Le ministère de l’Intérieur a déjà décidé que la Manif pour tous du 24 mars à Paris sera moins importante que celle du 13 janvier.
Le ministère a également et confidentiellement, décidé que la police va “compter” un peu plus de 100.000 personnes, avenue de la Grande Armée.
«Ce sera malgré tout une mobilisation importante, mais différente des précédentes», annonce un haut fonctionnaire, place Beauvau. Les ex-Renseignements généraux ont également décidé que la province est «moins mobilisée».
Côté organisateurs, on annonce depuis quelques jours déjà qu’ «il y aura autant de cars et de bus que la dernière fois, soit 800 à 1000, plus de trains réservés (dix trains à trois jours de l’événement, contre cinq au même moment, lors de la dernière manifestation) et sans doute plus de personnes à venir en voiture».
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Bertold pour www.Dreuz.info
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En plus de mentir sur la participation réelle du 13 janvier dernier, voilà maintenant les Renseignements Généraux qui, même avant le démarrage de la manif du 24 mars, arrive à prévoir le nombre que nous serons !
Quel talent !
Plus fort que Mme. Soleil !
Décidément, on marche de plus en plus sur la tête ! et notre belle démocratie est en total danger !
La démocratie n’existe plus ni en France, ni en Europe, ni partout dans le monde !
Quelle belle démocratie? Nous vivons déjà dans un régime autoritaire. La France n’est même pas considérée comme une belle démocratie dans la liste des pays démocratique. Déjà en 2012 elle était considérée comme une démocratie imparfaite, et les choses se sont dégradées depuis.
Les efforts de manipulation de la communication sont encore une preuve de cette régime autoritaire.
Connaissez vous une démocratie parfaite ?
Si oui,dites nous laquelle ou lesquelles ?
En FRANCE, ça n’est plus une démocratie. Au train où vont les choses, il ne manque plus que les goulags pour que la FRANCE devienne une copie conforme de m’ex-bloc de l’U.R.S.S. !
intox generale, meme pour la police, si il y a 100k de manifestants, il y a x dizaine ou centaines de policiers. Le nombre de flics que l’interieur doit mobiliser et en rapport avec le nombre de manifestant et bien entendu + il ya de flics + il y a des heures sup. et + le budget de l’interieur explose etc.
SVP n’allez pas a la manif il n’y a plus d’argent pour payer les flics.
Hyprocrisie, désinformation, servilité, … tout cela pourquoi ? Pour plaire à un gouvernement que tout le monde aura oublié dans 10 ans ?
Combien de journalistes vont être sur place pour faire de la vraie information ? Combien vont apporter d’autres chiffres que ceux de la préfecture ? Combien vont se donner la peine d’aller dans la rue (au lieu de rester le cul sur le chaise) pour faire leur travail ?
“Ces français sont nuls” (et pas seulement les étrangers, comme disait Desproges).
Manifestation débile et ruineuse .
ça ne changera rien , si le gouvernement à déjà fait son choix sur sa loi !
désiré pourquoi ruineuse ? La gauche nous a promis la pluie , Berger nous souhaite une bombe . Tous les ingrédients pour nous donner envie d’y etre
Pas plus que celles des CGTistes/FOistes qui ont ruiné le pays sous SARKO !
L’insulte n’est pas un argument. C’est le signe de l’impuissance.
lire l’excellent article du POINT et comprendre où on nous emmene et comment
Par Jean-Michel Décugis et Aziz Zemouri
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Commentaires (28)
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“La réponse est très simple, je n’ai entendu parler de rien. Je ne suis au courant de rien. Je n’ai été témoin de rien. Pour mon mari (Jean-Pierre Meyers, membre du conseil d’administration de L’Oréal), ce sera la même chose. Mes parents ne disaient rien à ce sujet.” Le 21 décembre 2012, Françoise Bettencourt-Meyers botte en touche lorsque le juge d’instruction bordelais Jean-Michel Gentil l’interroge sur le fait de savoir si Nicolas Sarkozy, alors candidat UMP à la présidence de la République, avait “demandé ou non, perçu ou non de l’argent” de ses parents, et notamment de sa mère Liliane.
