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Michel Garroté, réd en chef –- Pour le croyant, l’amour, et le bien qui va avec, viennent de Dieu qui habite son âme. Pour le non croyant, l’athée, l’agnostique, l’amour, et le bien qui va avec, viennent de sa conscience. Bien. Sur dreuz.info, la question de l’amour a fait surface, à diverses reprises, depuis que dreuz.info existe. La question a notamment fait surface en raison de notre manque d’amour, manque d’amour présumé, notamment manque d’amour présumé envers les mahométans (ce qui est faux). Cette question, j’avais promis d’y répondre un jour. Maintenant j’y reviens et je précise qu’à mon sens – et je ne suis pas seul à le penser – nous sommes en temps de guerre. Or, l’amour est un don qui s’incarne dans le réel. L’amour aujourd’hui, s’inscrit donc dans un temps particulier, que l’on nomme temps de guerre.
En 2006, le public prenait connaissance de l’encyclique de Benoît XVI sur la charité, en fait sur l’amour. Ce n’est pas là uniquement de la théologie destinée aux seuls catholiques. C’est là, aussi, une philosophie qui participe objectivement du travail des idées. Cette encyclique offre, d’une part, une vision, de l’amour pour le prochain ; et d’autre part, une vision, de l’œuvre de charité, comme accomplissement, du commandement de l’amour. Ce commandement de l’amour, trouve ses racines, en Dieu même qui est Amour. L’encyclique est un texte capital, d’une part, sur l’image chrétienne de Dieu ; et d’autre part, sur l’image de l’homme qui en découle. Cette image chrétienne veut s’opposer à l’ambiguïté de la notion d’amour courante dans le monde d’aujourd’hui. L’encyclique offre une conception réaliste de l’amour humain. Cet amour correspond à la totalité – corps, âme et esprit – de l’être humain.
Amour de Dieu et amour du prochain sont inséparables. Ils sont un seul commandement. Devant le risque d’activisme sans âme, l’encyclique appelle chacun à cultiver les raisons spirituelles d’être chrétien. Cela donne sens à l’agir. L’encyclique rappelle le lien entre la justice et la charité. La tâche de l’Eglise consiste à réveiller les forces spirituelles pour promouvoir le bien commun. La charité anime l’existence des fidèles et donc aussi leur activité. La charité est un don vital qui donne unité, signification et espérance à l’existence. L’amour sera toujours nécessaire, même dans la société la plus juste. Aucun ordre venant de l’État ne rend superflu l’amour. L’État qui pourvoit à tout, qui absorbe tout, devient bureaucratique et ne peut pas assurer l’essentiel dont l’homme a besoin : le dévouement plein d’amour à travers des actes, des écrits, des valeurs. La foi a des répercussions sur la personne qui agit ; et sur l’intensité de son aide.
Celui qui n’a pas la foi et qui agit bien, fait cela, car il écoute sa conscience. Les saintes, les saints, les Justes, chrétiens et non chrétiens, sont des porteurs de lumière dans l’histoire, parce qu’ils sont des hommes et des femmes de foi, d’espérance et d’amour. En l’absence de foi, c’est, j’insiste, la conscience qui permet de discerner le bien du mal.
Revenons maintenant à l’amour en temps de guerre. Dans ce contexte particulier, d’aucuns ont déploré notre manque d’amour présumé, notamment envers les mahométans. Ce qui est faux. Il se trouve que nous vivons en démocratie. Le jeu démocratique, mutatis mutandis, inclut le trotskisme, c’est à dire l’apologie de l’ultra-gauchisme anarchiste, y compris ses ténors de l’action directe et violente. Ce même jeu démocratique, inclut le Front National, dont le président d’honneur à vie, assimilait les chambres à gaz à, je cite, « un point de détail de la seconde Guerre mondiale » et l’occupation allemande à un régime coupable seulement, je cite, de « bavures ». En revanche, le jeu démocratique ne supporte pas les juifs pro-israéliens et les non-juifs pro-israéliens.
