Il y a 7 mois, en décembre 2012, notre association « les 150 000 Français en Israël » interpellait le consul de France à Jérusalem, monsieur Frédéric Désagneaux pour lui demander pourquoi il avait décidé de fermer, pendant une journée, le consulat de France à Jérusalem pour s’associer aux festivités qui ont marqués les 25 ans de la “Palestine” (sic). En fait il s’agissait des 25 ans de la création du Hamas !!
Ensuite, nous avons interpellé Monsieur Désagneaux pour connaître les raisons pour lesquelles les informations diffusées sur le site du consulat de France à Jérusalem sont en arabe et en français, mais pas en hébreu, la langue du pays d’accueil, comme il est de tradition sur tous les sites internet des consulats français du monde – sauf Israël bien entendu.
Il nous avait alors répondu que cela dépendait de « la politique éditoriale du Quai d’Orsay, et que son consulat était investi d’une « mission spécifique ». Boycotter la langue officielle de l’Etat juif et la remplacer par l’arabe est en effet une mission très … spéficique.
Nous avions également demandé au Consul de France à Jérusalem de nous donner des précisions sur la mission spécifique du Consulat de France à Jérusalem, et à son Ministre de tutelle, Monsieur Laurent Fabius, de nous donner les raisons pour lesquelles le Quai d’Orsay parlait du Gouvernorat de Jérusalem, avec un Gouverneur palestinien de notre capitale, alors que Jérusalem a un maire élu, un conseil municipal, toute la population de Jérusalem ayant voté, y compris les arabes qui vivent sur notre terre.
Puis nous avons dénoncé le fait que ce consul, pendant qu’il assiste à la commémoration des Juifs morts lors de la journée de la Shoah à Roglit, encourage la haine des Juifs vivants sur le site internet du consulat, en publiant une vidéo de palestiniens appelant à la destruction de l’état d’Israël.
A ces actions s’ajoute notre action concernant l’affaire du Proviseur du lycée français de Jérusalem, révélée par nos amis Jonathan-Simon Sellem et Jean-Patrick Grumberg.
Notre association les 150 000 français en Israël a entamé une procédure au pénal contre le consul et contre le proviseur pour avoir incité les enseignants et les élèves du ce lycée à ne pas respecter la minute de silence à la mémoire des victimes de la Shoah, pendant que les sirènes retentissaient dans tout Israël. Lorsque le proviseur du Lycée a exprimé ses regrets et présenté ses excuses, nous avons renoncé à instruire cette plainte.
Enfin, nous nous sommes indignés que ce consul ait avancé la date de la commémoration de la fête nationale pour cause de Ramadan.
Et bien entendu, le consul n’a rien trouvé de mieux que le 8 juillet pour célébrer le 14 juillet, soit le jour où commençait la fête juive de Tisha Béav… mais je dois avoir l’esprit mal tourné et il doit s’agir d’une coincidence.
Mais sur la terre d’Israël, nous ne tolérerons pas que les autorités françaises nous manquent de respect et adoptent une posture méprisante. C’est à eux de se plier aux règles et non l’inverse.
Aussi nous sommes fiers d’annoncer que nos actions contre le consul général de France à Jérusalem ont porté leurs fruits.
Nous, les 150 000 Français en Israël, sommes fiers d’annoncer que le consul de France à Jérusalem, Monsieur Frédéric Désagneaux, va être relevé de son poste.
Adieu et bon vent Monsieur Désagneaux.
D’autres combats nous attendent, nous ne nous faisons aucune illusion. Mais nous veillons car le prix de la liberté c’est la vigilance éternelle écrivait Thomas Jefferson. Et nous gagnerons chaque fois que nous serons unis sur l’essentiel.
Digage!
le con sul de France est ami du terroriste Abou Mazen ? voilà tout !!
c’est une honte de voir ça , il boycotte l’hébreu en faveur de l ‘arabe et du français , alors que le consulat est en Israël !!
