Soixante cinq ans après sa renaissance, l’Etat d’Israël n’a toujours pas de frontières reconnues officiellement, Jérusalem, sa capitale historique lui est contestée, et la Judée et la Samarie, deux provinces à consonances hébraïques évidentes sont considérés comme des « territoires occupés » par …Israël ! Aurait-on oublié que le Royaume d’Israël existait bien avant l’apparition de la première église ou de la première mosquée sur cette terre, et que de multiples conquérants, tels que les Assyriens, les Perses, les Romains, les Croisés, les Arabes et les Turcs martyrisèrent et chassèrent les Juifs de leur royaume ?
Depuis quelques dizaines d’années, de très nombreux pays ont déclaré leur indépendance et choisi leur capitale. L’Algérie, la Tunisie, le Maroc et tous les jeunes pays africains ont-ils eu besoin d’une autorisation pour décider du lieu et du nom de leur capitale dans la langue de leur choix ? Ils ont fixé leurs frontières sans soulever de contestations ou de menaces incessantes des Nations.
Alor, pourquoi, Israël reste-t-il l’exception depuis son retour sur sa terre ?
Pourquoi continue-t-il à être exposé à la vindicte du monde ?
Pourquoi la Terre d’Israël devrait-elle être « la terre de deux Peuples » alors que de nombreux pays demeurent souverains malgré l’existence, en leur sein, de minorités ethniques ou religieuses ?
Pourquoi Israël est-il perçu uniquement comme un agresseur, un briseur de paix, alors que les Palestiniens sont présentés uniquement comme des victimes ?
Rome est universellement reconnue comme la ville sacrée des Chrétiens et la Mecque comme celle des Musulmans, pourquoi refuserait-on à Jérusalem, trois fois millénaires, d’être la ville sacrée des Juifs ?
Pourquoi le monde peine-t-il à reconnaitre la vérité, l’Etat d’Israël a ouvert les lieux de cultes de toutes les religions, contrairement aux ségrégations pratiquées par les nombreux conquérants qui se sont succédés sur notre terre ?
Au nom de quoi ou de qui, Israël serait-il interdit d’exprimer sa spécificité et sa souveraineté ?
S’agirait-il d’une forme nouvelle et perfide de spoliation des biens Juifs ?
L’histoire explique l’actualité, aussi, est-il venu le temps pour Israël, de dénoncer avec la plus grande vigueur l’imposture et la duplicité de certaines nations. Il faut leur rappeler la longue liste des civilisations et des peuples qui ont voulu s’approprier notre terre.
Au 19ème siècle, la France, l’Espagne, le Portugal, la Belgique, la Hollande, l’Allemagne et la Grande Bretagne ont colonisé des pays qui leur étaient étrangers, géographiquement, historiquement et culturellement. Israël n’est pas un pays colonisateur, il ne revendique que le territoire qu’il lui appartient.
Survol historique des multiples conquérants de la Terre d’Israël
- On invoque très souvent la notion d’antériorité pour justifier la thèse palestinienne. C’est pourtant la plus mauvaise des argumentations car, faut-il le rappeler aux amnésiques de l’Histoire, Jérusalem fut fondé il y 3 000 ans par le roi David et donc bien avant l’apparition des Palestiniens, cette entité toute récente.
- La Bible hébraïque relate l’achat de Jérusalem par le roi David, une enclave cananéenne qu’il avait pourtant gagné par la guerre. Après avoir avait régné sept ans à Hébron, David voulait que Jérusalem soit la capitale de tout le Peuple d’Israël, aussi demanda-t-il a toutes les Tribus d’Israël de participer financièrement, à hauteur de cinq sicles. Cet achat est un acte fondateur, hautement significatif, car à cet endroit se trouve la Pierre du Fondement du monde et le mont Moriah, le lieu de la ligature d’Isaac et de la lutte victorieuse de Jacob contre l’Ange d’Esaü. Le roi David entendait ainsi renouer avec la Création du monde et l’histoire des Patriarches hébreux. Il est remarquable de constater que la Bible hébraïque habituellement concise, relate avec détails les transactions commerciales pour l’achat de deux autres territoires : Hébron et Schrem, comme pour répondre à l’avance, aux contestations ultérieures sur l’appartenance à Israël de ces trois villes. Même si « la Bible n’est pas un cadastre » comme le disent certains de nos détracteurs, l’antériorité historique d’Israël est flagrante.