Ironie du sort, c’est l’ex-président qui a, lui-même, demandé au magistrat de poser cette question à la fille unique de la milliardaire. Simple provocation vis-à-vis du juge ? Ou pique lancée à Françoise Bettencourt-Meyers qui a transmis à la police, en juin 2010, des enregistrements clandestins de conversation au domicile de sa mère mettant en cause des personnalités du gouvernement ? Une chose est sûre : à l’époque, la fille unique de la milliardaire ne pouvait pas imaginer que sa démarche aboutirait deux ans et demi plus tard à la mise en examen de Nicolas Sarkozy. C’est pourtant bel et bien ce qui s’est passé, jeudi 21 mars.
Après une confrontation entre des employés des Bettencourt et Nicolas Sarkozy, le juge Gentil a considéré que l’ex-candidat UMP à la présidentielle avait commis un abus de faiblesse en février 2007 et courant 2007 aux dépens de l’héritière de L’Oréal, alors âgée de 84 ans, en lui demandant de l’argent pour financer sa campagne. Une manière assez habile de contourner le Code pénal. En effet, le délit de financement illégal est prescrit au bout de trois ans, mais pas l’abus de faiblesse. Or une expertise médicale diligentée en 2011 par le juge Gentil défend l’hypothèse que Liliane Bettencourt est diminuée intellectuellement depuis 2006, ce que n’avait jamais diagnostiqué l’ensemble des médecins qui la suivait à cette époque…
Le magistrat avait procédé en catimini à une répétition générale
Quoi qu’il en soit, contrairement à Françoise Bettencourt-Meyers qui n’a rien vu, rien entendu, des employés de maison de ses parents ont, eux, déclaré avoir croisé Nicolas Sarkozy plusieurs fois durant cette période. Ils évoquent des visites à la fois à M. et Mme Bettencourt, et quelques-uns relient même celles-ci à des demandes d’argent… Or l’ancien président de la République a toujours affirmé, sur la foi de son agenda, n’avoir été qu’une seule fois chez les Bettencourt et, qui plus est, n’avoir rencontré que “monsieur”. Quant aux enveloppes présumées, l’ancien président a déclaré avec mépris : les Bettencourt “ne m’ont jamais donné un sou et je ne leur en ai jamais demandé”.
Avant d’organiser, jeudi 21 mars, une confrontation-surprise entre l’ancien chef d’État et ces employés, Le Point est en mesure de révéler que le magistrat avait procédé en catimini à une répétition générale en auditionnant tout à tour, fin février, maître d’hôtel, infirmière, femme de chambre… Pour l’occasion, le juge Gentil avait déniché un document précieux libellé “indemnités de repas”. En clair, une sorte de tableau retraçant la présence ou l’absence de tel ou tel employé au domicile de l’héritière de L’Oréal, rue Delabordère, à Neuilly-sur-Seine. Il faut dire que, depuis des mois, le magistrat multiplie les investigations sur l’emploi du temps de Nicolas Sarkozy, à l’affût d’autres visites de celui-ci chez les Bettencourt. Sur la foi de ce document, le juge a acquis la conviction que Nicolas Sarkozy s’était bel et bien rendu au moins deux fois chez les Bettencourt, entre février et avril 2007. Et non une seule fois, le 24 février 2007, comme il l’a toujours affirmé. Le maître d’hôtel Pascal Bonnefoy affirme avoir vu Nicolas Sarkozy, et l’ancienne infirmière, Henriette Houtpachou, affirme avoir lu sur le planning de l’office le nom de “monsieur Nicolas”.
Or, comme l’atteste le fameux tableau des “indemnités repas”, ni l’un ni l’autre ne travaillaient ce jour-là. D’où la certitude du juge que Nicolas Sarkozy est venu au moins une autre fois et lui a donc menti. En réalité, le 24 février, toujours à l’appui du même document, c’est Bruno Lantuas, un autre maître d’hôtel, qui a ouvert la porte au candidat UMP à la présidentielle. Interrogé par le juge Gentil le 21 février 2013, l’employé décrit un visiteur “en costume-cravate avec de la prestance et de l’énergie”, qu’il conduit dans “le salon rond avec ses portes monumentales dans lequel l’attendait M. et Mme Bettencourt”.