A la tête Quai d’Orsay qui donne des ordres il y a des ripoux anti-juifs
la france envoi un consul antisémite en israel !.chapeau ça ,il faut le faire
Je vous souhaite une nomination en Somalie où vous pourrez savourer le charme de l’Islam à longueur de journée… AB
Bravo aux français d’Israël !!!!
au Yemen c’est mieux…
rien que la trombine qu’il se paye est représentative du bonhomme ISRAEL n’a rien perdu au contraire: bon vent et débarras il assainit le sol de sa présence .
bravooooooooooooo à vous 🙂
allez houste fini les musulmanes vivant a gaza sur les genoux
Aussi beau et aussi intelligible que du rap.
Heureusement que la communauté française a réagi.
Il faut vraiment n’avoir aucune décence (ne parlons pas d’honneur, c’est un mot qui ne fait pas partie du vocabulaire de tels individus) pour s’installer sous couvert d’une mission officielle dans un pays hôte allié, et bien abrité derrière les privilèges et la sécurité dont on bénéficie, travailler à sa destruction en toute impunité !
Que cherche le gouvernement de la France en se choisissant de tels représentants à l’étranger, il ne se trouve pas assez méprisé au-dedans, il lui faut aussi écœurer au dehors ?
silence, des Agneaux….
Un CON qui reçoit des mains d’un autre CON qui n’est même pas président une médaille en chocolat d’un pays qui n’existe même pas d’une capitale éternelle du peuple juif (Jérusalem) je suis mort de rire
PAUVRE FRANCE QU’ES TU DEVENU.
pour bons et loyaux services , il doit les aimer les araes celui-là ! oh oui ! :dog: :dog:
J’ai été faire un tour sur le site du consulat de France à Jérusalem
http://www.consulfrance-jerusalem.org/
Pas besoin de savoir l’arabe ni l’hébreu, le français suffit. Dans la colonne de gauche, intitulée “Actualités”, on lit:
Visite de terrain à Khirbet Ar-Ras al-Ahmar auprès de bédouins
Célébration du 14 juillet à Jérusalem
Célébration de la fête nationale du 14 juillet à Gaza
Projet d’appui au secteur des technologies de l’information à Gaza
Clôture du projet de réhabilitation de l’hôpital Al-Quds de Gaza
A la une, on a droit à “Entretien du Consul général avec le Président Mahmoud Abbas”
bon débarras. La seule présence de ce déchet humain sur la terre israélienne était une souillure pour ce pays. L’air sera plus pur après son départ.
Un grand bravo à tous.
Bravo !
La France est mal gouvernée et mal représentée depuis déjà longtemps, mais actuellement c’est une honte totale.
Son air vaniteux très satisfait d’avoir reçu de la verroterie est assez explicite.
Bravo et bon debarras ! Et abbas le quai !
Ha ha ha! Oui, il a l’air très exactement fier comme un pou.
IL A UNE TETE DE SMILEY (le scolo pendre)QU’IL AILLE SE FAIRE ENCULER AILLEURS …EN ENFER AVEC VERGES,HESSEL ET BIENTOT CHARLES ENDERLIN
Très bien, très très bien ….
Reste à savoir QUI va le remplacer?!!!!!!!
ne vous faites pas de mauvais sang pour ça .il y en a des tombereaux pleins.en france
te fais pas de bile…la même trempe :quiet:
J’espère par quelqu’un qui aime profondément Israël !
Bravo !
Magnifique coupe de pied au cul !
Bravo ! Vive Israël ! Devant les réponses de ce Mr Désagneaux, on a honte d’être français !
MDR !
La France est hélas passée de la compromission forcée à la collaboration active. Cela nous rappelle de tristes souvenirs.
Décidément, l’histoire se répété, la France n’a rien retenu de ses erreurs passées
Le 16 août 1915, Léo Frank attend en prison d’être pendu. Cet homme de 31 ans a été condamné pour le viol et l’étranglement d’une jeune ouvrière de 13 ans, Mary Phagan, qu’il employait dans son usine. Seulement, les habitants de Géorgie ne font pas confiance à la justice, et surtout au gouverneur, pour exécuter la sentence. Christiane Taubira est capable de le relâcher pour aménager sa peine… Aussi, quelques minutes avant minuit, l’établissement est-il pris d’assaut par une troupe de vingt-cinq hommes armés. Pas des va-nu-pieds ou de gros débiles antisémites, mais la fine fleur sudiste. Parmi les assaillants, on reconnaît un ancien gouverneur de Géorgie, le fils d’un sénateur, un juge, un pasteur, des shérifs, des maires, des avocats, des banquiers, de riches fermiers. D’habitude, ils se rencontrent sur un terrain de golf, mais un petit lynchage, voilà qui brise la routine. Ils se font appeler les Chevaliers de Mary Phagan.