- Le roi Salomon construira le premier Temple sur le mont Moriah et fera de Jérusalem sa capitale. Hélas, après sa mort, un schisme se produit, entrainant la division du royaume en deux, le royaume d’Israël au nord et le royaume de Juda au sud.
- En 586 avant notre ère, Nabuchodonosor va conquérir Jérusalem, et détruire le Temple de Salomon. Il s’empare de ses richesses et exile les Juifs en Babylonie. L’exil, la spoliation des biens juifs et la colonisation de leur terre seront malheureusement, depuis cette époque, une constante dans l’Histoire.
- Mais au grand dam des Nations, l’histoire d’Israël ne s’arrêtera pas pour autant. Cyrus le Grand autorisera la reconstruction du Temple, mais une partie seulement des exilés de Babylone retournera de captivité, car certains Juifs qui se considéraient comme l’élite ont préféré rester en exil (Galout en hébreu), s’excluant ainsi de la saga de leur peuple. S’agirait-il d’un signe prémonitoire pour les Juifs qui encore aujourd’hui demeurent en exil et n’ont pas compris l’importance du retour, de la Géoula, de la délivrance ?
- Plus tard, ce sont les Romains qui déposséderont Israël de son territoire. Ils abolissent le Royaume de Judée en 135 et créent le nom de « Palestine ». Ce nom évoque les Philistins, ces envahisseurs étrangers venus par la mer et ennemis héréditaires des Hébreux. Jérusalem sera détruite par Titus, et l’Empereur Adrien débaptisera Jérusalem pour l’affubler du nom d’Aelia Capitolina, qui deviendra une ville interdite aux Juifs pendant deux siècles.
- Lorsque l’Empereur romain Constantin se converti au Christianisme, il choisi Constantinople pour capitale, et c’est grâce à la bienveillante influence de sa mère Hélène qu’il redonnera son nom à Jérusalem. Quant à l’impératrice Eudoxie, elle permettra aux Juifs de vivre à nouveau à Jérusalem en 438.
- En 611, c’est au tour de l’Empire Perse d’envahir la Palestine et de conquérir Jérusalem, qui sera reprise à nouveau par les Byzantins sous Héraclius.
- Avec la naissance de l’Islam, les Califes successeurs de Muhammad vont conquérir les territoires de deux Empires Perses et Byzantins. De 632 à 666, le Califat de Médine colonisera de façon fulgurante et par la force du jihad, d’immenses territoires allant à l’est, jusqu’à l’Atlantique et à l’ouest jusqu’à l’Asie.
- Le premier calife, Abu Bakr (632-634), a complété la conquête de la péninsule arabique, mais c’est avec le calife U’mar (634-644) que débutèrent les conquêtes de l’islam en dehors de l’Arabie. En 638, Jérusalem passera une fois de plus sous un contrôle étranger, celui des musulmans cette fois-ci.
- La première croisade aboutit à la prise de Jérusalem le 15 juillet 1099 et la ville fut déclarée capitale du Royaume latin de Jérusalem. Rappelons que sous la domination des Croisés, les Musulmans et les Juifs seront interdits de vivre à Jérusalem !
- Un siècle plus tard, Saladin s’emparera de Jérusalem le 2 octobre 1187.
L’Empire Ottoman, apogée et déclin
Le monde a oublié que les Ottomans étaient originaires d’Asie centrale. Après avoir conquis l’ancien Empire Seldjoukide au XIVème siècle, les Ottomans annexent des territoires byzantins. Osman Ier et ses successeurs vont ainsi bâtir l’Empire Ottoman. Avec la conquête de Constantinople, ils scelleront la fin de l’Empire Byzantin et domineront les populations chrétiennes qu’ils appellent, dédaigneusement, les Roumis, afin de rappeler leur victoire sur l’Empire romain d’orient. La Basilique Sainte Sophie deviendra la Mosquée Bleue pour affirmer la domination de l’Islam et « sacraliser » leurs conquêtes ! Jérusalem passera sous domination ottomane en 1516.
