Symboles, droit, politique, géopolitique : quel que soit l’angle retenu, les Européens se sont trompés sur la « Palestine » le 29 novembre. Mais ils ont eu raison sur Internet dix jours plus tôt.
Le 29 novembre, un seul pays européen, la République tchèque, a voté contre une résolution de l’Onu conférant à « la Palestine » le statut « d’Etat non membre ». Les autres pays, à commencer par les vingt-six autres membres de l’Union européenne, ont approuvé cette résolution, ou se sont abstenus.
L’attitude européenne ne peut se justifier. Quel que soit l’angle retenu.
Sur le plan symbolique, voter – ou laisser voter en s’abstenant – un tel texte à une telle date, soixante-cinq ans jour pour jour après la résolution qui, en 1947, recommandait, entre autres choses, la création d’un Etat juif en Palestine, revient nécessairement à remettre en question la légitimité de cet Etat – Israël – , présenter sa création comme une injustice, et laisser entendre qu’il est responsable jusqu’à ce jour de la non-existence, à ses côtés, d’un Etat arabe. Que les diplomates européens, et les ministres dont ils dépendent, ne disent pas qu’il n’y ont pas pensé, ou qu’ils n’avaient pas noté la date : on ne les croira pas.
Un « Etat », ce n’est pas n’importe quoi : mais, selon une définition classique, un gouvernement qui exerce une autorité fiable
L’attitude européenne n’est pas plus acceptable sur le plan du droit. Un « Etat », ce n’est pas n’importe quoi : mais, selon une définition classique, un gouvernement qui exerce une autorité fiable, assurant la sûreté des personnes et des biens, sur une population donnée et un territoire clairement délimité. Or ce que l’on entend aujourd’hui par « Palestine » ne répond à aucun de ces critères.
- Il n’y a pas un gouvernement palestinien mais deux, en état de conflit déclaré : celui de Mahmoud Abbas en Cisjordanie, et celui du Hamas à Gaza.
- Aucun des deux ne repose sur une légitimité démocratique, même partielle ou relative : Abbas « proroge » indéfiniment un mandat présidentiel qui a expiré en 2009.
- Le Hamas a pris le pouvoir à Gaza par la force et le conserve par la force.
- Aucun n’assure la sûreté des populations qu’il contrôle.
- Aucun ne gère de territoire délimité par traité.
Les juristes de l’Onu le savent si bien qu’ils n’ont pas osé attribuer un statut d’Etat membre à cette « Palestine », et lui ont taillé, sur mesure, celui d’ « Etat non-membre de l’Onu » . L’Organisation ne connaissait jusqu’à présent que les Etats membres, les Etats souverains ne désirant pas adhérer à l’Organisation internationale (ce qui a été le cas de la Suisse jusqu’en 2002) ou les observateurs (entités étatiques particulières, comme le Saint-Siège, ou organisations non-étatiques diverses). Au moins respectait-on, dans les trois cas, l’esprit et la lettre du droit et des traités, et pouvait-on, le cas échéant, trancher un éventuel problème de compétence. Mais avec l’ « Etat non-membre » palestinien, catégorie nouvelle et exceptionnelle, la confusion s’installe. Et donc l’abus.
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a assuré que cet Etat-hapax ne pourrait pas, à la différence d’un Etat régulier, se pourvoir devant le Tribunal pénal international de La Haye. Et donc faire mettre en examen des Israéliens, ministres ou chefs militaires, pour le crime d’avoir, comme le président américain Barack Obama, combattu le terrorisme par des « exécutions extrajudiciaires ». Mais ce que dit Fabius n’engage que Fabius : il passera, la résolution du 29 novembre 2012 restera, et des experts sauront l’interpréter autrement que lui.
Sur le plan politique, l’Europe se trompe encore. Dans les pays qui ont voté pour la résolution – à commencer par la France -, on a soutenu que, celle-ci ayant été adoptée à la demande d’Abbas, on renforçait Abbas, tenu pour « modéré », face au Hamas, dont on admettait, ne fût-ce que rhétoriquement, qu’il était « extrémiste ». En fait, c’est le contraire qui se passe. Le vote du 29 novembre intervient au lendemain de la Deuxième Guerre de Gaza : il n’apparaît donc pas comme un succès diplomatique d’Abbas, mais comme une conséquence de la « victoire » militaire que le Hamas, selon l’opinion arabe et palestinienne, aurait remporté sur Israël.
L’Europe est confrontée à deux menaces immédiates : la Russie néo-impériale et l’islam jihadiste.