J’en veux pour preuve – ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres – les commentaires haineux postés par de courageux anonymes, tantôt franco-franchouillards soi-disant antisionistes, tantôt arabo-musulmans, sur dreuz.info, à l’époque – révolue – où ce blog ne pratiquait pas la légitime modération des commentaires. J’en veux également pour preuve, les textes bêtes et méchants à notre sujet, téléchargés sur la blogosphère rouge-verte-brune, par de médiocres écrivassiers, eux aussi, tantôt franco-franchouillards soi-disant antisionistes, tantôt arabo-musulmans. Je note, en passant, que la haine du prochain, s’exprime de la même façon, chez certains franco-franchouillards soi-disant antisionistes que chez certains arabo-musulmans. Ils ont, curieusement et peut-être inconsciemment, les mêmes types de maîtres à penser “révolutionnaires” : Robespierre, Lénine, Goebbels, Maurras, Pol Pot, Khomeiny, Ben Laden, Khamenei, Nasrallah, etc.
Face à la haine du prochain en temps de guerre, nos ennemis voudraient que nous pratiquions l’amour mièvre et cul-cul la praline. C’est oublier qu’il n’y a pas d’amour sans vérité. Car autrement, on pourrait demeurer à la fois dans l’amour et dans le mensonge, ce qui est impossible (du moins dans la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne). Le pape Pie V a levé des armées en Europe pour stopper la marine de guerre ottomane à Lépante. Charles Martel a stoppé les troupes mahométanes à Poitiers.
Sans Pie V et sans Charles Martel, nos ancêtres eussent été contraints – par la force du sabre – à apostasier leur foi juive et chrétienne et à embrasser la religion mahométane. Or, non seulement le pape Pie V n’a pas été excommunié, mais il a été canonisé. Il est donc saint au sens catholique du terme. Benoît XVI a écrit, à propos de l’amour, que les saints (j’ai envie d’ajouter : et les Justes, chrétiens et non chrétiens, croyants et non croyants) sont porteurs de lumière dans l’histoire, parce qu’ils sont des hommes et des femmes de foi (ou de conscience), d’espérance et d’amour.
Par conséquent, le pape Pie V, canonisé et donc saint, fut porteur de lumière parce qu’il fut un homme d’amour. Cela ne l’a pas empêché, en toute charité, de flanquer une bordée phénoménale, aux ottomans de confession mahométane. Aux ottomans qui étaient venus faire de nous des dhimmis, des êtres inférieurs, en terre d’Europe, sensée devenir, par leur invasion militaire, terre d’islam. J’invite les catholiques qui confondent amour et idiotie, à lire quelques saints qui, de leur vivant, s’exprimaient, tant à l’oral qu’à l’écrit, en termes pas toujours courtois : saint Jérôme, saint Cyril d’Alexandrie et bienheureux Charles de Foucault. Quant à nous, juifs néoconservateurs pro-israélienss, chrétiens néoconservateurs pro-israéliens et athées néoconservateurs pro-israéliens, nous poursuivrons notre résistance à la guerre de la terreur que nous livre l’islamisme radical.
Toujours à propos d’amour (de charité, ‘caritas’), dans l’un de ses messages, Benoît XVI rappelait qu’aimer signifie connaître. Aimer, faisait observer Benoît XVI, représente une rencontre et donc une expérience de connaissance. Mais comment parvenir à une connaissance fiable et objective ? Benoît XVI rappelait le rôle déterminant du sujet de la connaissance. Il soulignait notamment les limites d’une connaissance scientifique qui propose le dogme positiviste de la pure objectivité où le sujet semble être régulé par la perspective de l’observateur, perspective que conditionne le résultat. Pour Benoît XVI, la pure objectivité est une pure abstraction, l’expression d’une connaissance inadéquate. Et cela vaut non seulement pour les sciences naturelles mais aussi pour l’histoire qui souvent transmet des visions du monde liées à la liberté des hommes, à leurs choix, à leur diversité. Pour Benoît XVI, la connaissance ne peut pas être comme l’enregistrement d’un spectateur détaché.