Une remarquable étude de l’historienne Renée Néher 1 dément l’idée très répandue que la présence juive en terre d’Israël avait disparu avec la chute du second Temple. La présence juive en Eretz Israël n’a cessé ni avec la destruction du Temple en 70, ni avec la révolte de Bar Kochba en 135. L’intolérance des chrétiens byzantins au Ve siècle, puis celle des Abassides et des Fātimides musulmans aux IXe et Xe siècles, enfin et surtout les carnages des croisés en 1099 et l’interdiction de toute présence juive dans le royaume chrétien latin de Jérusalem, sont les moments de crise où culminent tragiquement les persécutions contre les Juifs qui font que progressivement juive deviendra clairsemée, mais restera toujours présente.
L’Empire Ottoman a assis sa grandeur au moment où l’Europe était en léthargie. Il a connu ses heures de gloire pendant le règne de Mehmed II jusqu’à la fin de celui de Soliman la Magnifique en 1566 mais leur héritage fut entamé après la défaite navale de Lépante en 1571. Il a fini par sombrer dans l’oubli après l’échec lamentable du second siège de Vienne en 1683. L’Empire Ottoman sera détrôné après la bataille de Navarin en 1827, annonçant son déclin. Après la Première Guerre mondiale, l’Empire Ottoman, allié des Allemands, se trouvera dans le camp des vaincus. Le Traité de Sèvres et la Société des Nations placeront ses territoires de Syrie, Palestine, Liban, Irak et Arabie sous mandat britannique et français.
La chute de l’Empire Ottoman et le partage des Nations
- En 1917, les troupes britanniques, emmenées par le général Edmund Allenby, s’engagent dans une campagne contre les Turcs, alliés des Allemands.
- Le 31 octobre 1917, les Britanniques remportent une victoire décisive, dans la ville de Beer-Shev’a qui conduira à la capitulation de l’empire ottoman.
- Le 2 novembre 1917, par la Déclaration de Balfour, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l’établissement en Palestine « d’un foyer national pour le peuple juif ».
- En décembre 1917, le général Allenby fait une entrée triomphale à Jérusalem et met fin définitivement à la domination ottomane sur la ville.
- En 1922, le mandat de la Société des Nations, lors d’un vote à l’unanimité, officialise la reconnaissance internationale des liens historiques entre le peuple juif et le pays d’Israël et donne au peuple juif le droit de créer leur « Foyer National en Palestine ».
- En 1923, la Société des Nations confirme le mandat britannique sur la Palestine, mais les Anglais, contrairement à leurs engagements, attribuent 75% de la Palestine mandataire à l’émir Abdallah, un des fils du roi Hussein pour créer la Transjordanie, qui deviendra la Jordanie actuelle.
Israël et les Nations
Pendant des siècles, sous l’occupation ottomane, la Palestine n’a jamais été revendiquée par un quelconque nationalisme arabe, et Jérusalem n’a jamais été la capitale d’un État musulman.
Jérusalem n’est jamais cité dans le Coran, alors que cette ville est rappelée plus de 600 fois dans la Bible hébraïque. Le nom Jérusalem dérive de l’hébreu et non pas de l’arabe.
Il aura fallu que les héritiers légitimes d’Israël, expulsés de leur royaume, retournent après deux mille ans d’exil sur la terre de leurs ancêtres, qu’ils la défrichent, la cultivent et fassent reverdir le désert pour qu’on leur conteste tout droit de propriété, malgré l’aval des Nations unies.
On oublie pourtant que le terrorisme arabe, en Palestine, s’était déchaîné bien avant l’indépendance de l’État d’Israël.
Rappelons, notamment, les émeutes anti-juives en 1920-21, le massacre de Hébron en 1929, les appels au meurtre répétés en 1936-1939 par le Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini qui fut l’instigateur d’une alliance islamo-germanique contre les Anglais et les Juifs. Il déclarait, en 1947 : « Ce que l’ONU a écrit à l’encre noire, nous l’écrirons avec du sang rouge ».
Le 29 novembre 1947, les Nations Unies entérinent par un vote historique la création de deux états, un Etat juif et un Etat arabe en Palestine sur les 25% du territoire restant de la Palestine mandataire. La Résolution 181 des Nations Unies a été approuvé par 33 voix « pour », 23 « contre » et 10 abstentions. Le retour d’Israël sur sa terre résulte donc, on l’oublie trop souvent, de deux décisions officielles des Nations Unies et de son ancêtre, la Société des Nations.
