Le fléau de l’islamophobie n’est pas une fatalité irrémédiable que rien ne peut juguler. C’est animé de cette forte et intime conviction que l’avocat de renom, Karim Achoui, revient sur le devant de la scène publique, sur un terrain qui lui est familier, la justice, pour se dresser face un racisme anti-musulmans à son paroxysme.
Il a fait le choix des armes, et quel meilleur système de défense que la création d’une association, reposant sur de solides fondations, des compétences et de grands noms, pour couper le mal à la racine et enrayer des agressions violentes et lâches qui piétinent les êtres et foulent aux pieds la loi.
“La Ligue de Défense Judiciaire des Musulmans” (LDJM) vient d’émerger dans le paysage national, sous l’impulsion de son fondateur, Karim Achoui, résolu à éclaircir un horizon assombri par la haine, l’inertie des pouvoirs publics, et la connivence certaine des médias, à la lumière de la justice, du respect de la loi de 1905 et de la liberté de conscience qu’elle est censée garantir.
“Face à la montée islamophobe alarmante de ces dernières semaines, face aussi au sentiment de panique générale qui, dans le même temps, s’est emparé de nos compatriotes français de confession musulmane et d’un nombre de musulmans vivant sur le territoire français, j’ai fondé avec le concours d’avocats, de juristes, et professionnels du droit la Ligue de Défense Judicaire des Musulmans (LDJM)”, peut-on lire sur la page Facebook de l’avocat qui a troqué sa robe contre le costume de président du Conseil d’Administration de son association.
Karim Achoui a su bien s’entourer, fédérant des avocats et juristes de qualité, mais aussi des musulmans et non-musulmans autour d’un combat qui devrait être érigé en cause nationale et faire taire tous les clivages, pour constituer une équipe de choc qui est déjà sur le pied de guerre depuis les émeutes de Trappes.
L’islamophobie galopante, ses pyromanes et ses brutes épaisses ne pourront plus imposer le règne de la terreur en toute impunité, à l’heure où “La Ligue de Défense Judiciaire des Musulmans” vient renforcer un maillage associatif déterminé à criminaliser les actes islamophobes et à traîner leurs auteurs devant les tribunaux.
La liste des membres de l’association parmi lesquels figure l’ancien ministre et avocat, Roland Dumas
http://oumma.com/18616/ligue-de-defense-judiciaire-musulmans-nee-l-impulsion-
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Dumas, ce con pédant ,fidèle a lui même, nauséeux et pourrit.
Le socialiste anti francais, de base, il regrette très certainement les jeunes garçons du bled et le temps ou il portait des valises.
A la gerbe! allez!!! couché!
Creons une ligue de defense des francais chretiens catholiques, la ldj,ligue de defense des juifs existe deja, encore un plaggia.
ceux qui gouvernent la France refuseront bien sur la création d’une ligue de défense des français.. il ne faut pas perdre de vue que nous sommes dans un pays islamo/socialiste, nous n’avons droit à aucune protection, nous n’avons plus aucun droit.
c’est avec de telles conclusions que l’on cède son pays à l’envahisseur!!!
Que des muz, et quelques traitres, vite un sourire kabyle !
Pays de merde….
Tu parles, Charles !!
C’est cet “avocat” qui a été accusé d’escroquerie, etc….
mise en liquidation judiciaire pour 500.000 € impayés !! Franchement, bel exemple !! Il se sent toujours victime d’un soi-disant complot…
Inexistant.
La ligue de défense judiciaire des musulmans avec son principal super héros qui n’est ni superman ni spiderman mais MUSULMAN !
Pratiquement tous ses membres sont arabes,la communauté reste solidaire même avec leurs voyous.Quand aux autres à consonnance française,ce sont les collabos que nous avons toujours eu dans notre pays avec aussi et surtout les socialistes et communistes.
“L’islamophobie galopante, ses pyromanes et ses brutes épaisses ne pourront plus imposer le règne de la terreur en toute impunité”
…heu pardon ??? Le règne de la terreur c’est qui ??? Les muzz dehors, comme ça, il n’y aura plus d’islamophobie. C’est donc très très simple. Et commencez par ces hordes de voiles qui déambulent dans nos villes : c’est purement intolérable. C’est gênant. Ça fait peur. C’est de la provocation. C’est de l’envahissement. De l’annexion religieuse et “culturelle” (moi j’appelle pas ça une culture).
il existe une association de ce type, l’alliance générale pour le respect de l’identité française et chrétienne :
http://www.lagrif.fr/
M Dumas devrait savoir que lorsque l’on monte auux arbres il faut avoir le caleçon propre!!
et quand nous français d’origine depuis des générations allons créer une ligue de défense pour garder nos lois,traditions et coutumes!! qu’il regarde déjà ce que ses semblables font en France , exemple Marseille !! en plus à sa place je ferai en sorte que l’on m’oublie!!