Sur le plan géopolitique, l’Europe est confrontée à deux menaces immédiates : la Russie néo-impériale, détentrice et productrice d’armes de destruction massive ; et l’islam jihadiste. Son intérêt était donc de soutenir Israël, son partenaire naturel, et non Abbas, client de la Russie, ou le Hamas, mouvement jihadiste sunnite lié aux jihadistes chiites iraniens. Mais aussi de prendre ses distances avec une Onu devenue, par le jeu de « majorités automatiques », l’instrument commun de la Russie, de la Chine et des jihadistes. Elle ne l’a pas fait. Chose d’autant plus consternante qu’elle avait été capable, dix jours plus tôt seulement, d’un sursaut anti-onusien presque sans précédent. A propos d’Internet.
Le réseau mondial d’information et de communication est actuellement gouverné par des organismes privés américains, sans but idéologique ou lucratif : notamment Icann, qui gère et régule les adresses des sites et des e-mails. Ce statut, les Réglementations internationales des télécommunications (acronyme anglais : ITRs), a été mis en place en 1988 par la Conférence administrative mondiale du Télégraphe et du Téléphone (WATTC-88). Ayant force de traité, il a rendu possible l’essor d’Internet dans les années 1990 et 2000, stimulé le développement économique mondial, et renforcé partout les libertés individuelles, à commencer par la liberté d’opinion.
Mais les Etats non-occidentaux voudraient refaire Internet à leur image, c’est à dire le transformer en une sorte de Big Brother. A cette fin, ils font campagne pour le transfert du réseau à l’Union internationale des télécommunications (UIT en français, ITU en anglais) : l’héritière de l’Union télégraphique internationale, fondée en 1865 et devenue une agence de l’Onu en 1947. Afin, affirment-ils, « de garantir la liberté des flux d’information dans le monde, d’assurer à chacun un accès peu onéreux et équitable à Internet et de jeter les bases d’une innovation constante et d’une croissance régulière du marché ». Cette « initiative » est au cœur des débats d’une nouvelle conférence internationale, qui s’est ouverte le 3 décembre à Dubai et doit durer jusqu’au 14.
Le 19 novembre, le Parlement européen a déjoué la manoeuvre. En affirmant que l’UIT n’était pas un « organisme approprié ». Et en observant que le transfert envisagé, loin de constituer un progrès ou de garantir une plus grande équité, ne pouvait que « porter atteinte à Internet, à son architecture, à ses opérations, à son contenu, à sa sécurité, aux relations commerciales dont il est le véhicule, à sa gouvernance, et à la libre circulation de l’information en ligne. »
C’était bien dit. C’était courageux. Européens, encore un effort…
© Michel Gurfinkiel, 2012
L’article original peut être consulté sur le blog de Michel Gurfinkiel
“Européens encore un effort”. Je suppose que c’est de l’humour.
Ou bien ne lisez-vous pas les articles de Guy Millière et notamment son dernier.
Guy millière est une personnalité éminemment sympathique, mais ses prises de position trop souvent outrancières tendent plutôt à discréditer les idées libérales-conservatrices.
Les articles de Michel Gurfinkiel s’avèrent beaucoup plus convaincants, et cette fois encore il voit juste sur toute la ligne.
Voici l’explication claire et précise d’un journaliste : Joseph Farah
La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?
Et bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés. Surpris ?
Alors comment expliquer qu’avant la guerre des Six-Jours en 1967, il n’y eu aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne ?
“Avant 1967 ?” me direz-vous, “les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem”
C’est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël ait gagné cette guerre ?
La vérité est que la Palestine est un Mythe !
Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en “Alea Capitolina”, mais cela ne rencontra pas le même succès.
La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire.
Jamais ! Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain. Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens ( la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques1. Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que O,1% de la superficie régionale ! Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c’est précisément là que se situe le noeud du conflit qui les oppose à Israël. Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas.
Qu’en est-il des lieux saints de l’Islam ? Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : “la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’Islam”, après la Mecque et Médine. Et bien, sachez que c’est faux !
En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem. Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l’Islam ?
Les Musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée “le Voyage Nocturne”. Il y est fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit “du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte”. Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’Islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu’à l’époque du patriarche Abraham.
La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?
Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs. L’empire ottoman et l’Allemagne son alliée, furent dépouillés de leurs territoires et colonies qui passèrent sous le contrôle des anglais et français. L’Angleterre s’adjugea le Tanganyika et la Namibie (diamants) ; elle divisa aussi l’Arabie en petits émirats et sultanats qui subsistent encore aujourd’hui.
