Alors que de nombreux Européens ignorent jusqu’à la signification de Pâques, des millions de chrétiens en terre d’islam fêtent la Résurrection du Christ souvent au péril de leur vie.
Le dialogue à sens unique : islamophobie versus christianophobie
Où en est le dialogue islamo-chrétien ? Les responsables musulmans qui ont écouté la messe d’inauguration du Pape François semblent préférer le nouveau pontife argentin – qui a lavé les pieds d’un musulman dans une prison de Rome et a souhaité « bâtir des ponts entre les religions » en relançant un “dialogue serein avec le monde islamique” – à son prédécesseur germanique Benoît XVI, qui avait osé interpeller les musulmans sur la question de la violence religieuse.
C’est ainsi que Ekmeleddin Ihsanoglu, le dirigeant de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI, regroupant 57 Etats musulmans), a souhaité que “la relation entre l’islam et le christianisme retrouve sa cordialité et son amitié sincère.” De même, Al-Azhar, la plus haute autorité de l’islam sunnite, basée au Caire, a annoncé qu’elle pourrait renouer le dialogue qui fut interrompu deux fois sous Benoît XVI : une première fois en 2006, suite au “discours de Ratisbonne” de Ratzinger qui citait un empereur byzantin déplorant les “mauvaises et inhumaines” idées de Mahomet “propagées par la violence” ; puis une seconde fois en 2011, lorsque l’ex-Pape appela les pays musulmans à protéger les minorités chrétiennes menacées… Cet appel répondait à l’attentat-suicide perpétré contre l’Église des Deux Saints d’Alexandrie (Égypte), qui tua 23 chrétiens coptes dans la nuit du 31 décembre 2010 au 1er janvier 2011. Mais il ne convainquit point les pays islamiques à dénoncer la violence envers les Infidèles dès lors qu’elle est inscrite dans la Charià et le Coran, ce que déplorait justement Ratzinger. Et au lieu de faire leur aggiornamento sur ce point, Al-Azhar, l’OCI et La Mecque, qui défendent une conception totalitaire de l’islam, décidèrent au contraire de suspendre les rencontres avec le Vatican, au prétexte que Benoît XVI aurait “attaqué l’islam”. Niant une réalité pourtant reconnue par les musulmans modérés et réformistes, ils rejetèrent en bloc l’“affirmation injustifiée que les musulmans persécutent les autres personnes qui vivent avec eux au Moyen-Orient”…
Les 57 pays de l’OCI – Arabie saoudite, Turquie, Pakistan et Egypte en tête – initièrent alors une campagne planétaire de dénigrement de l’Eglise et de “l’Occident croisé”, jouant sur la corde sensible du victimisme islamique et de la mauvaise conscience européenne. Cette campagne, qui entraîna la mort de nombre de Chrétiens, culmina avec l’affaire des “caricatures de Mahomet” et des “films anti-islam” montés en épingle pour faire oublier la christianophobie islamique.
Double langage et absence de remise en question des pays musulmans
Gagnés par la dhimmitude volontaire et la peur – renforcées par l’explosion de violences anti-chrétiennes et anti-occidentale, nombre de chrétiens ont donc salué le fait que Pape François ménage bien mieux que Ratzinger la “susceptibilité des pays musulmans” et espèrent que par sa politique d’apaisement, il pourra améliorer le triste sort des chrétiens d’Orient. De son côté, Mahmoud Azab, conseiller pour les affaires interreligieuses de l’imam Ahmed Al-Tayyeb d’Al-Azhar, a déclaré : “Espérons que le nouveau pape jettera de nouveaux ponts solides et équitables pour un dialogue équilibré et efficace entre le monde islamique et le Vatican, un dialogue pour atteindre un consensus sur les valeurs suprêmes communes qui préservent la dignité de l’islam et la réalise concrètement”. “Nous reviendrons au dialogue avec le Vatican dès qu’apparaîtra une nouvelle politique”. Une réconciliation sous condition … qui laisse entendre que l’Eglise serait la seule responsable des blocages et que les pays islamiques n’auraient pas à respecter la liberté religieuse des minorités, bafouée par les lois inspirées de la Charià qui, dans certains pays tels l’Arabie, l’Iran ou le Soudan, punissent de mort l’apostasie ou le prosélytisme chrétien !
On reste donc stupéfaits par cette exigence de tolérance à sens unique et par cette absence totale de remise en question des instances islamiques officielles qui exercent continuellement des pressions à l’ONU et sur nos gouvernements pour faire adopter des législations “anti-blasphème” visant en fait à limiter la liberté d’expression au prétexte de ne pas “diffamer l’islam”. Alors que dans les pays islamiques, les chrétiens sont soit interdits (Arabie saoudite), soit régulièrement pris pour cibles par des attentats (Pakistan, Soudan, Maghreb, Turquie, Egypte, etc)… Ainsi, tandis que les pays de l’OCI dénoncent “l’islamophobie” occidentale, les adeptes du Christ sont réduits à des citoyens de seconde zone en pays d’islam et y forment des minorités humiliées.
