Il serait risqué de se déclarer aujourd’hui “raciste” dans l’espace public. Nul citoyen ne se dit “raciste”, sauf à titre de provocation ostentatoire, dans une société démocratique occidentale où le rejet du “racisme” est la norme. Mais rares sont ceux qui pensent que “le racisme” a disparu.
Certains responsables politiques, désireux de calmer les esprits, croient cependant devoir déclarer, de temps à autre, pour prendre l’exemple français, que “la France n’est pas raciste” ou qu’elle “n’est pas antisémite”. Ce qui n’est ni totalement vrai, ni entièrement faux. La vérité est autre, plus complexe, plus subtile. Et surtout, étrangère aux dogmes idéologiques et aux passions politiques. Pour la découvrir, il faut commencer par s’interroger sur le sens du mot “racisme”, et reconnaître qu’il n’a cessé de varier selon les contextes historiques. On ne saurait donner une définition unique, fixe et invariable du “racisme”. Oublions provisoirement les guillemets, qui marquent le doute et la distance critique, et argumentons comme si “le racisme” était un phénomène bien connu, clairement reconnu, mais qui gagnerait à être mieux connu.
Partons du présent. Le racisme n’est pas mort, il s’est métamorphosé. Ce diagnostic lapidaire doit bien sûr être précisé, expliqué et commenté. Tout d’abord, le racisme peut se manifester de façon non explicite ou d’une manière indirecte, il peut même parfois n’exercer tous ses effets qu’à la condition d’être voilé ou symbolique, et nié par ceux qui le pratiquent. Ensuite, nous nous trouvons souvent aujourd’hui devant des modes d’exclusion illustrant un racisme qui, pour ne pas se fonder sur des caractéristiques dites raciales (soit des traits somatiques visibles), n’en est pas moins virulent. Le nouveau racisme est un racisme sans “races”. Il s’agit le plus souvent, du moins dans les sociétés démocratiques occidentales, d’un racisme intégré dans le nationalisme xénophobe, visant spécifiquement l’immigration ou certaines catégories d’immigrés. Le rejet peut se fonder classiquement sur l’apparence physique, notamment sur la couleur de peau, mais il tend aujourd’hui à privilégier les caractères culturels, au premier rang desquels on trouve la religion.
C’est pourquoi il convient de reconnaître comme des formes émergentes de “racisme”, même si le terme semble mal convenir aux phénomènes désignés, les passions idéologiquement organisées que sont l’islamophobie, la judéophobie et la christianophobie, qui s’opposent ou se combinent diversement. Ces trois derniers termes fonctionnent le plus souvent sans être définis précisément, et leur indistinction en favorise les usages polémiques : il va de soi que “traiter” d’islamophobe ou de judéophobe, par exemple, un individu ou un groupe, c’est le stigmatiser, donc le délégitimer. Et bien sûr, dans les pays où existe une législation antiraciste, l’exposer à des poursuites et à des sanctions.
Mais l’on peut construire des pseudo-races, et les hiérarchiser, sur la base de traits culturels, qu’il s’agisse d’une langue ou d’un système de croyances. C’est ainsi que les islamistes traitent les chrétiens ou les Juifs comme des quasi-races distinctes, inférieures et dangereuses. La question du racisme est devenue en grande partie celle de la racialisation de n’importe quel groupe humain. Ce qui complique le tableau, c’est le fait qu’aux fanatismes religieux s’ajoutent désormais les fanatismes antireligieux. Au nom de la “laïcité”, dont on oublie qu’elle appelle à respecter toutes les croyances, certains, des agnostiques ou des athées mus par une haine spécifique, dénoncent, insultent, rejettent des groupes humains en tant que communautés de croyants. Cette dérive de l’athéisme et du laïcisme est regrettable, certainement difficile à reconnaître dans les sociétés sécularisées, mais il faut partir de ce qui est observable, à savoir le rejet haineux de catégories d’individus en raison de leurs croyances religieuses.
Enfin, le racisme apparaît désormais souvent sans référence non plus à la thèse d’inégalité, il ne présuppose donc plus nécessairement une classification hiérarchique des “types raciaux” ou des groupes humains identifiés. Il substitue l’affirmation de la différence des cultures ou des civilisations au dogme de l’inégalité entre les races, mais il fatalise et absolutise les différences culturelles. D’où un nouveau type d’argument racisant, qui consiste à justifier le rejet des différents en ce que leurs cultures propres seraient incompatibles avec la nôtre. Cet argument est lié à un autre : pour garantir la paix civile, pour prévenir les conflits culturels, il faut fermer les frontières. Ces arguments ne sont pas dénués de justifications empiriques : on observe en effet des phénomènes inquiétants liés aux différences culturelles, allant de la non-intégration sociale aux conflits inter-communautaires. Les antiracistes aveugles ne veulent pas en parler, ni en entendre parler. Les nouveaux racistes en exagèrent l’importance, et les transforment en thèmes mobilisateurs.
Au cours des trente dernières années du XXe siècle, on a assisté au surgissement d’un racisme centré sur l’identité culturelle plutôt que sur les catégories raciales classiques, sur la différence groupale plutôt que sur l’inégalité racialement déterminée. Je l’ai baptisé naguère, au début des années 1980, “néo-racisme différentialiste et culturel”. La question du racisme s’est ainsi décrochée de la vieille question raciale. Et les idéologues racistes, ou plus exactement néo-racistes, ne sont plus voués à répéter les thèses des théoriciens de “l’inégalité des races humaines”. C’est pourquoi la délégitimation scientifique de la catégorie de “race humaine” n’a plus rien à voir avec la nouvelle question raciste. Elle constitue une simple survivance d’une forme d’antiracisme savant qui, après avoir été conçue pour disqualifier les modes de légitimation racialistes des nationalismes expansionnistes et des impérialismes coloniaux, a trouvé sa pleine justification dans les années 1930 et 1940, dans le cadre de la lutte intellectuelle contre le nazisme, dont les idéologues avaient la prétention d’élaborer un “racisme scientifique”.