Le drapeau palestinien n’a rien à faire dans cette revendication et la Palestine n’a jamais existé en tant qu’Etat arabo musulman. C’est une décision unilatérale de l’empereur romain Hadrien qui décréta que le terme Israel n’existerait plus, serait rayé de la carte et remplacé par le terme Palestine. N’oublions pas qu’à l’époque Israel s’étendait, dans le sens N-S, de la Mésopotamie, le pays des 2 fleuves (Tigre et Euphrate) jusqu’au Sinaï, et dans le sens E-W, du Jourdain à la Méditerranée. Stratégiquement bien placé sur la route de la soie qu’exploitaient depuis des lustres les Phéniciens (les vrais Palestiniens, donc non Arabo-musulmans qui n’existaient pas encore), et que les puissances impériales du moment ( Egypte, Grèce, Assyrie, Perse, Rome ) voulaient contrôler. D’où les tribulations incessantes et les déportations permanentes du peuple juif vers les pays des vainqueurs du moment. Les revendications des arabo-musulmans n’ont rien à y voir dans ces mouvements qui posent un problème aux pays voisins.oici
La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?
Et bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés. Surpris ?
Alors comment expliquer qu’avant la guerre des Six-Jours en 1967, il n’y eu aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne ?
“Avant 1967 ?” me direz-vous, “les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem”
C’est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël ait gagné cette guerre ?
La vérité est que la Palestine est un Mythe !
Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en “Alea Capitolina”, mais cela ne rencontra pas le même succès.
La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire.
Jamais ! Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain. Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens ( la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques1. Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que O,1% de la superficie régionale ! Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c’est précisément là que se situe le noeud du conflit qui les oppose à Israël. Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas.
Qu’en est-il des lieux saints de l’Islam ? Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : “la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’Islam”, après la Mecque et Médine. Et bien, sachez que c’est faux !
En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem. Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l’Islam ?
Les Musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée “le Voyage Nocturne”. Il y est fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit “du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte”. Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’Islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu’à l’époque du patriarche Abraham.
La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?
Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs. L’empire ottoman et l’Allemagne son alliée, furent dépouillés de leurs territoires et colonies qui passèrent sous le contrôle des anglais et français. L’Angleterre s’adjugea le Tanganyika et la Namibie (diamants) ; elle divisa aussi l’Arabie en petits émirats et sultanats qui subsistent encore aujourd’hui.
Le drapeau palestinien n’a rien à faire dans cette revendication et la Palestine n’a jamais existé en tant qu’Etat arabo musulman. C’est une décision unilatérale de l’empereur romain Hadrien qui décréta que le terme Israel n’existerait plus, serait rayé de la carte et remplacé par le terme Palestine. N’oublions pas qu’à l’époque Israel s’étendait, dans le sens N-S, de la Mésopotamie, le pays des 2 fleuves (Tigre et Euphrate) jusqu’au Sinaï, et dans le sens E-W, du Jourdain à la Méditerranée. Stratégiquement bien placé sur la route de la soie qu’exploitaient depuis des lustres les Phéniciens (les vrais Palestiniens, donc non Arabo-musulmans qui n’existaient pas encore), et que les puissances impériales du moment ( Egypte, Grèce, Assyrie, Perse, Rome ) voulaient contrôler. D’où les tribulations incessantes et les déportations permanentes du peuple juif vers les pays des vainqueurs du moment. Les revendications des arabo-musulmans n’ont rien à y voir dans ces mouvements qui posent un problème aux pays voisins.
les socialo-cocos ont voté “POUR” !
c’est curieux le silence du CRIF ??
explication ?
mettre sur le même plan, la Russie et l’islam jihadiste est une imposture !
La Fédération de Russie a aussi de très grosses inquiétudes avec ses Fédérations musulmanes du sud
jugez plutôt
http://www.postedeveille.ca/2012/11/lislam-radical-nepargne-pas-la-russie.html
Sans oublier que Poutine emploie la seule manière efficace, afin de traiter la racaille : La manière forte. Notre beau pays devrait prendre exemple au lieu de se dissoudre dans un amalgame d’où rien de bon ne peut sortir.
Maréchal nous voilà!!! Je vais à présent militer pour le rattachement la République Populaire de Wallagonie à la Bande de Gaza. La Wallonie à Gaza, c’est bandant. Au moins, la Wallonie recevra des gros subsides et elle pourra vendre ses armes de la FN de Herstal en direct au Hamas sans devoir justifier quoi que ce soit. Il faut penser à l’avenir de la Wallonie.