Je souhaite que cette joyeuse équipe aie du boulot. Car plus elle en aura sera le signe que le peuple français (le vrai) sera de plus en plus à bout de nerf, à cran de tous ces merdeux qui vivent aux crochets de la République et n’y apportant rien que la haine et la violence qui leur est intrinsèque ou inculquée. Regardez ces belles gueules de convertis : ils ne ressemblent plus à rien, ils ne servent plus à rien… Et toutes les voilées, que font-elles de leurs journées ? Elle ne sont pas au travail n’est-ce pas ? Qui paye, enfin ??? Tout devient impossible.
Avocat des voleurs et des assassins avocat quoi!
” Karim Achoui, résolu à éclaircir un horizon assombri par la haine, l’inertie des pouvoirs publics, et la connivence certaine des médias, à la lumière de la justice, du respect de la loi de 1905 et de “la liberté de conscience” qu’elle est censée garantir. !!!!” Alors que la liberté de conscience n’existe pas dans la doctrine mortifère islamique (art 22 de la déclaration de l’O.C.I. des droit de l’homme musulman) Ils ne manquent pas de toupet de se prévaloir de cette liberté, c’est à dire celle de changer de religion (apostasie), punie de mort par la charia, loi musulmane dont fait état l’art. 22 de la déclaration ci-dessus cité. On connait le but ultime de cette association : pénaliser la critique et l’exégèse de cette religion sanguinaire, dont les textes tombent sous le coup de la loi Gayssot ! Cela sous couvert d’agressions dont la répression est entièrement justifiée. Ils veulent qu’attaquer des concepts religieux soit assimilé à du RACISME. C’EST LEUR SEUL BUT !!! Il y aurait un racisme anti-musulman, comme si être musulman était appartenir à une race ! Le comble de la perversion et subversion intellectuelle au pays des Lumières. Nous nous sommes libérés de l’emprise du catholicisme sur la société en 1905, ce n’est pas pour retomber dans l’asservissement (soumission=islam) de l’impossibilité de la critique rationnelle de cette idéologie totalitaire qui a pour but avéré dans ses textes sacrés de soumettre la terre entière à cette funeste doctrine de haine de ceux qui la rejettent avec force et véhémence.
Leur but est clair, Karim Achoui et Amar Lasfar de l’UOIF poursuivent le même but masqués !
“Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté” Amar Lasfar cité dans « La cité mode d’emploi », Homme et migration, n° 1218, mars-avril 1999 p.55 “L’Assimilation suppose pour les populations islamiques se fondre à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle” Amar Lasfar, conférence à l’Alliance régionale du Nord, 9 octobre 1997 Amar Lasfar est un Marocain né en 1960. Il dirige la mosquée de Lille-Sud, qui possède à son étage un lycée reconnu par l’état depuis 2004. L’imâm avait chaleureusement remercié Martine Aubry pour son aide à l’ouverture de ce lycée. Lasfar dirige la Ligue islamique du Nord, représentant l’UOIF dans la région. Quand six prédicateurs invités au congrès de l’UOIF ont été interdits de territoire en mars dernier pour incitation à la haine, Amar Lasfar aurait le vendredi suivant la polémique fait un sermon très méprisant envers Nicolas Sarkozy, et aurait affirmé que le voulant ou non, la France deviendra une société musulmane à long terme. L’emploi du conditionnel est une précaution car notre source, haut placée à la Police Nationale, nous avait communiqué la transcription uniquement par téléphone. Toujours est-il que ce personnage est depuis le mois de Juin dernier le Président de l’U.O.I.F. (union des organisations islamiques de France). Français vous savez désormais à quoi vous attendre ! La loi de l’islam est, pour ce personnage officiel, au dessus des lois républicaines, et la notion de communauté est supérieure à celle de CITOYEN de la République ! Qu’on se le dise !