L’enlèvement de Léo Frank est mené comme une opération militaire. Au sein du commando, chacun a une tache précise à effectuer. Un électricien coupe les câbles pour isoler la prison. Des mécaniciens restent au volant afin d’éviter toute panne des huit automobiles utilisées par la troupe. D’autres sont chargés de vider le réservoir des voitures dans le garage de la prison pour empêcher toute poursuite. Le directeur de la prison et le gardien spécialement affecté à la surveillance du prisonnier sont neutralisés. Un dernier groupe d’hommes tire le prisonnier de sa cellule pour le traîner hors de la prison et le jeter dans l’une des voitures. Gilbert Collard se prépare à plaider en cas d’arrestation d’un membre du commando…
“Nous allons faire ce que la loi a dit de faire”
Le convoi roule jusqu’à Marietta, la ville natale de la jeune Mary Phagan. Tout le monde descend. Scène de lynchage classique : le chef du commando demande à Frank d’avouer son crime. Celui-ci se contente de répondre : “Je pense davantage à mon épouse et à ma mère que je ne l’ai fait de toute ma vie.” Le chef : “M. Frank, nous allons faire ce que la loi a dit de faire, vous pendre par le cou jusqu’à ce que mort s’ensuive.” Le condamné se borne à demander qu’on remette son alliance en or à son épouse. Ce qui sera fait. Un mouchoir blanc est fixé rapidement sur ses yeux. On le fait monter sur une table. Le bourreau lui passe le noeud de la corde autour du cou et jette l’autre extrémité au-dessus de la branche d’un arbre. La table est enlevée. Le condamné gigote dans les airs. À 7 heures, le 17 août 1915, le cadavre du Juif Léo Frank se balance au bout d’une corde.
La nouvelle se répand immédiatement aux alentours. Des dizaines de curieux arrivent à pied, à vélo, à cheval, en voiture. Des hommes, des femmes et des enfants. Certains ont des appareils photo pour immortaliser la scène. À minuit, tous les juifs de Marietta ont fui par peur des représailles ou du boycott de leur commerce. Ils sont bientôt imités par la moitié de la communauté juive de Géorgie. Il parait qu’Israël fait construire 1 200 nouveaux logements dans les colonies en territoires occupés… Le jour même du lynchage, les autorités ouvrent une enquête qui, bien évidemment, n’aboutira pas, même si tout le monde connaît les membres du commando. Leurs noms ne seront officiellement révélés qu’en 2000.
Un merveilleux coupable
Pour qu’une telle haine s’abatte sur Léo Frank, il y a bien plus qu’une histoire de viol et de meurtre. En fait, celui-ci incarne la riche classe dirigeante juive exploitant la misère des petits Blancs du Sud. Prenons l’exemple de Mary Phagan : à 13 ans, cela fait déjà deux ans qu’elle travaille près de 55 heures par semaine sur une machine à sertir pour le salaire de misère de 4,05 dollars. Dans le sud des États-Unis, ils sont des milliers de mômes et bien plus d’adultes à être exploités par une bourgeoisie sans pitié à laquelle Frank appartient. Il dirige l’usine d’une main de fer. Magnifiquement marié à la fille d’une des plus riches familles juives de la ville, il préside la branche locale de l’organisation juive du B’nai B’rith.
Comment un jeune patron, heureux en ménage, devient-il un triste violeur ? Christophe Hondelatte a enquêté… Dans la nuit du 26 au 27 avril 1913, à 3 h 17 du matin, Newt Lee, le veilleur de nuit noir de l’usine de Frank, découvre dans un recoin du sous-sol, près de la chaudière à charbon, le corps sans vie d’une enfant. Il s’enfuit en courant, trouve un téléphone pour appeler les flics, tremblant de peur à l’idée qu’on l’accuse du meurtre. À l’époque, il suffit pour un négro de sourire à une fillette dans la rue pour se retrouver la corde autour du cou. Les policiers arrivent très vite. Ils font les premières constatations : la robe couleur lavande de l’enfant est retroussée autour de la taille, une bande de son jupon lui serre encore le cou. Son visage est noirci et marqué comme s’il avait été traîné sur le sol couvert de poussière de charbon. Des traces de lutte sont visibles.
