Publié par Jean-Patrick Grumberg le 22 juin 2013
Nantes pour libérer Nicolas
Nantes pour libérer Nicolas

Je reçois de partout des appels à signer une pétition pour demander la libération de Nicolas, premier prisonnier indiscutablement politique, malgré les spécieux arguments de quelques journalistes drapés dans un costume légitimiste qui leur va très mal, les mêmes ayant toujours excusé, voire approuvé les casseurs syndicalistes CGT, islamistes du PSG, ou anti-OGM.

Non, Nicolas ne sera pas libéré. Le régime socialiste ne le veut pas.

L’URSS qui sert de modèle répressif au gouvernement socialiste pour enfermer des hommes et des femmes pour leurs opinions,(même type de prétextes légaux pour “justifier” l’incarcération, même mépris du peuple, même pavlovisme des élites inféodées), les relâchait-elle suite aux pressions ?

La Chine relâche-t-elle ses dissidents emprisonnés ?

Sous les pressions internationales peut-être, certainement pas celles de Nantes, pas celles d’un peuple qu’on doit précisément mettre au pas.

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Libérer Nicolas serait non seulement reconnaître que la France a glissé vers le totalitarisme, (et le maintenir en prison le sera tout autant), mais son maintien en prison permet au gouvernement de conserver sa posture autoritaire vis à vis des millions de manifestants qui ne lui ont pas inspiré la moindre envie de dialogue. Surtout, libérer Nicolas serait se priver de l’unique but de cette incarcération : servir d’exemple. Montrer à chacun ce qui l’en coûte de s’obstiner à vouloir utiliser sa liberté de parole et de protestation contre la gauche.

L’enjeu n’est pas ailleurs, et le nerf psychologique qui sous-tend les abus de droit, les arrestations abusives, le gazage de femmes et d’enfants, les atteintes aux libertés fondamentales, le mariage et l’adoption pour les homosexuels, la dictature de la théorie destructrice du genre, et le maquillage par les médias qui nient ou caricaturent, pour mieux le diaboliser, ce peuple méprisé car pas totalement soumis, n’est autre que l’expression de l’idéologie de la gauche, de la gauche socialiste et modérée, qui ne tolère au fond d’elle, aucune contestation de sa superbe supériorité.

Nicolas est enfermé car l’élite, la gauche, n’avale pas qu’on puisse lui contester le droit de penser et décider pour le petit peuple. Son intolérance est sans limite. Nicolas n’existe déjà plus, ils sont déjà ailleurs, plus loin dans la destruction, pardon, la construction d’un nouveau monde.

Ceux qui savent sonder l’âme perverse de la gauche n’ont pas besoin de l’incarcération soviétique de Nicolas. Certains qui ne savent pas auront peut-être un sursaut. Ceux qui ne veulent pas voir ne verront pas. 1 000 Nicolas ne les feront pas changer. 100 millions de mort du communisme n’ont pas su.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Si vous souhaitez signer une pétition (je l’ai signée, en sachant qu’elle servira à pas grand chose), c’est ici, et il y en a encore une autre ici, que j’ai également signée. Et il y en a d’autres.

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