Publié par Rosaly le 3 novembre 2012

Robert Spencer de Jihad Watch a imaginé un scénario catastrophe, cauchemardesque, kafkaïen qui interpelle. Cela ne peut pas arriver, non, pas aux USA, et pourtant … tout est possible, avec Hussein Obama !

2013 : la mort de la liberté d’expression

Les médias apprennent vite à respecter les nouvelles règles.

En ce matin du 27 février 2013, Barack Obama, qui a été tranquillement réélu, apprend à son réveil que de violentes émeutes ont éclaté au Pakistan, en Afghanistan, en Indonésie, en Egypte et ailleurs dans le monde, que les ambassades américaines sont prises d’assaut, les drapeaux américains arrachés et remplacés par le drapeau noir du jihad. Le monde musulman est en colère à cause d’un livre qui décrit Mahomet comme un guerrier cruel, menant une guerre sans merci contre ses ennemis, un pédophile qui, âgé d’une cinquantaine d’années, consomme son mariage avec une fillette de neuf ans, et que c’est un être pétri de haine, qui maudit les Juifs, les Chrétiens et tous les non musulmans. Un Obama, au visage sombre, apparaît immédiatement sur tous les écrans de télévision :

« Ce livre est répréhensible et répugnant » déclare Obama, les yeux étincelants d’indignation. « Ce livre ne représente nullement la position du gouvernement des Etats-Unis et nous le condamnons fermement. Cette provocation indécente envers les nobles croyants du saint coran doit cesser. Nous sommes en Amérique. Nous valons mieux que cela. Notre peuple ne tolère pas la haine. Nous tendons une main amicale, secourable à tous ceux qui en ont besoin. Il est grand temps que nous offrions aux minorités religieuses les mêmes protections que celles que nous nous garantissons aux minorités ethniques. »

L’Administration Obama rédige rapidement une loi qui criminalise toute « utilisation de moyens » qui servirait à diffuser, écrire, produire, publier ou distribuer tout article, film, livre, tout support médiatique incitant à la haine et qui conduirait à la violence et / à la discrimination contre une groupe spécifique.

La communauté internationale est ravie. Les chefs d’Etats s’empressent de féliciter et de remercier Obama.

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Le Premier ministre britannique David Cameron le qualifie de « visionnaire ». Angela Merkel voit en lui « un véritable homme d’Etat. » Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte déclare qu’Obama a bien mérité son Prix Nobel, et prédit qu’une nouvelle ère de paix va bientôt se lever entre l’Occident et le monde islamique.

Ekmeleddin Ihsanoglu, secrétaire général de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), se dit enfin satisfait de constater que les États-Unis ont finalement reconnu les « lignes rouges à ne pas franchir » quand il s’agit du prophète sacré de la plus grande religion du monde. »

Les grands médias aussi frétillent de joie.

Eric Posner écrit dans Slate que les Américains partagent finalement le point de vue international sur le caractère insensé du premier Amendement, ainsi que l’idée que nous ne devons pas nous laisser paralyser par le symbolisme constitutionnel.

Sarah Chayes dans le Los Angeles Times salue la mise au point claire et nette de la « distinction entre le discours qui est simplement offensant et celui qui est délibérément conçu pour mettre les vies et les biens en danger immédiat ».

Dans le Washington Post, Nathan Lean annonce que les Etats-Unis ont « reconnu toute la puissance de notre multiculturalisme » et pourront enfin devenir une véritable force en tant que nation, maintenant que les voix de l’intolérance qui souhaitaient nous diviser religieusement ont été « étouffées » sous le nombre écrasant d’appels pour le pluralisme et la coexistence entre communautés.

Les porte-parole musulmans aux U.S.A. ont également affiché leur enthousiasme.

Haris Tarin du « Muslim Public Affairs Council » annonce la fin imminente de la campagne américaine d’incitation à la haine « qui voit en l’islam un sérieux problème ».

Imam Al-Husham Husainy du centre islamique Karbalaa pour l’éducation de Dearborn, exprime sa satisfaction devant la promulgation d’une loi interdisant toute insulte envers un chef spirituel.

les non-musulmans « n’ont pas le droit de parler des saintes questions musulmanes »

Mohammad Qatanani du Centre islamique de Passaic County, New Jersey, est également heureux de constater que « nous, les Américains avons mis des limites à la liberté d’expression », en reconnaissant que les non-musulmans « n’ont pas le droit de parler des saintes questions musulmanes », car cela pourrait inciter à « la haine ou à la guerre entre les gens. »

Toutefois, quelques obstacles subsistent encore sur le chemin de la paix. Certaines radios émettent des objections, mais les stations locales abandonnent leurs programmes, par crainte de perdre leurs annonceurs et leurs licences.

La larme à l’œil, le leader de la minorité, John Boehner, déclare lors d’une conférence de presse : « Écoutez, je partage l’avis du président sur la nature répugnante du livre Muhammad et je ne tolère en aucune manière les discours de haine quelle que soit la forme ou le fond, mais je suis préoccupé par la remise en question du Premier Amendement par cette nouvelle loi. »

Toutefois, après une tempête médiatique, accusant Boehner et les républicains de favoriser les discours de haine et de semer la division parmi les gens, Boehner fait marche arrière et accepte de soutenir cette loi.

