Les musulmans ont fait 221 attaques terroristes depuis le début de ramadan, et provoqué la mort de 996 musulmans, (sans compter les crimes du régime syriens: ce serait de la triche).
Des musulmans laissent des commentaires pour dire que l’islam est une religion de paix. Je pense que c’est exact. Seulement je n’ai pas la même conception de la paix qu’eux. Une paix qui fait tant de morts est conforme à leur vision. Pas à la mienne et certainement pas à celles des Européens, pour qui il est hélas je crois trop tard pour réagir.
14 août, Zaranj, Afghanistan : quatre musulmans qui voulaient absolument se faire exploser la tronche ont réduit en miettes près de 40 musulmans : une bonne prise pour un début de semaine. Il y a beaucoup de femmes et d’enfants, ça pimente, parmi les 66 blessés supplémentaires.
14 août, Kunduz, Afghanistan : une bombe installée sur une moto dans un quartier commerçant bondé de musulmans envoie une douzaine d’entre eux chez Allah. S’ils étaient des clients fidèles, c’est dur pour les commerçants.
13 août, Ishkamish, Afghanistan : un puriste musulman fait exploser 5 musulmans moins puristes.
13 août, Sinaï, Egypte (pour encore combien de temps ?) : un homme et son fils dénoncent des islamistes : ces derniers leur brûlent la cervelle.
12 août, Mera Kachuri, Pakistan : Un père et son fils sont torturés à mort par des « militants » musulmans. C’est dur le métier de militant musulman.
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Rappel des crimes musulmans des jours précédents * :
12 août, Marseille, France : une musulmane de 24 ans sort du supermarché, mais la chaleur est étouffante, sous sa niqab intégrale interdite par la loi française. N’y tenant plus, elle décide de soulever la partie abat jour qui lui cache le visage, mais son mari, un musulman algérien plein d’amour et de tolérance prend mal la chose, et ne tolérant pas qu’elle expose ainsi son cou, la roue de coups, au point de lui fracasser la mâchoire. Le procureur, inculte des règles de la première religion de France, a considéré que l’islam n’était pas en cause. Source Elle.fr.
11 août, Amerili, Iraq : des musulmans sunnites sont entrés dans une ville chiite, ont choisi au hasard 7 jeunes musulmans chiites et les ont abattu de sang froid.
11 août, Marseille, France : un restaurateur qui a osé refuser d’obéir aux lois de l’islam qui régissent la vie de certains quartiers français a été agressé. Motif : il ne voulait pas faire le ramadan. Un musulman barbu accompagné d’une femme voilée a sommé le restaurateur, un égyptien qui ne pratique pas la religion mahométane, de fermer son restaurant pour le ramadan afin de respecter la loi (de l’islam), car, selon lui, elle se situe naturellement au dessus des lois de la république. Les commerçants du quartier ont exprimé leur indignation, mais ils vont obéir, la république n’étant pas rapide à les protéger.
11 août, Delaram, Afhanistan : un taliban déguisé en policier a surpris 8 vrais policiers locaux et les a tous abattus, ainsi que 3 autres musulmans.
10 août, Jolo, Philippines : Un chrétien a été abattu de plusieurs balles de révolver par des musulmans du groupe religieux Abu Sayyaf alors qu’il se rendait à l’église.
10 août, Musa Qala, Afghanistan : des femmes et des enfants se font déchiquetés par l’explosion d’une bombe préparée par un musulman taliban qui réclame qu’on ne stigmatise pas l’islam. 6 morts musulmans, 1 blessé.
10 août, Mosul, Iraq : un musulman pressé de goûter aux promesses d’orgies du ciel de Mohamed se fait exploser dans une mosquée chiite et extermine 5 musulmans en train de prier. De nombreux coran ont été détruits mais aucun musulman au monde n’a protesté. Ah j’allais presque oublier : le musulman ceinturé d’explosif a été félicité post mortem : il a également fait 70 blessés musulmans, une bonne journée.
9 août, Fallujah, Iraq : des « militants » musulmans font exploser une maison – après s’être assuré que toute une famille était dedans. 4 enfants musulmans ont été réduits en petits morceaux de chair pour le grand plaisir de ceux qui exigent qu’on ne stigmatise pas l’islam. Il y a également 4 estropiés à vie. Pas grave, ils iront prier en chaise roulante, et puis pas besoin de bras pour prier n’est ce pas ?
9 août, Helmand, Afghanistan : 3 soldats américains sont invités à diner par la police locale, et se font assassiner. Il faut toujours prendre les invitations à diner sérieusement.
8 août, Endireiaul, Dagestan : un apostat de l’Islam a osé dénoncer le terrorisme : une balle dans la tête. Cela me rappelle ce dicton : « j’appartiens à la religion de paix de tolérance et d’amour, et je vais te couper la tête parce que tu refuses de l’admettre »
10 août, Musa Qala, Afghanistan : une femme et un enfant réduits en petits morceaux de chair ainsi que 5 autres musulmans par l’explosion d’une bombe des Taliban. Un de morceaux de chair a survécu – dans un état facile à imaginer.
10 août, Mosul, Iraq : Un musulman suicidaire qui a pris une ceinture d’explosif au lieu d’anti dépresseurs se fait exploser dans une mosquée : un petit 5 morts décevant, mais 70 blessés, dont une grande partie estropiés à vie, pour rattraper cette maigre performance.
8 août, Mogadishu, Somalie : une bombe jetée sur la chaussée par un musulman assoiffé de paix et de tolérance fait 8 morts et 2 blessés – tous musulmans.
8 août, Baiji, Iraq : des membres de l’état islamique d’Iraq sont entrés dans une maison, et ont massacré une famille de 8 personnes.
8 août, Okene, Nigeria : une femme et deux hommes musulmans se font tuer à bout portant par des islamistes récitant des prières.
8 août, Asadabad, Afghanistan : 4 musulmans retirés des vivants et 3 blessés par l’explosion d’un fedayin ceinturé d’explosifs.
8 août, Suwayra, Iraq : un musulman sunnite fait exploser une voiture piégée lors d’une cérémonie chiite. L’opération est concluante : 13 morts et 20 musulmans blessés.
7 août, Homs, Syrie : sans rapport avec le conflit, des musulmans sunnites attaquent un complexe où logent une minorité religieuse mahométane et en tuent 16.
7 août, Hamiat, Iraq : 3 enfants musulmans sont déchiquetés par l’explosion de deux bombes dans deux maisons différentes, il y a aussi 6 blessés.
6 août, Afghanistan, Charsadda : les Taliban attachent une mine à un âne et font exploser un policier, et laissent trop bléssés. L’âne est un dommage collatéral, sa vie ne compte pas plus que celle d’un être humain, pour les musulmans.
6 août, Pattani, Thaïlande : un mécanicien moto – non musulman – est tué d’une balle dans la tête par des « insurgés » islamistes.
6 août, Khankala, Chechnya : 3 policiers explosent sous les bombes d’un fedayin.
6 août, Khanaqin, Iraq : des musulmans sunnites lancent une bombe dans la maison d’une famille kurde : 2 morts.
6 août, Tsuntisky, Dagestan : Un sniper musulman tire au pigeon deux policiers musulmans.
6 août, Pattani, Thaïlande : quatre musulmans assassinent un homme de 55 ans avec un pistolet.
6 août, Jamrud, Pakistan : des musulmans tirent dans un camion à la Kalashnikov et tuent le conducteur – on se croirait en France.
6 août, Hillah, Iraq : quatre musulmans passagers d’un bus sont déchiquetés par les bombes de musulmans « insurgés ».
6 août, Le Caire, Egypte : un chrétien atteint du diabète s’arrête à une fontaine car sa maladie rend la soif insupportable et boit. Des musulmans le voient, lui demandent pourquoi il boit de l’eau pendant ramadan. Il répond qu’il est chrétien, donc il a le droit de boire, et il est malade. Entendant qu’il est chrétien, les musulmans se mettent à le frapper sauvagement parce que ce sont des adeptes de la religion de paix d’amour et de tolérance.
6 août, Nanterre, France : des musulmans modérés mettent le feu au bus 159 parce qu’un autre musulman s’est fait selon eux injustement arrêté : il n’avait commis qu’un vol aggravé.
6 août, Montreuil sous bois, France : des policiers sont contraints d’ouvrir le feu sur des voleurs de fret pris en flagrant délit qui ont tenté d’écraser les policiers avec leur voiture.
6 août, Landes, France : une bagare aussi violente « qu’à Bagdad » selon un témoin, s’est déclenchée dans un camping. Elle a duré 5 heures.
