Les instances officielles persistent dans le déni
L’affreux attentat de Londres commis par des musulmans nigérians relance la question hypersensible de l’immigration en général et de l’accueil des réfugiés en particulier. Alors que les agressions islamistes anti-occidentales et/ou anti-chrétiennes se déplacent de plus en plus sur le continent européen, les instances officielles civiles et religieuses persistent à se positionner dans le déni. Si la libre circulation des personnes et des biens est admise – dans les démocraties occidentales, mais en revanche assez peu ailleurs – une problématique lourde s’est imposée à nous depuis trente ou quarante ans.
Car il est clair que, de plus en plus, la coexistence entre groupes humains de cultures et de religions différentes pose des problèmes dans la vie quotidienne de nos pays démocratiques historiquement issus de la tradition judéo-chrétienne. Chaque jour apporte son lot aggravé de faits divers préoccupants en France, en Grande Bretagne, en Allemagne, aux Pays Bas, dans les pays scandinaves, en Italie, en Espagne. Attentats, petite et grande délinquance, réseaux étrangers mafieux, agressions, zones de non droit en extension, revendications envahissantes, nul ne peut plus nier que ces phénomènes ont un lien direct ou indirect avec ce que recouvre l’immigration.
Concernant la question sensible des demandeurs d’asile et des immigrés légaux ou illégaux – évidemment sujette à récupérations politiciennes diverses – le fait est que ce sujet controversé ne peut plus être abordé sous le seul angle politiquement correct des « droits de l’homme ».
Certes, les consciences humanistes sont interpellées à juste titre par les recommandations des instances internationales qui reconnaissent la détresse des réfugiés, lorsqu’ils sont chassés de leur pays par la guerre civile, les violences ou la discrimination. En 2012, ce sont les chrétiens qui ont été le plus persécutés et maltraités dans le monde. Pensons entre autres aux chrétiens persécutés en Irak, en Egypte, au Pakistan, en Afghanistan et ailleurs.
Les obligations éthiques d’accueil dans des pays disposant de ressources vont de soi, dans ces cas dramatiques. Mais lorsque certains discours, (logique de gauche ou angélisme ecclésiastique) tendent à globaliser par avance les problématiques migratoires dans un registre victimaire et compassionnel, à écarter d’emblée tout discernement des situations, et donc toute maîtrise des flux incessants, il y a de quoi s’interroger. Sous le vocable de réfugiés et d’immigrés se cachent des réalités bien différentes.
En effet, année après année, des personnes ou des familles arrivent en masse dans les pays d’Europe. Il devient urgemment impératif de ne plus offrir systématiquement cet accueil sans analyse. S’il est vrai qu’une proportion significative d’individus et de groupes fuient des conjonctures de misère, de guerre, de persécution, d’autres – les plus nombreux – viennent simplement tenter leur chance dans des économies plus généreuses où les aides sociales sont – encore pour un temps – automatiques et généreuses. D’autres ont ouvertement la prétention d’islamiser les territoires occidentaux appartenant selon la logique antagoniste du coran au Dar al harb (domaine de la guerre).
Car depuis environ une quarantaine d’années, des millions d’individus venant majoritairement de pays musulmans ont migré et se sont installés dans les cités des nations européennes de civilisation judéo-chrétienne. Un tel transfert de peuplement allogène en si peu de temps ne s’était jamais produit auparavant sur le vieux continent. Les conséquences de ces colonies massives de peuplement en période de dénatalité occidentale n’ont pas su être prises en considération par les dirigeants auxquels les citoyens ont confié la défense de leurs personnes et de leurs biens. Il apparaît par ailleurs que nos pays occidentaux – en temps de crise et de resserrement des budgets – n’ont pas les moyens d’accueillir « toute la misère du tiers-monde » selon la célèbre formule rocardienne.