Adeptes de l’accusation-miroir, les pays musulmans exigent que les Européens s’excusent pour les Croisades et la Colonisation, mais ils ne songent aucunement à s’excuser pour les pirateries barbaresques, l’esclavage des Noirs et des Slaves, la colonisation islamique (Afrique, Andalousie, Sicile, Balkans, Indes) du passé, ou même les génocides de 1,5 millions d’Arméniens-assyro-chaldéens de Turquie (1896-1915), puis de 2 millions de chrétiens-animistes du Sud-Soudan (massacrés par le régime islamiste soudanais entre 1970 et 2007). Ce génocide du sud-Soudan n’a jamais été reconnu officiellement par l’ONU, qui reste soumise au diktat moral et aux pressions diplomatiques de l’OCI…
Certes, le passé doit être dépassé et le dialogue islamo-chrétien semble partir d’une intention louable. Mais à condition que les pays musulmans combattent en échange la christianophobie islamique comme l’Occident combat l’islamophobie. Il n’en est rien. Et ce dialogue entamé sans conditions par le Concile Vatican II dans les années 60 restera un accord de dupes tant que les pays musulmans verront dans la main tendue des chrétiens et leur acceptation de cette tolérance à sens unique des marques de faiblesse, ce qui n’est pas entièrement faux d’ailleurs… Car cette faiblesse incite les bourreaux impunis à redoubler de violence.
En réalité, de même que le dialogue islamo-chrétien voulu par Jean Paul II n’empêcha pas le massacre de chrétiens au Soudan ou en Irak, ni même l’assassinat de prélats catholiques en Turquie (Don Andrea Santoro en 2006 ou Mgr Luigi Padovese en 2010), le silence du Pape François sur la nouvelle christianophobie et ses professions de foi islamiquement correctes ne stopperont pas les condamnations d’apostats et autres persécutions de chrétiens au Pakistan, en Syrie, en Afrique du Nord ou ailleurs…
Le vrai “printemps islamique” arrivera lorsque l’égalité musulmans/non-musulmans sera officiellement enseignée et inscrite dans les lois des pays islamiques (comme l’égalité hommes/femmes), ce qui ne semble pas être pour demain…
En attendant, l’ONU, les Etats-Unis, l’UE et les gouvernements européens doivent exiger l’égalité de droits et la réciprocité religieuse et même en faire des conditions aux aides économiques et aux accords diplomatiques… Les démocraties occidentales n’ont plus à recevoir de leçons de “lutte contre l’islamophobie” de la part de pays ouvertement christianophobes !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alexandre del Valle. L’article original peut être consulté ici.
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Le Pape ?…Combien de divisions ?!…
Le cynisme de Staline correspond à quelque chose de concret. Si les Chrétiens veulent survivre chez eux mais en pays à majorité islamique, il faut que le Pape soit appuyé par un certain nombre de pays chrétiens tant diplomatiquement (comme l’OCI) que militairement.
Je sais que le proposition peut heurter mais IL FAUDRA Y ARRIVER !
Soit-dit en passant, idem pour les Juifs qui doivent être défendus par Israël urbi et orbi…
Il faut clouer au pilori et civiliser de force cette engeance de m..de qui s’appelle l’islam et que le monde rejette !
Pas islamophobie mais répulsion d’islam !
Ma pensée explicité au plus haut point. BRAVO del Valle. Ma pensée faite de 30-40 ans de « lecture des religions ». Le résumé en est simple, une guerre de religion avec les armes destructrices du 21 ème siècle. Et encore une fois, un pape François de la dhimmitude complète. Athée, mais ancien chrétien, je lui en veux au plus haut point. Et ce n’est qu’au début, le futur va être un démentiel d’abandon pour non connaissance de l’Islam. C’est bien un Jésuite ce ONC.
Au lieu d’avoir un pape de combat, on se coltine un pape de la dhimmitude. Mais bon, peut-il faire autrement ? Sinon entériner une guerre de religion qui un jour ou l’autre deviendra plus qu’officielle. Mais un jour il faudra le faire.
il aurait fallu un pape Templier, style ninja.
Exactement, M l’Abbé, et un jour il faudra bien y arriver. Après tout, les Templiers avaient leur utilité. On recule depuis 1400 ans, un jour on devra s’arrêter. « Connaissant » la pensée Jésuite, on risque d’en entendre… Ça commence déjà pas mal. Bon, je vous laisse à vos prières, on en aura bien besoin. (Absolument non ironique).
@abbé arbez, @sansdieu : la question serait plutôt : pourquoi faut-il un pape ??!! les chrétiens sont-ils des moutons incapables de prier sans un vieux pantin à leur tête ? misère… faudrait penser à évoluer et oublier le Vatican, cet Etat fantoche incompatible avec le niveau des connaissances de l’Europe dite moderne.
NB : pas de pape chez les bouddhistes ni les shintoistes http://www.nippon.fr/fr/archives/893
vous n’aimez donc pas les moutons?
pourquoi Jésus a-t-il investi Simon Pierre d’une mission particulière qui est de confirmer ses frères dans la foi? les pensait-ils aussi incapables d’initatives…
et puis l’évêque de Rome “n’est que” le primus inter pares!
« Moutons » : vous ne croyez pas si bien dire. L’image de la brebis et du berger est centrale dans le christianisme, sans aucune connotation péjorative bien entendu.
pas de cadeau aux islamistes qui ne respectent pas nos croyances
Tendre l’autre joue c’est fini ce temps là et et n’oublions pas que c’est cochonou qui nous sauvera car tout est bon en sa présence
debout les gaulois Obelix nous montre le chemin
joyeuses Pâques
ET SURTOUT DANS LE MONDE ARABE ,,,,,,,, faut pas se tromper d ennemi
Le pape François a exhorté lundi les chrétiens à traduire dans “le quotidien” les sacrements qu’ils ont reçus, en manifestant leurs convictions “dans leurs comportements, leurs gestes et leurs choix”.