Dans l’après-midi du 14 mai 1948, David Ben Gourion proclame l’indépendance de l’État d’Israël. Le jour même, une coalition de cinq pays arabes – l’Égypte, la Syrie, la Transjordanie, l’Arabie Saoudite et l’Iraq – bafouait la décision des Nations Unies et le droit international et envahissait immédiatement Israël avec le but avoué de « jeter les Israéliens à la mer ».
Le 15 mai 1948, Azzam Pacha, secrétaire général de la ligue arabe, proclamait : « Cette guerre sera une guerre d’extermination et un massacre grandiose dont on parlera comme des massacres commis par les Mongols et les Croisés ».
Le 7 janvier 1949, le Conseil de sécurité des Nations unies impose la fin des combats.
De 1948 à 1967, les lieux saints juifs vont demeurer sous domination jordanienne, le Mur Occidental et le mont des Oliviers de Jérusalem, la tombe de Rachel à Bethléem et la tombe des Patriarches à Hébron restaient fermés aux pèlerins juifs, même de nationalité non israélienne, alors que l’armistice de 1949, sous les auspices de l’ONU, en avait garanti l’accès.
La Jordanie profanait les lieux saints juifs. Le roi Hussein autorisa, à Jérusalem la construction d’une route menant à l’hôtel Intercontinental qui traversait le cimetière juif du mont des Oliviers. Des centaines de tombes juives furent ainsi détruites. Les pierres tombales érigées à la mémoire des rabbins et des sages juifs étaient réemployées par le génie militaire jordanien pour la construction des fondations, des murs, du dallage et des latrines d’un camp militaire. D’autres pierres tombales étaient utilisées pour édifier le mur du jardin de l’hôtel Intercontinental. L’ancien quartier juif de Jérusalem fut dévasté. Trente-quatre synagogues dont certaines, vieilles de plusieurs siècles, furent dynamitées. Le cimetière juif de Hébron fut détruit et transformé en terrain vague.
On oublie étonnement de dire que la bande de Gaza était sous domination égyptienne et non palestinienne depuis 1948 jusqu’à la Guerre des Six Jours, et que la Jordanie, en 1950, avait annexé de façon illégale la Judée et la Samarie, qu’on appellera par la suite, « Cisjordanie ». En 1967, à la suite de la guerre des Six Jours, Israël contrôlera l’ensemble de Jérusalem et les Juifs retrouveront leurs lieux saints, et autoriseront le libre accès aux lieux saints des Chrétiens et des Musulmans.
Les Palestiniens et les Nations : le mensonge du siècle
Le monde voudrait nous faire croire qu’il existe une symétrie entre Palestiniens et Israéliens. La réalité est toute autre.
Il n’y a jamais eu de peuple palestinien,
il n’existe pas de langue palestinienne,
pas de culture palestinienne,
pas de capitale palestinienne.
Il y a des arabes, musulmans ou non, qui vivaient sur ce territoire quasi désertique. Avec le retour des pionniers juifs sur leur terre ancestrale, de nombreux arabes sont venus des pays entourant Israël, attirés par l’expansion économique soudaine. Yasser Arafat d’ailleurs, représentait parfaitement ce qu’étaient les palestiniens : il était né au Caire, le 24 août 1929.
N’oublions pas que lors du Mandat britannique sur la Palestine, étaient considérés comme « palestiniens » tous les habitants qui vivaient sous cette autorité, qu’ils soient juifs, chrétiens ou musulmans. Ce n’est qu’en 1948, lors de la création de l’Etat d’Israël que les Juifs prirent la nationalité israélienne. Il n’y avait plus d’identité palestinienne mais des arabes, musulmans ou autres, vivants en Israël ou dans les pays environnants. Le jour de son Indépendance, l’état d’Israël a été attaqué par six pays arabes et non pas par les « palestiniens » qui n’existaient pas encore.
Pourquoi cacher le fait que cette guerre déclenchée par les pays arabes contre Israël a créé non pas un, mais deux problèmes de réfugiés : l’un juif, l’autre arabe ? Ce sont les dirigeants arabes qui ont incité la population palestinienne à fuir, leur faisant croire qu’ils reviendraient en vainqueurs, qu’ils allaient « écraser rapidement les bandits sionistes ». Ils proclamaient que chacun pourrait non seulement revenir dans son foyer au bout de quelques jours, mais également s’emparer des biens juifs !
