Publié par Rosaly le 23 juin 2013

Boston Marathon Explo_Lieb

Nous avons été bombardés par un terroriste musulman

« Nous avons été bombardés par un terroriste musulman et nous devons commencer à en parler ouvertement, au lieu de continuer sur la voie du politiquement correct », déclare une victime de l’attentat de Boston, hospitalisée depuis des semaines et qui s’est déchainée contre la mère des jihadistes, la qualifiant d’ignoble pour ses diatribes pro-jihad et ses dénis.

Michelle l’Heureux, une consultante de 38 ans, a déclaré hier au Boston Herald qu’il était temps d’arrêter de se soumettre au politiquement correct, devenant ainsi l’une des premières victimes à s’opposer au discours de terreur de la famille tchétchène.

Si vous n’aimez pas notre pays, quittez le, c’est aussi simple que ça

« Je ressens de la haine à son égard. Je pense que cette personne est ignoble, déclare Michelle l’Heureux à la mère des terroristes, ajoutant « si vous n’aimez pas notre pays, quittez-le, c’est aussi simple que ça ».

Michelle a perdu une grande partie de son genou gauche dans l’explosion et 30% de l’acuité auditive de son oreille gauche. Son bras droit est criblé de cicatrices provoquées par les éclats d’obus et un morceau de métal se ballade encore à l’intérieur de sa jambe. Elle se trouvait à 2 mètres de la première explosion dans Boylston Street. Elle était venue voir son petit ami franchir la ligne d’arrivée.

Aucune autre religion demande à ses fidèles de tuer

« Venir au Marathon juste pour faire du mal à tous ces enfants, à tous ces gens… Je ne connais aucune autre religion qui demande à ses fidèles de tuer au nom de leur religion en leur promettant le paradis. C’est difficile à comprendre. » Malgré cela, Michelle a déclaré ressentir de la pitié pour le jeune jihadiste de 19 ans, Dzhokhar Tsarnaev.

« Je ne suis pas fâchée contre lui. C’est plus de la pitié… C’est un enfant. Vous ne naissez pas avec une telle haine. Vous êtes endoctriné à devenir haineux.”

“Je suis impatiente d’entendre ce qu’il a à dire, quelle était sa logique. Je peux deviner la réponse, mais je veux l’entendre de sa bouche. »

Michelle, qui progresse très lentement vers la guérison, quelques pas par jour, espère que cet attentat va permettre à la parole de se libérer.

Plus nous serons politiquement corrects, plus ils se sentiront encouragés à commettre des attentats

“Un terroriste musulman a fait exploser deux bombes pour nous tuer et les gens doivent commencer à en parler, au lieu de continuer à se soumettre au « politiquement correct ». Plus nous serons politiquement corrects, en essayant de ne pas heurter leurs sentiments, plus ils se sentiront encouragés à commettre de tels attentats. »

« Si je devais avoir des enfants un jour, je ne veux pas vivre dans l’angoisse qu’une horreur pareille puisse leur arriver. Nous sommes une société civile. Nous devrions pouvoir marcher tranquillement avec nos enfants dans la Boylston Street, sans craindre d’être tués par l’explosion d’une bombe. »

Michelle ajoute que son père a passé 30 ans de sa vie dans la Navy et à l’Armée, y compris pendant la guerre du Vietnam, et voilà que sa fille est blessée dans un attentat à la bombe à Boston ! Pour Michelle, il est temps que le gouvernement américain et la police travaillent ensemble.

« C’est très frustrant pour moi de constater que nos différents services ne communiquent pas entre eux » (Aucune des personnes affectées à la force opérationnelle antiterroriste conjointe avec le FBI n’était au courant que la police fédérale avait enquêté sur l’avertissement des Russes, que le FBI n’avait rien trouvé, et qu’il avait fermé le dossier.)

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« Il semblerait que ce drame aurait pu être évité. J’espère que nous en tirerons des leçons, afin d’éviter qu’à l’avenir d’autres personnes n’aient à souffrir comme je souffre. Je souhaite que personne ne soit jamais plus victime de cela, aucun de nous ne mérite de subir de telles blessures, d’endurer telles souffrances.”

Ce témoignage m’a inspiré quelques réflexions.

  • Michelle, la victime, n’éprouve pas de la haine envers son bourreau, juste de la pitié et elle essaye même de le justifier. Cette indulgence l’honore et la différencie du criminel.
  • Michelle ose parler de terroriste musulman alors qu’Obama, lors de sa première intervention, avait soigneusement évité de prononcer le terme terroriste. Obama a officiellement banni les termes jihad et terrorisme islamique depuis octobre 2011.
  • Les mosquées, interdites aux agents du FBI, échappent à la surveillance de Big Brother. Si le FBI avait pu enquêter sur les mosquées de Boston, il aurait détecté la radicalité de la mosquée, fréquentée par les tueurs musulmans et peut-être pu empêcher le massacre.
  • Le jihadiste lui, est fier de son crime, fier d’avoir provoqué la mort de quatre innocents et blessé des centaines de personnes, dont certaines resteront handicapées à vie. Il a agi pour défendre l’islam contre les attaques des mécréants américains.