L’antiracisme de l’époque post-nazie et post-colonialiste reste à inventer. Il s’est enlisé jusqu’ici dans un discours commémoratif empêchant de considérer la nouveauté des défis à affronter et favorisant les amalgames polémiques (la réduction de l’adversaire à Hitler ou à Pétain), et embourbé dans le marécage des arguties juridiques liées au politiquement correct, qui pousse à l’interprétation paranoïaque du moindre “dérapage” lexical ou sémantique. D’où l’apparition d’antiracistes visionnaires, victimes d’hallucinations répétées, qui crient au “retour des années trente”, du pétainisme ou du nazisme face à de simples constats concernant par exemple les liens entre immigration et délinquance.
Le recul du racisme “classique” ou “traditionnel”, fondé principalement sur la couleur de peau et hiérarchisant les groupes humains selon des caractéristiques somatiques, est net dans le monde démocratique occidental, où il coexiste avec le néo-racisme. On peut voir dans l’élection de Barack Obama, en novembre 2008, avec près de 53% des suffrages, un indice majeur du déclin des rejets racialistes fondés sur la couleur de peau. Mais le racisme “classique” n’a nullement disparu, et l’on ne saurait conclure des travaux sur la question qu’il est en voie d’extinction sur la planète. On ne saurait par exemple considérer que les États-Unis sont entrés d’une façon irréversible dans une “ère post-raciale” ou “post-ethnique”. Il ne faut pas confondre les bonnes intentions avec les faits, ni les rêves avec les processus réels. L’un des effets pervers de l’antiracisme classique, visant pour l’essentiel le racisme de type nazi, a été de rendre le racisme plus subtil, de produire une modification des représentations stigmatisantes et de favoriser le double discours. C’est là un phénomène que, dès la fin des années 1970, certains sociologues américains ont analysé sous la dénomination de “racisme symbolique”, soit un racisme non assumé et indirect, incluant notamment des arguments ou des normes de type “antiraciste”, par exemple le “droit à la différence” ou le “respect des identités culturelles”.
En outre, les milieux antiracistes organisés ont gardé un silence gêné ou prudent sur l’apparition de formes diverses de “contre-racisme”, ou, si l’on préfère, de racisme “classique” retourné ou inversé. Le phénomène n’est pas nouveau (au racisme des dominants les dominés répondent souvent par un racisme de sens contraire), mais il a pris, en raison de la mise en accusation croissante de l’Occident, une importance inédite, en même temps qu’il a subi une élaboration doctrinale. La plupart des difficultés sémantiques rencontrées viennent de ce que, pour nommer et décrire ces phénomènes émergents, on utilise le vieux vocabulaire des couleurs contrastées, censées caractériser des groupes humains différents (les “races”). Dénoncer le “racisme anti-noir” ou le “racisme anti-blanc“, par exemple, c’est postuler que la distinction entre “noirs” et “blancs” est pertinente pour identifier les groupes humains. Le “racisme blanc anti-noir”, en particulier, a fait l’objet d’une imitation par retournement, comme si recouvrer l’estime de soi, pour certains “Noirs”, impliquait le rejet ou la haine des “Blancs”. Et ce “racisme noir anti-blanc” s’est à la fois intensifié et banalisé depuis les années 1970, sans être pour autant toujours clairement revendiqué. Il ne l’est guère que dans des situations de violences commise contre des “blancs”, identifiés comme tels par leurs agresseurs s’identifiant eux-mêmes comme non-blancs. C’est le cas lorsque l’agressé entend ses agresseurs déclarer qu’ils “cassent du cblan (blanc)” ou du “toubab”. Dans les échanges d’insultes entre jeunes, par exemple dans une cour de récréation, les étiquetages fondés sur l’origine ou l’apparence physique sont courants : les “blancs” sont traités non seulement de “Gaulois” ou de “babtou”, mais aussi injuriés en tant que “sales blancs”. Ces identifications stigmatisantes, dès lors qu’elles sont réciproques, perdent en partie leur charge racisante. Elles font partie du vocabulaire argotique marquant l’appartenance à une communauté locale et provisoire de fait (par exemple une communauté scolaire), avec ses différences et ses rivalités internes. Mais si le groupe insultant est majoritaire, tout change. La stigmatisation fonctionne comme un mode d’exclusion et de discrimination visant les représentants du groupe minoritaire. Si, par exemple, les “blancs” sont minoritaires, la stigmatisation relève bien du racisme ordinaire, même dans une société “blanche” comme les Etats-Unis ou la France.