Ne faudrait-t-il pas plutôt augmenter significativement les aides européennes, avec contrôle sur place, dans les pays qui cherchent réellement à se doter de structures productives pour assurer un avenir décent à leur jeunesse? Ne faut-il pas multiplier d’urgence les expériences de commerce équitable, afin de donner de nouvelles opportunités aux paysans des pays pauvres et d’en consolider le développement durable? Des partenariats de solidarité efficaces nord-sud ne devraient-ils pas remplacer ces déplacements de populations qui déstabilisent les sociétés occidentales ?
Il s’agit par conséquent de préciser quels paramètres humains, économiques et culturels on doit aujourd’hui sélectionner pour répondre au défi éthique de « l’accueil de l’étranger ». On se doit d’apporter des réponses adéquates en prise avec la réalité et dont le coût économique soit soutenable pour les contributeurs des pays d’accueil concernés.
Assez fréquemment, surtout au moment des votations, les Eglises répercutent avec plus ou moins de pertinence les directives que l’Ecriture sainte nous adresse en ce qui concerne « l’accueil de l’étranger ». On fait appel à de grands principes, mais dans un langage souvent en déconnection avec les réalités concrètes du terrain. Or, si l’on regarde à la manière d’un slogan idéologique et affectif ce que recommande la Tradition judéo-chrétienne en matière d’accueil de l’étranger, le risque est grand de perdre de vue les critères appropriés à l’actualité et à ses enjeux. Car la maîtrise des flux d’immigration est un devoir pour des pays qui se veulent souverains.
Les textes bibliques sont une ressource incomparable pour nous éclairer, certes, mais on doit aussi les contextualiser ! Hospitalité, accueil, solidarité, les hommes et les femmes de la Bible savent de quoi ils parlent. Dans un tout autre environnement que celui de nos nations modernes, ils ont migré il y a quatre mille ans du Croissant fertile vers les terres de Canaan. Ces régions d’Orient ont longtemps connu toutes sortes de mouvements de peuples dans de grands espaces où sédentarité et itinérance ne correspondaient pas à ce qu’il en est aujourd’hui dans le cadre moderne d’états-nations référencés par l’ONU et marqués par des cultures religieuses ou politiques particulières.
Dans l’histoire d’Israël, on sait qu’à certaines périodes de vaches maigres, des tribus sont parties travailler en Egypte. L’épisode fondateur de l’Exode est issu de cette situation d’un peuple aux prises avec les conditions de vie du pays d’accueil devenues insupportables et captatrices de son avenir.
Avec compassion, rapporte l’Ecriture, le Dieu d’Abraham et de Moïse a pris parti pour les Hébreux devenus esclaves, et il les a aidés, non pas à s’assimiler en devenant comme des Egyptiens, mais à conquérir leur propre destin en regagnant librement leur terre, une terre de promesses, dont ils prendraient en mains le développement sur des bases éthiques.
A partir d’un pacte, Dieu encourageait ce peuple à s’approprier son histoire et à préserver son identité spirituelle dans son espace civilisationnel. Ce qui a été encore confirmé lors du retour d’exil de Babylone vers Jérusalem et la reconstruction du Temple.
Dans la foi biblique, l’être humain est « image de Dieu », par conséquent le respect de la dignité humaine est à la base même de la charte de l’alliance. On saisit pourquoi la qualité d’accueil de l’immigré en terre d’Israël est si fortement soulignée dans les Ecritures:
« Tu ne maltraiteras pas l’étranger, et tu ne l’opprimeras pas, car vous avez vous-mêmes été étrangers au pays d’Egypte ». (Ex 22/21)
Et encore :
« Cet étranger qui vit chez vous, vous le traiterez comme un natif du pays, comme l’un de vous. Tu l’aimeras comme toi-même ». (Lv 19/33)
Faut-il préciser, pour éclairer les débats d’aujourd’hui, qu’un étranger était accueilli et respecté dans le cadre obligatoire d’une réciprocité qui fait défaut de nos jours. On lit en Ex 12/49 : « La même loi existera pour l’indigène et pour l’étranger en séjour au milieu de vous ! »
C’est avec cet éclairage volontariste qu’il faut comprendre l’appel d’ouverture lancé par Jésus à ses disciples : « J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ! » (Mt 25/35)
Si tout étranger s’attendait à être traité dignement, il devait en retour respecter les lois et coutumes d’Israël, pays d’accueil, c’est-à-dire renoncer à imposer à ses hôtes ses propres coutumes. Les prophètes étaient certainement les premiers à dénoncer l’égoïsme des fils d’Israël quand il le fallait, mais ils refusaient aussi vigoureusement l’importation de coutumes allogènes dangereuses pour la cohésion spirituelle des habitants légitimes du pays.