Des dizaines de milliers de fidèles et curieux étaient rassemblés place Saint-Pierre, sous un ciel changeant, pour l’écouter.
Il faut “exprimer dans la vie le sacrement que nous avons reçu (…) c’est notre engagement quotidien mais aussi notre joie quotidienne, la joie de se sentir les instruments de la grâce du Christ”, leur a lancé le pape de la fenêtre des appartements pontificaux du palais apostolique.
“Le Christ a vaincu le mal de façon pleine et définitive et il nous revient, nous hommes de toutes époques, d’accueillir cette victoire dans notre vie et dans la réalité concrète de l’histoire et la société”, a-t-il estimé.
Sacré Papounet, faudra en parler aux Chrétiens d’Orient, Nigeria et autres. Tout ça c’est du blabla de Papounet bien tranquille à Rome et OH combien repus.
Il nous prépare un coup du père François pas piqué des hannetons.
@sansdieu : en effet, tout çà c’est du blabla de papounet insensible à la douleur physique et morale des chrétiens devenus le défouloir des tarés “islamiques”. En Europe aussi, pas seulement en Orient…
pourquoi voulez-vous que François soit “insensible”? Qu’est-ce qui vous fait affirmer cela?
“être sensible à” n’est pas une question de déclaration idéologique, c’est une question de prière et d’action efficace qui inclut – dans le monde où nous vivons – la diplomatie…
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en europe les musulmans sont victimes de rien du tout a part d’eux meme ( viols dans les mosqué leurs écoles coraniques réglement de compte entre trafiquants de drogue etc ) l Europe leur donne absolument touts alors que dans leurs pays non musulmans sont tués et persécuter
Même leurs panneaux routiers sont sectaires c’est tout de même hallucinant !
Et ces gens voudraient nous faire croire que certains d’entres eux viennent dans nos pays pour s’installer en toute simplicité, et dans le respect de nos lois, nos traditions ? Laissez moi rire.
Le paradis chrétien doit accueillir tous les hommes et femmes, sans distinction, le paradis version mahomet lui n’accueille que des musulmans, dont très très peu de femmes.
L’islam divise le monde en pur, musulman. Et impur, tout le reste.
Les musulmans, ici en France, exigent de pouvoir donner à leurs enfants des prénoms musulmans. Cela POURRAIT À LA LIMITE se comprendre SI (et seulement SI) les prénoms non-musulmans étaient permis en terre d’islam, hors, ce n’est pas le cas.
Je pourrais prolonger la liste mais j’en ai pas envie, mais franchement, très franchement, je rêve qu’on fasse venir en terre non musulmane tout les non-musulmans…et que les musulmans aillent vivre dans un de ces “merveilleux” pays qui composent l’OCI.
Comment ? J’entend des bobo alter mondialiste islamophiles hurler que les pays musulmans sont souvent en guerres, que malgré leurs ressources pétrolières et gazières ils sont pauvres avec des routes pourries, des hôpitaux crasseux etc etc etc.
Ben navré, MAIS tout cela vient d’eux, quand on se nomme soit même “la meilleure communauté envoyée parmi les hommes” ont assume, on remonte ses manches et on oeuvre pour rendre son sol productif, idem pour ses populations.
Israël, moins de 70ans d’existence légale et reconnue (et encore pas par tous) voyez leurs réalisations, ils sont même parvenu à faire pousser des vignes dans un sol pourtant peu propice à ce genre de culture.
Israël est un pays minuscule géographiquement parlant, la taille de la Picardie, économiquement par contre c’est l’inverse.
Prenez le monde musulman, soustrayez ceux qui comme le Qatar sont assis sur des fortunes naturelles et il ne reste que des pays pauvres, illettrés, en conflits permanents entre les différentes factions issue de la fitna commencée moins de cent ans après la mort de leur prophète. Bordel, ca dure depuis 1400 ans !
La chrétienté à eu son schisme aussi quand Luther à donné naissance à ce qui allait devenir le protestantisme. Mais le massacre le plus célèbre, la Saint Barthelemy (qui etait, soit dit en passant une réponse à la marche sur Rome menée par des protestants) date de 1574, mois de 5 siècles pour retrouver la paix et franchement nos affrontements inter-chrétiens furent infiniment moins meurtriers que les guerres chiites-sunnites.
Bref, si les musulmans voulaient réellement paix et prospérité, ils l’aidaient depuis au moins 1000 ans donc le problème viens bel et bien d’eux.
Finalement je me demande à quoi ont servi les croisades, Notre bon Roi Saint Louis et d’autres y laissèrent leur vie …………
“…Notre bon roi St Louis ?…”
Celui qui taillait en pièces les protestants et les juifs sur la route de Jérusalem ?
alors c’était des protestants “virtuels” !!
Très bon article. Merci ! Tendre une joue, passe encore, mais les deux, non, non, non ! Vous savez, après la deuxième joue, ce sera votre tête qui se retrouvera roulant sur la Terre.
Il est temps de passer de l’acceptation passive très chrétienne (une traitrise ?) à l’action martiale très chevaleresque. Les Croisés sont de retour. Je sais, je sais, les Français sont tellement désinformés, tellement abrutis par les me(r)dias, tellement affaiblis dans leur conscience et dans leur corps qu’ils n’ont plus le courage de réagir (quel vilain mot ! ) Il est maintenant interdit de réagir. Etre considéré comme un réactionnaire est synonyme d’une insulte par les gauchistes. Pour moi, c’est un compliment. Cela veut dire que je ne suis pas endormi, que l’on ne peut pas me dire n’importe quoi, que l’on ne peut pas me forcer à ingurgiter du ‹‹ prémâché ›› politique ou social.