7 août, Damas, Syrie : des musulmans ont encore fait ce dont ils ont déjà montré être capable (on se reportera aux crimes de la famille Fogiel et de l’école juive de Toulouse pour des exemples récents) : après avoir assassiné tous les membres d’une famille shiite, les musulmans qui ensuite sont allé fêter ramadan ont pendu le jeune enfant de la famille.
7 août, Paghman, Pakistan : un musulman fait sauter un minibus et tue 9 musulmans, et fait trois blessés.
6 août, Okene, Nigeria : Des musulmans entrent dans une église, sortent des mitraillettes et tirent sur les fidèles. Bilan : 19 morts, dont le pasteur et 9 blessés.
6 août, al-Haswa, Iraq : un jihadiste se fait sauter avec sa voiture – 3 musulmans morts, 13 musulmans estropiés.
5 août, Maiduguri, Nigeria : 4 personnes sont mises à mort par des musulmans de Boko Haram.
5 août, Faizabad, Pakistan : un musulman respectueux de la charia massacre une femme et deux enfants, et laisse 12 blessés sur le carreau.
5 août, Maguindanao, Philippines : une femme trouve la mort lors d’une fusillade perpétrée par des musulmans du « mouvement islamiste de libération ». Il y a également 11 blessés. Cette conception des mouvements de « libération » ressemble beaucoup à celle des ultra-gauchistes comme il s’en trouve au parlement européen et à l’Assemblée nationale française.
5 août, Gilgit, Pakistan : deux musulmans sont déchiquetés après que des « militants » musulmans font exploser une grenade dans un bus. 4 autres ne sont que estropiés à vie.
Le 5 août, Marseille, France : un restaurateur a été blessé par balles dans la nuit de vendredi à samedi par un musulman Français qui représente l’avenir de la France.
Le 4 août, Marseille, France : un musulman en moto a tiré sur un autre en scooter, puis est descendu de sa moto « avec l’intention de l’achever » a déclaré un témoin, quand son arme s’est enrayée. Il l’a alors massacré à coups de crosse.
Le 5 août, Sinaï, Egypte : des musulmans jihadistes (ou des jihadistes musulmans, c’est interchangeable) ont franchi la frontière et ont massacré 15 policiers égyptiens et fait 7 blessés – et ne croyez pas que cela n’a rien à voir avec ramadan, bien au contraire !
5 août, Damaturu, Nigeria, 7 nigériens ont été déchiquetés par un musulman suicidaire – qui a fait exploser sa voiture préparée pour l’occasion, ce qui a blessé 9 autres personnes.
5 août, Quetta, Pakistan : un adepte de la religion de paix d’amour et de tolérance version attentat suicide a tué deux enfants et une femme, musulmans, lorsqu’il s’est fait exploser. Il y eut également 12 blessés – tous musulmans modérés.
4 août, Jaar, Yemen : un candidat chanceux à l’explosion des bombes qu’il portait autour de la ceinture a envoyé en une fois 45 musulmans se taper des vierges au paradis porno de l’islam et 41 estropiés à vie et tant pis pour eux tout le monde s’en fout.
4 août, Gilgit, Pakistan, des musulmans modérés wahhabites ont torturé un jeune fermier musulman chiite de 34 ans, sans oublier, bien entendu, de le décapiter conformément à la même loi de l’islam qu’ils vont installer aux heures les plus noires à venir en Europe.
4 août, Ghormach, Afghanistan : des taliban font détonner une bombe dans un marché, faisant un maigre butin : seulement 3 musulmans déchiquetés et 12 blessés.
3 août, Kunar, Afghanistan : des musulmans sunnites attaquent d’autres musulmans, deux musulmans, dont une femme, meurent.
3 août, Risalpur, Pakistan : un doux musulman cache une bombe dans le tricycle d’un enfant au marché, la fait exploser, et tue 11 personnes et 23 blessés.
3 août, Damas, Syrie : un terroriste kidnappe et exécute un présentateur télé.
2 août, Bahgdad, Iraq : dans un quartier chiite, un bon musulman sunnite se fait exploser dans un marché bondé. 9 musulmans, principalement des femmes, sont réduits en pâtée pour chats, 32 sont laissés pour blessés avec des morceaux en moins.
2 août, Kirkuk, Iraq : des terroristes musulmans pénètrent dans un maison, coupent la gorge du père de famille et de sa femme devant leurs deux filles, sans oublier, avant de partir, de trancher également la gorge des deux filles par respect pour l’islam.
2 août, Kasargod, Inde : un leader hindou est abattu par des militants musulmans.
Le 2 août, Rennes, France : un homme au volant de sa voiture. Il heurte un véhicule et fait un accident – un premier mort. Des témoins s’approchent . L’homme, armé d’une machette, les attaque – un témoin grièvement blessé, l’autre légèrement. Puis l’homme à la machette s’enfuit, et provoque un nouvel accident – pas de blessé. Il est arrêté, et les policiers constatent qu’il a mis le feu à son appartement, le jour même, incendie d’où les pompiers sortent un autre cadavre calciné : sa femme.
Le 2 août, Baghdad, Iraq : un musulman sunnite se fait exploser dans un marché fréquenté par des femmes shiite, tuant 7 musulmanes et 24 blessées.
Le 2 août, Bethlehem, Israël : un musulman égorge sa femme, chrétienne, en pleine rue, devant les passants, à deux jours de la prononciation de leur divorce.
Le 1er août, Mulhouse, France : après avoir refusé de montrer leur papiers, deux musulmans qui poussaient un scooter ont rameuté une bande de racailles et ont commencé à caillasser les forces de l’ordre, puis ils s’en sont pris au collège à coups de cocktails Molotov, de barres de fer et de jets de pierres, puis ils ont attaqué un tramway, des bennes à ordures, et ont incendié une voiture. Les policiers ont dû faire appel à une compagnie de CRS et à un hélicoptère.
Le 1er août, Lagharai Thal, Pakistan : des musulmans abattent un maître d’école, musulman lui aussi.
Le 1er août, Nanterre, France : un groupe de musulmans a mis le feu à un bus, dans la nuit de mardi à mercredi. Par miracle, il n’y a eu aucun blessé.
Le 1er août, Stein, Allemagne : un jeune musulman attaque deux vielles dames qui portent des étoiles de David, les couvre d’insultes antisémites, leur fait le salut nazi, puis il attend que les deux dames sortent de la piscine, et il les asperge de gaz lacrymogènes.
Le 1er août, Jalrez, Afghanistan : 4 musulmans sont kidnappés et abattus par les Taliban.
Le 1er août, Marseille, France : un musulman armé d’un Magnum 357 chargé est surpris en train de vendre de la drogue, et arrêté par la police avant qu’il puisse réagir. Aucun blessé. Le musulman désarmé par la police respecte strictement le ramadan.
Le 1er août, Mogadishu, Somalie : 6 gardes se font déchiquetés par des musulmans qui font exploser les bombes qu’ils portent sur eux.
31 juillet, Pattani, Thaïlande : des militants musulmans entrent dans un magasin de thé, et tuent deux clients, musulmans.
31 juillet, Marseille, France : Salim Brahima, musulman Français est abattu par un tir de Kalashnikov par des musulmans.
– Pause –
Il est important de rappeler que le ramadan a deux facettes.
D’un coté, le ramadan est le moment ou le bon musulman doit respecter sa famille, ses amis et ses voisins, et aider ceux qui sont dans le besoin. Il doit se réconcilier et rechercher la paix avec les autres musulmans.
Mais de l’autre – et les « experts » ne vous le diront pas – c’est le mois de la guerre sainte et de la mort au nom d’Allah. La raison est que la plus grande bataille qu’a livré Mahomet s’est déroulée durant le mois de ramadan, et que l’islam attend de tout musulman qu’il se conduise comme son prophète.
– Reprise –
31 juillet, Ramallah, territoire juif occupé par les musulmans : 6 palestiniens ont été arrêtés et un a été jeté en prison pendant un mois pour avoir mangé en public durant ramadan. Sans la présence de l’armée israélienne, les 6 palestiniens auraient été exécutés.
31 juillet, Bagdad, Iraq : un musulman a fait exploser une bombe dans un bureau d’immigration, tuant 15 innocents qui faisaient la queue et blessant 35 autres.
31 juillet, Bagdad, Iraq : l’explosion d’une voiture piégée devant un restaurant fait 7 morts musulmans et 21 blessés.
31 juillet, Mosul, Iraq : un musulman est entré dans un maison et a tué le père de famille, et blessé la femme et son bébé.