David Ben Gurion, Premier ministre du gouvernement israélien, avait clairement donné des instructions pour convaincre les Arabes de revenir, et d’ailleurs, 160.000 d’entre eux sont restés en Israël. Tandis que les pays arabes refusèrent d’intégrer les réfugiés palestiniens et de leur apporter une aide humanitaire, les réfugiés juifs ne restèrent pas longtemps des réfugiés malgré une situation économique des plus précaires, en Israël à cette époque.
Au terme de cette liste non exhaustive d’exactions peu dignes commises à l’encontre d’Israël, les Nations qui accusent Israël en permanence devraient se souvenir de leurs actions passées et faire repentance en pensant à cette sentence du Roi Salomon « On croit voir en l’autre, la haine qu’on lui porte »(Michlé).
Malgré toutes les critiques, toutes les accusations mensongères, toutes les menaces, Israël se développe dans tous les domaines, économique, scientifique, culturel, humanitaire, alors que les pays qui l’entourent se révoltent, s’entretuent et entretiennent leurs populations dans des conditions socio-économiques indécentes.
A l’exemple du Roi David, le peuple d’Israël est toujours prêt à faire la paix avec ses ennemis, mais il possède aussi, aujourd’hui, une force de dissuasion puissante et surtout la conviction de défendre la Vérité et la Justice qui, seuls, permettront non pas d’éterniser la poursuite de processus dits de paix mais d’atteindre une véritable paix des hommes et des cœurs.
Israël, baromètre de la moralité et miroir de l’humanité saura conserver son héritage millénaire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Roland Yéhouda Dajoux pour www.Dreuz.info, Jérusalem.
Auteur de deux livres :
Israël miroir du monde. Histoire d’une terre retrouvée*. Editions Persée 2009
Quand l’Occident s’éveillera…L’Islam raconté à l’Occident*. Editions Persée 2012
1 Renée Néher. La vie juive en Terre Sainte sous les Turcs ottomans*. Calmann Lévy, 2001
* En achetant les livres avec ces liens Amazon, vous bénéficiez d’une remise de 5%, et vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%.
faudrait le placarder sur les murs et pas uniquement du jeu de paume. (plutot paumés…)
plus rien a dire ,l’histoire est là.et nos ennemis avec leurs haines ancestral aussi.c’est dans les gènes, dans leurs . a d n;;;ce doit être difficile de vivre avec cette haine dans les entrailles . pasteur a trouver un vaccin contre la rage!!!!!!!
Magnifique leçon d’histoire qui est absolument vraie sur toute la ligne. Il n’y a pas un mot à retirer ou à ajouter, si ce n’est que toutes ses raisons pertinentes, recherchées, authentiques ne nous disent pas pourquoi Israël est devenu la hantise des nations. Peut-être que toutes ces raisons expliquent la généalogie des événements, la façon dont chaque succès des antagonistes entraînait d’autres actions, mais elles ne nous disent pas pourquoi ils se sont ligués contre nous ? Il y a bien eu un élément déclencheur? Quels que soient leurs choix politiques – et la palette est incommensurable – les pays font systématiquement le pari de nous rejeter, au mieux, ou de nous haïr ! Toutes les raisons sont bonnes pour nous vouer à l’enfer des hommes. Moi je pense, ce n’est qu’un modeste avis, que les raisons, à partir du moment où elles échappent à notre entendement, ne peuvent être que métaphysiques, c’est-à-dire en dehors de la sphère intelligente de l’homme. La coercition occidento-asio-gaucho-musulmane qui aurait rendu les européens et les autres pays hyper-réalistes face à leurs besoins énergétiques et le marché important et inévitable que représentent 57 pays musulmans pour 1.4 milliards d’individus, n’est pas une théorie convaincante. Selon cette même logique, comment expliqueriez-vous que certains pays européens se sont laissés envahir par les peuplades musulmanes. S’ils avaient eu l’acuité de défendre leurs intérêts économiques, ils auraient dû commencer par défendre leurs territoires, leur culture, leur art de vivre, cela me semble logique. Au contraire, on a le sentiment qu’ils se sont complètement abandonnés à l’islam en se disant : “Au diable les intérêts de nos pays!” Je ne fais pas une critique de votre article, loin s’en faut, je le trouve parfait. Seulement, les années passent et je me demande si nous ne faisons pas fausse route sur l’explication de leurs motivations. Peut-être qu’elles sont plus ésotériques* que nous ne l’avions imaginé ?