La réaction ne doit pas être instinctive, elle doit être éduquée. Devant l’invasion musulmane et la destruction de notre culture, haut les cœurs, réveillez-vous !
Qu’est-ce que je fais, moi, le parleur ? J’ai certaines connaissances dans le domaine des arts martiaux, de la tactique et même de la stratégie politique et militaire, vous devez bien vous douter du genre de services que je puis rendre à mes compatriotes (pas les français de papier). J’apprends à ceux qui comme moi ne supportent plus le comportement des envahisseurs à réagir avec efficacité aux agressions, dans la discrétion et l’amour de mon intégrité mentale, émotionnelle et physique. Aucun scrupule, aucune violence inutile, aucune mollesse mentale, aucun pardon pour les actes criminels, seulement une juste rectification.
la passivité ne peut être chrétienne
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En premier lieu j’ai été très deçu par ce François; car après le génocide (permanent) chrétien dans les pays musulmans, embrasser les pieds d’un criminel arabe…les bras m’en tombent !!! Si nous acceptons 200.000 immigrés/an autant demander aux chrétiens d’Orient de venir en priorité. Ce serait une population propre, intégrable et rien à voir avec ceux qui plombe notre société !!
Ce pape, tout content comme l’autre François d’avoir atteint l’objet de toutes ses ambitions, va encore montrer d’autres signes de faiblesse à ces barbares qui n’auront qu’à continuer et en abuser…aussi:
Appel à toutes les paroisses de France: A l’aide de la municipalité, créez un centre d’accueil où l’on pourra recevoir ce type d’immigrés les renseigner, les orienter, les soutenir, leur apprendre la langue et les aider dans la recherche d’un boulot !Pas-d’autre-solution !! Pas-d’autre-solution !! Pas-d’autre-solution !! Maintenant que les freres musulmans (frères d’obama) ont mis la main sur le monde musulman, ce sera l’Iran en pire partout et les chrétiens et juifs de ces pays n’auront qu’à choisir entre: “La valise ou le cercueil”. Ensuite pour faire bonne mesure et équilibrer les échanges on leur renverra les leurs; on gardera tous ceux qui auront rejeté ce coran génocidaire, et on leur offrira en guise d’intégration définitive un bon apéro Saucisson-pinard…
Le “dialogue” islamo-chrétien est impossible, vu que l’islam est une hérésie au regard de la foi chrétienne.D’un autre coté, l’islam voit les non-musulmans comme des etres impurs et pervers, des égarés.L’islam est une hérésie antisémite et antichrist:
-le coran NIE la divinité du Christ
-le coran dit:”Jésus N’EST PAS LE FILS DE DIEU
-le coran NIE LA SAINTE TRINITE
-le coran NIE LA CRUCIFIXION DU CHRIST ET SA RESURRECTION
-le coran dit:”Oh croyants, ne fréquentez ni les juifs, ni les chrétiens car ils sont alliés les uns des autres.Celui qui les fréquentera sera considéré comme des leurs.allah ne guide pas les pervers”.
Peu importe si le Pape veut perdre son temps avec ces gens là.On ne dialogue pas avec le diable.
D’accord avec vous, on ne dialogue pas avec le diable, mais franchement, vos arguments “théologiques” laissent à désirer
il suffit de s’entendre sur ce que l’on appelle “dialogue”
Vous remarquerez qu’il est tout à fait admis de discuter du bien fondé ou non de la foi chrétienne ou de l’existence de Dieu, sans danger pour sa propre personne, alors que la discussion est impossible en communauté musulmane.
les Croisades ? combien de fois faudra-t-il prouver qu’elles étaient défensives, pas offensives ? qui a attaqué et envahi Jérusalem au 12e siècle ? qui se croit autorisé à coloniser les autres ? pour rappel, l’islam est le dernier né, d’autres étaient là avant lui, donc l’islam est par définition envahisseur, logique, non ?
ps : Encore les Allemands 😉
http://www.youtube.com/watch?v=uZpj-zHV_dw
Le Pape a voulu baiser les pieds d’un Juif emprisonné pour crime ou délit mais il n’y en avait pas…
mais il a embrassé les pieds du juif Jésus (sur le crucifix) le jour du vendredi saint !
c’est ma dernière visite chez dreuz… deux fois j’ai commenté, deux fois censusé… donc comme je fuis comme la peste le socialisme-correct, ciao …. je vais chez 732
Très bel article, une nouvelle fois.
Nous savons que le Texte islamique (Coran, fiqh, sunna), c’est-à-dire l’ensemble des préceptes musulmans, prône la guerre contre tous les infidèles, qui sont tous ceux qui ne sont pas musulmans, et que cette guerre est organisée par les textes islamiques.
Parmi les armes utilisées par l’islam pour se fonder et pour conquérir les terres et les esprits, il y a l’affirmation que les juifs et les chrétiens ont trafiqu
ont trafiqué les Ecritures (les Evangiles), qu’ils sont donc des menteurs, et qu’ils auraient caché le fait, qui est tout à fait faux, que le Jésus de la Bible aurait annoncé Mahomet.
Dans ces conditions, aucun dialogue inter-religieux n’est possible et les Chrétiens sont bien naïfs de croire le contraire.
C’est bien de dialogue inter-religieux qu’il convient de parler, car l’oeucuménisme a toujours été consacré aux reliations entre les Juifs et les Chrétiens.