30 juillet, Tarinkot, Afghanistan : 5 musulmans qui priaient dans un mosquée ont explosé avec la bombe déposée par l’attentat suicide d’un autre musulman.
30 juillet, Kano, Nigeria : un officier de l’armée de l’air et son aide ont été abattus par un musulman.
30 juillet, Tarinkot, Afghanistan : dans une mosquée, 5 musulmans ont été directement envoyé vers Allah suite à l’explosion d’une bombe déclenchée par d’autres musulmans. Bien entendu, de nombreux corans ont été détruits dans l’explosion, mais là, aucun musulman dans aucun pays du monde n’a manifesté: j’en déduis que le coran, ils s’en moquent.
30 juillet, Sokoto, Nigeria : 3 musulmans de Boko Haram ont abattu à bout portant un cireur de chaussures.
30 juillet, Sürgü, Turquie : environ 60 musulmans fous de rage ont lancé des pierres, et brûlé les écuries de la famille Evli, des kurdes non musulmans, avec l’intention de les lyncher, car ils ont demandé qu’on ne joue pas du tambour (pour annoncer l’heure où l’on peut diner pendant ramadan), devant leur maison, parce qu’ils ne jeûnent pas et qu’ils travaillent tôt le matin.
29 juillet, Aguelhok, Mali : un couple de musulmans a été enterré jusqu’à la tête, puis lapidé (frappé de jets de pierre jusqu’à la mort) en stricte conformité avec la Sharia, en public par des musulmans devant 300 personnes, parce qu’ils étaient accusés d’être en couple sans être mariés.
29 juillet, Kano, Nigeria : deux Chrétiens ont été abattus à l’extérieur de leur maison par des musulmans de Boko Haram.
29 juillet, Marseille : un musulman de 25 ans est abattu à la Kalashnikov par des musulmans.
29 juillet, Radah, Yemen : un musulman de 14 ans est déchiqueté en morceaux par une bombe d’al Qaida.
29 juillet, Baghdad, Iraq : deux explosions et des tireurs musulmans embarqués dans des 4×4 ont tué sept policiers musulmans et blessés neuf autres.
28 juillet, Pattani, Thaïlande : deux jeunes musulmans et deux bouddhistes sont assassinés par des musulmans séparatistes, on compte deux autres estropiés, musulmans.
28 juillet, Seine St Denis : un homme de 60 ans est poignardé à mort en pleine rue.
28 juillet, Aubervilliers : une femme, mère de 2 enfants dont un nourrisson, est retrouvé assassinée à l’arme blanche.
28 juillet, Samarrah, Iraq : des moudjahidin ont abattu cinq femmes dans leurs propres maisons.
27 juillet, Paris 19e : un homme a été poignardé à mort en pleine rue par deux « Vladimir »
28 juillet, Anantnag, Inde : deux touristes trouvent la mort et quatre musulmans sont blessés, quand un musulman lance une grenade dans leur taxi.
28 juillet, Pattani, Thaïlande : Explosion de violence depuis le début de Ramadan : quatre soldats thaïlandais ont été brutalement exécutés à bout partant par des terroristes musulmans.
27 juillet, Makhachakala, Dagestan : trois musulmans meurent dans l’explosion d’une voiture piégée.
27 juillet, Quetta, Pakistan : un musulman whahhabi a torturé un musulman shiite avec un couteau avant de le tuer.
27 juillet, Pattani, Thaïlande : un musulman ouvre le feu sur un jeune couple, tuant l’épouse qui avait 18 ans et blessant son mari.
26 juillet, Akha Khel, Pakistan : trois musulmans qui se trouvaient à l’extérieur d’une mosquée se font déchiquetés par l’explosion d’une bombe lancée par des musulmans d’une secte rivale.
26 juillet, Khar, Pakistan : des « militants » musulmans de la religion de paix et d’amour ont fait exploser une bombe dans le marché d’un quartier – musulman – bourré de monde. Le bilan s’élève à 11 musulmans morts et 23 musulmans agonisants.
25 juillet, Bara, Pakistan : des islamistes ont kidnappé un vieux musulman de 70 ans et lui ont tranché la gorge en public avant de le cribler de balles.
25 juillet, Gulbehar, Pakistan : une jeune musulmane de 14 ans succombe à l’attaque armée d’une cérémonie chiite par Lashkar e Jhangvi.
25 juillet, Ad-Dawr, Iraq : 4 enfants musulmans de 10 ans et leur mère ont été déchiquetés par l’explosion d’une bombe lors d’une attaque suicide. On compte également 5 blessés.
25 juillet, Maiduguri, Nigeria : des adeptes de la Sharia attaquent un commerce et assassinent les propriétaires. 2 morts, 3 blessés.
24 juillet, Ghor, Afghanistan : 7 enfants musulmans sont déchiquetés par l’explosion d’une bombe lancée par un taliban.
24 juillet, Kirkuk, Iraq : une petite fille musulmane de 10 ans est décapitée par la bombe d’un « insurgé » musulman.
24 juillet, Kano, Nigeria : un couple est abattu par des musulmans armés au nom de la Sharia.
Le 25 juillet, un groupe affilié à al Qaida a délaré au Buenos Aeres Herald qu’ « une nouvelle phase du jihad va commencer en Iraq ». Le ministre de la guerre de l’Etat Islamique d’Iraq a mobilisé ses fils, ses brigades de mujahideens et ses groupes armés pour une nouvelle série d’attaques durant le saint mois de Ramadan.
24 juillet, Decazeville, un jeune femme est rouée de coups par 7 musulmans qui lui jettent « u es la honte de l’islam, car tu vas faire la fête un jour de Ramadan »
24 juillet, Mantes-la-Jolie : un musulman fracasse le crâne de sa femme parce qu’elle a été violée, sous les yeux de leurs 4 enfants de 1 à 5 ans afin de leur inculquer la tradition musulmane.
24 juillet, Hama, Syrie : des militaires musulmans syriens ont commencé à tirer sur des musulmans au moment où ils entraient à la mosquée pour les prières de ramadan, dans un petit village au nord de Hama. 30 musulmans morts.
24 juillet, Parwan, Afghanistan : deux musulmans afghans et un américain ont été abattus par des tirs de mitraillettes de « fondamentalistes » sunnites.
24 juillet, Herak, Syrie : 6 enfants musulmans et un adulte ont été abattus par d’autres musulmans sous le motif apparent de semer la terreur parmi la population.
23 juillet, Baghdad, Irak : 6 musulmans chiites ont été déchiquetés par l’explosion d’un attentat suicide commis par un musulman sunnite à la terrasse d’un café, faisant également 24 blessés.
23 juillet, Bauchi, Nigeria : un musulman qui revendique l’application de la Sharia se fait exploser devant un bar, tuant un enfant musulman de 6 ans qui passait dans la rue et fait 10 blessés.
23 juillet, bilan de la journée de lundi Iraq : dans 18 villes, des musulmans chi’ites ont attaqué des musulmans sunnites, et des sunnites ont attaqué des chi’ites, faisant un total de 107 morts et 216 blessés.
23 juillet, Sadr, Iraq : Un musulman sunnite se fait exploser dans une voiture bourrée d’explosifs en plein quartier Shiite : au moins 21 morts musulmans et 73 blessés.
23 juillet, Taji, Iraq : 32 musulmans sont assassinés dans une série d’explosions préparées par des musulmans d’al Qaida à l’extérieur d’un bloc d’habitations. Il y a eu également 48 musulmans blessés.
22 juillet, Tumahubong, Philippines : Abu Sayaaf tire sur un groupe de musulmans en pleine prière : 4 musulmans morts.
22 juillet, Jalrez, Afghanistan : 5 musulmans sont capturés puis exécutés par les taliban.
Le 22 juillet, Madaen, Iraq : attaque suicide par un musulman sunnite dans un marché chi’ite : 15 musulmans morts, 60 musulmans blessés.
Le 22 juillet, Mahmudiya, Iraq : trois bombes de ramadan tuent 11 musulmans et font 38 blessés.
Le 21 juillet, Gadap, Pakistan : un aide soignant musulman est assassiné par les taliban pour avoir procuré des soins à un chauffeur atteint de la polio.
Le 21 juillet, Dir Bala, Pakistan : un musulman « fondamentaliste » fait exploser un « bus de la paix », 4 musulmans meurent, sept son blessés.
Le 21 juillet, Spin Thall, Pakistan : un fedayin se fait exploser parmi des musulmans, tuant 8 jeunes enfants, 4 adultes, et faisant 7 blessés.
