Les images et les symboles tiennent une place essentielle dans une spiritualité vivante. Quoi d’étonnant ? Les croyants ont besoin de supports visuels pour exprimer les réalités auxquelles ils accordent une importance centrale dans leur vie.
On peut voir dans les catacombes de Rome comment les premiers chrétiens ont puisé dans l’imagerie biblique pour représenter leur foi au Christ. Peintures classiques du Pasteur et du Rocher qui servaient déjà à évoquer D.ieu dans le Premier Testament, ou encore du sein d’Abraham pour suggérer le séjour des justes réconfortant auprès du Père.
Mais ce qui est paradoxal, c’est que le christianisme qui a été la religion la plus productrice d’art au cours des différentes époques, s’enracine dans une tradition biblique ayant développé l’interdit puis la méfiance envers toute représentation de l’invisible ! Nous lisons dans le livre de l’Exode (Ex 20.4) : « Tu ne te feras pas d’image taillée ! ».
Le prophète Jérémie, conscient de l’attirance des représentations sacrées de divinités auprès du peuple, insiste avec la même mise en garde : « Tout homme devient stupide par sa science. Tout sculpteur devrait avoir honte de son image taillée ! Car ses idoles ne sont que mensonge. Il n’y a en elle point de souffle, elles sont œuvre de néant et de tromperie… » Jr 51.17)
Y voyant un danger sérieux pour ses nouveaux convertis, encore imprégnés de culture paganisante, l’apôtre Paul revient sur le sujet :« Mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie ! » (1 Cor 10.14). C’est avec cette même préoccupation que la Réforme a refusé l’effigie du Christ en croix et préféré la croix nue, alors que les catholiques mettent en évidence le corps du crucifié et que les orthodoxes se sentent en contact avec le divin devant des images peintes.
L’Ecriture avertit : prendre une chose visuelle pour la réalité qu’elle veut évoquer est une offense à D.ieu, et la Bible se montre sévère, certes, mais avec des nuances. Par exemple, après l’épisode déplorable du veau d’or, durant l’Exode, Moïse demande néanmoins que l’on élève sur un étendard un serpent d’airain pour, en cas de danger de mort, orienter les regards du peuple vers le haut, c’est-à-dire vers le Très-Haut.(Nb 21.6) Les kerubim, les anges, qui entourent le mishkan, l’arche d’alliance, sont aussi une représentation des intelligences célestes. Sans oublier la grappe de raisin en or massif, symbole d’Israël apposé sur le fronton du Temple de Salomon à Jérusalem.
Mais les gestes symboliques et les images véhiculées restent ambigus, comme tout ce qui est humain. Qui se souvient de la signification initiale de la signation lors du baptême des premiers chrétiens à l’époque toujours circoncis? Le « signe de croix » sur le front se pratiquait déjà avant le christianisme, car le tav, dernière lettre de l’alphabet hébreu et en forme de X, représentait le T de Torah et était donc était le rappel de l’attachement à D.ieu. Ainsi, Ezekiel précise que lors du jugement dernier, seuls les justes portant sur le front la lettre tav en forme de x seront sauvés…
Non seulement les rabbins, mais aussi les Pères de l’Eglise ont beaucoup réfléchi sur les risques de l’idolâtrie de l’image lorsqu’on veut une relation vivante avec D.ieu. Tertullien, par exemple, estime que déjà la complaisance excessive de voir ou d’être vu est diabolique.
Par fidélité à l’Ecriture, cette critique du visible se veut en fin de compte une exigence de voir l’invisible, au-delà des apparences.
Nous lisons au livre de Samuel 16, 6, lors du choix de David comme roi d’Israël:
« A la vue d’Eliab, Samuel se dit : c’est lui, à coup sûr, que D.ieu a choisi.
Mais le Seigneur lui dit : ne te laisse pas impressionner par son allure et sa taille imposante ! Car c’est n’est pas lui que j’ai choisi !
Je ne juge pas à la manière des humains. Les humains s’arrêtent aux apparences, mais moi je vois la réalité jusqu’au fond du cœur… »
C’est pourquoi la théologie chrétienne admet une image qui soit icône, mais refuse une représentation qui devienne idole. (Le catholicisme distingue entre dulie, vénération et latrie, adoration). Cela, à la fois pour honorer D.ieu, le seul Saint, et pour préserver l’homme de déviances malsaines. L’actualité ne le démentira pas, car les signes extérieurs complètement sacralisés dans nos sociétés sont légions et mententsans complexe sur la réalité humaine !
Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Abbé Alain René Arbez pour www.Dreuz.info
“Tu ne te feras point d’image taillée, de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent,
et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.” Deut 5 v 8 à 10
“C’est pourquoi la théologie chrétienne admet une image qui soit icône, mais refuse une représentation qui devienne idole. (Le catholicisme distingue entre dulie, vénération et latrie, adoration). Cela, à la fois pour honorer D.ieu, le seul Saint, et pour préserver l’homme de déviances malsaines”
pas la théologie protestante et évangéliques, dont les églises ont des murs blancs et vides, et derrière l’ estrade quelquefois une croix vide, souvent un verset biblique écrit sur le mur. pour respecter le commandement, et aussi parce qu’ on sait bien la propension humaine à idolâtrer.
ceci dit, si l’ on veut parler d’ idolâtrie, il y a de nos jours bien des choses, autres que les images, qui en sont. car qu’ est-ce que l’ idolâtrie, sinon toute chose qu’ on porte très haut, en lui accordant une place centrale, au point qu’ elle éclipse D.ieu ?
ne peut-on voir des idolâtres dans ces foules hurlantes dans les stades ou les concerts ? d’ ailleurs à une époque, parlant des chanteurs, ne parlait-on pas des “idoles des jeunes” ?
n’ y a-t-il pas une forme d’ idolâtrie dans la télévision dès lors, et si, elle occupe tout notre temps libre, ne nous laissant même pas le temps de lire un verset biblique par jour ?
néanmoins les pires idolâtries sont les formes insidieuses de la pensée qui évacuent D.ieu, depuis certaines philosophies humanistes, jusqu’ à une science anti-créationniste comme le Darwinisme, parce qu’ on les enseigne dans les écoles comme des dogmes inamovibles, obligatoires, et ridiculisant les croyants en les ramenant à des obscurantistes ?
et que dire de la laïcité, crée pour assurer la liberté de croyance, lorsqu’ à force de vouloir éradiquer du paysage tout symbole religieux et même toute coutume de fête se comporte en “religion d’ état” ? en parlant de coutume de fête, je pense à celle de vendre à Noël des biscuits et bonbons, dans des charrettes tirées par des ânes, et dont le bénéfice servait à améliorer le Noël des enfants pauvres / une de mes amies, athée mais possédant des ânes et une charrette, participait à cela par humanisme, depuis quelques années elle se l’ est vu interdire au nom de la laïcité ! ( laïcité qui n’ interdit pas les grands rassemblements de fin de ramadan dans les parcs mais c’ est une autre histoire ).
on peut aussi compter comme idolâtrie le culte du corps poussé à l’ extrême. et bien d’ autres choses sans doute auxquelles je ne pense pas.
Dans les églises évangéliques, la croix est vide parce que Jésus-Christ est ressuscité
c’est le tombeau qui était vide, pas la croix!
Si , car la croix sans la résurrection, votre foi est vaine…
qui a dit que la croix était sans résurrection? Mel Gibson dans son film, peut-être!
et la crucifixion sans crucifié n’est plus qu’un thème humaniste: voir les courants bultmaniens et autres dans le protestantisme.
Jésus est historiquement réellement mort sur la croix, c’est ce que veut signifier la représentation de l’humain cloué. Ce détail est essentiel à notre époque où l’islam réfute précisément ce point fondamental: Jésus est vraiment mort en croix…
Aux premiers temps apostoliques, on parlait surtout de relèvement d’entre les morts et d’exaltation du juste innocent crucifié.
Mais c’est toute la spiritualité johannique: la croix et la gloire du ressuscité.
“A toi la gloire, ò ressuscité, …/…”
idolâtrer, c’est diviniser ce qui ne le mérite pas.
on croule sous les exemples, souvent mortifères.
“C’est pourquoi la théologie chrétienne admet une image qui soit icône, mais refuse une représentation qui devienne idole. (Le catholicisme distingue entre dulie, vénération et latrie, adoration).”
La “frontière” entre la vénération et l’adoration me semble bien mince chez beaucoup de catholiques que je connais. L’exemple le plus frappant étant la “Vierge Marie” que beaucoup de catholiques vouent un culte sans partage ( me semble -t-il )…. Lourdes étant un exemple frappant ( Marie mère de D.ieu ).
je suis d’accord que la dévotion peut prendre des dimensions excessives, sentimentalement.
L’Eglise met d’ailleurs en garde contre ces déviances de piété.
Mais je ne crois pas que les catholiques allant à Lourdes aient divinisé Marie, ni qu’ils confondent sa représentation statuaire avec son être spirituel invisible.
La médaille miraculeuse de la rue du Bac est-elle une idole ?
une médaille n’est qu’une médaille,ceux qui la portent savent qu’elle n’est pas une divinité, elle renvoie – en principe – à une relation éclairée avec D.ieu, la transcendance au dela de nos symboles humains. Car la Vierge n’est que celle qui conduit à Jésus seul médiateur pour les chrétiens.