Les multiples croyances issues du paganisme étaient en effet incompatibles avec les valeurs de la Tradition biblique, où sagesse et prophétie excluent que soient idolâtrés le pouvoir, l’argent, le sexe. Ainsi furent interdites toutes formes de magie et superstition, néfastes pour l’être humain, seul le Dieu des pères étant le garant de la justice et de l’harmonie sociale. Même si des règles de vie en commun instauraient des limites préventives, l’hospitalité envers l’hôte de passage prévalait et il n’y eu pas de xénophobie dans la tradition d’Israël. Pensons aux épisodes de Naaman le Syrien ou d’Elie chez la veuve de Sarepta.
On le constate, le recours à l’asile existe déjà dans la Bible : Moïse l’a institué en établissant six cités-refuge afin de permettre par exemple à un homme poursuivi pour un crime involontaire d’échapper aux châtiments expéditifs. Il parlait par expérience! Le livre d’Isaïe nous donne également une belle illustration de ce droit, lorsqu’il est question d’accueillir les rescapés des massacres du royaume voisin de Moab. (Is 16/3)
Très tôt, l’Eglise chrétienne a confirmé et recadré ce recours biblique à l’asile dans son droit canonique et le code de Théodose en garantit les modalités, même si à partir du Concile de Tolède (7ème siècle) des restrictions y sont apportées pour lutter contre certains abus.
Concernant l’accueil des étrangers, migrants et réfugiés, au 21ème siècle, l’enseignement de l’Eglise offre un éclairage équilibré. Contrairement à certains discours politiciens et démagogiques, le Magistère manifeste le souci de faire coexister les droits et les devoirs, afin d’éviter les dérives à sens unique.
Relisons à ce sujet le § 2241 du catéchisme de l’Eglise catholique :
« Les nations les mieux pourvues sont tenues d’accueillir autant que faire se peut l’étranger en quête de la sécurité et des ressources vitales qu’il ne peut trouver dans son pays d’origine.
Mais n’oublions pas les lignes qui suivent :
Les autorités politiques peuvent, en vue du bien commun, subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’adoption.
L’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil, d’obéir à ses lois et de contribuer à ses charges. »
La prééminence gauchie, dans ce qui subsiste de nos états-providence, d’une prétention idéologiquement « multiculturelle » prédisposée à tout accepter, suscite de graves questions pour l’avenir. Car si l’identité culturelle et spirituelle du pays d’accueil s’efface peu à peu au profit d’un relativisme flou à géométrie variable avec un déferlement de coutumes ingérables, l’idée même d’intégration des étrangers perd tout sens. S’intégrer à quoi lorsque les références ancestrales ont été diluées par des apports extérieurs?
Elles sont nombreuses les banlieues de France, d’Angleterre, d’Allemagne, d’Italie où ce sont les autochtones qui doivent maintenant se faire « intégrer » par les nouveaux habitants venus d’ailleurs et occupant tout le terrain sans ménagement. Des autochtones qui doivent – chez eux – se faire accepter par des étrangers ayant imposé leur loi et leurs coutumes et abusant de revendications sans limites…
Autant il est intolérable que soient méprisées par préjugé les personnes appartenant à d’autres cultures, autant il est inacceptable que les autochtones soient continuellement culpabilisés et pressurés. Les moyens d’expression démocratiques sont là pour que le peuple formule ses exigences aux dirigeants qu’il a portés au pouvoir.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez pour www.Dreuz.info
Alain Escolan liked this on Facebook.