Le 20 juillet – premier jour de ramadan – Sarab, Afghanistan : 5 musulmans afghans meurent dans l’explosion de leur voiture par un « fondamentaliste » musulman.
Le 20 juillet – premier jour de ramadan – Shalozan, Pakistan : un « militant » musulman tire une roquette dans une zone habitée, et tue un jeune musulman de 16 ans et blesse son frère.
Le 20 juillet – premier jour de ramadan – Kadgimiya, Iraq : deux musulmans de la même famille sont assassinés par des « insurgés ».
Le 20 juillet, Jayapur, Inde : 4 jeunes hindous sont battus à mort par un musulman.
Le 20 juillet, Kupwara, Inde : des terroristes musulmans abattent un soldat hindou.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
* pour retrouver les sources, que je ne peux toutes citer car la liste est longue, entrez le nom de la ville, la date et le mot ‘death’ dans google.
elle est pas belle la vie ?!
Ca te fait jouir qu’une syrienne se fasse descendre sous pretexte qu’elle a osé défier le régime de Assad?
Saloperie de secte haineuse et qui prône la guerre
Encore une fois de la propagande « Sioniste » ,L’Islam est une Religion de bonté,d’amour,de non-violence,et de respect des autres ?
Voyez le dernier discours du premier ministre Iranien ?Si les actualités ne sont conformes à la pensée correcte ?Changez
l’actualité ?
Pas mal !!!
Pour ma part j’ai fait un quizz, et j’ai découvert que j’étais 100 % islamophobe, j’espère que j’aurais le choix dans l’avenir entre décapitation, ou lapidation !!!
Quizz : êtes-vous Dhimmi ou islamophobe ?
http://www.israel-flash.com/2012/08/quizz-etes-vous-dhimmi-ou-islamophobe/
Ni l’un ,ni l’autre !!!!!!!!Hi!han!!Hi!han!!!!je fais confiance aux médias correctes et au PS ?
ENCORE,ENCORE,ENCORE.
Les J.O. des musulmans, qui remportera la médaille d’or ?
Ne pourrait-on pas prolonger le ramadan ? 😉
OUI OUI OUI
TOUTE L’ANNEE !
Se serait pour eux le coran continu …
@Hagdik: très fort, j’adore!
Si notre société survit à la peste verte et que l’on trouve un moyen de ramener celle-ci dans les bas fonds d’ou elle n’aurait jamais du sortir il y aura un futur cinéaste aimant l’Histoire, qui fera un film avec cette énumération oh combien nécessaire et si dangereuse à faire et à publier.
“La liste de Grumberg”
Et ceux qui trop jeunes, les bienheureux, ayant grandi dans une europe libre de présence musulmane, verront ce film sortiront des cinéma en pensant à ce héros qui se dressa face à ce péril que les élus de naguère protégeaient par pur intérêt.
Alors là, tous ces morts, NI CHAUD NI FROID…
OK pour le film “la liste de Grumberg” … merci… merci… mille fois merci Mr Grumberg pour avoir créer ce blog… j’espère rallier nombre de mes amis pour informer chaque jour le plus de monde possible, le plus de résistants possible, afin de pouvoir déclencher l’indignation du peuple français contre la dhimmitude qui pèse sur la France comme une chape de plomb…
“tout le monde attend les 1000”
mais à l’allure ou ils s’entretuent, les 1000 seront dépassés, ils sont forts ces Islamistes.
Il n’y a pas à dire, ils savent s’amuser les mahométans !
Mais bon s’ils nous ratent les 1000 ça ne fera pas sérieux…
Pendant ce temps…nous (nos dirigeants) pactisent avec l’islam.
Lettre de Caroline Alamachère à M Valls:
Monsieur le Ministre,
J’ai pris connaissance de votre discours lors de l’inauguration de la mosquée de Cergy le 6 juillet dernier et j’en ai été profondément bouleversée et choquée.
Vous donnez immédiatement le ton en évoquant un acte qui n’est pas anodin. En effet, qu’un représentant de la République en principe garant de la Loi de 1905 interdisant la reconnaissance d’un culte inaugure un centre religieux ne peut en aucun cas être anodin. Par cette allégeance à une idéologie religieuse vous commettez donc un acte hors-la-loi, bel exemple venant d’en haut ! Si nos dirigeants eux-mêmes ne respectent pas les lois, comment demander au peuple de les respecter ?
L’allusion à « la formation de NOS imams » enfonce le clou. Depuis quand la France est propriétaire des prêcheurs islamiques ?
Vous évoquez ensuite un « dessein collectif » ayant impliqué dix associations représentatives de « la diversité de Cergy ». Qu’est-ce que la diversité M. Valls ? Ce sont des gens qui se distinguent de la population lambda, qui en refusent les codes, les règles, la culture, qui refusent de s’assimiler au peuple français comme vous-même vous êtes assimilé, et préfèrent s’en démarquer, s’en diversifier pour ne surtout pas « vivre ensemble ». En acceptant ce système de ségrégation diversitaire vous participez vous-même à une étrange forme d’apartheid qui ne dit pas son nom, comme si ces personnes issues de la diversité n’étaient moralement pas assimilables par nature. Cette ségrégation condescendante flirte étrangement avec un racisme diffus présenté comme une bienveillante « discrimination positive » (sic) alors qu’il n’est que le reflet du mépris accordé à des êtres jugés inférieurs.
Pourquoi ces personnes ont-elles besoin de se réunir en associations de la diversité si ce n’est pour s’opposer aux citoyens français ? La Nation une et indivisible est-elle censée reconnaître et aider ces associations séparatistes ? Tout cela semble bien loin d’un dessein collectif.
Je note au passage que vous n’évoquez pas une consultation des habitants de Cergy eux-mêmes mis certainement devant le fait accompli.
« L’islam d’aujourd’hui est l’héritier de celui qui, pendant plusieurs siècles, à Cordoue, fut un accélérateur de connaissances, de culture et d’acceptation mutuelle ». Vous plaisantez sans doute. L’islam s’est imposé partout par la force, par les razzias, par le sang, par les conversions forcées, par l’égorgement. L’esclavagisme arabo-musulman sur les blancs chrétiens a perduré durant plus de 1 000 ans. Plus de 1 000 ans Monsieur Valls… !! Vous rendez-vous compte ? Affirmer qu’il y a eu acceptation mutuelle et apport culturel est soit un pur mensonge, soit une grave ignorance de votre part.
C’est pourquoi affirmer que « l’Islam a toute sa place en France » relève de l’inconscience. Non Monsieur, l’islam n’a certainement pas sa place en France puisqu’il est contraire à la laïcité et à la démocratie. Hassan II n’a-t-il pas avoué que « Un musulman ne peut pas être laïque » ?
De même, Amil Imani, essayiste d’origine iranienne en dit ceci « La démocratie, c’est le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple, tandis que l’islam, c’est le règne d’Allah, par Allah et ses émissaires, pour le plaisir d’Allah.. […] L’islam est une forme d’esclavage totalitaire globale. C’est l’inverse de la liberté. Son nom lui-même, islam, signifie soumission ou reddition. Fidèle à son nom, l’islam s’évertue à réduire le corps de l’humanité en esclavage et à asservir son esprit, rien de moins. Cette reddition non négociable à l’islam exige que les individus et la société renoncent à la plupart des libertés fondamentales auxquelles ils sont profondément attachés. […] La pratique de l’islam revient à perpétuer l’esclavage et à le pratiquer. L’esclavage asservit le corps, tandis que l’islam emprisonne l’esprit. Ces idées et ces pratiques sont odieuses et préjudiciables à la réalisation de nos plus hautes aspirations en tant qu’êtres humains ».
Par conséquent, comment prétendre avoir avec ce dogme mortifère une quelconque « culture commune » ? Quelle méconnaissance inexcusable ! Que faites-vous des Mohammed Merah, des assassins de Ghofrane, de Sohane, des deux policières, des violeurs de la place Tahrir, des lapideurs, des polygames, des exciseuses, des vieillards qui épousent les petites filles, des femmes qu’on oblige à se cacher sous leur voile noir pour montrer leur infériorité, des meurtriers de crimes d’honneur ? Ce même honneur en « ce vendredi de prières » auquel vous faites allusion pour justifier votre présence à Cergy. Oseriez-vous prétendre que cette multitude d’actes abominables et quotidiens n’ont rien à voir avec l’islam ?
Quand on pense qu’en 35 ans le nombre de mosquées a augmenté de 1 500%… car on en dénombrait 150 en 1976, 900 en 1985 et 1 555 en 2001. Et en août 2011 les mosquées étaient au nombre de… 2 368. Une telle expansion d’un dogme sectaire si inamical, homophobe, antisémite, antidémocratique et sexiste est proprement effrayant.