Vous dites plus bas de Jésus : “il ne capte pas l’attention sur lui, il ne fait pas écran, ce que font les idoles”. Bien. On aimerait vous voir pousser un peu plus loin: Marie sait-elle ce qu’on lui fait faire ici bas ?
pour moi oui, puisque les gens lui attribuent le rôle de protéger ( ma mère en cousait dans nos vêtements dans ce but ! ) ça ne vous rappelle pas les amulettes des païens ? c’ est une façon de déposséder D.ieu au profit d’ un objet.
je suis d’accord il est dangereux de laisser les enfants jouer avec les amulettes!
En France on trouve des médailles de St Christophe dans pratiquement tous les rayons d’accessoires automobiles, entre le désodorisant en forme de sapin et les stickers façon “tuning”.
Dans ce cas précis, je suis convaincu que l’on nage en pleine idolâtrie superstitieuse.
J’en baffouille ! Lire « superstitieuse »…
Vous dites : « Mais ce qui est paradoxal, c’est que le christianisme […] s’enracine dans une tradition biblique ayant développé l’interdit puis la méfiance envers toute représentation de l’invisible ! »
Il me semble que le terme « paradoxal » ne soit pas approprié. La représentation de la divinité est devenue possible et nécessaire à cause de la double nature du Christ « Dieu-homme », dont le corps constitue en soi une théophanie visible afin d’accéder à la « théophanie suprême » non-visible.
Justement Jésus n’est pas né d’une “fabrication” humaine, mais de la main de D.ieu. Ce n’est pas un homme qui s’est fait D.ieu (paganisme) mais D.ieu qui s’est rendu présent en un homme au sein du peuple juif et de sa tradition.
C’est différent par rapport au fait humain de créer un objet symbole en le destinant à l’adoration.
Jésus s’efface toujours devant la présence du Père, (St Jean) il ne capte pas l’attention sur lui, il ne fait pas écran, ce que font les idoles.
je sais que je suis hors-sujet, mais je ne sais où mettre cette info :
http://www.postedeveille.ca/2012/08/larabie-saoudite-tente-d-empecher-le-vatican-d-enregistrer-l-adresse-internet-catholique.html
de quoi ils se mêlent ?
Les images comme “support spirituel”, icônes, médailles, statues, scapulaires ou autres (le phénomène n’est d’ailleurs pas seulement catholique il est mondial) ne sont elles pas surtout un aveu d’échec, fruit d’une relation à D.ieu voulue par l’homme, les armes sentimentales aidant (c’est à dire la chair et ses dérives), l’expression d’une religiosité d’héritage sans plus ET NON UNE RELATION VIVANTE INITIEE PAR D.IEU ENVERS LE REPENTI SINCERE QUI A DECOUVERT ET ACCEPTE LE SALUT PAR GRACE?
Les images sont toujours un aveu de faiblesse car le croyant “né de nouveau” au sens le plus biblique et qui a “engrangé par la foi et gratuitement le salut par grâce DEVIENT TOUJOURS un EBLOUI DE D.IEU et qui par l’esprit humain renouvelé par l’Esprit de D.ieu VOIT de l’intérieur les choses de l’Esprit de D.ieu qui sont à ce point inéffables que les images, toutes, en deviennent misérablement pauvres,grossières et même risibles.
Je pense d’ailleurs que l’apparition des images, icônes et autres formes déjà citées furent dans l’histoire de l’Eglise un des pas de distanciation voulu vis à vis d’Israël dans le contexte de la théologie du remplacement. Le commandement de D.ieu donné à Israël de refuser les images, les idoles se voit magnifié dans l’enseignement du juif Paul. Il suffit de lire ses écrits et…d’y revenir en renouant avec bonheur avec la Loi qui n’a pas été abrogée mais accomplie en Yeshoua. Conclusion, un chrétien devrait encore plus qu’un juif haïr, fuir, dénoncer les images comme “support spirituel”
Mon shalom…
les peintures de Giotto sont elles grossières et risibles?
les vitraux de Chagall sont-ils tristes et vulgaires?
non, vous idéologisez à l’extrême les mises en garde de la Parole de D.ieu!
Les arts doivent être au service de l’âme et la spiritualité n’est pas un carcan d’interdits!