S’agissant de l’Eglise, sa politique a toujours été guidée par une grande règle façonnée au fil des siècles par les canonistes : entre deux maux il faut choisir le moins pire (règle qui a fondé le choix fait durant la seconde guerre mondiale : l’Eglise a considéré que le mal le plus fort était le communisme, et non le hitlérisme).
En l’espèce, il y a l’islam d’un côté, et de l’autre ?
Ça commence bien le pontificat… Encore une qui n’a rien compris ou qui obéit à qui à quoi ?
Comme d’habitude, monsieur del Valle, vous remettez la pendule à l’heure. Punaise, c’est incroyable cet aveuglement du monde occidental qui refuse d’équilibrer les rapports entre Occident et islam (sans majuscule).
L’hégémonie islamique, mahomètane, coranique, jihadique, chariatique ( mon sale vocabulaire s’épuise) ne s’arrêtera pas à une volonté de dialogue. On ne dialogue pas avec l’islam, on le combat.
La preuve en est qu’aucune réciprocité n’est possible avec les adeptes de cette pseudo religion, qui ne relie que le corrompu à sa “propre” corruption.
Les valeurs de l’islam sont tellement aux antipodes du respect de l’autre que seule la force peut atteindre leur rigidité “intellectuelle”.
Plus prosaïquement, je crois que seule la réciprocité des droits et des devoirs représente une approche cohérente de l’islam.
Hors cette exigence il faut rendre coup pour coup et même en rajouter une couche pour les dissuader de continuer dans cette voie funeste.
Encre une fois, cela fait 1400 ans que l’islam est en guerre “sainte” contre le reste du monde, cela vaut bien une riposte, non ?
Quel propos extrême, n’est-ce pas alors que l’islam est amour et paix (à vomir) !
pour lutter contre la christianophobie, il faut que le monde occidental coupe ses liens commerciaux(pétrolier) avec l ‘arabie saoudite…..Peut il le faire?
avec le gaz de shiste, les USA seront indépendants mais en France nos écolos de service préfèrent voir notre pays asservi par des pétro-monarchies qui appliquent charia et autres ignominies.
dans la
En région PACA c’est la population des villages concernés dont plus de 100 maires qui s’opposent à la recherche du gaz de schiste par fracturation de la rôche et ce sur une région à hauts risques sismiques et la consommation de 14000 m CUBE D’EAU PAR FORAGE (rendus impropres à la consommation). pollution tres forte de la couche…De plus le succés n’est pas certain….Nous sommes schistophobes et nous le resterons!
Je suis un croyant d’obédience judéo-chrétienne, je ne suis pas sûr que Christ aime cela mais les musulmans, j’en fait un rejet viscéral. Désolé.
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je vous donne raison car les islamistes ont réussi à culpabiliser l’Occident tout en persécutant les Chrétiens et la presse (télé et écrite) est frappée de mutisme. Je ne “marche” pas avec les athées intégristes pas plus qu’avec ceux qui nous bassinent avec le gentil Dalaï Lama et ses boudhistes extrèmement cruels et vivent sur la peau des autres sans jamais travailler. La médiacrassie est arrivée à un tel niveau d’abjection que je ne regarde plus aucun JT, aucune émission “politique” style “C’est à… et autres débats lamentables où l’on assassine des invités par des incultes et ignares (cf.le sort de Mme Genest); des journalistes à la limite du mensonge (affaire Al Dura) etc…
Manquent pas d’air ces musulmans !
Urgent : recherche personne sachant taper du poing sur la table et siffler la fin de la récré.
Ouf! Merci M. Del Valle vos positions sont claires et realistes. Malheureusement tant que l’occident, Pape en tete/ou compris, ne s’uniront pas contre l’islam avec comme dit HALLALI le nombre de divisions voulu, Nous ne vaicrons pas l’islam. Je m’octroie le droit a ma minute de feminisme: mais le Pape peut il dans son grand palais imaginer ce que represente pour une jeune femme de 20 ans de tomber entre les mains de musulmans?
” En attendant, l’ONU, les Etats-Unis, l’UE et les gouvernements européens doivent exiger l’égalité de droits et la réciprocité religieuse et même en faire des conditions aux aides économiques et aux accords diplomatiques… “
C’est évidemment le bon sens.
On peut toujours rêver Monsieur del Valle, sinon l’Islam ne serait pas l’Islam !
14 siècles, barakat !
Merci Alexandre pour cette profession de foi! Il faut sans relache aider
nos fréres en Christ a sortir de la confusion ! Faiblesse n’est pas
charité ……….. Il faut réècrire “le Notre Pére”……….ne nous laisse pas
succomber à la tentation……….de la faiblesse………du suicide………..
du renoncement ! Délivre nous …… du mal , des forces sataniques ,de
la négation perverse de nos valeurs par une tribu criminelle égarée par
un guide dément !!. Nous ne ferons pas l’économie d’une confrontation
avec l’Islam belliqueux et sanguinaire……………les passerelles de
François sont une Utopie………..Les Chrétiens dans l’aréne,face aux
bétes sauvages ont compris qu’il n’y avait pas de discours possible
avec leurs bourreaux…………. L’Islam est notre pire ennemi , ne
baissons pas la garde ……………Courage à tous .
Mathias
Angleterre : Un journaliste du système fait son mea-culpa sur l’immigration
Publié le 31 mars 2013 par Martine
[Un long article du Daily Mail. Traduction intégrale de nos lecteurs Cyrus et Dwemer. Merci à eux pour leur effort simultané]
« Quand j’étais un jeune militant marxiste, nous étions tous en faveur d’un maximum d’immigration. Pas parce que nous aimions les immigrés, mais parce que nous n’aimions pas l’Angleterre.