Mais le “racisme anti-blanc” n’a jamais vraiment été reconnu et condamné par le militantisme antiraciste organisé comme une forme de racisme à part entière. Son importance continue d’être minimisée, et sa dangerosité sous-estimée. L’attitude la plus courante consiste à ne pas nier ledit “racisme anti-blanc”, mais à le considérer comme négligeable. Les antiracistes de profession, les dirigeants et les permanents des associations dites de “lutte contre le racisme”, tiennent à conserver le monopole de la définition du “racisme” et de la désignation des “racistes”. Pour ce faire, ils hiérarchisent les catégories de victimes du racisme, et répètent que “les premières victimes du racisme en France” sont les immigrés ou “les personnes issues de l’immigration”. Certains antiracistes extrémistes, non sans mauvaise foi, nient même l’existence du “racisme anti-blanc”, accusant les racistes “blancs” de l’avoir inventé pour mieux dénigrer les vraies victimes du vrai racisme. Et il est vrai que, dans les milieux nationalistes, par exemple en France au sein du Front national ou dans ses marges, la position “anti-antiraciste” enveloppe depuis longtemps l’accusation selon laquelle l’antiracisme ne serait qu’un habillage trompeur du “racisme anti-blanc”, “antifrançais” ou “antichrétien”. C’est que les frontières de la catégorie “racisme anti-blanc” varient selon les situations de discours.
D’une façon générale, il faut distinguer le racisme “normal”, un racisme socialement invisible fonctionnant dans l’espace public sans avoir besoin d’être revendiqué, des racismes réactifs ou défensifs, produits par mimétisme en tant que “répliques” (dans tous les sens du terme) du premier. Or, dans les sociétés occidentales, le racisme “normal” ou institutionnel est le racisme “blanc” visant diverses catégories de “non-blancs”. Mais, et là réside l’une des raisons du flou sémantique dans l’usage des termes, le racisme “anti-blanc” est difficilement différenciable du racisme anti-français ou anti-européen, voire anti-occidental (à dominante anti-américaine), ou encore d’une christianophobie portée par les milieux islamistes partout dans le monde. La haine du Blanc, du Français, de l’Européen, de l’Occidental ou du chrétien se donne comme un bloc indifférencié. Lorsqu’une militante gauchiste des “Indigènes de la République”, à l’identité maghrébine (d’origine) fortement affirmée, dénonce les “souchiens” (jouant sur l’effet d’homophonie : “sous-chiens”), soit les Français qui ne sont pas d’origine étrangère, elle illustre à la fois le racisme anti-blanc et le racisme anti-français.
Mais il faut considérer un deuxième niveau de signification. On peut faire l’hypothèse qu’une forme nouvelle de racisme d’opinion, peu élaborée sur le plan doctrinal, est en train de surgir sur la base de la diabolisation du nationalisme – qui englobe le patriotisme -, telle qu’elle s’est développée dans la période post-nazie. C’est là ce que j’ai appelé “antinationisme” au début des années 1990, lorsque le rejet du Front national a dérivé clairement, dans certains milieux politiques de gauche et d’extrême gauche, vers le rejet de la nation. Dans cette perspective, tout attachement national est perçu comme une persistance détestable de l’esprit pétainiste, de l’idéologie de l’Action française ou du régime de Vichy. Cet “antinationisme” est l’une des composantes de ce qu’on appelle le “racisme anti-blanc” en France. C’est le rejet de la nation française qui est pour ainsi dire figuré par les visages “blancs”, la couleur de la peau n’intervenant cependant qu’en tant qu’indice. Le culte plus ou moins ostentatoire du “métissage” (le plus souvent pensé sur le modèle du croisement “noir/blanc”) peut être aussi une manière d’exprimer, sans l’assumer, une forme de “racisme anti-blanc”. Ici encore, on assiste à la fabrication de pseudo-races : le type métissé peut être érigé en idéal humain ou en norme phénotypique. Et l’on comprend aisément que, dans une société où l’antiracisme est une norme inscrite dans la loi, les “racistes anti-blanc” soient voués à affirmer que le “racisme anti-blanc” n’existe pas !
L’antiracisme est aussi une idéologie, formée sur la base d’un certain nombre d’axiomes ou de postulats. Il présuppose notamment que le racisme va toujours du “Blanc” (le dominant supposé) au non-Blanc (le dominé présumé), et que le “Blanc” ne saurait être en position de “victime”. Ce dogme idéologique est à ce point intériorisé par les antiracistes militants qu’il les rend aveugles ou indifférents aux faits observables qui le contredisent.
Ma position sur le “racisme anti-blanc” est d’abord un appel à la prudence méthodologique : il faut se garder d’utiliser naïvement ou cyniquement l’expression, simple étiquette d’usage polémique, sans nier ni minorer pour autant les phénomènes (courants d’opinion, importation de conflits locaux, violences sociales, etc.) auxquels elle se réfère. S’il faut problématiser la catégorisation, en montrant qu’elle assimile d’une façon abusive divers niveaux de représentations, il convient parallèlement d’enquêter sur les attitudes et les comportements socialement observables, analyser les situations où des “blancs” sont stigmatisés, menacés ou injuriés (“sales blancs” !), voire agressés physiquement en tant que “blancs”. S’efforcer aussi d’élargir l’enquête vers d’éventuelles nouvelles formes de ségrégation ou de discrimination dont les populations identifiées comme “blanches” seraient, en tant que telles, les victimes. C’est alors qu’on aura établi les données permettant d’évaluer correctement, en dehors des passions idéologisées, l’importance du “racisme anti-blanc”, préalable à toute détermination des moyens politiques d’y faire face.
RACISTE un mot inventé par L.Trotski
“Le mot « raciste » a pendant très longtemps été le seul mot-terrorisant le plus efficace de l’arsenal gauchiste et néo conservateur. Pendant des décennies, ils l’ont utilisé avec succès dans l’arène politique pour calomnier les traditionalistes, clore les débats, et laisser les opposants se mettre à l’abri. Dans le domaine social, ils ont même provoqué bien plus de dégâts en l’utilisant pour endoctriner les enfants impressionnables et les jeunes collégiens, et d’enseigner aux gens d’haïr leur nation, leurs traditions culturelles, et le pire de tout, eux-mêmes.”
