Dix mineurs âgés de 14 à 16 ans sont convoqués devant le juge des enfants en vue d’une mise en examen pour l’agression d’une collégienne à Aytré (Charente-Maritime), le 7 juin 2013, diffusée sur le réseau social Facebook.Ces convocations visent sept filles et trois garçons et sont étalées sur plusieurs semaines.
Tyfaine, 15 ans, s’en était tirée avec une double entorse des cervicales et une côte fêlée et s’était vu prescrire une ITT de 15 jours après cette agression commise vers 17H45, à l’arrière du collège de l’Atlantique où elle est scolarisée.
Sur fond de rivalité amoureuse, la jeune fille avait été rouée de coups de poing et de pied. Après son agression, l’adolescente était rentrée seule chez elle, en sang. Sa mère la voyant ainsi l’avait conduite aux urgences.
Selon le parquet de La Rochelle, les adolescents, inconnus des services de police, tous scolarisés également dans cet établissement, doivent en principe être mis en examen pour «violences volontaires en réunion» ou «enregistrement ou diffusion d’images portant atteinte à l’intégrité de la personne», selon le rôle précis qu’a joué chacun. La victime avait de son côté évoqué la présence de personnes extérieures, mais aucune ne semble être visée par l’enquête à ce stade.
Ils avaient pris partie pour une collégienne contre un autre
«Pour la plupart, ils reconnaissent les faits mais pas dans leur totalité. Chacun reconnaît une action, une bagarre… une claque parce qu’elle m’a mal parlé, mais aucun ne s’approprie les faits en expliquant qu’il y a eu un guet-apens» tendu à la victime, explique t-on au parquet. «Les jeunes mis en cause savaient qu’il y avait un litige entre deux collégiennes et disent avoir pris parti pour l’une d’elle, pour la défendre».
Toujours selon cette même source, «pour l’instant, rien dans l’enquête ne montre une responsabilité du personnel du collège», contredisant les propos de la mère de la victime qui avait déclaré fin juin que des adultes de l’établissement avaient été mis au courant des intentions de certains des auteurs de l’agression à venir et n’avaient rien fait pour l’éviter.
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jeudi ils sont dehors avec les félicitations des constructeurs de murs et leur sainte patronne.
Nos enfants sont des cibles de cette France d’importation . Il y a que les femens qui soient capables de dénoncer et manifester contre ces chances pour la France . Nos juges participent à leur manière au changement de population en étant collaborateurs avec ces chances .
Ce collège a fort mauvaise réputation,ce n’est pas la première fois qu’un ou une élève est agressé (ée) sans que les responsable de ce collège ne lève le petit doigt et de plus une personne passant devant ce collège a vu cette gamine se faire massacrer sans intervenir de peur qu’il n’arrive la même chose à sa fille.Quel courage !!!!!!
Certains quartiers d’Aytré sont des “banlieues” dangereuses et beaucoup de personnes voudraient en partir
Il faudrait des sanctions exemplaires contre ces gamins qui s’y mettent à dix pour tabasser une pauvre Tyfaine,et contre le personnel de ce collège incapable de discipline dans leur établissement !!!!
<ils ne risquent pas grand choses, tous mineurs, mais c'est contre les parents qu'il faut agir, il faut qu'il y ait réparation des dommages, pourquoi la sécu paierait des frais médicaux liés à des agressions ?? et outre les frais médicaux, il y a le préjudice moral (traumatisme psychologique et le prètium doloris (prix de la douleur) l'argent est le nerf de la guerre et s'attaquer au porte monnaie des parents les inciterait à remonter les bretelles de leur progéniture