Et c’est pourquoi, la connaissance est un événement. Pour Benoît XVI, la connaissance advient comme une vraie rencontre entre un sujet et un objet, qui ne se maintiennent pas à une distance aseptisée et qui s’influencent réciproquement lorsqu’ils entrent en contact. Ce processus de connaissance passe, pour Benoît XVI, à travers l’honnêteté intellectuelle et la disponibilité à l’écoute de qui veut connaître, en accueillant l’objet de la connaissance avec sympathie. C’est la force cognitive de l’amour, aimer signifiant ainsi connaître. Et c’est l’amour qui est l’instrument privilégié pour connaître la vérité, et qui est l’événement de la rencontre avec le Créateur de l’homme.
Pour revenir à l’amour en temps de guerre, j’aimerais revenir sur la légitimité d’Israël. Depuis 1999 (soit depuis 14 anas…) les hauts responsables militaires israéliens affirment qu’Israël dispose des moyens nécessaires pour retarder de façon significative le programme nucléaire iranien, même si cette attaque a lieu sans une coordination préalable avec les USA. Selon ces hauts responsables militaires israéliens, le temps presse pour lancer une opération efficace, car les Iraniens ne cessent de fortifier les défenses de leurs installations et de perfectionner leurs camouflages. Les hauts responsables militaires israéliens estiment toutefois prudent d’attendre que les Américains entament des pourparlers avec les Iraniens et d’attendre que les Américains constatent que ces pourparlers sont voués à l’échec.
Pour Netanyahu, la doctrine Begin, du nom de l’ancien premier ministre israélien, reste plus que jamais d’actualité. Selon cette doctrine, que je ne cesse de défendre et de valoriser, Israël ne peut pas se permettre d’être menacé d’une deuxième Shoah et Israël doit donc empêcher les pays musulmans de la région de se doter d’armes de destruction massive. À trois reprises, Israël a appliqué cette doctrine, en 1981, contre l’Irak, en 2007, contre la Syrie, et en 2009 contre le cargo Arctic Sea transportant du matériel stratégique vers l’Iran. Depuis, Israël infecte par virus le système informatique des centrales nucléaires iraniennes. Si cela est suffisant, alors tant mieux.
Le droit d’Israël de pratiquer la légitime défense, et donc le droit d’Israël de pratiquer des frappes préventives, n’est pas un manque d’amour envers le monde mahométan et ses 1,3 milliard de mahométans. Ce droit de légitime défense est un devoir. Le devoir de faire en sorte que les six millions de Juifs qui vivent, qui existent, en Israël (un pays de la taille de la Picardie), ne soient pas vitrifiés par une Shoah radioactive. Ne pas comprendre cela, en revanche, est non seulement un manque d’amour, mais un acte de haine, un acte de négation du droit à l’existence des Juifs d’Israël. En 1939, nombreux furent ceux qui ne voulurent pas accepter le droit de l’Europe à la légitime défense et donc le droit à la guerre contre Hitler.
En 2013, l’histoire se répète. L’on inverse à nouveau le bien et le mal. L’on inverse à nouveau l’amour et la haine. Et ainsi, les méchants, c’est nous, les juifs, les chrétiens et les musulmans réformateurs, surtout lorsque nous refusons de nous laisser détruire.Or, « Tu ne tueras point » signifie « Tu ne commettras pas de meurtre ». Mais cela ne signifie nullement « Tu n’useras pas de ton droit à la légitime défense lorsque l’ennemi veut anéantir ton peuple »…
Reproduction autorisée avec mention :
© Michel Garroté www.dreuz.info
merci Mr Garroté pour cette analyse et les connaissances apportées.
Pour la tradition juive, le mensonge se maintient parcequ’il repose sur une étincelle de vérité ,que celle ci disparaisse et le mensonge n’existera plus!