D.ieu n’est-il pas clair? L’Éternel est jaloux et ne tolère pas l’idolâtrie. Voilà quelques exemples…
Deut 29:18 Qu’il n’y ait parmi vous ni homme, ni femme, ni famille, ni tribu, dont le cœur se détourne aujourd’hui de l’Eternel, notre Dieu, pour aller servir les dieux de ces nations- là. Qu’il n’y ait point parmi vous de racine qui produise du poison et de l’absinthe. 19 Que personne, après avoir entendu les paroles de cette alliance contractée avec serment, ne se glorifie dans son cœur et ne dise: J’aurai la paix, quand même je suivrai les penchants de mon cœur, et que j’ajouterai l’ivresse à la soif. 20 L’Eternel ne voudra point lui pardonner. Mais alors la colère et la jalousie de l’Eternel s’enflammeront contre cet homme, toutes les malédictions écrites dans ce livre reposeront sur lui, et l’Eternel effacera son nom de dessous les cieux.
Deut 32:16 Ils ont excité sa [D.ieu] jalousie par des dieux étrangers, Ils l’ont irrité par des abominations;
Deut 32:21 Ils ont excité ma jalousie par ce qui n’est point Dieu, Ils m’ont irrité par leurs vaines idoles;
Ps 78:57 Ils s’éloignèrent et furent infidèles, comme leurs pères,Ils tournèrent, comme un arc trompeur. 58 Ils l’irritèrent par leurs hauts lieux, Et ils excitèrent sa jalousie par leurs idoles.
Ezk 8:3 […] L’Esprit m’enleva entre la terre et le ciel, et me transporta, dans des visions divines, à Jérusalem, à l’entrée de la porte intérieure, du côté du septentrion, où était l’idole de la jalousie, qui excite la jalousie de l’Eternel.
1Co 12:21 Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons. 22 Voulons- nous provoquer la jalousie du Seigneur? Sommes- nous plus forts que lui?
Donc, cher Alain, ces images sont risibles, tristes et vulgaires car elle ne sont pas de D.ieu. Ce n’est pas de l’idéologie, c’est simplement la crainte de l’Eternel et le respect de Sa parole.
Qui était responsable de la musique au paradis? D’où pensez vous que vient le “génie” artistique?
n’utilisez pas des passages bibliques hors de leur contexte à la manière dont les musulmans vous assènent des pages du coran!
pour moi le génie artistique bien compris est un reflet de la créativité divine au paradis…mais nous sommes sur terre et non pas des êtres désincarnés!
qui veut faire l’ange fait la bête.
comme vous dites bien les choses 🙂 entièrement d’ accord avec vous. D.ieu dit vouloir être adoré en esprit, c’ est-à-dire de notre esprit au Sien, sans le moindre intermédiaire.
de plus, sachant ce que la désobéissance d’ Adam et Eve a eu comme effet, il est clair que toute désobéissance a des effets désastreux, chacune entraîne un peu plus de dérive loin de Lui.
la bible est remplie d’histoires d’intermédiaires et de médiations!
arrêtez le délire!
Je suis tellement d’accord. Malheureusement comme on le voit dans cet article, les hommes sont tellement fort pour se trouver des excuses et dévier de la vérité. Sur fond de théologie soit disant chrétienne, ils ajoutent leur propre désir, les désir de leur chair, et s’éloignent de la vérité.
Les hommes charnels ne peuvent pas faire, la différence entre un commandement de D.ieu et un désir de la chair car ils mettent leur confiance en des hommes et non en D.ieu.
Dans nombre, c’est D.ieu qui demande à Moïse de faire le serpent. C’est encore D.ieu qui demande de mettre des chérubin dans le temple de Salomon ou sur l’arche de l’alliance.
Par contre quand des hommes ont pris l’initiative de rajouter des images dans le temple de l’Éternel et de changer le culte de l’éternel ils sont châtiés:
Ezk 8:10 J’entrai, et je regardai; et voici, il y avait toutes sortes de figures de reptiles et de bêtes abominables, et toutes les idoles de la maison d’Israël, peintes sur la muraille tout autour. 11 Soixante- dix hommes des anciens de la maison d’Israël, au milieu desquels était Jaazania, fils de Schaphan, se tenaient devant ces idoles, chacun l’encensoir à la main, et il s’élevait une épaisse nuée d’encens.
Cela ne rappelle-t-il pas le rite catholique? Et ces hommes tournés vers l’Est comme le sont toutes les églises/cathédrales catholiques.
Ezk 10:16 […] il y avait environ vingt- cinq hommes, tournant le dos au temple de l’Eternel et le visage vers l’orient; et ils se prosternaient à l’orient devant le soleil.
Que fit l’Éternel?
Ezk 9:3 Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n’approchez pas de quiconque aura sur lui la marque; et commencez par mon sanctuaire! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison.
Le châtiment pour l’idolâtrie, c’est la mort! Heureusement que l’Éternel nous aime et qu’Il à prévu une porte de sortie en Yeshua.
Alors, sortez de Babylone, sortez du milieu d’elle avant qu’il ne soit trop tard! REPENTEZ-VOUS. Cessez de raisonner comme des hommes charnels et tournez-vous vers D.ieu qui vous aime. Demandez pardon. D.ieu est miséricordieux et Il vous pardonnera.