Ils agissent de conserve avec Marwan Muhammad…
…président du CCIF qui avait affirmé : « Il n’y a pas de revendication communautaire qui existe en France, ni du CFCM ni d’aucune association musulmane qui viendrait réclamer un droit spécifique et une exception juridique pour eux » Alors qu’il connait bien la position sur le sujet du nouveau président de l’UOIF, Lasfar, son compère dans l’affaire de l’islamophobie voulant faire passer pour raciste la critique de sa religion ! Il y a des musulmans ottomans, malais, indonésiens, arabes, kabyles, français, balkans, russes et ils appartiendrait à une nouvelle race: l’islam ! Ne critiquez plus le catholicisme, le protestantisme…vous allez être traités prochainement de racistes !
Si je comprend bien…
Il se reconvertirait dans l’islamisme, le jihad et le banditisme allant souvent de pair pour financer la “guerre sainte”. L’un servant de masque à l’autre. Ce personnage est bien sulfureux, c’est le moins qu’on puisse dire pour lui accorder quelque crédibilité ne cachant pas d’arrière pensée.
Remarquable, merci.
Petit à petit le piège se referme autour des islamo-LUCIDES, Il va être de plus en plus difficile d’émettre même une opinion à propos de la RATP sans risquer de se retrouver devant la 17° chambre et de se voir lourdement condamné à de fortes amendes.
Il est d’ailleurs curieux qu’ils n’aient pas pensé plus tôt à la création de cet outil du jihad “furtif”, financé par qui , à propos?
Cette phase de la stratégie de conquête, d’islamisation de la France et du remplacement de sa population vise à faire disparaitre les derniers réduits de défense de la liberté d’expression.
En attendant la prochaine et dernière phase, en forme de “solution finale”: une Saint Barthélémy des patriotes?
Je pense qu’il est plus que temps de s’y préparer….
Cette association sera déclarée d’utilité publique et c’est nos impôts qui la financeront…………..Donc aux frais de la princesse ! ! ! ! !
la 2eme étape sera de recevoir des subventions de notre gouvernement islamo-socialiste
C’est un peu comme si on avait choisi Al Capone pour créer la ligue de Défense des Italiens.
C’est du propre !! on a pas fini d’en baver si une ligue judiciaire de défense des français chrétiens ou simplement laïcs ne vient pas contrebalancer ce pouvoir que se donnent ces avocats véreux
Alors on ne pourra plus dire c…..,b……,r… de c…..? On ne pourra plus manger dans la rue pendant le ramadan,faire la moue en croisant un fantôme,faire un commentaire réaliste après une attaque de policier,de train,de militaires,de tuerie style merah,faudra porter le doeuil quand un réglement de compte aura fait un mort,ne pas répondre quand on entendra sous-chiens ou porcs sur notre passage,
ne pas se rebiffer contre l’abattage halal ,manger halal dans les cantines pour nos enfants,entrer dans une église,chanter,se mettre en tenue légère l’été,passer devant une mosquée sur la pointe des pieds,se prosterner devant eux quand l’envie leur en prendra et si refus plainte contre nous pour islamophobie !!!!! la liste est ouverte !!!!!
Cette ligue est la cerise sur le gâteau ou plutôt la côte de porc sur le couscous !!!!!!!
C’est quand même fort!Il faut faire une ligue pour protéger des individus qui nous pourrissent. l’existence depuis des décennies qui nous coûtent une fortune en urssaf et autres aides,en policiers,etc….mais ou va t’on?
On veut manger du porc boire du vin vivre comme on vit dans un pays qui a versé son sang pour être libre,mais enfin c’est inouï !comment les autorités de ce pays peuvent capituler ainsi
Il faut se rassembler,juifs chrétiens athées .de droite de gauche peu importe .ce qui fait la France c’est ça
Nous aussi nous devons être ligués
Ils sont au moyen âge qu’ils y restent mais seuls
ON NE VEUT PAS ÊTRE MUZZ!!!!!!!!
Une ligue de défense judiciaire des musulmans ???
Le fait que les prévenus soit musulmans rend les tribunaux d’une soudaine et grande mansuétude et les délits qui devraient ètre punis avec la plus grande sévérité font l’objet de sursis, mise à l’épreuve, admonestations, rappels à la Loi , T.I.G. bref les ‘prévenu” ressortent libres comme l’air au grand dam des victimes et plaignants de nouveau face à leurs agresseurs renforcés dans leur comportement.à la grande satisfaction de taubi qui hait la France.,
La prochaine étape, ce sera quoi? Des tribunaux islamiques???
le comble du cinisme….