(כל דבר שקר שאין אומרים בו קצת אמת בתחלתו אין מתק”ם בסופ.(d’après Sota 35b et Midrach rabba ).
En hebreu le mensonge se dit שקר ce mot ne repose que sur la lettre du milieu ק et est donc bancale .
Le mot verité אמת , lui , a 3 lettres bien posées sur leur base , c’est la force tranquille !
petite correction: En hebreu le mensonge se dit שקר , les trois lettres de ce mot n’ont qu’un seul pied, elles ne sont pas stables. On en déduit donc que le mensonge n’a aucune base et qu’il ne dure pas dans le temps.
Cher Monsieur Garroté!
Je vous ai lu avec la plus grande attention: vos propos le méritaient.
Cependant je me permets ces quelques remarques que j’adresse au chrétien que vous êtes:
– presque tout le contenu des Evangiles se retrouve dans les textes de l’Ancien Testament répertoriés dans “Les Prophètes”
– Le pharisien Hillel Hazaken (env.-30/+30 et qui fut élu Nassi du Sanhédrin) répondit ainsi à un prosélyte qui le mit au défi de résumer la Loi tout en se tenant sur un pied:
“Ce qui t’es haïssable ne le fait pas à ton prochain. C’est là toute la Torah, le reste est commentaire. Maintenant va et étudie”
Hillel a ainsi montré une interprétation extrêmement souple de la Halakha, et cette interprétation ne semble pas loin du message qui viendra plus tard de Jésus: “aimez vous les uns les autres”
– ensuite Jésus dépasse le message de Hillel lorsqu’il professe qu’il n’y a aucun mérite à aimer ses proches et qu’il demande à ses disciples d’aimer aussi leurs ennemis.
C’est probablement pour cela que Jean Paul II a baisé le coran.
C’est probablement pour cela que Benoit XIV a prié, la main sur le coran, dans une mosquée d’Istanbul après avoir modéré les propos qu’il avait tenus à Ratisbonne.
Attitudes éminemment chrétiennes.
Mais il est vrai que d’autres passages des Evangiles diffèrent quelque peu, sans toutefois aller jusqu’à faire l’apologie de la “légitime défense”.
Que croire? Quel est le chemin?
A vous lire j’ai la faiblesse de penser que chacun trouvera la réponse dans l’opportunité des circonstances qui se présentent à lui.
Et cela de façon on ne peut plus humaine.
Hillel à mis comme tout bon enseignant, sa parole au niveau de son interlocuteur. Jésus n’a donc dépassé uniquement que le niveau de son interlocuteur, pas celui de Hillel ! Le fameux “Tu aimeras ton prochain comme toi-même” est une horrible et dramatique traduction / trahison car le mot employé pour “prochain” en hébreux est léréah’a dont la signification littérale est en bon français “celui qui te dérange (celui qui est mauvais pour toi)”!
Et aimer son ennemi? Cela ne ne vous semble pas du dépassement?
Je me demande qu’est-ce qu’il vous faut?
On fait preuve d’amour quand on aide le barbare à devenir un humain. Certaines violences peuvent être nécessaires, notamment quand elles ont pour but de rendre à l’humanité toute sa dignité. Certaines personnes prendront les armes pour rendre le monde meilleur, alors que d’autres à l’inverse se battront avec détermination pour le détruire. Avec la haine qu’il répand et les violences qu’il provoque, l’islam est devenu un véritable obstacle à la paix universelle. Israel doit se défendre car l’islam est une arme de destruction massive que des gens dans l’ombre utilisent pour terroriser le peuple juif. Alors que l’Europe connait une forte islamisation, l’antisémitisme se répand de manière inquiétante. Au nom de l’amour universel, l’islam doit tomber.