Or Nicolas Sarkozy a toujours déclaré n’avoir vu, ce jour-là, qu’André Bettencourt. Lors de ses précédentes auditions, le maître d’hôtel avait affirmé avoir vu Nicolas Sarkozy “une semaine avant les élections”. Cette fois, plus prudent, il déclare que c’était pendant la campagne présidentielle, ce qui, selon lui, “intéressait beaucoup André Bettencourt”. Pour démontrer la présence du maître d’hôtel chez les Bettencourt, ce 24 février 2007, le juge Gentil n’a pas ménagé ses efforts. Il a ainsi récupéré des factures de pressing de l’employé datées du 22 et 26 février 2007 qui émanent d’une teinturerie de Neuilly-sur-Seine.
“Tout ça est vraiment tiré par les cheveux”
Lors des récentes auditions des employés de maison des Bettencourt que Le Point révèle, Dominique Gaspard, ex-femme de chambre, a également démenti la version de Nicolas Sarkozy. Interrogée le 27 février, l’employée a confirmé avoir conduit Liliane Bettencourt au salon rond où se trouvait déjà son époux avec le candidat UMP. Le 18 décembre dernier, la femme de chambre avait déclaré : “Elle (Mme Bettencourt) était toute contente de l’avoir vu (Nicolas Sarkozy)”.
Outre ces quelques témoignages, le juge dispose des agendas de “madame” (Bettencourt), dans lesquels est notée pour le 24 février 2007 la visite d’un certain “monsieur S”. Ces éléments font-ils pour autant de Nicolas Sarkozy un menteur ? “Tout ça est vraiment tiré par les cheveux, observe une source proche du dossier. Sarkozy a pu oublier un deuxième rendez-vous qui n’est pas noté dans son agenda. Par ailleurs, cela ne prouve pas qu’il est venu chercher des enveloppes.”
Concernant l’argent, justement, le juge s’appuie sur le témoignage de Nicole Berger, une ex-gouvernante aujourd’hui décédée, qui aurait confié que, lors de sa visite en février 2007, Nicolas Sarkozy serait venu chercher de l’argent. Les propos de l’employée qui était très proche de Liliane Bettencourt sont aujourd’hui relayées par Dominique Gautier, l’ancien chauffeur des Bettencourt, désormais à la retraite. “C’est Mme Bettencourt qui l’a relaté à Mme Nicole Berger, a-t-il affirmé le 18 décembre 2012, au juge. Vous savez, c’était en quelque sorte sa confidente.” Une déclaration à rapprocher des propos énigmatiques que le photographe François-Marie Banier prête à Liliane Bettencourt dans ses carnets en avril 2007. “On me dit que Sarkozy m’avait encore demandé de l’argent, si je lui dis oui, comment être sûre qu’on ne lui donne rien ?”
Pour étayer sa démonstration, le juge a mis en rapport les visites de Nicolas Sarkozy chez le couple Bettencourt avec des mouvements de fonds suspects. Des retraits d’espèces en Suisse effectués par Patrice de Maistre, l’ex-gestionnaire des Bettencourt, suivis de rendez-vous avec Éric Woerth, l’ex-trésorier de l’UMP. “Ce qui ne constitue aucune preuve judiciaire”, souligne une source proche de l’enquête.
L’avenir politique de Nicolas Sarkozy est désormais entre les mains de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Bordeaux, saisie par l’avocat Thierry Herzog. C’est elle qui doit désormais se prononcer sur la légitimité de la mise en examen de l’ancien président de la République…
La réponse est très simple, je n’ai entendu parler de rien. Je ne suis au courant de rien. Je n’ai été témoin de rien. Pour mon mari (Jean-Pierre Meyers, membre du conseil d’administration de L’Oréal), ce sera la même chose. Mes parents ne disaient rien à ce sujet.” Le 21 décembre 2012, Françoise Bettencourt-Meyers botte en touche lorsque le juge d’instruction bordelais Jean-Michel Gentil l’interroge sur le fait de savoir si Nicolas Sarkozy, alors candidat UMP à la présidence de la République, avait “demandé ou non, perçu ou non de l’argent” de ses parents, et notamment de sa mère Liliane.