REPENTEZ-VOUS le retour du Seigneur est proche, très proche. Cette fois, il vient avec une verge de fer pour paître les nations, cela sera très douloureux. Il vous laisse encore une chance, alors s’il vous plaît entendez mon cris et repentez-vous.
sauf que quand on prie dans une église catholique dirigée vers l’orient, on est tourné non pas le dos mais le visage vers le Temple de l’Eternel, nuance.
Que les églises aient été construites tournées vers l’orient est plutôt le signe intelligent d’une conscience et d’un rappel des racines bibliques.
C’est mieux qu’une salle évangélique tournée vers New York.
“C’est mieux qu’une salle évangélique tournée vers New York”
allons Abbé vous valez mieux que ça, cette réponse étant mensongère. les églises évangéliques sont dans n’ importe quel sens, selon les aléas architecturaux, quand on a les moyens d’ en construire, car la plupart du temps on se contente de louer ce qu’ on trouve. et vous savez pourquoi ? parce qu’ on sait que D.ieu est au milieu de nous, et partout, même si une partie de notre coeur chérit Israël.
ce n’était qu’une formule, mais vous avez très bien compris!
en écrivant cet article, je savais d’avance que les iconophobes allaient s’exciter à grand renfort de citations bibliques.
Je demande aux lecteurs amis des arts, équilibrés et conscients, de venir s’exprimer pour offrir des commentaires un peu moins donneurs de leçons et qui ne menacent pas du feu du ciel à chaque instant.
Les représentations sont pour moi comme une photo d’un être aimé que l’on pose sur le mur et que l’on regarde avec tendresse, il n’y a là pour moi aucune idolâtrie, les médailles scapulaires et autres sont pour moi la même chose, un rappel du lien affectueux qui existe dans notre coeur et notre âme. Les oeuvres inspirées aux artistes sont merveilleuses je vois le divin talent donné aux hommes, Dieu nous parle par les accomplissements des humains qu’Il inspire, c’est ainsi que je vois ces choses.
Je ne regarde jamais une oeuvre d’art, qu’elle soit d’inspiration religieuse ou non, sans remercier Dieu qui a permis à sa créature d’enfanter de telles merveilles. Il en va de même pour les spectacles que nous offre la nature, où se mélangent parfois la création divine et la création humaine pour former un chef-d’oeuvre.
Il est vrai, nous avons besoin de donner un visage, un cadre, à notre foi, c’est une faiblesse humaine ; l’immatériel seul peut bien suffire à un petit nombre d’élus, mais pas à l’ensemble des croyants dont la tendresse a besoin de s’accrocher à du tangible. Qui de nous ne s’efforce, depuis l’enfance, d’imaginer les plus belles scènes de la Bible, qui ne s’attache à telle représentation préférée de la Nativité, de la Vierge-Mère ? Qui ne trouve réconfort à toucher la croix d’or à notre cou ou notre médaille de baptême ?
L’Eglise a bataillé assez longtemps contre le risque d’idolatrie pour que nous sachions aujourd’hui faire la différence entre l’émerveillement devant une œuvre d’art, l’attachement que peut inspirer un symbole et la vénération due au seul Dieu jaloux.
Voici un excellent article sur le sujet :
L’idolâtrie dans l’Eglise
http://www.sourcedevie.com/html/print-A046-idolatrie-images-jesus.htm
Mon commentaire du 24 n’a pas été publié. Je donnais l’adresse d’un texte très pertinent sur l’idolâtrie dans l’Église :
http://www.sourcedevie.com/html/print-A046-idolatrie-images-jesus.htm
Voici un texte se Luther sur l’idolâtrie:
Dans les “Propos de table” sont rapportées les paroles suivantes de Luther :
« Je dis qu’on est, en fait, idolâtre quand on ne se conforme pas, dans ses actes et ses enseignements, exactement à la parole de Dieu, et qu’on n’agit pas exactement comme nous le prescrit et nous l’enseigne celle-ci. Quand on veut servir Dieu, il ne s’agit pas de considérer quelle œuvre on fait, mais la manière dont il faut l’accomplir, et si Dieu a ordonné de la faire ; d’autant plus que Dieu, comme nous le dit Samuel (11:15, 22) « a plus de joie à voir suivre sa parole qu’à la fumée des holocaustes ». Aussi, celui qui n’obéit pas à la voix de Dieu est un idolâtre, quand même il pourrait se vanter d’offrir à Dieu les sacrifices les plus grands et les plus difficiles. »
le texte de Richard Benett que vous recommandez si chaudement ne présente strictement aucun intérêt sur le sujet traité ici.