Damien Courouble liked this on Facebook.
Moshé-Ariel Sébag liked this on Facebook.
Patrice Barreau liked this on Facebook.
Chantal Attia liked this on Facebook.
Estelle Barrière-Palermo liked this on Facebook.
Danielle Gourevitch liked this on Facebook.
” pas les moyens d’accueillir « toute la misère du tiers-monde » ”
—————————–
Vu les faits depuis 40n ans, je dirais que la formule exacte est : l’Europe n’a pas pour obligation de subir toute la misère de l’islam,
Qu’ils viennent du pakistan, indonésie, bengladesh, niger, nigeria, kenya, maroc, algérie, tunisie, égypte, iran, irak, etc…,les réfugiés posent problème lorsqu’ils sont musulmans, les autres religions ( je dirasont plus faciles à intégrer en Europe.
oui toutes les autres religions sont faciles à intégrer puisqu’elles sont d’accord pour “vivre ensemble”
seul l’islam ne le veut pas, ils ont le devoir religieux de dominer le monde
Cette vision du monde est illustrée par l’extrait suivant de l’ouvrage «Le djihad dans l’islam» d’Abou Ala Maududi, le fondateur du Jamaat-e-Islami au Pakistan:
«L’islam n’est pas une religion ordinaire comme les autres religions dans le monde, et les pays musulmans ne sont pas comme les autres nations. Les nations musulmanes sont très spéciales car elles ont reçu d’Allan l’ordre de gouverner le monde entier et d’être supérieures à toutes les nations du monde. L’islam est une foi révolutionnaire qui vient détruire tous les gouvernements des hommes. L’islam ne se soucie pas qu’une nation soit en meilleur état qu’une autre, l’islam ne se préoccupe pas de savoir à qui appartient une terre. Le but de l’islam est de dominer le monde entier et de soumettre l’ensemble de l’humanité à Allah. L’islam combattra et détruira toute nation ou puissance dans le monde qui tentera d’entraver cet objectif. Pour atteindre son objectif, l’islam peut utiliser tous les moyens disponibles pour apporter la révolution dans le monde entier. C’est le djihad.»
C’est du blabla de gauchiste !
Ben oui on accueille tout le monde et on se fait bouffer.
Les Hebreux qui sont parti en Egypte sont vites devenus des escalves et devaient effectuer des travaux penibles. ils etaient maltraites et tues sans etat d’ame ! Ce n’est pas le cas des immigres accueillis dans les pays occidentaux ou ici en Israel. Il n’y a aucune comapraison a faire ! Eux ils sont complemetements assistes et profitent de tous les avantages sociaux et meme bien plus que les citoyens eux-memes.
Mais le plus grave c’est que les musulmans veulent imposer la charia en occident et envahir le monde avec leur religion ! Nous en voyons les signes tous les jours et les agressistions ant-blancs se piursuivent et s’intensifient tous les jours dans l’indifference totale des gouvernements qui occultent le danger !
