A Lons-le-Saunier, la vendeuse d’un bureau de tabac a refusé, hier, de céder un paquet de cigarette à crédit à un client insistant. Son patron est intervenu pour la défendre, le client l’a frappé. Puis l’agresseur et ses copains s’en sont pris aux policiers arrivé presque aussitôt.
« J’étais à l’étage du magasin. Un type a demandé un paquet de cigarette à crédit. Ma vendeuse a refusé », raconte Jean-Noël Berthod, le patron du tabac-presse du centre commercial de la Marjorie, à Lons-le-Saunier, et président des buralistes du Jura.
« Un de ses copains, qui était à l’extérieur, l’a mal pris. Il est entré et a commencé à tout casser dans la boutique. Il a bousillé un présentoir à lunettes. Je suis descendu et je lui ai ordonné de cesser et de ramasser ce qu’il avait jeté à terre. Ca s’est envenimé, il m’a mis un coup de boule et un coup de poing ! » ajoute JN Berthod.
Lorsque la patrouille de police arrive, elle est accueillie par des injures et les quatre racailles se retournent contre elle.
Les fonctionnaires tentent de calmer le jeu, en vain. L’agresseur est particulièrement virulent. Les policiers ne sont que trois mais décident néanmoins de l’interpeller pour les dégradations et les outrages. Les autres “jeunes” s’interposent et l’affaire dégénère en bagarre.
Force reste tout de même à la loi, les policiers menottent le voyou, mais l’un d’entre eux est blessé au genou. Il est conduit à l’hôpital par les pompiers de Lons où on diagnostique une entorse assortie d’une déchirure ligamentaire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Je suis pour l’usage des armes dans ce genre de situation et je pense que résister à la police devrait expédier les étrangers (pardon, je voulais dire les “jeunes”) directement au bled. Nommez-moi dictateur, en six mois ce genre de faits divers est de l’histoire ancienne.
Pepere au pouvoir et vite, on vote pour vous!
Je suis fils de policier . je peux vous assurer que dans les années 50 et 60 , ils n avaient pas besoin de sortir les armes pour que force reste à la loi .
Mais l esprit gauchiste les a progressivement neutralisés et très souvent dans les récits d interpellations , on est navré de lire q un policier a été blessé !!