Pour complaire à votre public vous évoquez une islamophobie condamnable ainsi que la nécessaire protection des lieux de culte musulmans et juifs. Naturellement vous omettez de mentionner les lieux chrétiens, comme si ces profanations-là n’avaient pas lieu d’être relevées. Alors sachez que les profanations des lieux chrétiens – tombes et églises – ont lieu… TOUS LES DEUX JOURS !!! Contre seulement 4 à 5 par an pour les deux autres ! Que dites-vous de cela Monsieur Valls ? Ainsi vous avez raison, tous les deux jours des individus portent « une attaque délibérée contre la République et ses valeurs », vous ne croyez donc pas si bien dire. Vous faites juste une légère erreur d’appréciation quant aux profanateurs dont vous semblez sous-entendre qu’ils seraient peut-être chrétiens, bouddhistes ou athées puisque non musulmans ou non juifs. Mauvaise pioche. Il s’agit majoritairement d’individus appliquant à la lettre les beaux commandements islamiques
Ce ne sont donc pas les vilaines phrases islamophobes qui visent les musulmans mais au contraire certains musulmans qui visent physiquement les mécréants dont certains ont payé de leur vie.
Votre discours tente de rappeler les devoirs de l’islam et la neutralité de l’Etat vis-à-vis de la religion et de la laïcité qui préserverait l’école mais qu’en est-il dans les faits quand les accommodements déraisonnables sont de plus en plus fréquents ? Et concernant l’obligation des agents publics de taire leurs croyances dans l’exercice de leur fonction, comment expliquez-vous que l’on tolère des salles de prières dans les facultés ? Des tapis de prières sur le lieu de travail y compris dans l’administration publique ? Que de plus en plus de chauffeurs de bus portent de d’étranges barbes salafistes ? Que le halal et le sans porc se soient imposés dans les écoles de la République ? Que des bureaux de poste affichent des panneaux d’information en arabe ? Que des lieux publics renoncent à la mixité pour accorder des horaires spéciaux aux femmes ? Et quels devoirs ont VOS imams quand leur dieu leur ont donné le droit de vie et de mort sur quiconque ne se soumet pas au dogme islamiste ?
« Les incroyants, qu’ils aient le livre ou qu’ils ajoutent des dieux, iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours. Ce sont les pires des humains » (98:6). Une religion d’amour, de paix, de tolérance… ou comme vous le dites « de tolérance, d’altérité et de solidarité ». Permettez-moi un grand éclat de rire !!!
Je ris d’autant plus volontiers, Monsieur Valls, que j’étais assise en face de vous dans le préau de l’école où s’était tenu il y a deux ans le fameux débat sur la burqa organisé par Ni Putes Ni Soumises où vous étiez assis à côté de M. Brard. Nous savons tous les deux ce qui s’est passé ce soir-là, les propos haineux et violents de ceux qui nous entouraient debout alors que nous étions assis pour mieux nous intimider, les insultes, les prêches, les menaces, la mauvaise foi, le refus de laisser parler Sihem Habchi, les coups et les bancs enfin qui ont volé mettant fin à cette calamiteuse et édifiante soirée avec la nécessaire intervention de la police. Alors prétendre que vous croyez sincèrement aux bienfaits de l’islam et à la bonhommie de ses fidèles… de grâce, pas à moi Monsieur Valls !
Je suis d’autant plus peinée et déçue par votre attitude depuis un certain temps qu’elle s’éloigne de l’homme respectueux de nos valeurs que vous sembliez être.
Vous dites ensuite craindre l’insécurité des fidèles durant le mois du ramadan, redoutant sans doute des agressions islamophobes, pour ne pas dire racistes puisque c’est l’expression à la mode, et promettez de veiller à leur sécurité. Dois-je vous rappeler que ce sont généralement les musulmans qui ont coutume d’agresser les infidèles durant cette période et non le contraire ? C’est bien pour cela que dans certains pays musulmans comme l’Algérie ou le Maroc, les jeûneurs sont invités à réfréner leur agressivité. Donc si vous devez prendre des mesures sécuritaires je vous suggèrerais de veiller plutôt à ce que les enfants musulmans ne tabassent pas leurs petits camarades mécréants au centre de loisirs, à ce que les animateurs de ces centres veillent à se nourrir afin d’assurer en toute sécurité la prise en charge des enfants, de même pour les chauffeurs de bus cités plus haut avec lesquels il conviendrait d’éviter les risques d’accidents. J’en profite pour faire allusion à ceux qui sous prétexte de jeûner en profitent pour travailler moins, obligeant leurs collègues non musulmans à travailler à leur place pour compenser, sans pour autant que leurs rétributions respectives n’en soient modifiées. Mais je présume que ceci ne vous concerne pas…
Pour ma part, en tant qu’agnostique mais ayant néanmoins droit à autant d’attention de votre part que les croyants (même si selon vous je serais moins élevée spirituellement…), j’apprécierais que vous veilliez autant sur ma sécurité que sur celle de vos nouveaux amis islamistes. Car moi aussi je suis française, républicaine et j’ai des droits.
Et pendant que j’y suis, je me permets une parenthèse pour vous faire savoir que mon supermarché est actuellement en plein ramadan et que par conséquent, en tant que non musulmane me nourrir commence à devenir sérieusement problématique. Donc si le gouvernement pouvait plancher sur l’ouverture de magasins spéciaux pour que les mécréants puissent continuer à s’alimenter sans avoir à payer un impôt à VOTRE imam, vous seriez bien aimable.
Je terminerai par votre phrase la plus grave et la plus dangereuse pour notre démocratie, pour la liberté d’expression et pour le droit acquis de haute lutte de critiquer les religions, quelles qu’elles soient : « Toute attaque contre une religion, contre un de ses fidèles ou un de ses lieux de culte est une attaque délibérée contre la République et ses valeurs ». Vous venez par cette phrase malheureuse d’instaurer ni plus ni moins que le délit de blasphème, sapant encore un peu plus nos valeurs démocratiques et républicaines. Vous venez également d’avouer que la religion s’inscrirait dorénavant dans la République, contredisant votre remarque sur l’importance de préserver la laïcité tout en réduisant à néant tout un pan de l’Histoire de France.
La France fût jadis la fille aînée de l’Eglise, grâce à vous et aux autres dhimmis dans votre genre elle est désormais devenue la putain de l’islam. Comme remerciement à un pays sans lequel vous ne seriez jamais devenu Ministre, on aurait pu espérer mieux. La France, Monsieur Valls, aurait mérité un peu plus de gratitude de votre part.
J’espère que vous prendrez acte de mes remarques et y répondrez de la manière qui convient.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, mes républicaines salutations.
Caroline Alamachère
ATB
Merci d’avoir transmis cette lettre, admirable de vérité! Bravo à cette dame!
Manuel Valls, décevant ministre, se conforme aux ordres, afin de ne pas perdre son poste. Il n’est certainement pas dupe de la réalité, mais se soumet à la politique d’Eurabia, préférant renier ses convictions profondes pour une gloire et un pouvoir éphémères.
Quoique, le réveil s’amorce:
“La déclaration de Bruxelles 2012, peut-être le début de la fin pour Eurabia…”
août 15th, 2012 Europe-Israel.org
Ils n’ont pas encore gagné, les ennemis de la liberté, de la démocratie, de la civilisation judéo-chrétienne!
Avez-vous des nouvelles de Mandrake?
Mandrake a craqué , c’est clair .
La guerre psychologique fait aussi des victimes chez des personnes fragiles .
tres malheureuse de ne pas connaitre “caroline ” en la lisant toute mon angoisse a disparu! quel talent!pour exprimer tout ce que je pense et que je n arrive a dire quel courage !caroline je vous aime
Et l’horreur islamique continue … le chiffre de 1000 est dépassé!
Islam, religion de paix! Qui peut encore croire en ce mythe ?
Selon le coran, un musulman n’aurait pas le droit de tuer un autre musulman, mais bien les mécréants, soit dit en passant, c’est même recommandé, et pourtant… ils n’arrêtent pas de désobéir à leur dieu et à exécuter des massacres de masse, au doux cri
d’ « Allahu Akbar ».
A noter, que cette exclamation angélique, à la gloire de leur divinité, est le plus souvent suivie d’effusions de sang, de membres amputés et de têtes décapitées, que de gestes d’amour, de fraternité et de solidarité. Encore une fois, toute la « beauté » de l’islam, « religion de paix, d’amour, de tolérance » qui se manifeste par ce fait divers sanglant.