” Car si l’identité culturelle et spirituelle du pays d’accueil s’efface peu à peu ”
———–
L’identité européenne n’existe plus, en cas de doute, relire le traité UE où la référence à la chrétienté a été refusée à la demande de la France ( de Chirac), de quoi tordre le cou au discours tendant à accuser la gauche de tous les maux…
Combien de fois faudra-t-il démontrer qu’eurabia est le fruit de la gauche et de la droite depuis 1945 ? —-> La question est : pourquoi la droite européenne veut eurabia et prétend le contraire ? comment régler un problème si on ignore les causes réelles ? Pour arrêter eurabia, il faudra identifier les vrais responsables (logique élémentaire)
Cher Alexandre, une fois de plus c est bien de repeter ce que tu dis ici, mais d une part, tu preches des convaincus, d autre part, ceux qui persistent a favoriser l invasion de l Europe, ne le font pas par ignorance. Ils font cela volontairement, expres pour accelerer le remplacement de population. Le temps n est plus aux explications. Le temps est a la confrontation brutale contre TOUS les collabos qui donnent l Europe aux dechets nazislamistes. Tant que quelques tonnes de vermines collabos n auront pas ete detruites, il n y aura pas le moindre espoir d avenir pour l occident.
Michele Boisset liked this on Facebook.
Philippe Djanoumoff liked this on Facebook.
J’ai trouvéé le discours de camerone offensant
1. pour les souchiens car il occulte le probleme
2. pour les muzes puisqu’il implique que cette pantoufle connait l’islam et que l’islam n’incite pas a la violence….
Merci Monsieur l’Abbé pour ce texte et vos propositions:
“Ne faudrait-t-il pas plutôt augmenter significativement les aides européennes, avec contrôle sur place, dans les pays qui cherchent réellement à se doter de structures productives pour assurer un avenir décent à leur jeunesse? Ne faut-il pas multiplier d’urgence les expériences de commerce équitable, afin de donner de nouvelles opportunités aux paysans des pays pauvres et d’en consolider le développement durable? Des partenariats de solidarité efficaces nord-sud ne devraient-ils pas remplacer ces déplacements de populations qui déstabilisent les sociétés occidentales ?”
J’en ajouterais une:
Pour être accepté comme réfugié politique: il faut être démocrate et avoir défendu les principes démocratiques dans cette terre qu’il quitte! Tous ceux qui sont réfugiés politiques parce qu’islamistes et en tant que tels poursuivis par leur pouvoir local, ceux-là, nous ne pouvons les accepter.
Le texte est bien de l’abbé Arbez, et non as d’Alexandre del Valle, comme indiqué initialement ?
Ben oui ! Il était signé Del Valle ? Bizarre…
J’ai peut-être abusé du chablis, mais il m’avait avoir semblé lire “del Valle en haut”, mais “copyright Arbez”.
Aider et accueillir l’étranger ? D’accord, mais pas au point de se suicider en laissant déferler des millions de gens hostiles qui lorsque l’opportunité se présentera se feront un plaisir de nous éliminer.
Il y a aussi cette affirmation naïve et récurrente, qui est totalement fausse, à mon avis, qui laisserait penser que les responsables politiques sont laxistes, qu’ils n’ont pas pris la mesure du problème de l’immigration, etc… Alors là, non et non, ce chaos est sciemment créé pour éliminer les peuples Européens et nos gouvernants sont les seuls responsables.
“Ne faudrait-t-il pas plutôt augmenter significativement les aides européennes, avec contrôle sur place, dans les pays qui cherchent réellement à se doter de structures productives pour assurer un avenir décent à leur jeunesse”
la plupart des immigrants ont sur leurs terres natal des richesses incroyables notament le pétroles et le gaz c’est pas de notre faute si leurs peuples ne voient pas cette argent et que leurs dirigeants musulmans préferent acheter des toilletes en or plutot que de construire des écoles pour leurs jeunes. Après l’Europe peut très bien imposer des quotats d’immigrer et prendre que les plus qualifier comme le font tous les pays du monde
ALLAH BABAR
Il existe des judéo-chrétien très qualifier, pas besoin d’aller les chercher chez ces nazes de muzz.
“Chacun chez soi et D. pour tous” et nous aurons enfin la paix quitte à aider les sous-développés congénitaux chez eux !
La culpabilisation de l”Europe et de la France est due en immense partie au comportement suicidaire de l’Eglise…
Les gauchistes à côté font pâle figure !