* Mystérieuses, secrètes, inexplicables par l’homme. (Vous savez, l’entêtement de Ramsès…)
“ne nous disent pas pourquoi Israël est devenu la hantise des nations.” : selon quelle formule magique 2 000 ans de persécutions devraient s’arrêter d’un coup ?
Merci pour cet excellent récapitulatif de l’histoire d’Israël. Rien, ni personne ne réussira à effacer le lien plurimillénaire entre Israël et sa terre, quelles que soient les tentatives, les ruses, les menaces pour y parvenir.
Conformément aux prophéties, la nation juive a été restaurée sur sa terre ancestrale et ce n’est pas pour qu’elle soit à nouveau partagée, divisée, dépecée pour apaiser la colère, la jalousie et l’humiliation des peuples arabes et de leurs alliés occidentaux.
Aucune nation n’a le droit d’exiger d’Israël ce qu’elle-même refuserait d’accepter.
« Toute personne a des droits dans la terre d’Israël, mais seul le peuple juif a des droits à la terre d’Israël « Ariel Sharon
« Israélites, nation unique que les conquêtes et la tyrannie ont pu, pendant des milliers d’années, priver de leur terre ancestrale, mais ni de leur nom, ni de leur existence nationale !
Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des nations, même s’ils n’ont pas les dons prophétiques d’Israël et de Joël, se sont rendu compte de la justesse des prédictions des grands prophètes qui, à la veille de la destruction de Sion, ont prédit que les enfants du Seigneur reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse et que les soupirs s’enfuiraient à jamais. (Isaie 35.10 » (Napoléon Bonaparte)
L’Occident, au lieu de blâmer sans cesse Israël, devrait s’allier à ce phare de la démocratie au Moyen Orient pour s’opposer au danger islamiste qui menace le Monde libre. La menace ne vient pas d’Israël, mais des islamistes de l’OCI, qui se servent de la cause palestinienne, non seulement pour détruire Israël, mais également nos démocraties .
Superbe article concis et convaincant qui résume toute ma pensée au sujet de la réalité d’Israël.
Bravo!
Animation passionnante illustrant cet article:
http://www.mapsofwar.com/ind/imperial-history.html
Monsieur Grumberg, il est vrai que les persécutions n’ont jamais cessés, durant 2.000 ans, mais la répétition des faits sur une durée aussi longue ne nous donnent toujours pas d’explication. Vous aurez beau me répétez que l’Histoire c’est cela – je la connais moins bien que vous mais je la connais un peu – vous ne parviendrez pas à me donner les bonnes raisons parce qu’elles n’existent pas dans notre entendement. On peu se lamenter, pleurer nos souffrances passées, mais les raisons de l’étendue de leur haine seront toujours inexplicables pour nous pauvres humains que nous sommes ! C’est la seule petite remarque que je voulais faire sans entrer dans une polémique inutile, nous d’accord sur presque tout !
merci
Magnifique travail, merci.
On peut aussi visionner -Donner une chance à la paix- une vidéo de 15mn sur YouTube ou sur le site Danilette.
Mise en ligne par -GivePeaceAChance- cette vidéo (existe aussi en texte) considère que c’est lors de la conférence internationale de San Remo (villa Devachan) du 25 avril 1920 que les droits juridiques furent donnés:
-au peuple juif pour la Palestine (qui deviendra l’état d’Israël)
-au peuple arabes pour les autres états du Proche Orient
Le conflit en palestine n’est pas un conflit de territoire. Il se trouve que l’islam s’est heurté à un peuple fier et digne qui refuse la soumission. Le présent article illustre parfaitement la capacité du peuple juif à se relever et à rester debout malgré les persécutions qu’il a subies tout au long de l’histoire. Bravo à toi peuple d’Israel, tu es un exemple de force et de courage. J’espère que les peuples d’Europe suivront ton chemin devant la menace de l’islam barbare.