« Pakistan: 20 chiites exécutés
AFP Publié le 16/08/2012 à 13h00:
“Vingt membres de la minorité chiite ont été sortis de force d’un autocar et exécutés par des inconnus en armes aujourd’hui sur une route du nord du Pakistan, selon la police, la troisième attaque de ce genre dans cette région depuis le début de l’année.
Le massacre a eu lieu à une centaine de kilomètres au nord de la capitale Islamabad. Les attaques visant des chiites, attribuées aux groupes armés extrémistes sunnites, se multiplient depuis deux ans au Pakistan.”
“Ce sont de mauvais musulmans” vont à nouveau objecter les musulmans dits modérés. Soit, mais force est de constater qu’ils sont de plus en plus nombreux, ces mauvais musulmans, vu le nombre de cadavres de musulmans chiites, sunnites, alaouites, etc. qui jonchent la route de l’islam.
Je ne résiste pas au plaisir de mentionner l’affiche actuellement placardée dans les transports publics de New York :
“19,250 ATTAQUES MEURTRIERES PAR DES MUSULMANS DEPUIS 9/11/01
(ET CE N’EST PAS FINI)
IL NE S’AGIT PAS D’ISLAMOPHOBIE
SIMPLEMENT D’ISLAMOREALISME.”
Le coût de cette publicité, évidemment très élevé, est entièrement financé par le public.
aujourd’hui 45 morts en Iraq et 20 hier, on sait plus compter. pas de liens mais c’est partout aux info…
les musulmans savent-ils faire autre chose que tuer, massacrer, mutiler ? certainement pas. ils obéissent à la lettre à leur dieu arrogant, vengeur et orgueilleux afin de gagner le paradis et ses vierges. et dire que c’est le but ultime.
“les musulmans savent-ils faire autre chose que tuer, massacrer, mutiler ?”
De toute évidence, non.
Il va falloir songer à rallonger la période du ramadan !
Août 2012, 57 ans ont passés : Hommage aux victimes d’El Halia, de Fil Fila et de Philippeville et faire que ce premier massacre de la Guerre d’Algérie, qui fit tant de victimes innocentes, ne tombe pas dans l’oubli…
Le 20 août 1955 à El-Halia, la révolution devient guerre.
ZIGHOUT YOUSSEF, commandant rebelle de la wilaya 2, celle du Nord Constantinois, entre, le 20 août 1955, dans la mythologie du F.L.N. par un coup d’éclat sans précédent dans la rébellion: l’insurrection généralisée de toute une région placée sous ses ordres.
Un triangle que les routes de Constantine à Philippeville et de Constantine à El-Milia dessinent avec la mer. Au-delà, c’est encore la wilaya 2 mais, dans ce triangle, Zighout décide de porter son action.
Là vivent 100 000 personnes environ dont une minorité européenne. La consigne est stricte : tuer tous les Français. Pour la première fois depuis 1954, on ne fait plus de différence entre ce qui porte un képi et la petite population rurale pied-noir. Dans la liste des villages condamnés à mort (trente-neuf exactement), deux vont illustrer d’emblée, par le poids du sang, des atrocités, et par l’innocence des victimes, les massacres du 20 août, sinistre remake, dix ans après, de la tragédie de Sétif : Aïn-Abid et El-Halia.
Pour l’heure, que cherche Zighout Youssef ? Pourquoi le 20 août ? Comment déclencher une insurrection généralisée avec seulement quelques centaines de rebelles et de fusils ?
Zighout Youssef est un forgeron de Condé-Smendou. Un manipulateur du feu. Pour les Arabes, en Algérie, le forgeron est, par tradition, l’homme étrange. Lié à des puissances occultes, il vit généralement à l’écart du village, dans une aura aussi fascinante qu’inquiétante. Zighout gravit les échelons classiques de tout cadre rebelle : le P.P.A. (il est conseiller municipal de Condé-Smendou sous cette bannière), l’O.S., la prison à Bône, l’évasion, puis la clandestinité avant l’heure, dès 1951. Malingre, apparemment chétif, il se révèle, bizarrement, un remarquable organisateur de massacres dans la wilaya 2. Pour cela, il met au point une technique qui va se révéler infaillible : rameuter des foules de civils, qu’on a au préalable gavés de slogans et de fausses nouvelles, les armer de tout ce qui se présente, pioches, pelles, serpes, escopettes et gourdins, et, au jour J, les lancer contre des objectifs précis. Foules encadrées discrètement et téléguidées par des hommes du F.L.N. en armes et en uniforme, qui observeront les meurtres et se retireront en tirant des coups de feu au moment où l’armée intervient, laissant ainsi les masses musulmanes livrées à la répression,et comptant les points. On devine le profit que le F.L.N. va tirer de cette répression. Finalement, elle va plus loin que la tuerie des Européens et la supplante dans l’horreur. Cette tactique, Zighout la met au point à partir de mai.
Coupant les poteaux télégraphiques et barrant les routes qui mènent au petit centre d’El-Milia, il isole le village pendant quelques heures, pour noter la rapidité de la réaction du commandement français. Puis il se retire avec ses hommes, sans attaquer El-Milia. Cette manœuvre, il la répète, en la « peaufinant », quelque temps après, contre le P.C. du colonel Ducournau, à El-Arrouch. Cette fois, il pousse en avant la population civile et se retire avec son commando quand les paras interviennent. Ducournau comprend à temps, interdit à ses paras de tirer sur cette foule en furie et déjoue de justesse les plans de Zighout. Mais ce dernier, hanté par l’idée d’attaquer en force un centre européen, décide enfin de porter son grand coup le 20 août.
« Oradour » algériens
Le 20 août 1955, c’est l’anniversaire de la déposition du sultan du Maroc, Mohammed ben Youssef. Un thème de propagande qui doit faire fortune. A cela, on ajoute une série de fausses nouvelles : les Égyptiens vont débarquer sur le rivage algérien, près de la presqu’île de Collo, pour prêter main-forte aux rebelles et sauver les populations de la répression. Cette répression, qui pèse de plus en plus sur les musulmans.
Au point que, début août, Ferhat Abbas est à Paris pour tenter d’obtenir du gouvernement français que l’état d’urgence ne soit pas appliqué à tout le territoire. Quand on connaît la crédulité des foules, et de celles du Maghreb en particulier, on comprend que, faisant flèche de tout bois, Zighout soit parvenu à mobiliser son monde pour le 20 août. Jusqu’à laisser croire aux fellahs (paysans) que, dans les camions qui pouvaient les transporter, Allah les changerait en moutons au moment de passer devant les militaires…
Le 20 août à midi. Pourquoi midi ?
Parce que c’est l’heure brûlante, où le soleil donne tous les vertiges. C’est elle aussi qui va permettre, dans les coins perdus, de trouver les Européens chez eux. A table, ou faisant la sieste. Il faut profiter de la surprise.
Sur le carnet de route de Zighout, les noms des villes et des villages où le sang va couler : Philippeville, Djidjelli, Collo, El-Milia, Le Kroub, Guelma, Bône, Jemmapes, El-Arrouch, Oued-Zenati, Saint-Charles, Robertville, Aïn-Abid, El-Halia, Catinat, Kellermann, Gallieni, Condé-Smendou, Aïn-Kercha, la liste n’en finit plus…
Revenons à Aïn-Abid et à El-Halia.
Ils restent dans les mémoires comme les “Oradour” de la guerre d’Algérie. La formule n’est pas outrée. Elle recouvre des scènes dont l’horreur laisse pantelant et dont les photos ne sont décemment pas publiables. Qu’il suffise de savoir qu’à Aïn-Abid, une petite fille de cinq jours, Bernadette Mello, fut tronçonnée sur le rebord de la baignoire, devant sa mère, dont on ouvrit ensuite le ventre pour replacer la nouveau-née, que sous le même toit, Faustin Mello, le père, est assassiné dans son lit amputé à la hache, des bras et des jambes, que la tuerie n’épargne ni Marie-José Mello, une fillette de onze ans, ni la grand-mère de soixante-seize ans. Qu’à El-Halia, sur 130 Européens; 32 sont abattus à coups de hache, de serpe, de gourdin, de couteau, les femmes violées, les tout petits enfants fracassés contre les murs.
Pas de pitié, pas de quartier », avait dit Zighout Youssef. La confiance piégée.