Source et suite ici : http://www.nouvelordremondial.cc/2011/12/10/raciste-un-mot-invente-par-leon-trotski/
L’UMP vient de s’apercevoir qu’en France il y avait du racisme anti-blancs. Ils ont mis un bon quart de siècle pour le reconnaître. Comment peut-on faire confiance à ces gens qui ont un esprit d’une telle lenteur ? S’ils sont incapables de voir ce qui dérange dans leur pays, comment pourront-ils prévoir les menaces de demain ? Occulter des faits, vouloir tronquer la réalité, ne peuvent que mener à des choix politiques incohérents et à une incapacité à gouverner.
Malgré tout le respect dû à P-A TAGUIEFF pour sa grande honnêteté intellectuelle, pour son immense érudition, soutenue par une connaissance méticuleuse de la réalité et de l’histoire, cette analyse détaillée du racisme n’apporte malheureusement rien de nouveau qui permettrait de contenir le principal cancer qui tue l’occident aujourd’hui, l’hégémonisme musulman.
Quand le constat est établi que les dirigeants occidentaux collaborent avec les envahisseurs musulmans, ce genre de travail intellectuel de grande qualité, risque au contraire, de faire perdurer le doute, ou l’espoir de solutions paisibles, chez ceux très nombreux, qui ont encore du mal à admettre l’évidence de l’invasion musulmane et son caractère hégémonique.
Le combat physique contre l’invasion, n’a pas encore commencé. Ce combat doit commencer contre les collabos, sans lesquels l’invasion ne serait pas possible. Ce n’est donc plus le moment de disculper les collabos, par rapport à ceux qui semblent s’en détacher.
En l’occurrence, si JF COPE dénonce le racisme anti-blanc, peu importe sa motivation, sa dénonciation révèle davantage les collabos qui la dénoncent. Nous ne devons donc pas relativiser le propos de JF COPE.
Oui, pour aussi intéressant qu’il soit, je trouve, hélas, cet article beaucoup trop dilué pour garder sa force de percussion. C’est dommage, car il y a des choses qui doivent être dites. Mais, je crois que l’art d’écrire, pour un large public, c’est avant tout de déclarer des vérité dans un minimum d’espace et de mots.
C’est ainsi, face à une littérature allongée, les gens s’endorment alors qu’ils leur faut des coups de points psychologiques pour arriver à assimiler des choses complexes. Je parle pour moi également. Dans ce monde il y a trop de choses sur lesquelles nous avons le devoir de nous informer pour pouvoir s’investir dans des style alambiqués où se noie l’essentiel.
“avant tout de déclarer des vérité dans un minimum d’espace et de mots.” : vous me faites penser au sketch de Raymond Devos, “se coucher tard nuit”.
Je ne partage pas votre point de vue sur la trop grande longueur de l’article de Taguieff. En fait, c’est le support internet qui est en cause. Sur un écran, on lit moins facilement un texte très long, raison pour laquelle, sur la version originale, il a été coupé en deux parties, ce que techniquement nous ne pouvons pas faire. Sur un blog, sur un journal en ligne, les textes sont entourés de nombreuses sources de distraction, et de publicités, ce qui plaide pour des textes plus courts. Si une critique devait être formulée, c’est peut-être qu’il devrait y avoir une version internet courte et une version papier longue, c’est à dire double travail pour l’auteur. Pas cool pour lui 😉
Quand un texte est aussi long, il faut en aérer la présentation et réduire la taille des paragraphes en les multipliant.
Cela dit, le contenu mérite l’effort de lecture.
Cette analyse intéressante oublie l’aspect fondamental : les civilisations peuvent-elles perdurer en enrichissant leurs traits fondamentaux, lorsqu’existe une immigration de masse non contenue provenant de civilisation(s) qui lui sont étrangères voire opposées. On pourra faire tous les distinguos possibles, on arrivera toujours à ce point, qui ne met pas en cause chaque individu dans ses particularités, mais analyse la résultante obligatoire d’une politique d’immigration ouverte à tous les vents comme actuellement, et qui est le reflet d’un humanisme désincarné. Le colonialisme fut combattu, son idéologie était celle de notre humanisme conquérant.
Le néo-colonialisme vindicatif importé doit il être accepté, minimisé, caché sous des amoncellements théoriques. La raison pure nous indique que la nature humaine est identique, la raison pratique nous fait observer que le heurt civilisationnel existe et qu’aucun discours théorique affûté ne pourra le masquer plus que le petit doigt derrière lequel on voudrait se cacher.
C’est un article sérieux qu’écrit PA Taguieff….rien à voir avec votre propagande tirée de ce site pourri dont vous faîtes référence Dudule89…on lit aussi ceci…
Le 11 Septembre 2001
Comment apporter la démocratie dans le monde « légitimement »
Cela fait un moment que je me renseigne sur ce qu’il se passe en France et aux USA. J’essaye de comprendre la logique des doctrines de la franc-maçonnerie, c’est à dire le culte à Lucifer, qui représente la connaissance, le serpent. Que j’essaye aussi de comprendre les enseignements rose-croix. Et je réalise en fait que beaucoup de gens se plantent complètement sur l’interprétation de ce qu’est Lucifer, Satan, Christ, Maitreya ou le Paraclet. Donc je ne vais pas faire un cours car ce n’est pas l’endroit où il faut en parler. Je me détache des théories du complot car elles sont le résultat de la paranoïa et de l’ignorance des gens. Par contre il y a des gens qui manipulent l’opinion public pour justifier leurs actions à l’échelle internationale, ce n’est pas un complot car c’est vérifiable à 100%.