Il y a vraiment des territoires occupés mais par les arabes
Les politiciens américains, y compris à la fois George W. Bush et Obama, ont depuis 2008 parfois fait référence à Israël comme Etat juif, même s’ils ont soigneusement évité de demander aux Palestiniens de faire de même. Dans une déclaration typique, Obama en 2011 a esquissé le but ultime diplomatique comme «deux Etats pour deux peuples: Israël en tant qu’Etat juif et patrie pour le peuple juif et l’Etat de la Palestine comme la patrie du peuple palestinien».
eexcellente synthèse à laquelle nous adherons mais comme la notion du”juif errant” est bien ancrée depuis des siècles dans l’esprit des nations ; “‘il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut entendre”,seule l’action i.e la reconstruction du pays d’Israël doit prévaloir en restant sourds aux glapissements du civilisation occidentale décadente
D… attend nos ennemis a JERUSALEM sa CAPITALE
Ce texte est extrait d´un article : « La haine du juif » paru dans Alyaexpress News:
…Cause N° 5 : L´attirance vers l´animalité
J´ai eu le bonheur de lire un livre fantastique : « Midnight » de Dean R. Koontz.
A la suite d´expériences scientifiques ratées, certains hommes régressent dans une semi-animalité, au lieu de devenir, comme prévu, des surhommes.
L´auteur décrit excellemment cette régression et cette attirance vers l´animalité :
« Il ressentit un désir, une aspiration étrange… Il voulait…il désirait… courir dans les bois où tout était sauvage et plein de vie, où les proies attendaient d´être découvertes, poursuivies et déchirées…
Il se vit délivré de l´attitude rigide de l´homme moderne, libéré des contraintes de la civilisation, enfin libre de vivre son véritable état de nature.
Il aimait cet état, oh comme il l´aimait…Pas seulement parce que cela lui donnait une telle liberté, libéré des conventions, de la morale, des restrictions, des barrières, de l´intellect, de l´humanisme, de la pitié…
Il aimait cet état plus encore parce que cela lui donnait une sensation de puissance implacable, de puissance sauvage, de puissance brute, libérée de toutes les limitations humaines, une puissance au-delà de l´humain, sans aucune contrainte ni responsabilité…Tout pouvoir !…Quelle jouissance !…
Il regarda son adjoint et il vit dans ses yeux qu´ils étaient tous potentiellement régressifs et attirés par l´état sauvage, par l´ appel lancinant et féroce d´un état primitif, sans pitié et sans lois sauf celle du plus fort, sauf celle de la jungle… »
J´ai décrit si longuement cette attirance vers des états subconscients et proches de l´animalité, car c´est un domaine que peu d´entre-nous ont exploré ou simplement accepté qu´il existe, à l´état latent, en chacun de nous.
C´est exactement cela qui rendit les nazis si populaires, c´est à cela que pensait Goebbels en s´écriant : « Quand j´entends parler de culture, je sors mon révolver ! »
Le nazisme fut la première idéologie à avoir glorifié cette régression sub-humaine et sauvage :
« Ils disent que je suis un barbare non-éduqué. Oui, nous sommes des barbares, nous voulons être des barbares. Nous régénèrerons le monde… »
« La providence m´a fait le plus grand libérateur de l´Humanité. Je libère l´Homme des contraintes de l´intelligence,de la conscience et de la morale »
Adolf Hitler
En face il y avait les Juifs avec leurs 10 commandements, leurs 613 (!) interdictions et obligations, leurs aspirations à se cultiver, à apprendre, à s´élever, à être « a Mensch »…
La tentation de régression est en opposition absolue au judaïsme, ce qui en fait un conflit inexorable et éternel. Il n´est donc pas étonnant qu´Hitler ait déclaré :
« La conscience est une invention juive »(ce en quoi il avait absolument raison !)
« Au fond, il n´y a que nous et les Juifs. C´est eux ou nous. Et cela ne s´arrêtera que lorsque le dernier Juif sera éliminé. »
Qui veut jouir d´une puissance sauvage doit rabaisser, humilier, détruire le Juif et sa Thora.
En résumé, cette cinquième cause me semble la plus fondamentale car le judaïsme aspire à élever l´Homme, à en faire « a Mensch », à l´éloigner de la force brutale, de la loi de la jungle, de la sauvagerie qui existe à l´état latent
EN CHACUN DE NOUS.
