont été grandes ouvertes, les juifs de France touchent du doigt ce qu’est vraiment le racisme antisémite anti-juif en France, et il n’est pas le fait des français de souche.
Le mal est fait et l’avenir s’avère très sombre autant pour les juifs que les cathos français.
“Parmi les initiateurs de la théorie du français catho, chauvin et raciste on trouve pas mal de juifs.” : c’est une théorie ? Les dénonciations de Juifs pendant la seconde guerre mondiale sont une théorie ? Les déportations de dizaines de milliers de juifs français vers les camps de la mort aussi ? La rafle du Vel d’hiv est une théorie ? Les policiers français qui venaient emporter les familles juives dénoncées par leurs voisins, une théorie ?
La propagande culpabilisatrice a ouvert les vannes de l’immigration, et ce bon français de Giscard d’Estaing a tout fait pour tenter de les fermer ?
La loi sur le regroupement familial a été votée par des Français Juifs, majoritaires à l’Assemblée, ou par des français non juifs ? Elle a été décidée par un Juif ou par un non juif ?
N’auriez vous pas tendance à mettre sur le dos des juifs des responsabilités qu’ils n’ont pas, afin d’exonérer les français de souche non juif, en débitant des généralités infondées, non documentées, et en oubliant des faits bien établis ?
Entre la théorie du complot, et celle qui veut que les juifs, par leur comportement, sont responsables de l’antisémitisme, vous naviguez à vue.
Excellente réponse, JPG.
cessons de rire !
car le ps = ump = ps = ump = SOCIALISME-MONDIALISME SAUVAGE IMMIGRATION DE MASSE !
que font ils depuis plus de trente ans ?
-plus d’impôts et de taxes, plus de déficits et de dette, plus de chômage, plus d’immigration et plus d’insécurité !
et j’arrête ma liste là
L’ump sous Sarkozy a organisé l’arrivée de 1,2 millions d’immigrants presque tous arabo-musulmans………….
La France du Flamby de L’Elysée , c’est une France islamo socialiste !
Il faut créer des comités de quartiers pour fédérer les énernergie de nos concitoyens et engager des actions . la riposte s’impose .
Faites ceci et vous serez taxé de milicien extrémiste enragé. Mais c’est bien la seule réelle option qu’il nous reste.
si les français étaient moins c… ils auraient voté massivement FN , rien que pour emmerder le système !!
mais ils sont trop c… pour y avoir pensé !
pour les pratiquer tous les jours , je puis vous affirmer qu’il faut au moins aller chez les Belges pour trouver un “peuple” aussi lamentable.
quand il y a 70% d’abrutis, c’est foutu ……………..
ré information sur http://www.polemia.com et http://ripostelaique.com
je ne dirais pas que polémia soit de la “réinformation”. Chez eux, les préjugés anti américains, antisémites, pro russes et anti libéraux règnent en maître. Ils n’ont aucune objectivité et la qualité de polémia est à ranger au niveau du nouvel obs.
petitjean
Merci pour le lien de Polemia; j’ai pu y lire un article en date du 27 avril dernier sur les liens contradictoires entre l’hyperclasse mondiale et les Etats-Unis; cet article m’a passionné surtout que je me posais confusément cette question et que je n’avais jamais vu cette question exposée publiquement.
Bonne idée!” des comités de quartier pour engager des actions” …c’est efficace !
2 questions : faut-t-il être armé? et est-il-permis de les attaquer à la sortie des mosquées?
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“Il y a 30 ou meme encore 20ans, au moins 80% des Juifs etaient gauchards et bolcheviques.”
…….avec l’aide de qui la France et l’Angleterre ont essayé de récupérer Suez quand un dictateur local a nationalisé le canal ????
…..des gauchos israéliens
que représentent les 4 drapeaux sur la photo, Il y a le Vatican, Israel,mais les 2 autres?
le baptême chrétien confère la “israelitica dignitas” (droit canonique catholique)
@ Petitjean
Si l’emmerdement du système par le vote FN massif était un souverain remède à la connerie, comme vous dites, on ne serait pas mal classé en Europe, à la suite de l’Autriche et de la Finlande :
http://www.franceinfo.fr/politique/les-partis-d-extreme-droite-en-europe-595051-2012-04-23
Moi c’est quand je vous lis que je me dis “on est mal barrés”.
Votre source confond tout : le PVV de Geert Wilders ou le DF de Pia Kjærsgaard considérés comme d’extrême-droite, c’est n’importe quoi.
Au Danemark, le DF est classé au centre et siège à gauche des conservateurs. Aux Pays-Bas,le PVV est conservateur et libéral. Le point commun est que ces partis souhaitent réduire l’immigration des mahométans et l’influence de leur “culture”. Si cela, c’est être d’extrême-droite, alors au moins 80% des européens sont d’extrême-droite.
Autant pour moi, je reconnais mon erreur…
A Rennes Killian massacré par … Souleyman.