Le 11 Septembre est le meilleur tour de magie que j’ai jamais vu à la télé
J’ai réalisé comme beaucoup de gens que le 11 septembre n’était pas un attentat islamique contre l’impérialisme américain, mais un attentat organisé par les services secrets israéliens, européens et américains contre le Monde. WORLD Trade Center (World veut dire Monde en anglais). Et l’attentat du 11 septembre a été organisé longtemps en avance, certains documents de British Israel World Federation prouvent définitivement que quelque chose était prévu pour le monde le 17 septembre 2001, et cela déjà dans les années 40 (mais c’est pas tout).
Puis le plus on fait de recherche, le plus on découvre des faits frappants, que George Bush le père et la famille Ben Laden étaient tous d’eux partenaires dans Carlyle Group, une société d’investissement mondiale qui possède un un capital énorme.
Source: Réseau Voltaire
Premier gestionnaire mondial de portefeuilles, le Carlyle Group rassemble le gratin de la politique mondiale. Piloté par l’ancien secrétaire à la Défense Frank Carlucci, il comprend aussi bien George Bush père que les Ben Laden, George Soros, Mikhail Khodorkovsky ou John Major. Il s’est spécialisé dans la prise de contrôle de sociétés d’armement et de médias. Profitant de la présidence d’un de ses anciens cadres, Bush fils, il influe selon ses intérêts sur la politique étrangère des États-Unis. Usant et abusant de ses relations, le groupe réalise 30% de retour sur investissement au risque de se voir régulièrement mis en cause dans des affaires d’initiés et de corruption.
Suite http://www.nouvelordremondial.cc/le-11-septembre-2001/
PFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF
Je suis peut-être naïf , vu mon âge et les trois Républiques
que j’ai supportées,(( par supporter je ne mentionne pas le terme
Anglais)) mais, Français j’aurais pu écrire subies, j’aurais alors été
traité de fasciste ou Nazi au choix mais, manque de pot si je ne
me targue pas de Résistance, ne l’ayant pas été, souffrez que
des Déserts d’Afrique du Nord ( c’est vaste Camarades ) aux Neiges
d’Autriche rencontre non prévue avec l’armée rouge, le 7 Mai 1945 vers
17 heures, je me suis farci quelques quatre années de crapahutages !
Cela laisse des traces et, le vieillard 90 ans a acquis un tantinet de
sagesse.
C’est pourquoi, je ne vois pas Israel organiser l’explosion de deux
tours jumelles et du Pentagone. Dans ce cas absurde, imaginez les risques ?
New-York la plus grande Ville Juive du Monde ?
Afin que tout cadre, ils auraient organisé l’assassinat du Commandant Massoud ? Et là, manque pot ces assassins aussi ont été identifiés.
en conséquences si il y a eu complot,il venait d’ailleurs côte plus
vraissemblablement, des Transhumances ?
Thierry Meyssan – Réseau Voltaire, le junkie pro mollahs iraniens…ha ha ha….quelle référence votre site…mdrrr..
Encore un baratineur avec l’art de coupé les cheveux en 4. Mais d’un point de vu général, ce n’est pas faux. Le principal racisme est un racisme religieux depuis 1450 ans et mis au devant de la scène le 911. Ne pas confondre racisme et chauvinisme avec tous les degrés y afférents. Mais ça reste du blabla qui est digne de réflexion, sans plus.
Il n’y a pas de formes « émergentes » de racisme !
Faute de courage, il y a la volonté affichée par toutes les gouvernements aux prises avec les dérives islamistes d’acheter une paix de compromission en faisant condamner le « blasphème » religieux en le caricaturant en « racisme ». Chaque jour apporte de nouveaux exemples: Ayrault avec les caricatures de Charlie Hebdo, hier Vals à Strasbourg ou, “inaugurant” une mosquée, il a fait l’apologie de l’islam, religion de paix etcondamné par avance ceux qui critiquent ses dérives mortifères.
La France avait largement sa dose avec la loi Gayssot, la loi Pleven, la HALDE chiraquienne, la commission Machelon et le CFCM Sarkozy, il faut que Taubira et la justice de gôche en rajoutent encore. Et l’ONU qui est en train d’étudier la condamnation « universelle » du blasphème anti islam…
Que le terme de racisme, le mot lui-même, ait changé de signification, c’est une évidence. Que le racisme ait changé dans son contenu, c’est faux.Ce sont les journaleux, les législateurs et les magistrats qui ont dévoyé le sens du mot “Racisme”.
Le racisme est le rejet de l’autre parce qu’il n’est pas de sa « race » : couleur de peau ou de cheveux, morphologie particulière, etc. Il n’y a décidément que les fascismes, hier le nazisme, aujourd’hui l’islamisme qui osent parler de « race » lorsqu’il s’agit de croyances religieuses.
Il y eut la Race « Juive » pour les SS, la race « chrétienne » ou races impies pour les fachos islamistes… à quand la race «charcutière » pour ceux qui refusent de manger halal ?
Tout ce qui sort de ce cercle restreint des races : religions, cultures, engagements politiques, langages, rituels alimentaires, modes de vie… se situe hors du champ du racisme.
Les communautarismes qui se sont installés depuis 68 : féminisme, écologisme, ultra-gauchisme, altermondialisme, anarcho-autonomisme, bo-bio’isme et évidemment l’islamisme galopant ont tous leurs intolérances aux lois Laïques. Cela conduit à des dérives que certains peuvent nommer « racisme » en s’appuyant sur les textes scélérats déjà cités, mais ça n’est pas du racisme.