QUOI ?
compatriotes français de confession musulmane, alors con c’est sûr,après patriotes ça m’étonne ,ils ne savent même pas ce que ça veut dire car la plus part le font par inculture, les autres par besoin, en fin de compte des pauvres gens on a des exemples, Ribéry puits de science, Martine et son coquin pour les voix.
Continuons le combat de la liberté d’expression que Valls fait désormais sien !!!
Notre liberté est en danger ! Quel est le but visé par ce mot mis à toutes les sauces de même que stigmatisé (pauvre François d’Assise). Nous assistons à la fabrication planétaire d’un nouveau délit d’opinion, analogue à ce qui se faisait jadis dans l’Union soviétique contre les ennemis du peuple. Forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 70 pour contrer les féministes américaines, le terme d’«islamophobie», calqué sur celui de xénophobie, a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent. Or une confession n’est pas une race, pas plus que ne l’est une idéologie séculière : l’islam, comme le christianisme, est révéré par des Arabes, des Africains, des Asiatiques, des Européens, de même que des hommes de tous pays sont ou ont été marxistes, libéraux, anarchistes. Jusqu’à preuve du contraire, on a le droit, dans un régime démocratique, de juger les religions mensongères et rétrogrades et de ne pas les aimer. Se méfier de l’islam comme on a pu en d’autres temps se méfier du catholicisme, juger inquiétant son prosélytisme agressif, sa prétention à la vérité unique, son penchant sacrificiel, c’est manifester un sentiment qu’on estimera légitime ou absurde, ce n’est pas faire preuve de racisme. Faut-il parler de «libéralophobie» ou de «socialistophobie» parce qu’on est contre le règne du marché ou la redistribution des richesses ? Ou faut-il rétablir le délit de blasphème, aboli en 1791 par la Révolution, comme le réclame chaque année l’Organisation de la conférence islamique ainsi qu’en France, en 2006, un député UMP, Jean-Marc Roubaud, soucieux de punir tout ce qui bafoue ou calomnie «les sentiments religieux d’une communauté ou d’un Etat quel qu’il soit». Le pari des sociétés ouvertes, c’est de concilier la coexistence pacifique des grandes croyances avec le droit à la libre expression. La liberté de culte est garantie et la liberté de critiquer les cultes également. Les Français, échaudés par des siècles de domination cléricale, souhaitent un affichage discret des croyances. Réclamer des droits séparés pour telle ou telle communauté, imposer de strictes limites à l’examen des dogmes nous ramènerait directement à l’Ancien Régime. Le terme d’islamophobie remplit plusieurs fonctions : nier pour mieux la légitimer la réalité d’une offensive intégriste en Europe, attaquer la laïcité en l’assimilant à un nouveau fondamentalisme. Mais surtout faire taire les musulmans qui osent remettre le Coran en cause, en appellent à l’égalité entre les sexes, au droit à l’apostasie et aspirent à pratiquer paisiblement leur foi sans subir le diktat de doctrinaires ou de barbus. Il faut donc stigmatiser ces jeunes filles qui refusent le voile, souhaitent marcher sans honte, tête nue, dans la rue, foudroyer ces Français, ces Allemands, ces Anglais d’origine maghrébine, turque, africaine, algérienne qui réclament le droit à l’indifférence religieuse, le droit de ne pas croire en Dieu, de ne pas jeûner pendant le ramadan. Il faut les désigner, ces renégats, à la vindicte de leurs coreligionnaires, les faire taire pour bloquer tout espoir d’une mutation chez les fidèles du Prophète (en France et de façon révélatrice, c’est un «Collectif contre l’islamophobie» qui soutient juridiquement les femmes verbalisées pour port du voile intégral). Nous assistons à la fabrication planétaire d’un nouveau délit d’opinion, analogue à ce qui se faisait jadis dans l’Union soviétique contre les ennemis du peuple. Et ce avec l’onction des médias et des pouvoirs publics. Notre président lui-même, jamais en retard d’une bourde, n’a-t-il pas comparé l’islamophobie à l’antisémitisme ? L’erreur est tragique : le racisme s’attaque aux personnes en tant qu’elles sont coupables d’être ce qu’elles sont, le Noir, l’Arabe, le Juif, le Blanc. L’esprit critique, à l’inverse, porte sur les vérités révélées, les écritures toujours susceptibles d’exégèses, de transformations. Cette confusion a pour objet de déplacer la question religieuse du plan intellectuel au plan pénal, toute objection ou moquerie étant passible de poursuites. Quant aux profanations de tombes, de lieux de culte, si elles relèvent évidemment des tribunaux, elles touchent dans leur immense majorité en France les cimetières ou églises chrétiennes . On s’en veut de le rappeler : de tous les monothéismes, c’est le christianisme qui est aujourd’hui le plus persécuté dans le monde, surtout dans les pays musulmans, Algérie, Irak, Egypte entre autres. Il est plus facile d’être musulman à Londres, New York ou Paris que protestant, catholique au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord. Mais le vocable de «christianophobie» ne prend pas et c’est heureux. Imagine-t-on la Saint-Barthélemy condamnée par nos ancêtres sous l’angle de la discrimination plutôt que du fanatisme religieux ? Il est des mots qui contribuent à infecter la langue, à en obscurcir le sens. «Islamophobie» fait partie de ces termes à bannir d’urgence du vocabulaire.