“L’Europe est confrontée à deux menaces immédiates : la Russie néo-impériale et l’islam jihadiste”.
Je ne suis pas d’accord avec votre analyse.
Certes, la Russie de Poutine peut poser question. Cependant, je n’imagine pas la Russie, imposer son mode de vie à l’Europe, ou, pour faire court, à la France.
En revanche, le péril mahométan est bien réel, lui. Il n’y a qu’à voir les quartiers dans lesquels les mahométans se sont imposés, à l’exemple de Roubaix-Tourcoing : Les mahométans chassent les derniers français-de-souche résidant en ces lieux, et imposent leur manière de vivre. C’est ainsi, notamment, qu’ils persécutent les commerces non-halal . Je parle de Roubaix-Tourcoing, mais ces lieux ne sont pas seuls visés, hélas. Idem au Nord de Paris, les quartiers sensibles des grandes villes. Peu à peu, ils gagnent du terrain. Lorsque les mahométans seront majoritaires, en France, nous, juifs et chrétiens seront heureux de trouver refuge…en Russie !
Article publié dans la Voix du Nord : les boulangers
Dans la nuit de lundi 24 à mardi 25 janvier, des poubelles étaient sciemment installées devant la devanture de la boulangerie Saint-Roch, située rue des Ogiers à l’Épeule quartier de Roubaix.
Quelques minutes plus tard, l’individu à la manœuvre répandait un liquide inflammable tout autour de l’entrée de la boulangerie avant d’y mettre le feu .
Grâce à la vidéosurveillance qui a filmé la scène, un suspect a été interpellé. T. C., 28 ans, a été placé sous mandat de dépôt dans l’attente de son jugement.
Un incendie qui est intervenu deux jours après qu’un client de la boulangerie eût menacé de mettre le feu au commerce.
L’énième épisode d’intimidation qui conforte les époux Delval, propriétaires du commerce, dans leur décision de jeter l’éponge après vingt ans passés dans le quartier de l’Épeule.
Ça fait vingt ans que nous sommes installés ici. Avant, on n’avait pas de problème mais depuis deux ans, c’est une catastrophe. En huit mois, c’est la troisième fois que nous devons refaire la vitrine suite à des incendies criminels ou des dégradations.
On dérange, ils nous chassent, on quitte Roubaix. Et d’évoquer ouvertement une mafia locale qui veut tout s’accaparer. Sous prétexte de violences urbaines, certains tentent de chasser des commerçants pour pouvoir prendre leur place.
Il y a un malaise.
Lors d’un précédent incendie, le nom d’un homme avait même été inscrit sur la planche que nous avions dû installer pour sécuriser. Le couple a donc décidé de jeter l’éponge et d’aller proposer ses services loin de Roubaix. Ce que déplorent nombre de clients, venus constater les dégâts :
C’est quand même dramatique, rien ne va plus dans ce quartier. D’autant que les parents du suspect, clients de la boulangerie, sont venus voir les commerçants pour leur demander de retirer la plainte . Une situation ubuesque.
Les époux Delval, après vingt ans de bons et loyaux services, quitteront la boulangerie Saint-Roch en mars.
Devant une telle situation, la mairie envisage de préempter pour permettre à un autre boulanger traditionnel de s’installer. Jusqu’à quand ?
Les policiers découvrent rapidement le coupable. Et d’une, il a été vu par un riverain qui le connaît. Et de deux, une caméra de surveillance a filmé la scène. Présenté en comparution immédiate, Tariq Ech Charaoui, 28 ans, n’a guère le choix : il reconnaît mais il demande un délai pour préparer au mieux sa défense. La question de sa détention ne se pose même pas. N’ayant pas respecté les mesures accompagnant un contrôle judiciaire, un précédent sursis de cinq mois a été révoqué dès son arrivée au palais de justice.
L’intéressé proteste.
« J’ai pas pu répondre aux convocations car j’habite dans un HLM où les boîtes aux lettres sont tout le temps détériorées. »
La présidente Joëlle Spagnol avoue son incompréhension. « On se demande vraiment ce qui vous est passé par la tête ? Vous aviez bu ? »
Ech Charaoui se lâche : « Oh oui ! »
Mais l’alcool, une bouteille de vodka en l’occurrence, n’explique pas tout. Le procureur a, en effet, une hypothèse.