Les lecteurs s’en feront eux-mêmes une opinion.
Benett est un ancien prêtre dominicain devenu un évangélique intolérant et fulminateur, une vraie caricature, qui manie le texte biblique comme les talibans donnent le fouet aux dissidents de l’islam.
Le texte sur l’idolâtrie est tout à fait pertinent. Les lecteurs intéressés peuvent lire l’histoire de Richard Bennett dans son livre “Leur chemin ne mène plus à Rome” avec celle de 19 autres anciens prêtres. La vérité se défend toute seule et expose les vraies dispositions de ceux qui y sont confrontés, et cela se voit dans leur langage. Ses adversaires, comme les pharisiens d’autrefois, y demeurent insensibles, comme s’ils ne l’avaient pas entendue.
Il n’y a rien qui plaide en faveur de la vérité dans le langage de Benett.
Merci pour l’attribution de “pharisien” que vous m’adressez indirectement, sur ce site catholique, moi qui ne suis pas un ancien prêtre mais un bien actuel et fier de ses engagements au service de l’Evangile.
“Pharisien” dans votre esprit est quasiment une insulte, ce qui montre bien le degré zéro de vos connaissances sur le 1er siècle, car Jésus partageait le 90% des convictions des Pharisiens, les perushïm, qui ont fait un travail remarquable au sein du peuple de Dieu!
Vous utilisez la Parole de Dieu de manière littéraliste, l’évangile n’est pas un fétiche!
Chacun “plaide pour sa paroisse” en jouant sur le sens que l’on veut donner aux mots mais cela n’efface pas pour autant la réalité des actes, des comportements. Dieu, ne nous demande t’il pas de l’adorer en esprit et en vérité ? Le cœur de l’homme (ses penchants) a tendance à compliquer les choses. L’idolâtrie reste de l’idolâtrie dans la diversité de sa panoplie, de la médaille protectrice en passant par le culte (dévotion?) des saints, des anges…etc. A vrai dire, une représentation des choses d’en haut, d’en bas sous quelle que forme que ce soit, n’est rien en elle même, mais c’est plutôt l’usage que l’on en fait qui porte jugement ou pas au regard des écritures. Ainsi, lorsque Dieu dit : «Tu ne te feras point…de représentation…des choses qui sont en haut dans les cieux… et tu ne les serviras point » (Exode 20 :4,5), cela n’est pas en contradiction avec « Tu feras deux chérubins » (25 :18) ce qui est pourtant une représentation des choses d’en haut, mais ce qui est à retenir ou à comprendre c’est « tu ne les serviras point » et, à ma connaissance, jamais les serviteurs du tabernacle n’ont servi ces représentations ni se sont prosternés devant elles.
Je dis peut -être une bêtise mais David a bien dansé devant L’Arche d’Alliance non?
Danser devant l’arche, comme le firent David et le peuple, ne signifie pas pour autant l’adorer. Les seuls services qui étaient faits sur l’autel devant l’arche, qui était d’ailleurs cachée dans le tabernacle, étaient ceux ordonnés par la loi Mosaïque. Le but de l’arche, qui contenait la loi, était de témoigner (les deux chérubins) temporairement de l’alliance contractée entre Dieu et son peuple. C’était une situation imparfaite puisqu’elle devait être remplacée par la nouvelle alliance en Christ (Hébreux 9 et 10), ce que l’Esprit prophétique avait révélé à Jérémie : « Lorsque vous aurez multiplié et fructifié dans le pays, En ces jours-là, dit l’Éternel, On ne parlera plus de l’arche de l’alliance de l’Éternel ; Elle ne viendra plus à la pensée ; On ne se la rappellera plus, on ne s’apercevra plus de son absence, Et l’on n’en fera point une autre » (3 :16). Etant une chose matérielle, ombre des choses à venir, on comprend qu’elle ne fut pas un sujet d’adoration ni ne devait prendre la place de la véritable arche d’alliance, Christ, selon ce qui est révélé : « Et le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l’arche de son alliance apparut dans son temple. » (Ap. 11 :19). C’est donc Dieu seul, par son Fils bien aimé qui est en Lui, que nous devons adorer (Ap. 22 :8,9) en esprit et vérité et non pas une ombre ou une représentation quelconque comme cela existe encore de nos jours.
Quand vous dites que l’alliance en Christ REMPLACE l’alliance précédente, vous faites la théologie de la SUBSTITUTION !
Pseudo théologie aux conséquences meurtrières puisqu’elle disqualifie Israël et met l’Eglise à sa place…
L’alliance est renouvelée – pas révoquée, comme disait Jean Paul II à Mayence dans les années 80.
mais je sais que des groupements évangéliques continuent d’affirmer cette théologie judéicide.