Valls ne tombe pas dans le piège tendu par les islamistes à propos de “l’islamophobie” et ce que le mot cache et dans quel but !
Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, s’est toujours refusé jusqu’à présent d’employer le terme « islamophobie », préférant l’expression « anti-musulman », comme en témoigne son discours lors de l’iftar organisé à la Grande Mosquée de Paris. Un choix qui suscite l’incompréhension de la communauté musulmane, qui perçoit le refus du ministre comme une manière de minimiser la réalité islamophobe dans le pays. Manuel Valls a choisi pour sa part d’expliquer ce choix dans une interview accordée au Nouvel Observateur. Selon lui, le terme « islamophobie » suscite « la polémique » car « sa genèse montre qu’il a été forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 1970 pour jeter l’opprobre sur les femmes qui se refusaient à porter le voile ». Le ministre n’admet pas la définition référence de l’islamophobie comme toute agression verbale ou physique contre des lieux et des personnes en raison de leur appartenance à l’islam, et ceci sur la base de « l’argumentaire de l’essayiste Caroline Fourest ». Or, ses travaux sur l’islam sont décriés par de nombreux intellectuels et associations antiracistes. Peu importe pour le ministre : « Je choisis (les mots) que j’emploie ». « Le terme étant entré dans le langage courant, certains parlent “d’islamophobie” de bonne foi pour évoquer le racisme contre les arabo-musulmans. En revanche, d’autres, défenseurs d’un islam fondamentaliste – en particulier les salafistes – l’utilisent avec un objectif bien clair : empêcher toute critique de la religion et s’opposer aux principes de la République », déclare-t-il. « Pour les salafistes, “l’islamophobie” est un cheval de Troie qui vise à déstabiliser le pacte républicain », ajoute-t-il. En mettant l’accent sur ces « salafistes » et autres « sites djihadistes » qui utiliseraient « l’islamophobie » comme une arme contre les libertés dont la République serait garante, le ministre finit par jeter la suspicion sur l’ensemble des musulmans quant à leurs intentions dans l’usage actuel qu’ils font de l’islamophobie. « La victimisation par rapport aux juifs est une vieille technique antisémite. On dit alors que les juifs sont davantage protégés par les autorités que les musulmans », ajoute M. Valls, pour qui « la police et la justice font leur travail », citant le cas de trois musulmanes frappées à Orléans qui ont obtenu une condamnation de leur agresseur. Pour Manuel Valls, l’important reste « de souligner une réalité : les actes racistes et xénophobes exercés à l’encontre de nos compatriotes musulmans ont augmenté de 28% depuis 2012 ! » (57 % par rapport à 2012 selon le CCIF. Certes. Mais l’oreille attentive portée par le ministre à Caroline Fourest interroge sur la crédibilité de son discours à l’égard des musulmans. En rejetant l’islamophobie de son vocabulaire, il disqualifie le combat mené par de nombreuses associations en la matière – à commencer par le CCIF -organisme dont le but avéré est d’interdire la critique de l’idéologie qu’il défend – qui n’entendent pas pour autant changer leur discours. Mais Valls en connait la finalité et ne tombe pas dans le piège, enfin il est lucide sur le sujet faussé par les islamiques.
Valls contre Taubira qui veut instituer le délit de blasphème, contre toute la tradition Française des Lumières !