Nous voyions les immigrés, d’où qu’ils viennent, comme des alliés contre l’ordre établi.
Nous aimions nous sentir tellement supérieur à ces beaufs ignorants, vivants dans les endroits les plus pauvres d’Angleterre. Et s’ils osaient exprimer la moindre réflexion, nous les traitions d’extrémistes.»
« L’intolérance véritable, et la plus criante, est celle d’une élite pomponnée, honteuse de son propre pays, qui méprise le patriotisme des autres et n’en ressent aucun par elle-même. Elle appelle de ses vœux une horrible utopie sans frontières où tout amour de la terre s’est évanoui, où les nounous sont bon marché et où tous les salaires sont bas ».
——————————-
• L’invasion de l’Angleterre jusque dans ses moindres recoins fait de la promesse du premier ministre de « fermer la porte » une vaste blague.
• La plus grande migration de masse de notre histoire a eu lieu.
• Les révolutionnaires des années 60 sont coupables d’avoir considéré les immigrés comme leurs alliés.
• Nous nous adaptons aux us et coutumes des immigrés au lieu qu’ils s’adaptent aux nôtres.
——————————-
C’était cela l’Angleterre ? Toutes les personne que je croisais parlaient russe. Les boutiques étaient achalandées de pain noir, de concombres en saumure, de vodka. Les visages étaient Slaves. Les publicités dans les vitrines étaient dans cette écriture cyrillique qui m’était devenue familière lorsque je vivais, il y a bien des années, à Moscou.
Pourtant j’étais dans l’ombre du clocher d’une adorable église de style gothique anglais, à mi-chemin entre cette chère vieille station balnéaire de Skegness, entouré de champs de navets, de poireaux et de betteraves si typiquement anglais, sous un ciel anglais.
C’était cela, Boston, une ville du Lincolnshire, que j’avais visité pour la première fois trois décennies plus tôt alors qu’elle n’était encore qu’une modeste bourgade animée par un marché, et où un aimable agent de circulation m’avait aidé à trouver une place de stationnement. « Nous pouvons toujours trouver de la place pour un étranger » m’avait-il dit.
À cette époque, un visiteur venant de Londres était ce que l’on rencontrait de plus exotique à Boston. Maintenant, on y parle portugais dans les pubs, polonais dans les cafés, lituanien et estonien dans les bus. Si j’étais tombé dans la rivière, je ne suis même pas sur que quelqu’un aurait compris mes appels à l’aide.
D’une certaine manière, cette transformation était un choc, me dérangeait et me laissait plus perplexe encore que n’importe lequel des changements imposés par l’immigration qu’il m’avait été donné de constater.
Et c’est le même ressenti qui semblait prévaloir chez les habitants les plus âgés. Ni colère, ni haine ou hostilité, ce n’est pas dans notre nature, mais l’incompréhension devant le fait qu’un tel bouleversement ait pu se produire dans leurs vies autrefois si paisibles, sans consultations ni sommations.
Nous nous étions tous habitués à ce changement à Londres et depuis longtemps. Les anciennes villes agricoles du Yorkshire et du Lancashire avec leurs énormes mosquées flambant neuves et leurs femmes voilées, c’était une chose. Mais le Lincolnshire? Si cela pouvait arriver jusqu’ici, dans l’Angleterre profonde, alors cela pourrait arriver partout.
Il ne sert vraiment pas à grand-chose que le premier ministre affirme aux habitants de Boston que « cela doit cesser ». Même si quelqu’un croit encore que le premier ministre en a le pouvoir, ou même la volonté (et ses gesticulations sont aussi convaincantes que les promesses de Theresa May lorsqu’elle prétend nous débarrasser d’Abu Qatada), les jeux sont faits.
La plus grande migration de masse de notre histoire a eu lieu, les nouveaux arrivants sont ici légalement. Ils ont les emplois, occupent les maisons, touchent la sécurité sociale. Leurs enfants sont dans les écoles. Et ils paient leurs impôts.
Nos dirigeants n’avaient qu’à se rendre à Boston, à un moment quelconque de ces cinq dernières années, et ils auraient su. Mais tous nos dirigeants politiques étaient effrayés par cette vérité. S’ils avaient su, ils auraient dû au moins faire semblant de réagir. Et en vérité, ils voulaient que cela se produise.
Et c’est au moins en partie de ma propre faute. Quand j’étais un révolutionnaire marxiste, nous étions tous en faveur d’un maximum d’immigration. Pas parce que nous aimions les immigrés, mais parce que nous n’aimions pas l’Angleterre.
Nous voyions les immigrés, d’où qu’ils viennent, comme des alliés contre l’ordre établi, bien installé, dans la société conservatrice encore représentative de notre pays à la fin des années 60.
Aussi, nous aimions nous sentir oh, tellement supérieur à ces beaufs ignorants, habituellement installés dans les endroits les plus pauvres de l’Angleterre, qui voyaient soudainement leur voisinage se transformer en sorte de présupposées communautés plus vivantes encore. S’ils osaient exprimer la moindre réflexion, nous les traitions d’extrémistes.
Les étudiants révolutionnaires ne venaient pas de quartiers « bigarrés » (nous venions, autant que je sache, du Surrey et des quartiers aisés de Londres). Il pouvait arriver que nous vivions dans les fameux endroits « bigarrés » pendant quelques années (généralement cauchemardesques), au milieu des terrains vagues et des poubelles débordantes.