Le judaïsme, c´est le douloureux aiguillon de la Conscience, l´implacable discipline de la Morale, le corset de fer de l´Ethique.
Quoi d´étonnant à ce que l’on veuille se débarrasser de cela ?
Dans le film « Pinocchio » celui-ci renvoie d´une pichenette Jimini cricket, sa conscience.
Nous sommes la conscience du monde et celui-ci voudrait bien se débarrasser de nous.
Désolé, mais nous ne vous ferons pas ce plaisir !
Heureusement qu’il y a encore des gens lucides qui disent la verite!
Bravo, continuez
Bien a vous
“HS on”
quelqu’un pourrait il m expliquer ce qu il c est passé?? parce que là ce n est pas joli joli . j aurai compris cet acte de la part des muz mais là je ne comprends pas.
http://www.atlantico.fr/decryptage/surveillantes-examen-remplacees-hommes-pour-motif-religieux-ces-attaques-quotidiennes-contre-laicite-que-france-doit-regarder-en-781233.html.
Cette histoire ressemble à celle de Sparte . Cet état n’a pu survivre qu’au prix d’un mode de vie spartiate , d’une armée extrêmement entrainée car il devait faire face aux révoltes des peuples autochtones antérieurs à la présence sparte .
La première fondation d’Israël correspond à l’histoire biblique , la seconde , moderne , est un acte politique et non divin , et quoique je considère Israël d’avantage démocratique que le hamas , c’est un précédent que beaucoup n’avalent pas .
Vous me direz , ça ne gêne absolument pas la oumma de réclamer la reconstitution d’un califat islamique ici et là ( en Asie , au Moyen orient , en Europe) , alors , c’est au choix , la charia ou la démocratie . J’ai fait mon choix vous aussi je suppose.
Très beau travail résumant 3000 ans d’histoire.
Bravo.
Les Juifs réservés
Dans le soleil, je lis :
” Ma parole est éternelle. J’ai fait mon jugement sévère. Maintenant je l’annonce à mon peuple et,
quand l’heure sera venue, je le ferai passer au monde entier. ”
Je lis :
” Dans ma sagesse éternelle, j’ai le dessein de réserver la vie à un nombre immense de Juifs car,
au jour de ma réjouissance, je veux les confondre. L’oeil impie de toutes ces âmes restera ouvert,
car je veux qu’il voie ma puissance. Je leur réserve de voir, de leurs yeux, l’astre radieux que je
ferai sortir du fond de l’exil, sous un épouvantable orage de feu et sous les signes de ma colère.
Tout le firmament aura des traits semblables à ceux que mon Père lança sur le monde, quand je m’offris
pour racheter mon peuple. ”
Je lis encore :
” Au milieu de cette terreur, tout le monde sera semblable à la fourmi qui sort de sa tanière… De toutes
parts, des hommes viendront s’unir à ce groupe perfide qui, maintenant, conduit les choses de la terre avec
une décision et une iniquité qui n’a pas de nom… Ils périront misérablement sous les coups de ma colère
ou sous l’envoi de cruelles maladies.
Puis je guérirai les plaies du royaume ; je rendrai la fertilité. Après que le Sauveur sera entré dans son
règne, je sanctifierai par d’abondantes rosées, la terre souillée, et la pénitence y effacera les tâches
faites par les pieds des impies. ” (28 février 1882)
http://www.marie-julie-jahenny.fr/quelques-propheties.htm#Les_Juifs_r%C3%A9serv%C3%A9s
:clock: moi j,ai visiter israel en 2010et j,ai pu voir quel genre de vie les gens ont en general oui on sent q,ils vivent sans trop s,inquieter. maisc,est due a leur foi en la promesse divine. de posseder leur pays comme tout bon croyant .ils sont comme je voudrait etre face a l,enseignement duchrist moi aussi il m,a promit de nouveau cieux et une nouvelle terre je devrait m,y acrocher avec la meme energie pour l,ateindre. Dieu va les retablir un jour c,est pour ca qu,il leur a donner cet determination meme apres 2000 ans d,exils c,est pour ca que j,ai del,admiration et du respect pour eux.jesus a ditqu,ils vont pleurer sur celui qu,il ont percer.et ils vont le reconnaitre comme le christ, leur sauveur celui que tout leurs prophètes ont annoncer.