Ironie du sort, c’est l’ex-président qui a, lui-même, demandé au magistrat de poser cette question à la fille unique de la milliardaire. Simple provocation vis-à-vis du juge ? Ou pique lancée à Françoise Bettencourt-Meyers qui a transmis à la police, en juin 2010, des enregistrements clandestins de conversation au domicile de sa mère mettant en cause des personnalités du gouvernement ? Une chose est sûre : à l’époque, la fille unique de la milliardaire ne pouvait pas imaginer que sa démarche aboutirait deux ans et demi plus tard à la mise en examen de Nicolas Sarkozy. C’est pourtant bel et bien ce qui s’est passé, jeudi 21 mars.
Après une confrontation entre des employés des Bettencourt et Nicolas Sarkozy, le juge Gentil a considéré que l’ex-candidat UMP à la présidentielle avait commis un abus de faiblesse en février 2007 et courant 2007 aux dépens de l’héritière de L’Oréal, alors âgée de 84 ans, en lui demandant de l’argent pour financer sa campagne. Une manière assez habile de contourner le Code pénal. En effet, le délit de financement illégal est prescrit au bout de trois ans, mais pas l’abus de faiblesse. Or une expertise médicale diligentée en 2011 par le juge Gentil défend l’hypothèse que Liliane Bettencourt est diminuée intellectuellement depuis 2006, ce que n’avait jamais diagnostiqué l’ensemble des médecins qui la suivait à cette époque…
Le magistrat avait procédé en catimini à une répétition générale
Quoi qu’il en soit, contrairement à Françoise Bettencourt-Meyers qui n’a rien vu, rien entendu, des employés de maison de ses parents ont, eux, déclaré avoir croisé Nicolas Sarkozy plusieurs fois durant cette période. Ils évoquent des visites à la fois à M. et Mme Bettencourt, et quelques-uns relient même celles-ci à des demandes d’argent… Or l’ancien président de la République a toujours affirmé, sur la foi de son agenda, n’avoir été qu’une seule fois chez les Bettencourt et, qui plus est, n’avoir rencontré que “monsieur”. Quant aux enveloppes présumées, l’ancien président a déclaré avec mépris : les Bettencourt “ne m’ont jamais donné un sou et je ne leur en ai jamais demandé”.
Avant d’organiser, jeudi 21 mars, une confrontation-surprise entre l’ancien chef d’État et ces employés, Le Point est en mesure de révéler que le magistrat avait procédé en catimini à une répétition générale en auditionnant tout à tour, fin février, maître d’hôtel, infirmière, femme de chambre… Pour l’occasion, le juge Gentil avait déniché un document précieux libellé “indemnités de repas”. En clair, une sorte de tableau retraçant la présence ou l’absence de tel ou tel employé au domicile de l’héritière de L’Oréal, rue Delabordère, à Neuilly-sur-Seine. Il faut dire que, depuis des mois, le magistrat multiplie les investigations sur l’emploi du temps de Nicolas Sarkozy, à l’affût d’autres visites de celui-ci chez les Bettencourt. Sur la foi de ce document, le juge a acquis la conviction que Nicolas Sarkozy s’était bel et bien rendu au moins deux fois chez les Bettencourt, entre février et avril 2007. Et non une seule fois, le 24 février 2007, comme il l’a toujours affirmé. Le maître d’hôtel Pascal Bonnefoy affirme avoir vu Nicolas Sarkozy, et l’ancienne infirmière, Henriette Houtpachou, affirme avoir lu sur le planning de l’office le nom de “monsieur Nicolas”.