Or, sans le moteur religieux, explicite ou implicite, notre civilisation est perdue !
Va t-il falloir relire l’Evangile à la lumière du présent ou envoyer les curés en camp de rééducation ?…
Sans une rechristianisation de l’Europe face à la vague islamique qui submerge nos villes, la bataille sera perdue.
Le christianisme est en effet à la fois le fondateur de notre civilisation mais aussi son bouclier par le nombre de ses fidèles, pratiquants ou simplement de culture chrétienne.
Excellent texte, Père Arbez. Excellent parce que lucide à la lumière des Evangiles. Quant à la logique de gauche et à l’angélisme ecclésiastique, lequel est au service l’autre? En tout cas, la bêtise, pour ne pas dire une certaine naïveté suicidaire, est au coeur de ces deux oxymores: la “logique de gauche”? Comme si la gauche pouvait être logique. Quant à l’angélisme ecclésiastique, ce n’est pas ce que j’attends de l’Eglise. Et bien des Croyants seront d’accord avec moi. Etre juste et privélégier l’accueil ne signifient pas être un pignouf. En Wallonie, on dit ceci: “il faut être bon, mais pas bonasse”, ce dernier mot rimant bien avec vous savez quoi.
Trop tard,le vers est dans le fruit….
Mais oui Mr L’Abbé. Mais c’est tellement impolitiquement correct de dire cela. De toutes les façons, les affrontements arrivent et seront même précipités par la faillite économique qui n’est plus très loin… Tant que la France faisait taire les dissensions à grands coups d’allocs, d’aides et qu’il y avait suffisamment pour tout le monde, on avait une relative paix sociale mais, comme le dit très prosaïquement mon père, “quand il n’y a plus d’avoine à l’écurie, les chevaux se battent”.
Très cher Abbé,
J’aime toujours autant vous lire vous parlez tellement vrai.
Je ne suis pas particulièrement intelligente. Je ne suis pas, non plus, pratiquante, ce ne sont donc ni la politique ni la religion qui me poussent à répondre à vos questions fort justement posées.
A cette première :
« Ne faudrait-t-il pas plutôt augmenter significativement les aides européennes, avec contrôle sur place, dans les pays qui cherchent réellement à se doter de structures productives pour assurer un avenir décent à leur jeunesse ? »
Comment pourrions-nous (je parle pour les Français) augmenter, encore, notre aide à ces pays, plus qu’elle ne l’est déjà ? Vous le savez. Ces pays arabes et arabo-africains, jadis occupés par la France, bénéficient, déjà, de l’immense largesse française – largesses prélevées uniquement sur les revenus des travailleurs français sous forme d’impôts directs ou indirects mais jamais sur les fortunes personnelles des VGE, Chirac, Sarkozy ou autre Hollande.
Depuis l’avènement de cette diabolique union européenne, catastrophique pour nos peuples judéo-chrétiens, les obligations pour chaque Etat, de verser des subventions à ces pays dits “en détresse”, n’a plus de limites. Ainsi, alors que notre gouvernement votait pour augmenter – ou inventer – une nième taxe, ne donnait-il pas quelques millions d’euros (ou milliards, je ne sais plus compter !) à la Palestine ?
Chaque pays européen ayant, peu ou prou, eu une « collaboration » passée avec ces pays du tiers-monde (Angleterre>Inde>Moyen-Orient, France>Afrique>Moyen-Orient, Belgique>Afrique, Allemagne>Turquie, Espagne>Maroc, etc…), nous voilà dans l’obligation de déshabiller Pierre pour habiller Hamed. Comme nous sommes déjà presque nus, que nous reste-t-il à leur offrir, dites-moi ?
Quant à contrôler sur place, vous savez bien que les européens n’arrivent même plus à contrôler ce qui se passe chez eux, comment voulez-vous qu’ils contrôlent dans ces pays-là où règnent dictature et corruption ?
