Publié par Michel Garroté le 30 juillet 2013

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Michel Garroté, réd en chef  –-  Le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius, à propos de l’Egypte, appelle « à la libération des prisonniers politiques y compris celle de l’ancien président Morsi. Il faut revenir vers un cheminement démocratique. Le sentiment qu’ont eu beaucoup de personnes, c’est qu’il (ndmg – Morsi) voulait aller vers un islamisme à marche forcée », se justifie Fabius.

Je ne saisis pas très bien l’appel de Fabius. Et ce pour diverses raisons. En France, un jeune manifestant pacifique est devenu le premier prisonnier politique depuis soixante ans. Certes, il a depuis été libéré. Mais la violation des droits de l’homme par le régime socialiste français demeure une tache qui ne s’effacera jamais.

Morsi est membre des Frères musulmans, c’est-à-dire membre de l’organisation islamique la plus extrémiste de la planète à l’exception des salafistes et d’Al-Qaïda. Il est donc pour le moins surprenant  —  ou peut-être, au contraire, tout à fait logique  —  que Fabius, membre d’un régime socialiste islamophile et répressif, prenne la défense de Morsi, un extrémiste musulman judéophobe et christianophobe, coupable de complicité de crimes atroces perpétrés contre les chrétiens égyptiens et contre les musulmans égyptiens réformateurs.

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© Michel Garroté www.dreuz.info

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