Or, comme l’atteste le fameux tableau des “indemnités repas”, ni l’un ni l’autre ne travaillaient ce jour-là. D’où la certitude du juge que Nicolas Sarkozy est venu au moins une autre fois et lui a donc menti. En réalité, le 24 février, toujours à l’appui du même document, c’est Bruno Lantuas, un autre maître d’hôtel, qui a ouvert la porte au candidat UMP à la présidentielle. Interrogé par le juge Gentil le 21 février 2013, l’employé décrit un visiteur “en costume-cravate avec de la prestance et de l’énergie”, qu’il conduit dans “le salon rond avec ses portes monumentales dans lequel l’attendait M. et Mme Bettencourt”.
Or Nicolas Sarkozy a toujours déclaré n’avoir vu, ce jour-là, qu’André Bettencourt. Lors de ses précédentes auditions, le maître d’hôtel avait affirmé avoir vu Nicolas Sarkozy “une semaine avant les élections”. Cette fois, plus prudent, il déclare que c’était pendant la campagne présidentielle, ce qui, selon lui, “intéressait beaucoup André Bettencourt”. Pour démontrer la présence du maître d’hôtel chez les Bettencourt, ce 24 février 2007, le juge Gentil n’a pas ménagé ses efforts. Il a ainsi récupéré des factures de pressing de l’employé datées du 22 et 26 février 2007 qui émanent d’une teinturerie de Neuilly-sur-Seine.
“Tout ça est vraiment tiré par les cheveux”
Lors des récentes auditions des employés de maison des Bettencourt que Le Point révèle, Dominique Gaspard, ex-femme de chambre, a également démenti la version de Nicolas Sarkozy. Interrogée le 27 février, l’employée a confirmé avoir conduit Liliane Bettencourt au salon rond où se trouvait déjà son époux avec le candidat UMP. Le 18 décembre dernier, la femme de chambre avait déclaré : “Elle (Mme Bettencourt) était toute contente de l’avoir vu (Nicolas Sarkozy)”.
Outre ces quelques témoignages, le juge dispose des agendas de “madame” (Bettencourt), dans lesquels est notée pour le 24 février 2007 la visite d’un certain “monsieur S”. Ces éléments font-ils pour autant de Nicolas Sarkozy un menteur ? “Tout ça est vraiment tiré par les cheveux, observe une source proche du dossier. Sarkozy a pu oublier un deuxième rendez-vous qui n’est pas noté dans son agenda. Par ailleurs, cela ne prouve pas qu’il est venu chercher des enveloppes.”
Concernant l’argent, justement, le juge s’appuie sur le témoignage de Nicole Berger, une ex-gouvernante aujourd’hui décédée, qui aurait confié que, lors de sa visite en février 2007, Nicolas Sarkozy serait venu chercher de l’argent. Les propos de l’employée qui était très proche de Liliane Bettencourt sont aujourd’hui relayées par Dominique Gautier, l’ancien chauffeur des Bettencourt, désormais à la retraite. “C’est Mme Bettencourt qui l’a relaté à Mme Nicole Berger, a-t-il affirmé le 18 décembre 2012, au juge. Vous savez, c’était en quelque sorte sa confidente.” Une déclaration à rapprocher des propos énigmatiques que le photographe François-Marie Banier prête à Liliane Bettencourt dans ses carnets en avril 2007. “On me dit que Sarkozy m’avait encore demandé de l’argent, si je lui dis oui, comment être sûre qu’on ne lui donne rien ?”
Pour étayer sa démonstration, le juge a mis en rapport les visites de Nicolas Sarkozy chez le couple Bettencourt avec des mouvements de fonds suspects. Des retraits d’espèces en Suisse effectués par Patrice de Maistre, l’ex-gestionnaire des Bettencourt, suivis de rendez-vous avec Éric Woerth, l’ex-trésorier de l’UMP. “Ce qui ne constitue aucune preuve judiciaire”, souligne une source proche de l’enquête.