Rappelons que les prétendues associations antiracistes, chez qui les subventions remplacent les militants, œuvrent ouvertement, notamment le MRAP, pour instituer en France un délit d’islamophobie, et amalgament toute critique de la religion musulmane à du racisme et à de l’incitation à la haine. Rappelons que le porte-parole du CCIF, Marwan Muhammad, en août dernier, dans la mosquée d’Évry, disait : « Qui a le droit de dire que la France, dans trente ou quarante ans, ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne, dans ce pays, n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit, dans ce pays, de définir pour nous ce qu’est l’identité française. » Rappelons que le CCIF a vu sa campagne nationale contre l’islamophobie financée par le milliardaire Soros, par ailleurs généreux bienfaiteur des Femen… Rappelons que ledit CCIF relaie ouvertement, sur le territoire français, au service d’organisations étrangères, l’article 22 de la déclaration des droits de l’homme en islam, adoptée au Caire, en 1990, par les 57 pays de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) : « Tout homme a le droit d’exposer librement son opinion, à condition qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la charia. » Rappelons que Christiane Taubira, auteur en 2001 d’une loi qualifiant de crime contre l’humanité le seul esclavage français, justifiait ainsi sa décision : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes. » Rappelons enfin que la garde des Sceaux a qualifié de racistes la loi contre le voile islamique à l’école publique, en 2004, et celle contre le voile intégral, en 2009. Faut-il rappeler que l’auteur de la phrase « J’affirme ceci : l’occupation allemande était, si on la compare par exemple avec l’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une occupation relativement inoffensive, abstraction faite d’éléments d’exception comme les incarcérations, les internements et les exécutions » ne fut, lui, jamais poursuivi, ni par aucune association, ni par aucun garde des Sceaux. Il avait la chance de ne pas s’appeler Le Pen ou Bourdouleix, mais Stéphane Hessel.
Merci de ce long com.
J’en partage la totalité des propos, mais n’aurais pas eu le talent de l’écrire comme vous venez de le faire.
Je me permets, avec votre accord, d’en faire un copié/collé et de le conserver.
…Mais qui est Karim Achoui ?
Les affaires Achoui : Le 15 décembre 2008, il est condamné par la cour d’assises de Paris
à une peine de sept ans de prison pour complicité de tentative de meurtre, complicité
d’évasion d’Antonio Ferrara et association de malfaiteurs. Karim Achoui interjette appel
de cette décision et a été remis en liberté sous caution le 5 février 2009. Pendant cette
liberté provisoire, suite à un arrêt rendu par la cour d’appel de Versailles et confirmé
par la Cour de cassation, dans le cadre d’un faux commis au préjudice de son ex-femme, il
n’a plus le droit d’exercer sa profession d’avocat pour cinq années. Dès lors, avec le
comédien Smaïn, il se reconvertit dans la restauration avec l’ouverture en collaboration
d’un établissement appelé le « Zarma des Prés » à Paris, et utilise frauduleusement la
signature de son frère qui portera plainte. Le 22 octobre 2010, il est finalement acquitté
par la cour d’assises d’appel de Paris. Le 4 mai 2012, la Cour de cassation rejette son
pourvoi contre l’arrêt de la cour d’appel de Paris qui l’avait radié du tableau de l’ordre
des avocats pour de graves infractions à la discipline. Extorsion de fonds : Karim Achoui
a été mis en examen en 2005 pour subornation de témoin dans une affaire d’extorsion de
fonds commise par le clan Hornec en 2002. Karim Achoui aurait exercé des pressions sur un
témoin pour qu’il retire sa plainte selon un policier. Il a bénéficié d’un non-lieu.