Mais nous vivions là temporairement, sans enfants, sans responsabilités. Pas comme des propriétaires, ou des parents d’enfants en âge d’aller à l’école, ou encore des personnes âgées en quête d’un peu de sérénité pour finir leurs vies.
Quand nous finissions nos études et commencions à gagner nos vies, nous partions en général pour les quartiers chics de Londres et devenions extrêmement attentifs à la qualité des écoles où nous envoyions nos enfants, un luxe que nous refusions volontiers aux citadins pauvres que nous méprisions pour les racistes qu’ils étaient à nos yeux.
Que savions-nous, que nous importait la grande révolution silencieuse qui déjà commençait à transformer la vie des Britanniques les plus pauvres? Pour nous le patriotisme et la tradition pouvaient être tournés en dérision et qualifiés de « racistes ».
C’était ce qui avait permis à la classe moyenne de se trouver des domestiques bon marché pour la première fois depuis 1939, des restaurants pas chers, et plus tard des ouvriers sous-payés et des plombiers au noir.
Ce n’était pas nos salaires à nous qui s’effondraient, ni notre travail qui n’était plus estimé à sa juste valeur. Les immigrants n’occupaient pas le même type d’emplois, ils n’étaient pas une menace pour nous.
Ils ne menaçaient que ceux qui avaient eu la malchance de naître citoyens britanniques modestes. Et nous pouvions toujours étouffer leurs protestations en suggérant qu’ils préfiguraient un fascisme des temps modernes.
J’ai appris depuis quelle personne arrogante, snob et prétentieuse j’étais alors, une personne détestable (et la plupart des mes compagnons révolutionnaires avec moi).
J’ai vu des endroits que je connaissais et où je me sentais chez moi, changés complètement en quelques courtes années. J’ai imaginé ce que ce devait être d’avoir vieilli et de me sentir prisonnier de rues étroites où mes voisins parlent une langue différente et où je serais progressivement devenu un étranger solitaire à la voix tremblante dans un monde que je connaissais en un temps lointain, mais qui ne me connaissait plus moi.
Je me suis senti profondément, désespérément désolé de n’avoir rien fait, ni rien dit pour défendre ceux dont les vies étaient mises sens dessus-dessous, sans que rien ne leur soit jamais demandé. Et qui était bien prévenus que s’ils avaient le malheur de se plaindre, ils seraient méprisés et mis au ban de la société.
J’ai passé beaucoup de temps dans des régions de l’Angleterre où l’intelligentsia révolutionnaire ne se rend jamais. Ces gens ne vont jamais ou presque visiter leur propre pays. Ils gravitent entre les quartiers à la mode de Londres, les destinations de vacances tout aussi tendance. Ils connaissent mieux les Apennins en Italie que les Pennines de leur propre pays.
Mais contrairement à moi, la plus grande partie de la génération 60′s a conservé les idées que j’avais à cette époque — et à la notable et récente exception de David Goodhart, journaliste de centre gauche devenu dirigeant de think tank qui a fini par reconnaître ses torts — ils ne changeront pas.
Le pire est l’hypocrisie abyssale de toute cette histoire. Même à mon époque trotskyste, j’avais commencé à remarquer que beaucoup des immigrés « asiatiques » (indo-pakistanais) n’étaient pas du tout nos alliés.
En fait, ils étaient profondément, indécrottablement religieux. Ils étaient socialement conservateurs, leur attitude envers les filles et les femmes confinait très souvent à l’obscurantisme le plus médiéval.
Beaucoup d’entre eux étaient horriblement hostiles aux juifs, d’une manière que nous aurions farouchement condamnée si n’importe qui d’autre l’avait exprimée, mais que nous arrivions malgré tout à pardonner et oublier dans leur cas.
Plus récemment, nous avons pu constater ce fait avec la déclaration affligeante de Lord Ahmed sur une conspiration juive fantomatique.
Mais je me rappelle aussi avoir vu, il y a dix ans, dans la vitrine d’une librairie islamique des bas-fonds de Burnley, une édition récente de la scandaleuse diatribe antisémite de Henry Ford « The international jew » pourtant désavouée il y a bien longtemps par son auteur lui-même.
Il serait impensable pour n’importe quel magasin ayant pignon sur High street de diffuser impunément de telles cochonneries.
Beaucoup de ces nouveaux arrivants que nous accueillions pourtant à bras ouverts, ne savaient ni n’avaient rien à faire des grandes causes libérales que nous soutenions tous. Ou pire, ils y étaient hostiles.
Beaucoup à gauche se mentent encore à eux-mêmes sur ce sujet. Georges Galloway, le plus à gauche des membres du parlement doit son siège à son soutien des musulmans conservateurs. Pourtant il a voté en faveur du mariage pour les personnes de même sexe. Il serait intéressant d’assister à un seul des meetings ou M. Galloway échange avec ses électeurs.
Bien sûr, tous les partis politiques font des compromis, mais il y a une grande différence entre mettre de côté de légères différences de vue et ignorer totalement l’incompatibilité irrémédiable d’idéologies antinomiques.
Ce cynisme est au cœur de l’accord passé : les immigrés ont été utilisés par ceux qui voulaient transformer le pays. Ils ont pris ce qui les intéressait et ignoré ce qui les dérangeait.
Mr Galloway aime l’opposition des musulmans à la guerre en Irak et leur mépris pour le parti travailliste New Labor (Bonne chance à Galloway!). Mais il déteste leur vision moralisatrice de la sexualité.