L’avenir politique de Nicolas Sarkozy est désormais entre les mains de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Bordeaux, saisie par l’avocat Thierry Herzog. C’est elle qui doit désormais se prononcer sur la légitimité de la mise en examen de l’ancien président de la République
@Désiré. Qu’est-ce que vous faites là ? Ce ne sont pas les sites béni oui oui, dans votre genre, qui manquent, sur internet !
C’ est du délire , enfin les procédés de la gauche ne changent pas c’est une évidence
Pour ce gouvernement, c’est une manière de préparer les esprits au fait que cette manifestation n’entravera pas son projet d’imposer ce que bon lui semble.
Le parti socialiste a un carnet de route idéologique dévastateur auquel il se se tient. Point barre. Peu importes les conséquences, ou plutôt de leur point de vue, tant mieux.
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hors sujet !
Hollande veut remonter dans les sondages qui sont au plus bas !!
http://www.metrofrance.com/info/francois-hollande-invite-exceptionnel-de-france-2-jeudi-soir/mmcv!wIfNcFr8IvZio/
“Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer”. (Guillaume d’Orange).
C’est vrai il y a des personnes qui ont le don de lire futur.
Toutefois notre Président est plutôt à la ramasse.
Quand tous les journalistes diront la vérités, car actuellement ce que l’on appelle du lèche bottes
Et voilà notre France pays de la liberté et de la liberté d’expression ,vous vous trompez ici c’est un pays TOTALITAIRE . Il faudrait en informer tous ceux qui viennent chez nous ………….
La France devient comme l’Union Soviétique où les résultats des prochaines élections étaient également fixés à l’avance par les autorités.
le ministère de l’Intérieur reflète bien l’autoritarisme de ce gouvernement….
Les médias, qui ont pratiqué l’omerta complète et coordonnée sur la Manif de demain à Paris sont leurs laquais…..Mobilisons nous….
«Voile pudique». François Mitterrand est le pur exemple du damage control. A commencer par les communiqués officiels mensongers sur sa santé dès 1981 : la presse – dont Libération – ne prend pas la peine d’enquêter sur la rumeur de son cancer, ses visites clandestines à l’hôpital, son médecin qui le suit pas à pas, médicaments dans une sacoche… Quand il a été proposé de vérifier l’hypothèse d’une maladie, la direction de l’époque a répondu : «Pas la peine, il n’y a rien, l’Elysée nous l’a dit.» La maladie d’un président qui risque pourtant de nuire au fonctionnement de l’Etat – celle de Pompidou comme l’accident vasculaire de Chirac – a bénéficié de la fameuse omerta journalistique.
On n’écrira rien, jusqu’à ce qu’il en décide lui-même : sur le passé cagoulard, puis vichyste de François Mitterrand, sa francisque, son ami Bousquet. Son hôtel particulier payé par un chèque signé André Bettencourt (mari de Liliane). Encore moins sur sa fille clandestine logée dans une annexe de l’Elysée.
Les conséquences publiques de la vie privée du Président restent dans l’ombre. Par goût du commentaire plutôt que de l’info brute. Par manque d’indépendance de la télévision publique. Rappelons que le président de la République nomme les patrons des chaînes et qu’il choisit de sa main royale les journalistes qui auront le privilège d’interviewer le monarque.
[…]
http://mobile.liberation.fr/medias/01012392645-sexe-et-politique-la-presse-sur-le-divan
rappelles -toi le coup de la 4 chevaux !
C’est quoi cette histoire du paiement de l’hôtel particulier de Mittérand payé par M.Bettancourt ?
C’est un don en quelque sorte.
Quelqu’un peut développer ?
Quelque que soit le nombre des manifestants ils passeront cette Loi honteuse avec toutes les répercussions néfastes qu’elle aura sur la société et les mentalités et pire encore car le conseil musulman de France à fait savoir que si le mariage multiple n’est pas prévu dans la Loi il saisirait la cour de justice européenne pour discrimination à se demander si l’objectif final n’était pas celui-là ???
Et pendent ce temps, un cinquième soldat est mort il y 2 jours au MALI. Paix à son âme !
@kmichèle
C’est triste pour sa famille Mais lorsque l’on est soldat professionnel ce sont les risques.