Sans l’aide massive (ou achat de pétrole = aide indirecte) de l’Europe et des USA, l’islam dominant disparaîtrait du jour au lendemain ! L’occident utilise l’islam radical comme d’une pointe de flèche pour attaquer Israël mais sans la flèche elle même c’est complètement inoffensif. L’Occident est la flèche. (d’après mon écoute du Rav Dynovisz).
une preuve de plus !!!!
http://jssnews.com/2013/07/16/une-directive-europeenne-anti-juive-le-retour-du-judenrein/
Les échanges économiques n’ont rien à voir avec ce que vous racontez, même si vous vous faites le porte voix de votre “rav”.
Essayez plutôt de regarder la réalité en face: à aucun moment, même au plus fort de ses conflits, Israël n’a jamais manqué d’un litre de pétrole.
Les musulmans doivent retourner à la source Abraham, leur père. Abraham est le père de Isaac et de Ismael. Sans ce retour aux sources pas de réconciliation possible. Nous adorons tous le même Dieu. le Dieu d’Abraham. En fait le Dieu d’israel. Pas d’autre Dieu à l’horizon. Même les chrétiens adorent le Dieu d’israel. Les Pères et les Fils ne font qu’un peuple. le peuple de Dieu. Le Messie vient rétablir toute chose. Le Machiah, connu depuis 2000 ans sous le nom de Yeshoua. Sa gloire ne passera pas à un autre.
Zanaroff, je suis désolé de vous dire que vous vous trompez.
Si les Juifs et les Chrétiens, dans la divergence de leurs religions respectives, adorent bien le même Dieu, la divinité mahométane que les musulmans nomment Allah n’a absolument rien à voir avec le Dieu de la Torah.
De même Abraham, Ismaël ou Jésus ne peuvent, en aucun cas, être assimilés à ceux dont le coran prétend parler.
Mensonges et fourberies, fussent-ils psalmodiés à longueur de journées par un grand nombre d’individus (généralement totalement incultes) ne suffisent pas à fonder raison.
Abraham l’homme de l’Amour et aussi très opulent, a un jour rejeté son fils Ismaël, son aimé, sans aucune explication (vu qu’il ne comprenait pas lui-même pourquoi) avec un croûton de pain et une gourde d’eau uniquement car c’était un ordre divin. Ismaël ne s’en est jamais remis. Il recherche alors en Dieu ce qu’il n’a plus eu, le modèle père, le modèle traditionnel de la rigueur. Il fera repentir par rapport à Isaac à la mort d’Abraham, dit la Bible hébraïque car lui aussi parle le langage de la rigueur, le seul qu’il peut comprendre …
(D’après mon écoute du Rav Dynovisz en particulier
http://ravdynovisz.tv/video.php?video_id=28896 )
Cette approche analytique de l’amour en temps de guerre, force cognitive dans une connaissance et une écoute de l’autre, est une dynamique d’union par delà l’amour chrétien.
Il est ouverture vers l’autre et respect de sa différence. De ce fait, il est aussi une démarche humaniste si forte, qu’il s’inscrit dans la légitimité d’une vérité commune aux hommes de bonne volonté. Ainsi, au lieu de prôner la destruction et la mort cet amour magnifie-t-il l’homme, qui ne tuera point et saura préserver ses droits à exister, en toute légitimité, face à l’ennemi exterminateur. Dans les temps que nous vivons, il est bon de rappeler le sens du mot « amour » et de faire du levier de paix dont il est porteur, une belle leçon de vie.
Votre commentaire est d’un très beau, dommage qu’il n’y en ait plus souvent de ce niveau.
Soyez en remercier.
….remercié.
@POK, si votre bienveillant point de vue porte sur mon commentaire, permettez-moi de vous dire que les vôtres sont autant de réponses justes, adossées à des vérités premières, desquelles l’amour dont parle M. Garroté, n’est jamais absent. (Pour le « fun »- mais vous le ne saviez pas – « remerciée »).
@Lapis-Lazuli,
Mon point de vue était effectivement à l’endroit de votre commentaire.
Soyez donc remerciée.