Vous dites, encore :
« Ne faut-il pas multiplier d’urgence les expériences de commerce équitable, afin de donner de nouvelles opportunités aux paysans des pays pauvres et d’en consolider le développement durable ? »
Le commerce équitable vaut pour les peuples travailleurs, volontaires. La paresse des africains et des orientaux est légendaire. Que voulez-vous échanger, par exemple, en Algérie, quand « les riches cultures des colons-exploiteurs » ont été abandonnées dès leur départ et que, les céréales, le vin, les orangeraies n’existent plus ? S’ils avaient voulu travailler la terre, comme nos ancêtres l’ont fait, ils ne seraient pas obligés d’importer TOUT, sauf le gaz ! Même leur ministre de l’agriculture a encouragé les jeunes à repartir travailler dans les campagnes avec des aides de l’Etat. Croyez-vous qu’il ait été entendu ? Non. Ils sont bien trop paresseux pour travailler. Habitués à tout obtenir sans effort, ils consentent émigrer, sachant qu’ils obtiendront encore tout chez nous, sans avoir à le gagner. Ce n’est pas leur mentalité qu’il faut changer, c’est la nôtre ! Arrêtons de les alimenter, qu’ils gagnent leur croûte aussi.
En ce qui concerne
« Des partenariats de solidarité efficaces nord-sud ne devraient-ils pas remplacer ces déplacements de populations qui déstabilisent les sociétés occidentales ? »
Certes, ces partenariats existent. Mais qu’en est-il exactement ? Ils sont inefficaces parce que seuls les chefs d’entreprises européens ou autres et les gouvernements de ces Etats s’emplissent les poches. Les peuples eux, sont aussi démunis avec ou sans partenariats.
Pour finir, vous préconisez :
« Il s’agit par conséquent de préciser quels paramètres humains, économiques et culturels on doit aujourd’hui sélectionner pour répondre au défi éthique de ‘l’accueil de l’étranger’ ».
Cette phrase s’adresse aux gouvernements européens, n’est-ce pas ?
Parce que, seuls, eux ont ce pouvoir. Seuls ! Notre avis ne compte pas (je parle pour la France). Ils devraient donc déterminer quelles sont les conditions exhaustives, pour accueillir – au cas par cas – les candidats à l’immigration. Discrimination, répondront-ils.
Pensez-vous qu’un jour ils se résoudront à faire ce choix ? Je ne le crois pas. Il y a tant d’intérêts en jeu qu’ils continueront de mettre dans la balance de leurs intérêts (money) ce qui pèsera plus lourd pour eux.
Qu’importent les petits quand les maîtres se partagent le monde ?
Néanmoins, j’ai adoré votre analyse. Venant d’un représentant de l’Eglise elle ne fait que conforter notre pensée, notre souhait, une part de rêve inaccessible.
Toujours un plaisir de vous lire mr l’Abbé
La persistance dans le déni va virer au cauchemar, les européens à des degrés divers sont saturés d’une immigration massive, agressive, exigeante envers laquelle les états se montrent plus généreux qu’avec ses propres ressortissants. Ces gens, chez eux comme chez nous, font des enfants sans mème se préoccuper si ils vont pouvoir les nourrir, alors chez nous bien sur c’est solutionné, à nos frais, bien sur et là-bas on se bat quand on a 10 enfants il y en a 6 pour Dieu qui n’en demande pas tant et 4 pour eux !!! et voilà.