Campagne du Mali : 5 tués à date dans nos rangs .
Argonne en 1915 : 1800 tués par…. JOUR.
Tout est relatif.
Connait-on déjà le nombre d’arrestations, et éventuellement de blessés par les forces de l’ordre.
Si en plus vous aviez le nom des blessés, ça me permettrait de savoir si je dois déjà réserver un lit à l’hôpital proche de mon domicile.
J’espère que beaucoup se mordent les …… d’avoir voté sociolo-communiste…………
comment empêcher qu’un million ne descende dans les rues?
Est-ce que les Français savent seulement ce qu’ils veulent??????
Je crois kles Français veules et toujours contradictoires. C’est bien connu depuis des lustres.
leurs qualités autres sont aux abonnés absents le plus souvent.
Sur 12 millions de France Iliens s’il n’y a que 100.000 personnes qui se déplacent alors c’est l’échec des Français et de la Droite incapable.
Sous le Roi Mitterrand elle avait fait son Million contre l’école socialiste…
Qu’elle se bouge un peu…
Quant au ridicule de s RG de la police et de sa hiérarchie et du gouvernement, il n’y a rien à craindre car il y a longtemps que le ridicule ne tue plus chez nous…
La question du nombre des personnes qui participent aux manifestations , est excellente . Comment certains peuvent ils dire qu’elle est inutile alors que l’on sait que la propagande fait partie de la bataille , (de son issue ) que se livrent actuellement gouvernement et opposition bien sûr ?
Appartenant dans les années 70 à un groupuscule d’extrême gauche , je fus chargé par deux fois de donner UN ORDRE DE GRANDEUR qui soit le plus près possible de la réalité numérique de deux manifestations à des moments différents :
la première concernait un cortège communiste de solidarité avec le Vietnam qui avait lieu un samedi après midi de Nation à Gare de Lyon . Là où j’étais posté (Carrefour Diderot – Caserne Reuilly ) ,j’avais une excellente vue . Je vis passer des lignes de manifestants très étirées les une des autres à l’instigation des organisateurs car le froid aidant (Décembre ), il n’y avait pas grand monde . Chaque ligne faisait 20 personnes environ et le comptage était facile , c’était une manif dite ” traîne savates “. J’arrivai à 3 000 manifestants , 3500 au plus . Le soir la préfecture annonça 10 000 personnes , le lundi , le journal Libération écrivit 50 000 personnes et le journal L’Humanité , sans aucun pudeur , mit d’immenses manchettes avec le chiffre de 100 000 manifestants (opposés à la guerre etc….).
.
La seconde concernait une manif intersyndicale , un an plus tard, allant de la Gare du nord à Nation .Je me plaçai alors à Colonel Fabien et tentai le comptage d’une manif , “serrée “, disons dense et je m’aperçus que c’était réalisable d’arriver, certes pas à un chiffre précis _ car il y a quelques spectateurs qui prennent la manif en route _ mais à une JUSTE APPROXIMATION et le cortège qui défilait devant moi , soit quand même l’écrasante majorité des personnes qui marchaient ,était composée surtout de sections syndicales de travailleurs des banlieues -nord qui étaient parties avec la manif . Eh bien, j’étais arrivé , en comptant des groupes compacts de 40 à 50 personnes (et c’était favorisé par les espaces entre les lignes et les groupes ) , en grossissant surtout , à 20 000 personnes ,durant 3H 30 de défilé devant moi. Le soir , la préfecture de police annonça 80 000 personnes et la C.G.T. (F.O. et la C.F.D.T. ne donnèrent aucun chiffre et furent muettes comme des carpes ) osa écrire qu’il y avait….. 300 000 personnes (sic )
L’enseignant laïque que j’étais , fut ébahi par l’énormité de ce qui est quand même, plus que de l’exagération , un MENSONGE FLAGRANT . Je me disais en mon for intérieur “Quand des gens sont capables de mentir à ce point c’est qu’ils méprisent les gens qu’ils appellent à se joindre à eux et qu’ils pourront aller bien plus loin dans certaines situations ”
Et cet aspect ne fut pas moindre dans ma prise de distance progressive des groupes de gauche
Je pense que la préfecture de police de Paris va avoir une belle surprise demain, Nous allons êtres plus 1.500.000 à manifester. 🙂
bonsoir,
si vous voulez savoir comment nous sommes ” désinformés ” rendez vous
sur –
http://www.bobards-dor.fr
vous y verrez plus clair ensuite.