Tocqueville écrivait déjà il y a plus d’un siècle que les « communautarismes sont opposés aux droits collectifs, seuls importants. Le repli de chacun sur soi et sur son microcosme communautaire fait que l’on abandonne la société organisée qui vous protégeait. » Et de fait, les atteintes portées à nos lois Laïques par les communautarismes affaiblissent la République.
Accessoirement, Tocqueville qui était allé faire un voyage d’étude en Algérie était revenu catastrophé des incitations à la haine de l’autre et à la cruauté barbare qu’il avait lues dans le coran.
Il citait une sourate du coran qui résume l’idéologie islamiste : « « Si le sort des armes fait tomber entre tes mains ceux qui violent le pacte qu’ils ont contracté avec toi, effraye par leur supplice ceux qui les suivent ».
Etant d’un caractère toujours provocateur et souvent contestataire, je m’amuse parfois à tacler, lorsque je suis en société restreinte, les travers spécifique des étrangers.
Comme je suis plutôt évolué, mes nouveaux interlocuteurs, se rendent rapidement compte que mes saillies racistes ne sont que provocation bon enfant.
Et ils sont généralement rassurés lorsqu’ils découvrent que je ne suis que juif et conservateur et que mon ressentiment envers mon prochain ne s’adresse qu’a l’encontre des musulmans, tendance maghrébine..
Cette posture, ces origines, cette couleur politique me font globalement être détesté par au moins deux personnes sur trois que je rencontre pour la première fois..
Mais par contre, comme mes interlocuteurs n’ont aucun doute concernant mon “islamophobie” revendiquée et affirmée, ils se lâchent..
Comme je ne travaille plus et que ma famille se limite à quatre personnes, j’ai constaté que je n’avais comme relations assez proches que trente cinq personnes.
Parmi ces trente cinq personnes, 14 juifs, 21 chrétiens, 100% se disent non racistes.
Et bien chers amis, en tant que juif, je vous atteste que je ressens un antisémitisme gentillet d’au moins une personne sur deux d’origine chrétienne.(et 100% de la part des arabes mais c’est beaucoup moins gentillet)
Et donc, parmi mes trente cinq relations avérées, trente sont absolument “islamophobe”
Et à ma grande surprise, ce sont les juifs qui le sont le moins… les cons!!!
Mais je vous le confirme et vous le jure, les français ne sont racistes envers personne:
1) c’est interdit.
2) les gauchistes qui ont le monopole de la pensée vous l’attestent….
Cordialement.
Tourner autour du pot des mots….Noyer un peuple sous un torrent d’immigration islamique et le traiter de raciste si les gens qui ont construit leur pays n’acceptent pas de se faire exterminer!
Tout cela me semble bien compliqué. Au brésil,il y a une trentaine d’année (mais cet homme m’a tellement marqué que je m’en souviens)j’étais assis en autocar, à coté d’un homme à l’allure de “pâtre grec”. Ce dernier m’entendit raconter a mon amis situé de l’autre côté du couloir une cérémonie de baptême a laquelle assistaient des gens de toutes les couleurs apparemment membres de la même famille ou amis intimes. Et je disais , je venais d’arriver au Brésil, ici il ne doit pas avoir de racisme. L’homme me dit, dans un français à l’accent bien meilleur que le mien : “détrompez-vous jeune homme (il y a 30 ans)ça existe ici aussi. d’abord le racisme vous savez, c’est une question d’esthétique….. vous croisez dans la rue quelqu’un et vous trouvez, à tord ou à raison, qu’il a une sale gueule. Ça veut dire que son esthétique ne vous plait pas. Vous n’auriez pas envie de le fréquenter. Or ce quelqu’un est peut-être de la même nationalité de la même religion ou même fraternité que vous. C’est une forme de racisme…..oui bien sûr il s’agit d’un seul individu donc ce n’es pas vraiment du racisme mais cet individu vous aurait gêné s’il s’était rassi à côté de vous, ça commence comme ça. Peut-être même n’auriez-vous pas choisi de vous assoir à côté de moi si vous aviez pu faire autrement. A la question êtes-vous prêtre français ? Il me répondit qu’il était portugais et en souriant me dit “je ne porte pas soutane, je suis juif, mon père s’est toujours habillé comme ça et moi j’ai toujours fait de même”. Il continua avec les habitudes de vie qu’aucun nomme aujourd’hui “CULTURE” (pour moi la culture reste le savoir mais…). Vous avez des individus qui mangent avec les doigts à côté de vous cela vous gêne. mais eux, chez eux, ce n’est pas incorrect, ils n’ont pas les mêmes règles de vie que vous mais vous ne pouvez pas dire que vous avez raison de vivre comme vous vivez et qu’eux ont tords d’être différents.Ils riraient bien si chez eux vous mangiez avec des fourchettes ! Autrement dit, le racisme, sauf s’il fait partie d’une action politique déterminée, c’est tout ce qui vous gêne. Ces mêmes individus regardant comment vous agissez et se mettant, comme vous, à manger avec une fourchette ne vous gênerez plus. C’était pour moi le moment de descendre. J’aurais voulu entendre ce sage plus longuement. Quel homme !Je ne peux reproduire ici tout ce qu’il m’a dit (je suis déjà assez long)mais chaque fois que je vais dans un pays étranger, je pense à David (il se prénommait David) et j’essaie de faire en sorte de ne gêner personne. Cela à l’air de me réussir car dans des pays réputés inhospitaliers (certains pays africains mis à part) j’ai toujours eu de bons contacts. Les exemples sont multiples en France et ailleurs où des étrangers sont parfaitement intégrés parce qu’ils ont eu la volonté de le faire et non la volonté de dominer ou d’imposer leurs coutumes ou leur religion. Je ne parle pas des juifs que je ne considère pas comme des étrangers. Ils sont en France depuis des siècles et sont un exemple de parfaite intégration. Des amis allemands dont les parents étaient peut-être nazis, je ne pose jamais cette question, reconnaissent que le nazisme avec son innommable racisme antisémite, en plus de l’horreur que cela a représenté, a causé une perte irréparable à l’Allemagne en la privant d’autant de talents et de génies dans tous les domaines. Arméniens, italiens, espagnols etc se sont bien intégrés même si certains ont eu des débuts difficiles du au fait qu’ils étaient ressentis comme des concurrents pour trouver du travail. Aujourd’hui les asiatiques travaillent (très peu, très, très peu sont au chômage) ils ne brulent ni les voitures ni le drapeau français, ne sifflent pas la marseillaise et se comportent normalement dirait Mimolette premier. J’ai été trop long mais je pense souvent à David…
Votre anecdote est extraordinaire.