Blanchiment d’argent : Karim Achoui est placé en garde à vue le 20 septembre 2007 dans une
affaire de blanchiment d’argent. Le parquet de Meaux avait ouvert une information
judiciaire en 2006 suite à la vente d’un commerce appartenant à une figure du grand
banditisme mort assassiné. Karim Achoui est soupçonné d’avoir perçu une commission lors de
la vente de ce commerce. Complicité de faux : Karim Achoui est poursuivi pour avoir
utilisé la signature de sa femme, à son insu, afin de monter une société de vente de
chaussures en 2004. À ce titre, il est accusé de « complicité de faux, fourniture
d’indication fausse ou incomplète en vue d’une immatriculation au registre du commerce et
des sociétés et exécution d’un travail dissimulé ». Le 22 juin 2007, il a été condamné à
un an de d’emprisonnement avec sursis, 10 000€ d’amende et 5 années d’interdiction
d’exercer la profession d’avocat. Le jugement en appel a abouti le 20 février 2008 à
l’aggravation de sa condamnation à 1 an de prison avec sursis, 20 000€ d’amende et 5
années d’interdiction d’exercer la profession d’avocat. Cet arrêt est devenu définitif
suite au rejet de son pourvoi le 14 janvier 2009 par la chambre criminelle de la Cour de
cassation. Complicité dans l’évasion d’Antonio Ferrara : Karim Achoui est soupçonné
d’avoir participé à l’évasion spectaculaire d’Antonio Ferrara de la maison d’arrêt de
Fresnes en 2003. Il était à cette époque l’avocat d’Antonio Ferrara et aurait utilisé sa
fonction d’avocat, par l’intermédiaire d’un de ses collaborateurs, lors d’un parloir, pour
donner le top départ de l’opération. Le 28 novembre 2005, au petit matin, Karim Achoui a
été interpellé par l’Office central pour la répression du banditisme (OCRB). Il a été mis
en examen le soir même de « complicité d’évasion » et laissé en liberté sous contrôle
judiciaire. Il doit cependant verser une caution de 30 000 € à régler en deux fois. Cette
somme n’a pas été versée totalement. M. Achoui a expliqué lors de son premier procès en
2008 qu’il était innocent et qu’il n’avait pas voulu payer. Karim Achoui, qui s’est
exprimé sur cette affaire le 4 décembre 2005 en direct dans l’émission télévisée de Marc-
Olivier Fogiel, On ne peut pas plaire à tout le monde sur France 3, a déclaré être
étranger aux faits qui lui sont reprochés. Karim Achoui a été jugé par la cour d’assises
de Paris durant les mois d’octobre, novembre et décembre 2008. L’accusation s’appuie
notamment sur plusieurs écoutes téléphoniques. Il est mis en cause lors d’une écoute entre
les complices de l’évasion de Ferrara, l’un d’eux ayant dit: « On passera par le baveux
pour faire passer le feu vert au petit » (surnom de Ferrara). Son nom est prononcé dans
une autre écoute, lorsque l’un des membres du commando cherchait un médecin pour soigner
un blessé suite à l’opération : « Il a un médecin, Achoui? ». Karim Achoui est condamné
dans la nuit du 14 au 15 décembre à une peine de sept ans de prison. Son placement en
détention a été ordonné. Ses avocats ont annoncé qu’ils allaient faire appel, après un
premier renvoi du verdict, la semaine précédente, concernant sa demande de libération
formulée par ses avocats. Karim Achoui est libéré sous caution le 4 février 2009. La
caution de 50 000 € est versée dans la journée par Rachid Nekkaz, ex candidat à la
candidature aux élections présidentielles et Jean-Bruno Roumégoux, président de la
Coordination nationale des prisonniers sans preuves. Karim Achoui est libéré dans la
soirée de la Maison d’Arrêt de Nanterre (Hauts-de-Seine). Le 22 octobre 2010, la cour
d’assises d’appel de Paris l’a acquitté, ne suivant pas les réquisitions du parquet.
