Publié par Jean-Patrick Grumberg le 6 juillet 2013

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Selon une information du Parisien, trois journalistes travaillant pour une émission de NRJ 12 ont été agressés aujourd’hui à Saint-Denis dans le 93.

Les journalistes ont été aspergés de gaz lacrymogènes par deux “jeunes” qui ont pris la fuite après avoir dérobé la caméra de l’équipe, rapporte le Parisien.

En fait, ces journalistes n’ont pas été aspergés de gaz lacrymogènes. Ils ont été aveuglés par leur refus de reconnaître l’existence de la violence qui a pour origine les populations issues de l’immigration.

Ainsi, lorsque Laurent Obertone publiait France Orange Mécanique pour relater la sauvagerie de ces populations hyper-violentes, l’ensemble des médias – on se souvient de l’hystérie d’un Aymeric Caron face à Obertone dans “On n’est pas couché” – levait le bouclier et hurlait au fasciste pour pouvoir nier la réalité exposée par le livre. Les trois cons de journalistes ont pris en pleine gueule la réalité qu’ils nient.

«Ce n’est, malheureusement, pas la première fois que des journalistes sont agressés en faisant leur travail en Seine-Saint-Denis», dénonce au Parisien Stéphane Pelliccia du syndicat de police CFDT-Interco 93. Selon lui, « il devient de plus en plus compliqué d’exercer cette profession dans certains quartiers de ce département.»

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Evidemment ce n’est pas la première fois, et cela ira de mal en pire. Car ni le syndicaliste, ni les journalistes ne diront que les deux “jeunes” sont des multirécidivistes, connus de la police, et que la justice les remet en liberté sans même les regarder : leur nom de famille est leur passe droit.

L’Institut pour la justice ne manque pas de ces exemples scandaleux que les trois journalistes feignent d’ignorer. Un au hasard :

Le 25 juin 2012 (La Provence du 26 juin), une jeune fille se promène place de l’Horloge à Avignon. Soudain, elle sent des bras puissants qui s’emparent d’elle. Un homme la plaque contre un mur et tente de la violer.

Heureusement, un passant alerte la police qui parvient à arrêter l’agresseur.

Il s’agit de Sélim A. Il a 18 ans et il a déjà été condamné 63 fois par la Justice, sans compter des centaines d’arrestations par les forces de l’ordre.

Alors trois journalistes agressés, je ne peux pas dire que je me réjouis, car je ne me réjouis jamais du malheur des autres, mais il semble qu’à cause de la coupable censure par les médias des responsables de ces violences, le hasard leur a présenté l’addition.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.leparisien.fr/faits-divers/saint-denis-trois-journalistes-agresses-pour-leur-camera-06-07-2013-2960541.php

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