Michel Garroté, réd en chef –- L’Union Démocratique du Centre (UDC), un parti politique suisse de tendance libérale conservatrice, dénonce — avec raison — l’éviction croissante du droit suisse par le droit dit international. Le parti part en campagne pour défendre la primauté des lois helvétiques. Le principe devrait être inscrit dans la constitution fédérale suisse. Divers moyens sont envisagés, dont le lancement d’un référendum d’initiative populaire.
L’Union Démocratique du Centre a élaboré un document de 30 pages soulignant l’influence grandissante du droit dit international sur les lois suisses. Il est vrai que le système d’Etat de droit suisse, un système libre, démocratique et fédéral, est miné ; et il est tout aussi vrai que des initiatives populaires ne sont plus appliquées alors qu’elles devraient l’être.
Sont à mettre en cause notamment la Cour européenne des droits de l’homme, la Cour de justice européenne, l’ONU, l’OCDE et la bureaucratie européenne. La Suisse, qui n’est membre ni de l’UE, ni de la zone euro, reprend néanmoins des interdictions et des réglementations décrétées par des bureaucraties et des organisations internationales qui n’ont souvent aucune légitimité démocratique. C’est entre autre cela qui agace profondément la majorité du peuple suisse.
Quant aux négociations et conditions fiscales, financières et bancaires imposées par le régime socialiste français au gouvernement helvétique, elles ont choqué le peuple suisse qui a le sentiment d’être gouverné par des individus devenus incapables de mener ce type de négociations avec courage et fermeté.
Pour contrer cette tendance liberticide, l’UDC veut légitimement restaurer la primauté de la constitution fédérale suisse sur le droit dit international. Seule exception à ce principe : les règles impératives du droit international, ce qui est normal.
Les nouvelles lois devraient prévaloir sur les accords internationaux antérieurs. En cas de besoin, il faudrait renégocier certains traités ou les résilier. Les nouveaux accords internationaux primeraient en revanche sur des lois plus anciennes, pour autant que ces accords aient été soumis au référendum populaire.
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© M. Garroté réd en chef www.dreuz.info
Et dire qu’en France, la majorité des gens prennent les Suisses pour des “huitres” !
…et aussi les belges pour des andouilles, les anglais pour des demeurés, les juifs pour des radins, les américains pour…je ne sais plus quoi…les français eux c’est les champions de la langue de vipère.
excellente initiative. En 2017, avec la future présidente qu’il y aura en france, je ne doute pas que nous prendrons le même chemin
Entièrement d’accord avec la position Suisse. Nous sommes des voisins farauds et prétentieux. Entre nos politiques qui se posent en donneurs de leçons et les abrutis qui pensent être supérieurs (car Français), je ne suis pas étonné.
Généralement pas de fumée sans feu :
– http://www.france24.com/fr/20130729-salaries-francais-paresseux-arrogants-recruteurs-suisse
Merci Patrick 😕 😀
je suis français,mais comme je comprend les Suisse,mon pays est devenu la honte du monde entier,grâce a nos gouvernants pourris depuis 40 ans !!!!
http://jssnews.com/2013/08/14/la-suisse-nomme-jean-ziegler-un-negationniste-au-conseil-des-droits-de-lhomme/
Quand les français seront aussi arrogants que les suisses, la France ira beaucoup mieux et guérira de sa maladie socialo-islamiste.
Je ne crois pas que le Suisses soient arrogants. Je trouve par contre qu’ils font trop confiance à certains élus qui ne le méritent pas!
La Suisse doit faire très attention : elle est cernée !
Et elle est déja minée de l’intérieur. Il est temps qu’elle reprenne en main son destion. Ceci est une excellente initiative mais c’est insuffisant. La Suisse doit dénoncer les Accords de Schengen.
C’est bien vrai, comme une île entourée de requins. Dénoncer Schengen serait la bonne solution. Mais vu les troubles croissants en France et al, il faudra bientôt apporter une réponse,comme en temps de guerre !
la non maîtrise des flux migratoires est une aberration.
de plus la Suisse subit de plus en plus la pression d’instances de l’UE qui lui imposent des normes qu’elle n’a pas à observer.
Aujourd’hui, comme hier, notre ennemi est d’abord à l’intérieur de la Suisse, et le GSSA, pour un Suisse sans armée en fait partie (une étrange organisation européenne)
http://www.planete-revelations.com/t7902-lue-va-t-elle-devenir-un-quatrieme-reich
Les ennemis sont donc bien chez nous et je crains que certains à Berne ne soient sous l’influence des Illuminatis, ou l’oeil d’Horus…