Radiation du barreau de Paris : Karim Achoui est radié du barreau de Paris par un arrêt
rendu par la cour d’appel de Paris le 13 janvier 2011 qui infirme totalement la décision
du conseil de discipline de l’ordre des avocats de Paris qui avait jugé qu’il ne pouvait
plus être puni. Les magistrats retiennent qu’il a illégalement perçu, au moyen d’un faux
document imitant la signature d’un client, la somme de 1 501 euros qui devait revenir à
celui-ci. La cour d’appel lui a également reproché d’avoir employé pendant de très
nombreuses années des personnes qui n’étaient pas déclarées (secrétaire et femme de
ménage). Les juges ont enfin considéré que ces faits, ajoutés à sa condamnation en 2008 à
la peine d’un an d’emprisonnement avec sursis pour complicité de faux, étaient
incompatibles avec la profession d’avocat et justifiait la radiation du tableau de l’ordre
des avocats au barreau de Paris. Karim Achoui a formé un pourvoi en cassation qui a été
rejeté par la première chambre civile de la Cour de cassation le 4 mai 2012, rendant ainsi
définitive la décision de la cour d’appel. Il ne pourra plus jamais être inscrit dans
aucun barreau de l’Union européenne. Liquidation judiciaire : Karim Achoui a été placé en
liquidation judiciaire par le tribunal de grande instance de Paris, ses créanciers, pour
un passif déclaré supérieur à 500 000 euros, n’étant pas payés. Cette décision a été
confirmée par la cour d’appel de Paris. Tentative d’assassinat: Il a été blessé par deux
tirs par balle le vendredi 22 juin 2007 en sortant de son cabinet parisien. On a alors
retrouvé 15 000 euros dans sa poche. Il aurait pris une balle dans le dos et une seconde
dans la fesse qui serait ressortie par l’aine, mais s’en est sorti sans séquelle après une
hospitalisation d’une quinzaine de jours à l’hôpital européen Georges-Pompidou. Achoui se
dit la victime d’une tentative d’infiltration: Peu de temps avant son agression, Karim
Achoui aurait, selon lui, fait part au bâtonnier de l’Ordre des avocats de Paris d’une
tentative d’infiltration de son cabinet par la police expliquant : « Le 4 juin j’ai été
informé que l’une de mes secrétaires renseignait un service de police. J’ai informé le
bâtonnier et licencié la secrétaire. Je suis persuadé que l’attentat contre moi est lié à
cette infiltration ». L’instruction serait actuellement en cours. L’enquête: Dans
l’affaire de son agression, quatre personnes ont été interpelées, dont R. Tnote , qui
s’avère être un indicateur de la police. Il était inscrit, entre novembre 2006 et le 20
octobre 2007, au bureau central des sources du SIAT (service interministériel d’assistance
technique). Ce service, créé en 2004, est chargé de la formation des agents infiltrés dans
les réseaux du crime organisé. Leurs indicateurs sont inscrits sur une liste. Il a été
renvoyé en raison de sa dangerosité et de son inefficacité. Ce dernier a été reconnu par
Karim Achoui comme étant le tireur. Les trois autres hommes sont N. K., J. H. et B . Tous
trois sont considérés comme appartenant au grand banditisme et comme n’ayant eu qu’un rôle
d’intermédiaire. Achoui se dit la victime d’un complot: Me Achoui attribue cette tentative
à des policiers corrompus de la BRB qui souhaiteraient lui faire payer ses succès de
prétoire et le fait d’avoir fait échouer plusieurs enquêtes. L’enquête a révélé que R. T .
avait eu des contacts téléphoniques avec l’officier de police qui l’avait employé comme
indicateur, la veille et le jour de l’attaque, ce que Karim Achoui considère comme la
preuve du complot policier. L’enquête n’a pas permis d’établir que cet officier de police
soit en rapport avec la tentative de meurtre dont Karim Achoui a fait l’objet. En
septembre 2008, dans un second livre intitulé Un avocat à abattre (son précédent ouvrage,
L’Avocat du milieu , ayant été publié en mars 2008), Karim Achoui écrit à ce sujet : « Une
frange de la police, plus particulièrement versaillaise, a trempé jusqu’au cou dans mon
affaire », avant de citer le nom d’un commissaire de la police judiciaire de Versailles.
Ce dernier a réclamé l’interdiction de l’ouvrage, mais le juge ne l’a pas fait en raison
de deux vices de forme. Cependant, à la demande du syndicat policier Synergie, la Ministre
de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie a déposé plainte contre Karim Achoui pour «
diffamation envers la police nationale ». Cette plainte, déposée en vertu de l’article 48
de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, vise plus particulièrement une
interview de l’intéressé parue dans France-Soir le 10 septembre 2008 et dans laquelle il
donne le nom du commissaire. De son côté, le commissaire a également déposé une dizaine de
plaintes en diffamation contre le livre de Karim Achoui et tous les médias qui ont repris
les accusations portées par cet ancien avocat à son encontre. Le tribunal correctionnel de
Paris a retenu la responsabilité pénale de M. Achoui pour un certain nombre et l’a
condamné à des amendes et des dommages-intérêts. Il n’a pas fait savoir s’il ferait appel.
La thèse d’un complot de la police ou d’un policier unique n’a donc pour l’instant jamais
été validée par la justice. Karim Achoui a fait également l’objet de poursuites de son
ancien collaborateur. Il a été condamné pour diffamation publique à cette occasion. source wikipedia