c’est juste scandaleux
Merci les bobards d’or ça vaut son “pesant d’or”
Mouais… il pue les antisémites ton site bobards d’or:
Bobard du mythomane: discussion entre Chavez et Ahmadinejad traduit par l’AFP.
Bobard de Corail: ou Quand la Micronésie évite une victoire « écrasante » de la Palestine à l’ONU… de justesse !
Je passe sur la diabolisation du libéralisme, etc…
Un site qui sent bon le caca quoi.
Ben zoui ! Après la manif au nombre de participants coupé en 4, l’interdiction de manif pacifique devant l’assemblée au moment du vote, les reportages orientés, le refus d’une pétition de 700 000 personnes réunies en moins de trois semaines et parfaitement légale sur ordre de Matignon, le lavage de cerveau à la télé, etc. etc., voici la dernière blague ! Il y en aura d’autres… alors, lisez plutôt Le Figaro d’aujourd’hui. Il faut les soutenir : ils ont fait deux pages complètes sur la manif, presque sans erreur, expliquant correctement le mouvement et la manipulation des sondages. Un article bien, ça s’arrose ! Apportez le donc demain à la manif, ça vous fera de la lecture puisqu’on fera un peu de « sur place » demain sur la Grande Armée.
Triste et Honteux gouvernement de RACAILLE ,qui préfère soutenir les délinquants qui tue viole ,vole assassine Protégé par LA TAUP IRA !!! !
Si un citoyen Français manifeste comme 84% de la population contre le mariage Gay ; le seul personnage crédible de ce gouvernement interdit la manifestation sur l’avenue des champs élysées
c’est la goutte qui fait déborder le vase
Olivia Thivat liked this on Facebook.
Il va vraiment falloir faire quelque chose parce que là cela devient lamentable de manipuler autant. Goebbels en est jaloux
Chers amis , de gauche comme de droite, il nous faut malheureusement reconnaitre que nous avons un gouvernement en dessous de tout, et je suis plus que poli… plus con tu meurs.
Comment se servir d’un ministre ?
il devait être viré le 24 pour allumer un contre-buzz aux manifs du 24.
Petit chantage aux révélations sur ses implants capillaires…ce ministre est aussi son chirurugien esthétique..
Alors on s’informe auprès des juges et on les force à mettre en examen Sarkozy ; dès qu’on a la date, on vire le ministre la veille. Ainsi le lendemain on ne parle plus que de Sarkozy…
Vers 18h30, 300.000 selon la police, 1,4 million selon les organisateurs. Plus d’un million…d’écart, on y est !
Des muslims femmes toutes tete couverte , des évengélistes représentés par une femme “soulante”, garder en tete que les évengélistes font leur promotion ici en France aussi , quelqu’un près de moi qui demande où sont les juifs ? pas de chance pour lui je me désigne avec mon fils : on est ici ! ce que ce monsieur n’a pas compris c’est que les représentants des cultes ont décidé de ne pas se méler publiquement au débat contre le mariage gay , donc il n’y avait ni prètre catholique ni rabin , par contre je me répète les délégations muslims étaient composées de femmes toutes voilées .
Le mouvement s’amplifie rien ne l ‘arrêtera ni la gauche ni la droite.
Le 24 au soir la “police” annonçait 300.000 manifestants.Bis repetita le même nombre que lors de la précédente manif.Qui nous enfume ??? La leçon a été bien apprise.LES ORDRES avaient été donnés.Qui nous prend pour des billes? Pourtant les caméras nous montraient une foule bien supérieure !! Français il me dégoûte de devoir vivre sous ce régime pourri !!