« Il règne depuis des mois un climat dangereux autour de cette boulangerie. » Olivier Dabin se dit convaincu qu’il s’agit d’un règlement de comptes.
Dans la salle, le boulanger est dépité. « J’arrête tout. On me rend la vie impossible. »
Le prévenu rejoint la maison d’arrêt. Il sera jugé fin février. Son avocate, Me Anne-Laurence Delobel, a réclamé et obtenu une expertise psychiatrique.
Quant aux autres boulangeries, elles ont déjà changée de mains et en voici la liste avec les noms des propriétaires :
Boulanger Pâtissier, Alimentation, DAFFAF Mokhtar, 46 Rue de lEpeule, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, DBARA Aicha née DEBARA, 161 Rue de lEpeule, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, LES DELICES DU MACHREB, 112 Rue de lEpeule, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, AMARI Hadjali, 83 B Rue Pierre de Roubaix, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, AMARI Hitman, 83 B Rue Pierre de Roubaix, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, ASANI Ertan, 150 Rue de lalma, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, AYATE Meftah, 4 Rue de Lannoy, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, BELAIDI Mouloud, 25 Rue de Tourcoing, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, BEYYOUDH Nasreddine, 86 Rue de lHommelet, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, BOULANGERIE PATISSERIE KEBAILI, 222 Rue de Lannoy, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, BOUNOUA Samir, 66 Rue de Mouvaux, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, DALI Fatiha nee BOURAHLA, 52 Rue de Cassel, 59100 ROUBAIX
la liste des violences anti-juifs et chrétiennes est infini en france chaque jour des voitures appartenant à des non-musulmans sont incendier aussi les “blancs” qui passent dans des villes ou cité voir meme rue ou ya de nombreux musulmans sont agresser intimider spolier…
Oui effectivement les Européens sont bien trompés sur la palestine, c’est une intelligente politique internationalement complice de l’ignorance pour détourner l’opinion de la vérité afin de l’asservir et l’exploité commercialement.
Il existe un maître qui pourrait l’en délivrer, ne pas s’attacher à l’homme comme maître de notre destin aussi louable soit-il, et ne rechercher que l’accomplissement du bon sens Intelligent en nous même.
La liberté est un don de la vie, le méchant la retire afin d’empêcher l’évolution contre ces idées q’il considère comme les meilleurs.
Faire connaître au monde ce qu’il ignore est un combat contre l’adversaire invisible qui est un souffle nauséabond d’origine éternel, l’esprit du mal qu’on appel aussi “dieu de l’ombre” = shed en hébreu traduit par “démon” en Français.
Dire la vérité n’est pas anodin, c’est piéger l’ennemie mortel et intelligent du mal qui ne connait pas l’amour.
De plus en plus de personne sont sous sa domination.
Il existe bien réellement une force capable de délivrer, les esprits moqueurs de le déchéance humaine s’éforceront de vous détourner d’elle de ne pas y croire et pourquoi ne pas aller voir un psy à la place, regarder un film qui ne sert à rien qu’à faire passer le temps pour aller plus vite vers le séjour des morts comme de nombreux moutons.
Votre temps vous est compté, à quoi le passez vous? Utile ou futile.
Faire connaître la vérité est un vrai travail de jardinier dans un jardin qu’est le potager humain.
Savoir nettoyer, retourner la terre, fendre les mottes et la nourrire et l’arroser pour y mettre une nouvelle semence. Veiller sur les oiseaux mangeurs de graines, empêcher les piétinements et tout ce qui nuirait à la croissance.
Si en plus de cela un ennemie vient sener de mauvaises graines, ce qui est le cas, les deux destinées grandissent ensembles et cohabitent difficilement.
Le bien et le mal sont deux autorités et elles existent réelement depuis avant le monde.
” L’Europe est confrontée à deux menaces immédiates : la Russie néo-impériale et l’islam jihadiste.”.
Et si l’on arrivait à les mettre tous les deux en conflit ? On va demander ça au Père Noël.
Plutôt que de se lamenter pourquoi ne rejoignez vous pas les “résistants”, ou identitaires de vos régions , au moins vous feriez quelque chose de nettement plus utile ….
Pour moi c’est déjà fait. Ils luttent pour une France laïque et démocratique. Il n’y a aucun racisme seulement le désir que nos valeurs et notre identité soient respectées par tout un chacun.
Ils sont attaqués par ceux-là même qui devraient les louer et les prendre en considération car ils représentent, j’en suis persuadée la majorité des français dignes de ce nom.