Nous jouons peut-être sur les mots, mais je ne pense pas avoir l’esprit compliqué quand je lis : « En disant une alliance nouvelle, il a déclaré la première ancienne ; or, ce qui est ancien, ce qui a vieilli, est près de disparaître » (Hébreux 8 :13), pour laisser la nouvelle prendre place, non ? Quant à la ‘’théologie de la substitution’’ elle n’est nullement dans mes propos, loin de là, car je n’ai jamais pointé le doigt ‘’accusateur’’ envers ce peuple que j’aime, comme l’ont fait, depuis des siècles, ceux qui se sont vraiment substitués à lui, par ignorance de l’Evangile, participant même à leur persécution, attitude qui fait mal au sein du grand peuple de la foi en Jésus-Christ. Quand vous dites : « disqualifie Israël et met l’Eglise à sa place… » pour moi, le mot Eglise ne se conçoit pas sans les brebis de la maison d’Israël, que la nouvelle alliance ne disqualifie certainement pas, au contraire « Au Juif premièrement » Dieu n’ayant jamais abandonné son peuple (Si je t’oublie, Jérusalem, que ma droite m’oublie. Ps 137 :5). Mais la finalité, dans ce grand peuple de la sainte postérité, n’est-elle pas d’obéir au commandement du Seigneur de nous aimer comme Il nous a aimés, afin d’être en cela ses témoins devant les nations ? Et il est bien évident que cette preuve d’amour ne peut être sans Israël, mais il est aussi évident que cette construction ne peut être édifiée que sur le seul nom de Jésus, le messie, Fils de Dieu, pierre principale de l’édifice. C’est là le témoignage que nous devons confesser devant tout homme.
Quand on est catholique, on connaît les risques d’erreurs. Ca me fait penser à quelque chose comme:la phrase, quand on montre du doigt la lune, l’imbécile regarde le doigt.
Je voulais dire que ceux qui prennent les catholiques pour des imbéciles qui regardent le doigt, c’est à dire les saints, sont eux même ceux qui regardent alors seulement le doigt.
cet apostat de Jean Paul comme vous dites, a plus fait en vingt huit ans de pontificat pour le rapprochement entre chrétiens et juifs que tous les papes précédents en 18 siècles!
J’aime bien ces deux “apostats” que sont Jean Paul et Benoît pour leur travail intellectuel et spirituel de haut niveau, les citations bibliques c’est bien, mais ça ne suffit pas pour faire avancer le schmillblick!
Fort occupé, je n’ai pu répondre à l’Abbé Arbez qui écrivait le 21 août :
“les peintures de Giotto sont elles grossières et risibles?
les vitraux de Chagall sont-ils tristes et vulgaires?”
non, vous idéologisez à l’extrême les mises en garde de la Parole de D.ieu!
Les arts doivent être au service de l’âme et la spiritualité n’est pas un carcan d’interdits!
Ma réponse:
A l’aide d’un racourci vous me faites dire ce que je ne dis pas. C’est “habile” mais pas élégant. Non les peintures de Gioto et l’art de Chagall ne sont ni grossiers, ni vulgaires. L’artiste que je fus et l’ex-auditeur de son cours d’Histoire de l’Art que je fus les ai admiré de longtemps avec bien d’autres. Par votre remarque lapidaire vous vous éloignez aussi du vrai débat. Revenons-y.
1/ Vous écrivez: “vous idéologisez à l’extrême les mises en garde de la Parole de D.ieu!”
Voyons l’abbé, D.ieu est un absolu, non? En révérant les écritures ne se heurte-il- pas, le lecteur, à cet absolu. Et ne doit-on pas aborder cela avec humilité,prudence, sagesse et un parti pris de déclarer la Parole du D.ieu vivant irréductible à la seule sagesse humaine faillible (c’est là que le Rouah ha Kodesh intervient pour pallier à la faiblesse humaine)? C’est aussi cela la foi et le départ d’une saine et sainte route pour le croyant, non? Sur ce sujet, j’en dirai plus lorsque j’aurai abordé et terminé le point 3, ci-dessous.
2/Vous écrivez “Les arts doivent être au service de l’âme et la spiritualité n’est pas un carcan d’interdits!”
Ou trouvez-vous dans votre, notre Bible,de Béréchit à Apocalypse, puisque vous êtes chrétien, une seule parole qui justifie ce propos, savoir que les Arts doivent être au service de l’âme dans un contexte spirituel et de foi s’entend CAR C’EST BIEN LA VOTRE PROPOS DE FOND?