Une action de la Cour suprême est rapidement balayée, quand les juges Sotomayor, Kagan, et Sunstein amènent un vote majoritaire de 6 voix contre 3 en faveur de la proposition visant à ce que le « discours de haine » (toute critique de l’islam, de son livre, de son prophète) ne soit plus couvert par le premier amendement et puisse être légalement soumis à des restrictions.

Le changement est immédiat : les livres critiquant l’islam et son prophète disparaissent des étagères. Les sites Web traquant le jihad terroriste sont fermés et les quelques bloggeurs qui continuent à alerter sur les dangers de l’islamisation et de la propagation de la charia en Occident sont tout simplement emprisonnés. Les médias mainstream demeurent imperturbables, après tout, ces gens là ne sont que des pourvoyeurs de « discours de haine » !

Mais quand l’éditeur en chef du Washington Post, Marcus Brauchli, est placé en détention suite à un article sur les nouvelles déclarations appelant au djihad par le mollah taliban Omar, l’éditrice du W.P. Katharine Weymouth est indignée. « L’article », écrit-elle dans un éditorial du Post en première page, « a simplement repris les mots du mollah Omar ». S’il y avait une incitation à la haine, c’était de la part d’Omar, et non du W.P.

Le secrétaire de presse de la Maison Blanche, Jay Carney s’empresse toutefois d’expliquer : « Le président estime que ce genre de reportage peut stigmatiser et créer de la suspicion envers la communauté musulmane aux États-Unis. Le W.P. et autres médias doivent apprendre à faire de l’autocensure. »

Les médias apprennent vite à se conformer aux nouvelles règles.

Les attaques terroristes des jihadistes en Thaïlande, au Nigeria et en Tchétchénie ne sont plus relatées par les médias aux États-Unis, ou alors signalées en termes soigneusement choisis dans de nouveaux articles de presse, qui font l’apologie chaleureuse de l’islam et des musulmans et expliquent que leur jihad guerrier contre l’oppression, qui leur est infligée par les non musulmans, est justifiée.

Les groupes musulmans aux États-Unis commencent à vouloir imposer des restrictions aux droits des femmes, appelant ces dernières à se couvrir la tête en public, par pudeur et modestie, à défendre ceux qui brutalisent les femmes qui s’aventurent tête nue, en qualifiant leurs actes d’excès de zèle, justifiés par la nécessité d’un retour à la moralité.

Si d’aventure des féministes se plaignent, on leur rappelle que certaines de leurs figures de proue, telles que Naomi Wolf, défendent le hijab et dénoncent toute interdiction au port du voile islamique comme « islamophobe ».

Dès lors, les moindres plaintes contre le port obligatoire du voile et la brutalité de la milice des mœurs par les féministes sont considérées comme des actes islamophobes, passibles d’arrestations et de poursuites judiciaires.

D’autres exigences, conformes à la charia se multiplient.

Les produits à base de porc et les alcools disparaissent des étalages des magasins. De nouvelles lois sont promulguées, afin de restreindre la liberté de mouvement des femmes, leur éducation et les possibilités d’emploi, et cela dans le seul but de prévenir toute haine contre les musulmans. Et personne n’ose s’y opposer.

Bien sûr, il s’agit ici d’un scénario hystérique et cauchemardesque. Il ne pourrait jamais se produire aux U.S.A. Nous ne voterions jamais des lois contre les discours de haine et si cela devait arriver, un tel abus n’existerait pas. N’est-ce pas ???

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Cette fiction s’éloigne-t-elle vraiment de la réalité ? Il y a de quoi se poser des questions, quand on apprend, grâce à un sondage (1), ce que les musulmans américains pensent de la Constitution et de la charia.

En dépit des mensonges proférés par des groupes, affiliés aux Frères musulmans, comme le Hamas et le CAIR, induisant en erreur la population américaine sur la nature violente de la charia et du jihad, espérons que la vérité finisse par éclater, avant qu’il ne soit trop tard et que la fiction ne rejoigne la réalité.

En effet, cinquante pour cent des musulmans américains pensent que toute caricature du prophète Mahomet devrait être poursuivie pénalement, une personne sur huit demande même que soit appliquée la peine de mort pour toute insulte envers l’islam.

Quarante pour cent des musulmans américains sont pour l’instauration de la charia.

Et toujours d’après ce sondage :

  • 40 pour cent des musulmans en Amérique déclarent ne pas vouloir être jugés selon les lois, conformément à la Constitution américaine, mais par celles de la charia
  • + de 72% voteront pour Obama, et 11 % soutiendront Mitt Romney. Rien d’étonnant, connaissant la lâche soumission d’Hussein Obama face à l’islam.

« L’avenir n’appartient pas à ceux qui dénigrent le prophète de l’islam » ce sont les mots d’Obama (« The future must not belong to those who slander the prophet of Islam »)

En d’autres termes, Obama ne s’opposerait certainement pas à ce que le premier amendement de la constitution américaine soit modifié, afin de se soumettre aux exigences liberticides de l’islam en matière de liberté d’expression. L’islam a le droit de maudire toutes les autres religions et croyances, mais les non musulmans eux, ont juste le droit de se taire et de se plier à la perversité, à la cruauté, et à toute l’horreur de l’idéologie islamo-nazie, et ce sans émettre la moindre critique, la moindre plainte.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

(1) sondage réalisé par Wenzel Strategies du 22 au 26 octobre dernier, à la demande du site WND. Il comporte un marge d’erreur de plus ou moins 3.98%.

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