À Valence, lundi en fin d’après-midi, la conseillère principale d’éducation (CPE) du collège Paul-Valéry a reçu de violents coups de poing au visage par la mère d’un collégien de 6e.
Séparées par les enseignants de collège, les coups au visage n’ont cessé de pleuvoir sur la CPE.
La mère du garçon, une Valentinoise âgée de 29 ans, aurait, au cours d’un entretien frappé à plusieurs reprises son interlocutrice avant de quitter l’établissement.
La victime est sérieusement blessée et a été hospitalisée. La mère du collégien a été placée en garde à vue.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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Elle a 29 ans et un fils en âge d’aller au collège ? Ben elle a pas du passer beaucoup de temps à l’école elle-même.
Aaah, Valence … Doux enclave Finnoise dans cette France barbaresque.
Ben oui, une Valentinoise comme vous et moi.
Elle ne s’appelle pas Vladimir ?
“étonnement” encore une foi rien sur l’identité de la mére, et suis surprise d’autant plus que 10 jours d’ITT pour des blessures graves, me semble peu.
Encore un médecin courageux!
quelque points de suture et elle retournera sur le front , comme en 14 , sauf qu’en 2012 , l’ennemi bénéficie de soutiens intérieurs
honteusement subventionnés par nos impôts , loi de 1901 oblige !
Quelle n’oublie pas alors pour son retour un casque à pointe!
pour situer l’échelle, un nez cassé, ça doit être 4 ou 5 jours
Pourquoi ne pas créer des cours de Krav-Maga dans des IUFM new-look ?
Je parie que cette femme, est une lapone ! ! ! ! ! non ? A quel prénom répond-elle ?
Une fable inédite et authentique de Monsieur Jean de la FONTAINE
Le chien et les chacals
Du coquin que l’on choie, il faut craindre les tours
Et ne point espérer de caresse en retour.
Pour l’avoir ignoré, maints nigauds en pâtirent.
C’est ce dont je désire, lecteur, t’entretenir.
Après dix ans et plus d’homériques batailles,
De méchants pugilats, d’incessantes chamailles
Un chien est bien aise d’avoir signé la paix
Avec son voisin, chacal fort éclopé
À l’allure fuyante, que l’on montre du doigt
Qui n’avait plus qu’un oeil, chassieux de surcroît,
Et dont l’odeur, partout, de loin le précédait
Voulant sceller l’événement
Et le célébrer dignement,
Le chien se donna grande peine
Pour se montrer doux et amène.
Il pria le galeux chez lui,
Le fit entrer, referma l’huis,
L’assit dans un moelleux velours
Et lui tint ce pieu discours :
« Or donc, Seigneur Chacal, vous êtes ici chez vous !
Profitez, dégustez, sachez combien je voue
D’amour à la concorde nouvelle entre nous !
Hélas, que j’ai de torts envers vous et les vôtres,
Et comme je voudrai que le passé fût autre !
Reprenez de ce rôti, goûtez à tous les mets,
Ne laissez un iota de ce que vous aimez ! »
L’interpellé eut très à coeur
D’obéir à tant de candeur.
La gueule entière à son affaire,
Il fit de chaque plat désert
Cependant que son hôte affable
Se bornait à garnir la table.
Puis, tout d’humilité et la mine contrite,
En parfait comédien, en fieffée chattemite
Il dit : « Mais, j’y songe, mon cher,
Nous voici faisant bonne chère
Quand je sais là, dehors, ma pauvrette famille :
Mes épouses, mes fils, mes neveux et mes filles,
Mes oncles et mes tantes que ronge la disette,
Toute ma parenté tant nue que maigrelette.
Allons-nous les laisser jeûner jusqu’au matin ? »
« Certes non ! » répliqua, prodigue, le mâtin,
qui se leva, ouvrit, et devant qui passèrent
quarante et un chacals parmi les moins sincères.
Sans tarder cliquetèrent les prestes mandibules
Des grands et des menus, même des minuscules.
Ils avoient tant de crocs, de rage et d’appétit
Ils mangèrent si bien que petit à petit
Les vivres s’étrécirent comme peau de chagrin
Jusqu’à ce qu’à la fin il n’en restât plus rien.
Ce que voyant, l’ingrat bondit :
« Ah ça, compère, je vous prédis
Que si point ne nous nourrissez
Et tout affamés nous laissez
Tandis que vous allez repu,
La trêve entre nous est rompue ! »
Ayant alors, quoi qu’il eût dit,
Retrouvé forces et furie,
Il se jeta sur son mécène,
Et en une attaque soudaine, il lui récura la toison,
Aidé de toute sa maison.
Puis, le voyant à demi mort,
De chez lui il le bouta hors.
Et l’infortuné crie encore
« La peste soit de mon cœur d’or ! »
Retenez la leçon, peuples trop accueillants :
À la gent famélique, point ne devez promettre.
Ces êtres arriérés, assassins et pillards
Marchent en rangs serrés sous le vert étendard.
Vous en invitez un, l’emplissez d’ortolans,
Et c’est jusqu’à vos clefs qu’il vous faudra lui remettre.
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elle circule sur le net depuis qques mois déjà !!!
Elle me plait beaucoup cette fable !!!! et elle correspond si bien à la malheureuse situation de notre pauvre France, il faudrait l’imprimer dans le cerveau de notre président ainsi que dans celles de tous les membres du gouvernement et de beaucoup d’autres !!!!!
Elle me plaît bien aussi cette fable et comme vous dites elle reflète tout à fait la réalité. Pour ce qui est de la prise de conscience de nos élus sur le comportement de certains “français” cela va être difficile de les faire réfléchir et agir, il y a des voix à gagner et pour les obtenir on absout et on ferme les yeux. Pratique non?
C’est vrai qu’elle ressemble beaucoup à du “La FONTAINE” mais hélas elle n’est pas de lui.
Ce qui n’enlève absolument rien au talent du conteur.
Perso je l’aime beaucoup et elle trône dans mon bureau à la vue de tous, pour leur rappeler ce qu’est la vérité quotidienne lorsque l’on fait preuve de tant d’angélisme…
Et ça on en parlera pas encore sur nos chaines télé et radios,les médias,de leur coté.Merci DREUZ !
Quelle est cette femme ?? comment s’appelle-t-elle ? bizarre….bizarre…..
dvora
Encore l’omission du nom de la mère…. Une “femme” pour ne pas dire l’origine…. çà transpire….
Si la mère est française non muzz elle va prendre un maximum, dans le cas contraire on risque de poursuivre l’enseignante !
Elle ne peut pas s’appeler Vladimir. C’est une femme nous dit-on. Marine peut-être ?
Dés que vous avez son nom déclinez le SVP….cela confirmera peut-être ce que tout le monde subodore déjà…Les statistiques sont toujours utiles et utilisables un jour ou l’autre…
vous n avez pas compprit! cette valentinoise agée de 29ans s appelle “la maman de vladimir” et les merdias se taisent ils ont l enveloppe de hollande