Ces exemples ne sont pas cités par complaisance morbide. Ils peuvent aider, non pas à justifier, mais à comprendre la réaction de ces Européens du Nord Constantinois dont le frère, ou le fils, ou la femme eurent à subir pareil sort, et d’éviter de tirer des massacres du 20 août, une leçon unilatérale et la morale d’une histoire dont la répression seule ferait les frais.
À El-Halia et à Aïn-Abid, la stupéfaction se mêle à l’horreur. Ceux qui levaient brusquement le couteau sur les Européens étaient des familiers, des villageois musulmans paisibles. Au point qu’à Aïn-Abid le maire avait refusé toute protection militaire, craignant que des uniformes ne vinssent troubler la paix des rapports entre les deux communautés.
El-Halia est attaqué entre 11 h 30 et midi. C’est un petit village proche de Philippeville, sur le flanc du djebel El-Halia, à trois kilomètres environ de la mer. Là vivent 130 Européens et 2000 musulmans. Les hommes travaillent à la mine de pyrite, les musulmans sont payés au même taux que les Européens, ils jouissent des mêmes avantages sociaux. Ils poussent la bonne intelligence jusqu’à assurer leurs camarades Degand, Palou, Gonzalez et Hundsbilcher qu’ils n’ont rien à craindre, que si des rebelles attaquaient El-Halia, « on se défendrait » au coude à coude.
A 11 h 30, le village est attaqué, à ses deux extrémités par quatre bandes d’émeutiers, parfaitement encadrés, et qui opèrent avec un synchronisme remarquable. Ce sont, en majorité, des ouvriers ou d’anciens ouvriers de la mine et, la veille encore, certains sympathisaient avec leurs camarades européens…
Devant cette foule hurlante, qui brandit des armes de fortune, selon le témoignage de certains « rescapés », les Français ont le sentiment qu’ils ne pourront échapper au carnage. Ceux qui les attaquent connaissent chaque maison, chaque famille, depuis des années et, sous chaque toit, le nombre d’habitants. A cette heure-là, ils le savent, les femmes sont chez elles à préparer le repas, les enfants dans leur chambre, car, dehors, c’est la fournaise et les hommes vont rentrer de leur travail. Les Européens qui traînent dans le village sont massacrés au passage.
Un premier camion rentrant de la carrière tombe dans une embuscade et son chauffeur est égorgé. Dans un second camion, qui apporte le courrier, trois ouvriers sont arrachés à leur siège et subissent le même sort. Les Français dont les maisons se trouvent aux deux extrémités du village, surpris par les émeutiers, sont pratiquement tous exterminés. Au centre d’El-Halia, une dizaine d’Européens se retranchent, avec des armes, dans une seule maison et résistent à la horde. En tout, six familles sur cinquante survivront au massacre.
Dans le village, quand la foule déferlera, excitée par les « you-you » hystériques des femmes et les cris des meneurs appelant à la djihad, la guerre sainte, certains ouvriers musulmans qui ne participaient pas au carnage regarderont d’abord sans mot dire et sans faire un geste. Puis les cris, l’odeur du sang, de la poudre, les plaintes, les appels des insurgés finiront par les pousser au crime à leur tour. Alors, la tuerie se généralise. On fait sauter les portes avec des pains de cheddite volés à la mine. Les rebelles pénètrent dans chaque maison, cherchent leur « gibier » parmi leurs anciens camarades de travail, dévalisent et saccagent, traînent les Français au milieu de la rue et les massacrent dans une ambiance d’épouvantable et sanglante kermesse.
Des familles entières sont exterminées : les Atzei, les Brandy, les Hundsbilcher, les Rodriguez. Outre les 30 morts, il y aura 13 laissés pour morts et deux hommes, Armand Puscédu et Claude Serra, un adolescent de dix-neuf ans, qu’on ne retrouvera jamais. Quand-les premiers secours arrivent, El-Halia est une immense flaque de sang.
Aïn-Abid, dans le département de Constantine, est attaqué à la même heure. Un seul groupe d’émeutiers s’infiltre par différents points du petit village, prenant d’assaut, simultanément, la gendarmerie, la poste, les coopératives de blé, l’immeuble des travaux publics et les maisons des Européens.
Comme à El-Halia, jusqu’à 16 heures, c’est la tuerie, le pillage, la dévastation. Les centres sont isolés les uns des autres, les Français livrés aux couteaux. A Aïn-Abid, les civils sont mieux armés et ils se défendent avec un acharnement qui finit par tenir les rebelles en respect jusqu’à l’arrivée des renforts militaires, vers 16 heures. C’est à cette heure-là qu’on découvrira le massacre de la famille Mello. Ce nuage de sang dissipé, viendra l’heure des informations plus claires et des bilans. On se rendra compte que, dans cette journée du 20 août, la chasse à l’homme commença d’abord, sur les ordres de Zighout, par la chasse aux Européens.
En tout, de Constantine à Philippeville, à Jemmapes, à Catinat, à Hammam-Meskoutine et dans toutes les localités du Nord Constantinois, 171 Français ont été massacrés.
Dans la répression qui suivra, celle de l’armée et celle des civils, 1 273 musulmans seront exécutés. Un chiffre qui n’émut le F.L.N. que pour les besoins de sa propagande, car, en fait, c’est ce que cherchait Zighout Youssef pour relancer la révolution.
À partir du 20 août 1955 cette révolution deviendra véritablement une guerre, Dès lors, le ver est dans le fruit, la peur dans chaque homme, quelle que soit sa communauté, et la méfiance s’installe. La sauvagerie avec laquelle ont été tués les Français d’Aïn-Abid et d’El-Halia impressionnera tellement les musulmans que les slogans sur la répression française porteront moins que ceux de mai 1945, après Sétif. Puis, parmi les victimes du F.L.N., il y eut des musulmans modérés, notamment le neveu de Ferhat Abbas, Allouah Abbas, tué dans sa pharmacie de la rue Clemenceau, à Constantine, et Hadj Saïd Chérif, un avocat blessé de plusieurs balles tirées par une jeune stagiaire du barreau de Constantine. On retrouva, sur le cadavre d’un homme de main des rebelles, une liste d’élus musulmans à abattre, dont Ferhat Abbas. Zighout Youssef ignorait probablement encore que Ferhat avait franchi le Rubicon et qu’Abane Ramdane l’y avait énergiquement poussé.
D’une façon générale, la réaction de l’armée est vive, brutale. Partout, les attaques sont stoppées sous le feu des armes automatiques. Les paras sont engagés dans d’immenses opérations de ratissage et, dans le même temps, l’autorité militaire semble débordée par les groupes de civils européens qui battent le bled à la recherche des tueurs F.L.N. En effet, et c’est là une des conséquences les plus graves des massacres d’août 1955, la répression frappe dès lors tous les musulmans, jusque dans les douars les plus innocents, d’où de paisibles fellahs s’enfuiront pour échapper aux mitraillettes des commandos civils. Si l’armée attaque méthodiquement les P.C. du F.L.N. dissimulés dans les mechtas autour des centres européens désignés par Zighout Youssef, en revanche, les civils, emportés par le désespoir, la peur, et la haine aussi, ne font pas quartier.
Au slogan F.L.N. : « Tuez tous les Français civils », répond le slogan pied-noir : « Abattez-tous les Arabes. » « L’escalade du sang » commence. Elle va durer huit ans. Mais, d’abord, saper tragiquement le programme de réformes que Jacques Soustelle s’est efforcé de préparer, en homme de bonne volonté, dans l’espoir de sauver l’Algérie.
Quand les premières dépêches parviennent au palais d’Eté, dans l’après-midi du 20 août, Soustelle prend immédiatement l’avion pour le Nord constantinois. Il débarque à Constantine, qui n’est plus qu’une ville en état de siège, sillonnée par des patrouilles militaires, jonchée de débris de meubles, de chaussures abandonnées dans des flaques de sang, de vitres brisées. Les façades sont mortes, les places désertes. La peur est partout. Militaires et civils le tiennent au courant des détails de ce samedi sanglant. Lourd bilan. Soustelle décide de se rendre sur place, comme il le fera toujours. Le dimanche matin, il parcourt Aïn-Abid et El-Halia, où les cadavres des victimes européennes sont alignés, sous le soleil, dans un silence sinistre, troublé parfois par des cris de douleur, de rage, des appels à la vengeance. Soustelle voit tout, écoute tout, boit cette coupe jusqu’à la nausée. Un autre Soustelle quittera les villages martyrs. Cet homme-là a compris que, désormais, il lui faudra se battre sur deux fronts. Contre le F.L.N., pour protéger les musulmans encore acquis à des réformes, et contre les meneurs pieds-noirs, qui exploitent le 20 août à des fins politiques personnelles. Ceux là aussi sont dangereux. Soustelle, à Philippeville, où se déroulaient les obsèques des victimes, a entendu des cris hostiles. Le maire de la ville, Dominique Benquet-Crevaux, appelle ses administrés à la ratonnade et piétine les couronnes déposées par le gouverneur général au monument aux morts.