Elle résume tout.
On lit toujours avec intérêt P.A. Taguieff, sauf cette fois-ci où l’analyste semble cultiver des problématiques sémantiques par la focalisation sur mot arbitrairement posé, sans s’intéresser de savoir si l’examen des réalités qu’il met en perspective n’en démontre pas l’inutilité, voire la fonction déformante.
Car enfin on nous parle ici d’un phénomène – dit “le racisme” – dont “on ne saurait donner une définition unique, fixe et invariable” (on ne sait donc pas vraiment de quoi on parle), qui est en net recul (pas de quoi s’alarmer, donc), mais qui est multiforme (ben oui, par définition, on l’a dit), connait des formes émergentes même si elles diffèrent par leur objet, leurs contenus, et leurs modalités… (autrement qui n’ont rien à voir avec le sujet observé, mais peu importe !), racisme sans races ou pseudo-races sans réel racisme, racisme d’opinion, contre-racisme asymétrique du discriminé, crypto-racisme sucité par l’anti-racisme…
Tu-Dieu ! Allons-y Nom d’un chien !
N’a t-on pas encore compris que le “racisme” et sa version 2.0 l'”antiRacisme” sont un seul et même concept viral, arme diffusée pour intoxiquer les mécanismes relationnels à grande échelle et pour brouiller la perception collective du réel et des enjeux.
Il y a des chiens de garde qui sont scandaleusement payés pour ce genre de manip, mais notre auteur a quand même d’autres ressources d’éclaircissements à nous proposer.
Excusez ce hors sujet que je viens de lire et que je pense utile de partager avec vous:
Le maire antisémite de Genève ira témoigner au « Tribunal Russell sur la Palestine »
jeudi 27 septembre 2012,
La quatrième édition du « Tribunal Russel sur la Palestine » (lire l’encadré), qui se tiendra du 6 au 8 octobre à New York, pourra compter sur la présence d’un hôte bien connu des Genevois : le maire de la Ville.
En effet, Rémy Pagani prendra la parole sur place samedi pour « défendre les Conventions de Genève et le respect du droit international ». Voilà pour le programme.
Rémy Pagani, maire de la Ville, se rendra à New York pour défendre les Conventions de Genève. Image : Laurent Guiraud (Archives)
Reste que la présence du magistrat en terre new-yorkaise pose problème. Tout du moins à certains, et ce en raison du caractère même de la manifestation, jugée « pro-palestienne, voire de nature anti-israélienne ». Une affaire qui en rappelle une autre : celle de la polémique suscitée par la présence de parlementaires fédéraux au sein de la « flottille de la liberté » en direction de Gaza. Et qui pose la question : un élu a-t-il le droit de prendre position publiquement alors qu’il représente une collectivité, une ville ou un pays ?
Un atout pour Genève
« Que les choses soient claires, j’ai été invité par des Israéliens, explique Rémy Pagani pour couper court à toute rumeur. Je rappelle également que la majorité du Conseil administratif a validé ce déplacement. » Selon nos sources, le magistrat aurait plutôt « prévenu » ses collègues de l’Exécutif.
Quant à l’aspect partial du tribunal, le magistrat est ferme : « Il n’est ni pro-palestinien ni anti-israélien. Il réunit des invités de tous horizons. Je vous rappelle que Stéphane Hessel (ndlr : célèbre figure de la résistance) présidera le « jury ». Le but est de faire cesser le déni du droit humanitaire, et de faire pression sur les Etats-Unis pour qu’ils respectent leurs engagements sur le respect des Conventions de Genève. » Pour le maire, le symbole est fort. « Il s’agit de représenter Genève dans sa promotion des processus de paix. Alors que les relations américano-suisses sont tendues, la présence de Genève est jugée comme importante. »
Légitimité en question
Les arguments ne convainquent de loin pas Pierre Weiss, président de la section genevoise de l’Association Suisse-Israël et député libéral-radical au Grand Conseil. « C’est stupéfiant ! Ce n’est clairement pas le rôle du maire que de se rendre à New York. Penser qu’on peut participer à un réchauffement des relations relève de la méconnaissance ou d’une grande naïveté. Par ailleurs, ce genre d’action ne peut que détériorer l’image de la ville hôte des Nations Unies. »
un ramassis d’antisémites
« Imaginez l’image que l’on donne si chaque année un maire prend position pour une cause ou une autre. C’est le théâtre des Guignols ! » commente Eric Bertinat (UDC). « Scandaleux », estime pour sa part Olivier Fiumelli (PLR), en rappelant que la politique étrangère incombe à la Confédération.
