–
Victimes des tueurs révolutionnaires argentins des années 1970
–
Michel Garroté, réd en chef – Le pape François n’a pas été complice de la dictature dans son pays, confirme ce jeudi le Prix Nobel de la Paix Adolfo Perez Esquivel. Il n’a rien eu à voir avec la dictature, il n’a pas été complice de la dictature et il n’a pas collaboré avec elle, explique Adolfo Perez Esquivel, rejetant des allégations mensongères concernant son rôle face à la junte militaire argentine, allégations qui ont surgi contre le nouveau pape après son élection le 13 mars.
Selon le Prix Nobel, le pape François, à l’époque Jorge Mario Bergoglio a privilégié la diplomatie pendant cette période marquée par la succession de plusieurs juntes militaires à la tête du pays (1976-83). Selon Adolfo Perez Esquivel, Bergoglio tentait, à cette époque, d’avoir des nouvelles de disparus et de détenus en agissant en coulisses. Il n’était pas évêque à l’époque mais simplement supérieur d’un ordre de jésuites, souligne le Prix Nobel.
Adolfo Perez Esquivel estime qu’on ne peut pas lier Bergoglio à la dictature et Esquivel ajoute que même le président de la Cour suprême a dit qu’il n’y avait eu aucune connivence. Selon les témoins et les historiens, beaucoup de jésuites s’étaient rangés du côté des terroristes et des milices révolutionnaires armées qui étaient les alliés des Cubains, des Est-allemand et des Soviétiques. Jorge Bergoglio a simplement cherché à éviter toute politisation.
Pour mémoire, dès le lendemain de son élection, le nouveau pape François, du temps où il officiait en Argentine, aurait soi-disant collaboré avec la junte militaire au pouvoir de 1976 à 1983. Bergoglio aurait – raconte la légende noire – « retiré à deux prêtres la protection dont ils bénéficiaient », avec, pour conséquence, leur enlèvement par des militaires argentins.
Ces allégations sont véhiculées par deux activistes argentins d’extrême-gauche, Graciela Lois et Carlos Pisoni, dans le journal argentin ultragauchiste Página 12, dans lequel s’exprime de temps à autre un autre extrémiste cathophobe, français celui-là, répondant au nom de Mélenchon.
En réalité, les deux prêtres jésuites argentins, Orlando Yorio et Francisco Jalics, ne se sont pas vu retirer par Bergoglio la protection dont ils bénéficiaient. Ce sont au contraire les deux prêtres qui se sont éloigné de la Congrégation jésuite parce qu’ils voulaient suivre leur propre voie, celle des curés marxistes.
Quant aux rencontres présumées de Bergoglio avec le général argentin Videla, elles ne devraient choquer personne. La période couvre huit ans. Dans quel pays le clergé n’a-t-il aucun contact avec le pouvoir en place ? A-t-on jamais reproché à tel ou tel évêque local ses rencontres avec le dictateur prosoviétique en place ? De plus, je rappelle qu’à l’époque, une guerre a failli éclater entre le Chili et l’Argentine. Cette guerre a été évitée grâce à la médiation de l’Eglise catholique.
Il est vrai que durant la période 1976-1983, la gauche et l’extrême-gauche françaises avaient soutenu – sans problèmes de conscience – leurs coreligionnaires argentins, y compris ceux qui étaient téléguidés par les services cubains, est-allemands et soviétiques. Du reste, l’intervention ce jeudi du Prix Nobel de la Paix Adolfo Perez Esquivel n’empêchera pas les gauchistes cathophobes français de continuer leur agitation et leur propagande.
Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info
–
Les terroristes argentins des années 1970 ne sont pas en prison
–
–
–
–
–
–
–
–
L’un des missionnaires jésuites, Franz Jalics, enlevés par la junte militaire argentine dans les années 1970, assure que le pape François ne l’a pas dénoncé à l’époque. Le missionnaire Orlando Yorio et moi n’avons pas été dénoncés par le père Bergoglio devenu depuis le pape François, informe-t-il .
Et ils ont meme concélébrés une messe.
que dire des 500 bébés enlever , voler par la dictature en Argentine ?
http://teleobs.nouvelobs.com/rubriques/la-selection-teleobs/articles/41248-argentine-les-500-bebes-voles-de-la-dictature?xtor=RSS-2
@jacqueline
C’est horrible. La junte militaire argentine a été particulièrement perverses et violentes. Un épisode de plus de ces dictatures qu’on retrouve à l’oeuvre partout en Amérique du Sud à intervalles réguliers, guérilleros marxistes révolutionnaires ou juntes conservatrices des pouvoirs d’argent, sont une calamité pour ce continent où la violence est endémique.
Mais quel rapport entre 1976 en argentine et l’élection du pape en 2013 à Rome ?
l’Argentine a aussi été la planque des nazis qui ont fuient l’europe après toutes les horreurs qu’ils y ont commi ….
Dès le début de cette désinformation savamment orchestrée, des témoignages allant dans le sens de la droiture du pape ont été produits.
Mais la manifestation de la vérité n’arrête pas les chiens rouges et il est certain qu’ils continueront à aboyer et rager.
Ce sont les memes qui applaudissaient Pol Pot !
Dès le lendemain de son élection, ce pape a été sali par les gauchistes de services reprenant ces informations anti-chrétiennes, anti-église, anti-cléricales, sorties de nulle part – sauf à considérer les officines d’activistes de l’extrême gauche communo-tiers-mondistes comme sources digne d’intérêt – et les étalant avec tambours et trompettes, dans le paysage médiatique français et européens. Tous ces braves journalistes progressistes de nos médias (90%) s’en sont donnés à coeur joie, reprenant calomnies et médisances avec jubilation, au conditionnel bien sûr… car ces hypocrites n’ont même pas le courage d’assumer leurs comportements.
On a assisté une fois de plus à un magnifique exercice de grand journalisme d’information !
Calomniez, calomniez, il en restera quelque chose…
Cette fameuse dictature argentine a accede au pouvoir pour stopper l’hemorragie marxisto-stalinienne qui tentait de s’installer dans toute l’Amerique du Sud avec le soutien de l’URSS. On ne remerciera jamais assez les mechants generaux et autres colonels de ces pays d’avoir combattu avec efficacite l’avancee de la peste rouge.
C’est bien ce qu’il faudrait en France: une bonne purge anti-coco, anti-islamiste, anti-ecolobobo.
l’Argentine, comme d’autres états d’Amérique latine, faisait face à de viru lentes guerillas marxistes (monteneros, armée révolutionnaire du peuple, etc)et sans l’intervention militaire, nul doute que l’Argentine eut sombré dans une dictature marxiste