Ils ont demandé leur indépendance une fois les pays modernisés, mais voilà!! pour entretenir tout çà il faut travailler et savoir diriger?? et là plus grand monde!! au lieu de produire on importe et puis on émigre c’est plus facile mais on exige, on impose, on s’impose et c’est devenu insupportable, nos dirigeants font semblant de ne rien voir. d’ignorer, mais ça ne peu durer qu’un temps, la charité, la compassion,on les a appliquées mais il y a des limites et puis charité bien ordonnée commence par soi-mème et là c’est loin d’ètre le cas, on se fait manger la laine sur le dos ça ne peut pas durer les uns travaillent et les autres en profitent avec la complicité des états qui trahissent leur populations d’origine au profits d’étrangers sans scrupules qui n’ont qu’une idée prendre notre place et transformer les 2500 ans de notre culture judéo chrétienne en néant, en obscurantisme, en désert dans tous les domaines plus rien que du vide, plus d’intelligence, plus d’art …etc
et c’est pas possible…
Il faut les mettre chez les particuliers, qui ont décidé de les accepter.
Si chaque fois que l’un d’eux pleure pour plus d’étrangers ; quand il rentre de la TV il trouve un groupe dans sa maison ou son appart.
Ainsi ils seront vite guéris.
Accepter plus mais surtout pas chez eux, pas dans leur quartier, pour ne pas tuer le prix du m2.
On se souvient des discours de Ségolène : “Il ne faut pas de refermer, il faut s’ouvrir à l’autre…blablabla;……blablabla…..blablabla…”
Possédant à Mougins une des Maison dans une zone la plus surveillée de France…
le gouvernement laisse rentre en France ces musulman nazillon pour crée le désordre pour occupe no esprits diviser pour mieux régné
pendant ce temps il se remplisse les poche
il passe leur temps a ce critique parti contre parti li faut ferme les frontière et faire le trie des personne qui rentre en France
et renvoyé les mollards qui prêche la terreur la haine et la destruction de no valeur il faut les combattre tout ces prêcheur extérieur gentil intérieure haineux et raciste contre les chrétien les juive le bouddhisme il veule dominée le monde il faut leur coupe les aille
quand on pense que Thierry Breton patron d’Atos et ex ministre de l’économie préconise d’ouvrir les vannes de l’immigration à 450 000 par an! d’ailleurs j’aimerai bien connaître les vrais chiffres et qui décide en Europe de la politique d’immigration.
Marine Le Pen, sort de ce corps !
Un certains nombre d’immigrés, pourquoi pas; ce serait le moment de recevoir quelques chrétiens coptes ou syriens qui sont menacés dans leur pays et fermer l’accès aux musulmans ; ceux-ci ne se gênent pas de nous dire que le monde doit être islamisé et qu’il y aura un seul gouvernant, le Califat !
Mais les occidentaux croient que l’Islam ,la religion d’amour et de paix ne se distingue pas des autres.
Le grand tort de la civilisation européenne est d’être encore très marquée par le christianisme qui l’a construite.
Il est donc devenu politiquement correct de n’en rien garder quand les occasions se présentent.
Les origines chrétiennes de l’Europe niées par nos dirigeants en sont la preuve.
Les massacres des chrétiens à travers le monde ne font pas la une des journaux ni des déclarations de nos gouvernants européens. On n’ira pas au Mali pour cela.
On ne peut que s’en désespérer, mais nous sommes dans un cycle de fin de civilisation, puisqu’elle n’a ni morale ni règle, ni valeurs autres que le nombrilisme et sa jouissance personnelle.
Mais quelle est l’attitude des chrétiens? A part critiquer ou déplorer? Montrer du doigt… J’ai appris en regardant ma main que quand je montre du doigt, il y a un doigt qui fixe l’autre et quatre autres qui restent tournés vers moi.
SI nous nous disons juifs ou chrétiens, avons-nous une attitude réelle de juif ou chrétien ou seulement une culture? Si nous n’en avons que l’extérieur, il ne convainc pas l’autre car il est superficiel.
Je crois à la force de conviction associée à la force de la foi.
Les musulmans ont bien souvent plus de force de conviction et de foi que nous européens, ils jeûnent et il y a là aussi une force spirituelle que nous devons retrouver. Nos politiques comme nous-mêmes, comme moi-même, c’est ma prière!