A gauche, on salue pourtant cette démarche. « Plaider le respect des Conventions me paraît cohérent et positif », commente Pierre Gauthier, d’Ensemble à Gauche. Le socialiste Alberto Velasco se veut prudent. « Le maire n’est pas un citoyen comme un autre. Il représente les Genevois. Si ce tribunal est effectivement neutre, si le magistrat ne prend pas parti et défend des Conventions qui profitent aux deux parties (ndlr : Israël et territoires palestiniens), alors la démarche est pertinente. »
Par Olivier Francey . Tribune de Genève
NDLR – Encore un idiot utile, qui ne voit pas ce qui se passe au Moyen-Orient. Il n’y a pire sourd que celui qui ne veut entendre, et pire aveugle que celui qui ne veut voir.
Il y a dans cet article, à mon avis, un simple glissement sémantique qui encourage la confusion. J’ai apprécié Albert Jacquard pour son avis génétique sur la notion de race. Ici dans cet article je ne vois qu’une volonté d’adapter un terme à l’actualité, alors que ce terme relève clairement d’une définition historiquement simple.
Politiser ce terme revient à le cautionner, ce que je refuse.
L’article aurait évoqué l’ethnophobie ou un terme combinant ethnie et rejet(que je vous laisse le soin de choisir) m’aurait un peu plus convaincu. Il me semble que cette article relève d’une clarification vachement obscure, d’un terme désuet qui ne reflète pas la nature des idées politico-religieuses qui s’opposent.
Bref un glissement sémantique
Il est bien certain que la montée Islamique contre les “mécréants” n’a rien à voir avec aucun racisme.
Il y a des musulmans, des juifs, des catholiques et autres, dans toutes les races.
Contrairement à ce que certains tentent de reprocher à tord aux autres (comme on l’a fait envers moi-même, les arabes ne sont pas tous musulmans et les musulmans ne sont pas tous arabes ; il y en a qui sont d’origine indo-européenne ou négroïde, comme arabe, qui sont les races qui constituent l’humanité de base des continents concernés par le phénomène.
Mais la plupart des gens, surtout chez les “gôchistes” qui détruisent tout, ne semblent ni l’avoir compris, ni l’avoir enregistré, c’est extrêmement dommageable.
Il y a une quinzaine d’année, lorsque j’habitais encore à Paris, nous étions une bande d’amis de toutes les races et de toutes les confessions. Depuis, qu’est-ce qu’il y a de changé, à part la haine et un nouveau racisme qui ne veut pas reconnaître son nom, rien à changé.
Je dis et j’affirme que j’ai toujours eu des amis de toutes les races et de toutes les confessions. Nous échangions souvent des propos philosophiques sur nos différents points de vue, sans que cela ne pose le moindre problème, les musulmans compris, ce qui laissait tout à fait entre-voir tous les bons côtés de la laïcité.
Je pense que la vraie laïcité, qui respecte et accepte pleinement tous les points de vue, tant que personne n’essaie de faire du prosélytisme, est le meilleur reflet de la sagesse qui nous ait été donné depuis que l’homosapien s’est mis à réfléchir.
Je pense aussi que toutes les personnes, de toutes races et de toutes confessions : musulmans, juifs, catholiques ou athées, se doivent, ensemble, de faire front contre la volonté de conquête du monde libre, que représente la monté Islamique.
Il est parfaitement intolérable que la façon de penser particulière de personnes enclavée aux travers de dogmes, qui leur sont propres et très contestables, puisse produire une telle pression dans le seul pays laïque. Perdre cette laïcité, c’est perdre la seule véritable liberté qui puisse être effective sur Terre.
j ai l’impression que l’histoire française de l’année 1944,1945. quand petin à négocie avec les nazi. en 2012 il font la mémé choses avec les islamiste nazi j’espère que l’Europe les u s a le canada,les russe vont faire quelque-choses contre l’Iran il y a les histoire les plus courte sont les meilleure , il y a les décisions les plus courte qui sont les meilleure
j ai l’impression que l’histoire française de l’année 1944,1945. quand petin à négocie avec les nazi. en 2012 il font la mémé choses avec les islamiste nazi(Iran) j’espère que l’Europe les u s a le canada,les russe vont faire quelque-choses contre l’Iran il y a les histoire les plus courte sont les meilleure , il y a les décisions les plus courte qui sont les meilleure
Discourir à l’envie, sur les différentes intolérances que l’on tente de regrouper sous le vocable ambigu de racisme réel ou présumé, de tel ou tel groupes envers un individu ou un groupe différent de soi-même, me paraît un peu vain.
Pas si vain que cela pourtant, car il démontre que ce mot de “racisme” n’est plus adapté aux situations qu’il veut représenter.
Je serais tenté de le remplacer par le mot “hétérophobie” qui me parait plus représentatif. Car si le racisme recule, l’intolérance et la haine de l’autre ne cessent de croître en France mais également dans le monde.
Et cette haine ne se traduit pas seulement que par des maux, des regards,des insultes, mais hélas, également par des actes, des violences, des assassinats commis pas des individus qui trouvent dans le Coran ce que d’autres trouvaient dans Mein Kampf, une haine de la démocratie et de l’autre.
Je pense qu’en France actuellement il y a une résurgence flagrante du racisme mais on peut parler également de Francophobie, cette dernière se manifeste de plus en plus ouvertement et sans retenue.