Une des uniques occasions ou l’Eternel commanda que les capacités d’artisans doués soit mises en Israël au service du TEMPLE, donc de D.ieu et non de l’âme humaine, ce fut lors de la décoration du Temple (et selon des directives divines très cadrées). Non, bible en mains, si on déclare que les arts sont au service de l’âme, on se révèle GREC au sens humaniste et en contradiction avec la vie de l’Esprit générée par D.ieu et attestée par les Ecritures. Vous me direz peut-être qu’alors l’histoire de Rome favorisant l’ART (Ô combien et à quel prix?)était inspirée de D.ieu pour le faire. Mais non ce n’était pas D.ieu qui pouvait inspirer cela qui se vécut dans une débauche de luxe inouï qui fait injure à la simplicité évangélique et au message de Yeshoua (au jeune homme riche: va, vends tout et suis moi, par exemple).
3/Vous écrivez: la spiritualité n’est pas un carcan d’interdits!
réponse: Effectivement, la vraie spiritualité implique que l’on est connecté à la source: D.ieu exclusivement. Et elle ouvre, cette spiritualité-là un espace infini de réjouissances spirituelles, intellectuelles et sensibles mais d’un ordre qui n’est pas terrestre, humain et qui transcende l’humain en le magnifiant. Un festival de joies et “saines stupeurs” infini. Mais cette spiritualité là ne peut que s’assombrir (je parle d’expérience) dès que l’on fait fi des commandements divins, du décalogue qui par exemple interdit toutes représentations de ce qui est EN HAUT.
Voilà cequi me permet d’en revenir à votre icône en tête de votre article.
L’abbé, si D.ieu choisit lui de se dévoiler (donc de donner d’une certaine façon, une image de D.ieu)au travers de la venue de son Fils Yeshoua, c’est son autorité et son choix. Il est le seul dans le cadre de toute l’Histoire humaine à avoir donné une “image relative” de sa personne. Relative car “image” toute spirituelle, bien que de forme et présence humaine. En effet un être qui n’est pas engendré d’homme mais de D.ieu ne peut que véhiculer une image non habituelle, non complètement accessible à l’humain déchu. C’est là tout l’aura mystérieux qui accompagne le passage de Yeshoua sur cette terre.ET SON “IMAGE” de MESSIE SALVATEUR n’était pas FIXABLE par la sagesse humaine. Cela apparaît tout au long de son ministère terrestre…et de son opposition au monde religieux de l’époque.Il n’était pas réductible a de l’humain. C’est le mystère du D.ieu incarné et la seule “image” à notre disposition. PARTANT, tenter de fixer l’image HUMAINE de ce profond mystère de Yeshoua, D.ieu incarné par des moyens limités dans le temps et l’espace, une icône par exemple, c’est amener D.ieu sur la Terre hors de sa volonté et détourner le regard de la vraie foi destinée à adorer le Seigneur en Esprit…et en vérité. C’est cela aussi l’idolâtrie, à côté de bien d’autres choses (animisme, panthéon égyptiens, sumériens, grecs et romains, celtes, etc) qui tentent toutes de fabriquer sur Terre un divin qui n’est que fantaisie humaine grossière et lamentable et dès lors une injure à la sainteté absolue (faut-il d’ailleurs ajouter “absolue”? Cela va de soi) de notre HACHEM
Bien à vous depuis Yéroushalaim
Haim
cher Monsieur Haïm,
Je n’aime pas le ton “donneur de leçons” de votre (trop) long développement. Il n’est – pour reprendre votre expression – ni habile ni élégant.
Certains lecteurs littéralistes comme vous seront d’emblée en accord avec votre discours réducteur, d’autres sont visiblement en harmonie avec ma réflexion. Vous avez tendance à traiter un peu vite les autres d’idolâtres, quelle prétention! Mais c’est “bible en mains” ça vous rassurem mais cela ne donne pas tous les droits. Vous voilà prophète de l’Eternel!
Non Monsieur, avec beaucoup de juifs et de chrétiens, j’apprécie les arts pour ce qu’ils sont : pas plus, et pas moins. Et j’accorde à D.ieu toute la sainteté qui est la sienne, sans oublier de le louer pour avoir associé l’homme à sa créativité.
Si D.ieu est absolu, tout est relatif, certes, même votre raisonnement.
j’ajoute un détail qui vous plaira: le choix de l’icône qui vous agace n’est pas de moi, mais de Jean Patrick Grumberg, qui en connaît un bout en art, sans avoir suivi les cours d’un grand maître.
Vous n’avez pas publié ma réponse. Est-ce bien honnête? Non bien sûr.
Non ce n’est pas honnête. Nous ne sommes pas honnêtes, à Dreuz.
Vous n’avez pas non plus publié mon commentaire sur le vôtre, manipulateur et à base de faux. Vous n’êtes donc pas l’homme que vous paraissez être. Triste. Je ferai savoir autour de moi car votre attitude relève de l’escroquerie intellectuelle.