Mais les deux frères ne sont pas les seuls responsables de ce massacre. Le politiquement correct imposé par Obama afin de ne pas stigmatiser les musulmans porte aussi une lourde responsabilité. La police de Boston et le FBI connaissaient le parcours des deux frères, mais ne voulaient pas heurter les sentiments des musulmans en les arrêtant avant qu’ils ne passent à l’acte : les fonctionnaires, supposés veiller à la sécurité des citoyens américains, reçoivent l’ordre de ne pas tenir compte de la religion des suspects, ni des signes précurseurs comme des voyages « touristiques » de certains nouveaux citoyens dans certains pays réputés, non pour la beauté de leur paysage, mais pour leur enseignement islamiste et leurs camp d’entraînement au jihad guerrier.

Plus important de préserver l’image de l’islam que la vie des citoyens

Si la police n’avait pas été privée de la connaissance de l’idéologie qui motive les terroristes, ce drame aurait sans doute pu être évité. Au centre du terrorisme islamiste, il y a l’islam, mais nos élites politiques et médiatiques refusent de l’admettre, car pour elles, il est plus important de préserver l’image de l’islam que la vie de leurs citoyens. Plus l’Occident imposera à ses peuples le respect de cette idéologie totalitaire, plus le terrorisme islamique se renforcera, car il s’en nourrira avec avidité.

Michelle se pose aussi la question de savoir quelle religion demande à ses fidèles de tuer des innocents pour gagner le paradis ?

Aucune. Seul l’islam encourage les actes meurtriers envers les « infidèles ». C’est d’ailleurs aussi la seule « religion » qui condamne à mort quiconque la quitte.

Les musulmans en Occident se plaisent à nous dire, lors de chaque attentat islamiste : « l’islam, ce n’est pas ça, l’islam interdit de tuer les innocents ». Au vu du nombre d’atrocités perpétrées de par le monde au cri féroce d’Allah akbar, comment encore les croire.

Les musulmans qui nous serinent ce refrain ne connaissent pas leur livre sacré, où ils le comprennent très mal, les autres dissimulent la vérité pour mieux nous enfumer.

La question est de savoir qui est considéré comme « innocent » dans l’islam. La réponse normale serait : n’importe quel être humain victime d’un attentat, sans distinction de race, de religion, de nationalité. Mais dans l’islam, la définition d’un « innocent » est tout autre.

Dans l’islam, est coupable celui qui ne croit pas en Allah, car ne pas croire est un plus grand crime que tuer un être humain.

Dès lors, être juif chrétien ou athée est plus grave pour Allah que de commettre un meurtre. Et celui qui se convertit à l’islam n’est plus « coupable », mais devient « innocent ».

Celui qui se soumet à l’islam est « innocent », celui qui refuse est « coupable » et mérite la mort.

Donc la vie d’un musulman est sacrée, celle d’un non musulman ne l’est pas, et peut dès lors lui être enlevée.

Ibn Kathir, (1301-1373) auteur arabo-musulman, commentateur très respecté du coran, explique qu’un musulman n’a pas le droit de tuer un autre musulman, sauf dans trois cas : l’adultère, le meurtre d’un autre musulman et l’apostasie. Le sang d’un non musulman ne doit pas non plus être versé s’il bénéficie d’une protection accordée par les musulmans. Si un mécréant n’est pas sous la protection d’un traité, il peut être tué, car son sang n’est pas protégé, il devient “halal” de le verser.

Un non croyant est coupable par définition

Pour Ibn Kathir, un non croyant n’est pas un innocent, il est coupable par définition. Celui qui refuse de se convertir et continue à pratiquer le « shirk » (polythéisme) n’est pas « innocent » et peut dès lors être combattu et tué. Dès qu’il se convertit à l’islam, il n’est plus coupable, ni incroyant, il devient un « innocent », et ne peut donc être tué sans raison valable.

Allah autorise également à tuer celui qui combat le musulman et l’islam. C’était la justification donnée par l’égorgeur du jeune soldat britannique.

L’islam n’est pas une « religion » mais une idéologie suprémaciste tyrannique, émaillée de versets appelant à tuer quiconque ne se soumet pas à sa dictature.

Interdire de critiquer le coran, interdire l’islamophobie, ce qui pourrait bien arriver tant la soumission des gouvernements occidentaux augmente, ne changera en rien sa nature, ne réduira pas le nombre d’attentats et de crimes aux cris d’Allahu Akbar.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

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