La même chose est vraie pour bien d’autres communautés. L’une des caractéristiques les plus frappantes des immigrés des Caraïbes est leur foi chrétienne fervente et totalement assumée, et leur préférence pour une éducation disciplinée.
Pourtant l’arrivée de telles populations à Londres n’a jamais été utilisée pour dire que la société devait devenir plus chrétienne, ou que nos écoles devaient être plus disciplinées.
À cette époque, les révolutionnaires libéraux espéraient dire adieu à l’Église, et ils étaient occupés à faire disparaître la discipline des écoles publiques. Alors, personne n’a jamais proclamé « adaptons notre société aux exigences des nouveaux arrivants« . Ils avaient le mauvais genre d’exigences.
Au lieu de cela, les autorités on fait grand bruit du comportement d’une minorité de ces immigrés, souvent méprisés par leurs semblables Afro-Caribéens — des hommes qui consommaient et vendaient de la drogue et qui n’avaient pas l’intention de respecter les lois du Royaume-Uni.
Si le maintien nécessaire de l’ordre dans ces populations pouvait être qualifié de « raciste », alors les législations antidrogue elles-mêmes pouvaient être affaiblies et la police placée sous le contrôle des révolutionnaires libéraux.
C’est ainsi que les « émeutes de Brixton » d’avril 1981 ont pu être utilisées comme levier pour affaiblir la police et saper les lois antidrogue, plutôt que pour encourager à plus de rigueur dans le maintien de l’ordre et de la paix civile dans cette partie de Londres.
Quelque chose de très similaire est arrivé avec le rapport Macpherson sur le meurtre de Stefen Lawrence. Peu ont remarqué que le rapport encourageait ouvertement au traitement différencié des populations en fonction de leur origine ethnique par les forces de police — dénigrant carrément un maintien de l’ordre jusque-là « daltonien ».
De qui était-ce l’intérêt? Et cette attitude n’était-elle pas discriminatoire? Mais peu importe puisque tout cela servait les projets des révolutionnaires libéraux qui voulaient purger la police de ses éléments les plus old-school et conservateurs.
Les mêmes forces ont détruit Ray Honeyford, le directeur d’un collège de Bradford qui — bien avant que ce soit la tendance — a tenté de s’élever contre le politiquement correct qui régnait dans les écoles. Il a été viré et bien évidemment qualifié de raciste.
Pourtant, il aurait été très bénéfique pour l’intégration des immigrés de Bradford et leur égalité réelle avec les autres citoyens du pays que ses avertissements soient entendus.
En l’état actuel des choses n’importe qui peut constater que les citoyens musulmans de Bradford et les non-musulmans vivent séparément et isolément, presque sans contacts. Une grande part de la communauté musulmane est en profond décalage avec l’Angleterre moderne.
Encore une fois, les révolutionnaires libéraux ont formé une alliance cynique pour détruire l’opposition conservatrice.
Leur plus grand allié a toujours été le politicien conservateur Enoch Powell qui a défini en 1968 le débat sur le sujet de l’immigration par un discours aussi cynique que stupide, ramassis de propos alarmistes ponctué d’invectives et de rumeurs sulfureuses.
Grâce à lui, et à sa tentative délibérée de susciter la haine raciale, les révolutionnaires libéraux ont eu beau-jeu ensuite, d’accuser tout opposant d’être un sympathisant des thèses de Powell.
De manière absurde, même lorsque les frontières du pays ont été démolies par le gouvernement Blair et que des centaines de milliers d’Européens à la peau blanche sont venus s’installer pour travailler, il était possible d’étouffer toute protestation sous les accusations de racisme.
Il n’aurait pas pu être plus évident que la question de la « race » n’était pas le problème. Ce qui différenciait ces nouveaux résidents était la culture — le langage, les coutumes, l’attitude, le sens de l’humour.
Plutôt que de s’adapter à nos us et coutumes, nous nous adaptions aux leurs. Ceci n’était pas de l’intégration c’était une révolution.
Pourtant, personne — surtout pas leurs représentants élus — ne les aurait écoutés, parce qu’ils auraient été accusés de se faire les disciples de Powell, motivés par une haine irraisonnée.
Je pense maintenant que la haine irraisonnée vient presque entièrement de la gauche libérale. Bien sûr, il y a toujours des gens pour entretenir les préjugés raciaux les plus stupides, mais la plupart des gens inquiets des conséquences de l’immigration sont innocents de cela.
Cette intolérance sauvage vient d’une élite pomponnée, honteuse de son propre pays, qui méprise le patriotisme des autres et n’en ressent aucun par elle même. Elle appelle de ses vœux une horrible utopie sans frontières ou tout amour de la terre s’est évanoui, ou les nounous sont bon marché et les salaires des autres sont bas.
Quelle pitié qu’il ne semble exister aucun moyen de faire perdre à ces gens leur puissance et leurs postes influents, car en vérité s’il reste le moindre espoir d’harmonie sur cette île, il ne peut venir que d’un grand effort pour nous rassembler tous, ensemble à nouveau, dans un amour partagé pour notre île, le plus beau morceau de terre aimé de Dieu.
Article source : Daily Mail
http://www.dailymail.co.uk/news/article-2301743/How-invasion-immigrants-corner-England-mockery-PMs-promise-close-door.html#ixzz2P6hVAMwL
Après çà, il a du s’inscrire à EDL.
Cette prise conscience est salutaire certes, mais que de dégâts commis avant!! Enfin mieux vaut tard que jamais. Et maintenant, j’espère qu’il comprend qu’i y a du pain sur la planche…
Islam is a disease…