Je préfère les Russes aux muzz, sans la moindre hésitation.
La transition URSS, CEI, Russie a été une période de reculade, et Boris Eltsine s’est dégagé d’Afghanistan sans pouvoir soutenir ses frères Serbes et défendre le Kosovo.
Je pense que si cet épisode historique se déroulait maintenant, Poutine et la Russie agiraient autrement.
Mais on dit que l’Histoire ne repasse pas les plats…
Texte qui jette la confusion dans un sujet pourtant clair en droit international.
Pour faire un Etat, il faut réunir trois conditions préalables :
– Un peuple (ce qui est contestable du point de vue des palestiniens car le peuple de gaza n’est pas le même qu’à Ramallah)
– Un territoire : et c’est ici que j’adresse mon reproche à Monsieur Gurfinkiel. Il n’est en aucun cas en droit international requis d’avoir un territoire délimité, certainement pas. Il faut juste un “territoire”. C’est par ailleurs sur cette notion qu’a été créé Israël qui n’a pas plus de frontières définies. Et cette notion est essentielle pour Israël, car dire le contraire, serait admettre implicitement les lignes de 67 voire de 48 comme des frontières!!
C’est précisément à cause des conséquences liées au concept de “frontières” et de “délimitation” que le droit international élude ces questions.
– Un gouvernement effectif : c’est ici le seul vrai argument étant décisif anti-état palestinien. Cependant, si on reconnaît le Fatah comme gouvernement effectif, cela ne peut être QUE sur la Judée-Samarie DONC il y a un magnifique coup à jouer. Implicitement, cela invalide toute revendication sur Gaza et laisse les mains libres à Israël, du point de vue juridique, sur ce territoire.
Ces trois conditions réunies n’équivalent PAS à un Etat. Elles sont nécessaires mais PAS suffisantes. Encore faut-il la reconnaissance internationale.
Toujours est-il que l’argument disant que l’ONU ne connaît pas d’Etat non-membres est pertinent. Surtout, il faut remarquer que c’est la qualité “d’Etat” qui est maintenant officiellement accolé à la palestine. C’est cela la véritable catastrophe.
La notion d’Etat palestinien est devenue réalité dans les esprits. Lorsque la reconnaissance via l’AG de l’ONU sera proposée, il ne viendra à personne l’idée de contester ce qui sera devenu un lieu commun.
je vous encourage à compléter l’article de Gurfinkiel par celui de Navon, publié aujourd’hui sur Dreuz. Les deux apportent une lecture complémentaire essentielle. Et solide.
J’ai lu avec intérêt l’article de Monsieur Navon. Malheureusement, étant juriste, il me saute aux yeux que Monsieur Navon mélange allègrement politique, histoire, religion et droit.
Même si ses arguments sont “justes”, certains n’ont aucun sens en droit.
Exemple : Monsieur Navon mentionne la notion de “peuple” pour dire que la SDN ne pouvait reconnaître les palestiniens car ils n’avaient pas existé avant.
La notion d’autodétermination sous tendue par l’argument de Monsieur Navon n’existait pas encore à l’époque de la SDN (il s’agissait à l’époque des pays africains et on appliquait la règle de l’uti possidetis pour déterminer les frontières). S’il est par ailleurs juste de dire qu’il n’y avait pas de peuple palestinien (quoique Monsieur Goldnadel défende une position intéressante sur ce sujet), elle n’en est pas moins anachronique.
Ailleurs, la notion de “territoire défini” ne me semble pas du tout juridique mais plutôt politique.
Et depuis quand faut-il, en droit international, un peuple permanent? D’où vient cette notion? D’une construction doctrinale?
La sursimplification du droit à l’autodétermination enfin me sidère car un complet mélange est fait entre l’autodétermination interne et l’autodétermination externe qui est pourtant la construction jurisprudentielle la plus aboutie à ce sujet.
Y ajouter les incitations à la haine (même si celles-ci sont infâmes et méritent la plus sévère des réprimandes morales et juridiques dans l’ordre interne), qui n’existent pas en droit international (sauf à y ajouter le droit international des droits de l’homme qui pour les vrais juristes en droit international – qui est le droit des états même s’il s’appelle ius gentium- est une absurdité), c’est opérer une grande confusion.
Je comprends ce que Monsieur Navon veut dire, je partage son avis mais pas du tout sa façon de le dire.
Personnellement je trouve les juristes bien trop tatillons …
J’aime mieux le franc parler qui représente mieux monsieur et madame tout le monde !