Jacques Soustelle rentre à Alger bouleversé. Il donne des ordres pour que la justice soit appliquée rigoureusement aux tueurs musulmans, mais aussi pour que l’armée désarme les Européens les plus déchaînés. En réalité, on désarme peu d’Européens, et presque tous les prisonniers musulmans du 20 août sont passés par les armes. Désormais, l’insécurité va s’installer et plus jamais Jacques Soustelle n’acceptera, comme il l’avait fait quelques mois auparavant, de rencontrer des envoyés de l’adversaire pour un dialogue entre hommes de bonne volonté.
Le jugement des rebelles arrêtés à la suite du massacre terminait le premier grand procès du drame algérien. Soustelle, aussi bien que les chefs militaires et la population civile Européenne, devait être à jamais marqué par ce drame.
En ce mois d’août finissant, commence le temps des assassins.
Marie ELBE (Historia Magazine : la guerre d’Algérie, N° 206 – 1971)
Le 20 août 1955 ” une date terrible, une date inoubliable ” dira Yves Courrière dans son ” Histoire de la guerre d’Algérie ” (ed. Taillandier). Ce jour-là, Zighout Youssef, le chef de la wilaya 2 lance la population civile de certains douars du Nord-Constantinois contre les Européens. A El-Halia, petit centre minier près de Philippeville, trente-deux personnes sont assassinées dans des conditions barbares”
Marie-Jeanne Pusceddu témoigne.
Le 20 août 1955, j’étais à El-Halia
Je m’appelle Marie-jeanne Pusceddu, je suis Pieds-Noirs, née à Philippeville en 1938 de parents français, d’origine italienne.
Mes parents étaient des ouvriers; toute ma famille, frères, oncles, cousins, travaillait à la mine d”El-Halia, près de Philippeville. Ce petit village d’El-Halia n’était qu’un village de mineurs, d’artisans qui travaillaient dur dans la mine de fer. Il y avait également des ouvriers arabes avec qui nous partagions, au moment de nos fêtes respectives, nos pâtisseries et notre amitié. Ils avaient leurs coutumes, différentes des nôtres, nous nous respections. Nous étions heureux.
Les ” événements d’Algérie ” ont commencé en 1954. Mais pour nous, la vie était la même, nous ne nous méfions pas de nos amis arabes.
Je me suis mariée le 13 août 1955, nous avons fait une belle fête et tous nos amis étaient là, notamment C…, le chauffeur de taxi arabe que nous connaissions bien… Avec mon mari, nous sommes partis en voyage de noces.
Le 19 août 1955, avec mon mari André Brandy (ingénieur des mines employé au Bureau de la recherche minière d’Algérie), nous avons pris le taxi de C…pour rentrer à El-Halia. Pendant le trajet, C… nous dit: ” Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande “. Je lui répondis : ” Quelle fête ? Il n’y a pas de fête “. Je pensais qu’il plaisantait…
Le lendemain, 20 août, tous les hommes étaient au travail à la mine sauf mon mari. Il était juste midi, nous étions à table, quand soudain, des cris stridents, les youyous des mauresques et des coups de feu nous ont surpris. Au même moment, ma belle-sœur Rose, sa petite dernière Bernadette (trois mois) dans les bras arrive, affolée, suivie de ses enfants, Geneviève 8 ans, Jean-Paul 5 ans, Nicole 14 ans, Anne-Marie 4 ans. Son aîné de 17 ans, était à la mine avec son père. Avec ma mère, mon frère 8 ans, Suzanne ma sœur de 10 ans, Olga mon autre sœur de 14 ans et mon mari, nous avons compris qu’il se passait quelque chose de grave. Les cris étaient épouvantables. Ils criaient : ” Nous voulons les hommes “. Je dis à mon mari : ” Vite, va te cacher dans la buanderie! “.
Nous nous sommes enfermés dans la maison, mais les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coup de hache. À notre grande stupeur, c’était C…, le chauffeur de taxi, ” l’ami ” qui avait assisté à mon mariage. Je le revois encore comme si c’était hier. Il nous a poursuivis de la chambre à la salle à manger, dans la cuisine, nous étions pris au piège. C…, avec son fusil de chasse, nous menaçait. Il a immédiatement tiré sur ma pauvre mère, en pleine poitrine, elle essayait de protéger mon petit frère Roland. Elle est morte sur le coup avec Roland dans ses bras, lui aussi gravement atteint. Ma belle-sœur Rose a été tuée dans le dos. Elle gardait son bébé contre le mur, ma jeune sœur 0lga s’est jetée, dans une crise d’hystérie, sur le fusil, il a tiré à bout portant, la blessant salement. Il nous narguait avec son fusil.
Bravement et affolée, je lui dis: ” Vas-y! Tire! Il ne reste plus que moi “. Il a tiré, j’ai reçu la balle à hauteur de la hanche, je n’ai même pas réalisé et il est parti. J’ai pris les enfants, les ai cachés sous le lit avec moi, mais je souffrais trop et je voulais savoir si mon mari était toujours vivant. je suis allée dans la buanderie et me suis cachée avec lui derrière la volière. Les fellaghas, les fils de C…, sont revenus. Ils se dirigeaient vers nous en entendant un bruit, mais l’un d’eux a dit en arabe: ” C’est rien, c’est les oiseaux “. Et nous sommes restés, apeurés, désemparés, sans bouger Jusqu’à cinq heures de l’après-midi. Les cris, les youyous stridents, la fumée, le feu, quel cauchemar!…
Un avion de tourisme est passé au-dessus du village et a donné t’alerte. L’armée est arrivée à dix-sept heures. Et là, nous sommes rentrés dans la maison pour constater l’horreur. Mon petit frère Roland respirait encore; il est resté cinq jours dans le coma et nous l’avons sauvé. Malheureusement ma sœur Olga a été violée et assassinée, ma sœur Suzanne, blessée à la tête, elle en porte encore la marque. Puis l’armée nous a regroupés. Ma famille Azeï, tous massacrés au couteau, la sœur de ma mère, son mari, ses deux filles dont l’une était paralysée, l’une des filles qui était en vacances avec son bébé a été, elle aussi, assassinée à coups de couteau (c’est la fiancée de son frère, qui s’était cachée, qui a tout vu et nous l’a raconté). Le bébé avait été éclaté contre le mur. Puis, mon cousin a été tué à coups de fourchette au restaurant de la mine, le frère de ma mère, Pierrot Scarfoto a été, lui aussi massacré, en voulant sauver ses enfants, à coups de couteau, les parties enfoncées dans la bouche, ainsi que mon neveu Roger, âgé de 17 ans. Mon père, sourd de naissance, blessé à coups de couteau, s’était réfugié dans une galerie abandonnée. Il n’a pas entendu l’armée, on ne la retrouvé que quinze jours plus tard, mort à la suite de ses blessures. Il a dû souffrir le martyre. Mon jeune frère julien a été également massacré.
Treize membres de ma famille ont ainsi été martyrisés, massacrés par le F.L.N.
Je suis restée à l’hôpital près de trois mois, j’avais fait une hémorragie interne avec infection, car les balles fabriquées étaient bourrées de poils, de bris de lames de rasoir.
Nous avions échappé à la mort, mais pas à la souffrance. Mon mari fut muté à Bougie, mais le chantier ayant subi une attaque, il a dû fermer; puis à Ampère, près de Sétif, et finalement au Sahara. Mais les femmes n’étaient pas admises. J’ai été recueillie avec mes deux frères à Lacaune-les-Bains, chez les sœurs de Saint-Vincent-de-Paul, j’y étais déjà venue plus jeune.
Le fellagha meurtrier de ma famille a été arrêté, j’ai dû venir témoigner pendant trois ans en Algérie, car j’étais le seul témoin. Mon témoignage fut mis en doute, du moins la façon dont les miens ont été massacrés. Ils ont déterré ma mère pour voir si je disais la vérité, je n’en pouvais plus. On a retiré plusieurs balles et la seule chose de positive dans tout ce cauchemar, c’est le collier qu’elle portait et que l’on m’a remis; collier dont je ne me séparerai jamais.
Marie-Jeanne PUSCCEDU L’algérianiste n°94, p 36, de juin 2001