Des flics incompétents
Le cadavre est identifié comme celui de Mary Phagan, une jeune ouvrière de l’usine. À l’évidence, elle a été violée. De nombreuses empreintes de pas et même des traces de doigts ensanglantées sont visibles, mais les flics, incompétents, oublient de les relever. Hondelatte se mord le poing de dépit… On découvre le chapeau et les chaussures de la victime, déposés sur un tas de détritus avec deux feuilles de papier sur lesquelles quelques mots ont été tracés maladroitement : “He said he wood love me land down play like the night witch did it but that long tall black negro did boy his slef.” Et : “Mam, that negro hire down here did this i went to make water and he push me down that hole a long tall negro black that hoo it wase long sleam tall negro i write while play with me.” Il semblerait que Mary, juste avant de mourir, ait voulu dénoncer son assassin. Un Noir. Mais est-ce bien elle qui a écrit ces lignes ?
Vers six heures, les enquêteurs appellent Léo Frank chez lui pour l’inviter à les rejoindre à l’usine sans lui donner plus de précisions. Comme le jeune homme semble réticent, ils décident de se déplacer. À l’évidence, Frank a peur, il tremble. Quand on lui demande s’il connaît une certaine Mary Phagan, il répond que non, alors que la veille, à midi, il l’avait convoquée pour lui verser un reste de salaire. C’est louche. Pour autant, les flics commencent par concentrer leurs efforts sur le gardien de nuit. Normal, il est noir. Et tout le monde sait que les Noirs ne rêvent que de violer les fillettes blanches. Pourtant, les enquêteurs se détournent rapidement de lui pour concentrer leurs efforts sur Frank qui, décidément, a des réactions bizarres. D’autant qu’un jeune employé de 13 ans, ami de Mary, prétend que celui-ci flirtait avec elle au point de l’effrayer. Curieusement, l’après-midi du crime, Léo Frank a plusieurs fois fait changer ses horaires au veilleur de nuit, ce qui ne lui était jamais arrivé auparavant. Pas la peine de chercher plus loin, c’est lui le coupable. La conviction des flics est faite : le jeune patron juif est un être libidineux qui exploite sans vergogne des enfants dans son usine. Ils le mettent en état d’arrestation deux jours après le crime bien qu’il ait présenté un alibi en béton pour la nuit du viol. La presse locale tombe à bras raccourcis sur ce merveilleux coupable.
La presse se régale
Mais, coup de théâtre, le 1er mai, un balayeur noir de l’usine du nom de Jim Conley est arrêté après avoir été surpris en train de laver une chemise tachée de sang. Les soupçons se portent sur lui. Trois semaines plus tard, poussé dans ses retranchements, il affirme que Frank l’aurait payé deux cents dollars pour se débarrasser du corps de la petite Mary qu’il venait de violer et de tuer. Il explique avoir eu trop peur de refuser d’obéir à un Blanc, d’autant plus que c’est son boss. Il aurait donc traîné le corps de la fillette jusqu’à la chaudière pour l’y brûler. Avant de passer à l’action, il serait remonté dans son réduit pour boire et se serait endormi. C’est pendant ce temps que le balayeur de nuit a découvert le cadavre. Conley accuse aussi le directeur de lui avoir dicté les deux mots retrouvés près du corps. Les flics acceptent l’histoire. C’est bien la première fois que le témoignage d’un Noir est pris en compte pour condamner un Blanc. Inutile de dire que la presse locale, régionale et nationale se régale de cette histoire qui fait bondir les ventes. Elle en rajoute dans l’horreur et les mensonges. Elle trace le portrait d’un Frank pervers sexuel harcelant son personnel. Il aurait même organisé des partouzes dans l’usine, durant la nuit, avec des prostituées recommandées par un de ses cousins patron du FMI… Des ouvrières et une mère maquerelle d’Atlanta viendront témoigner à la barre dans ce sens. Bref, l’affaire est simple : Frank a violé, puis étranglé la petite Mary qu’il avait convoquée pour lui remettre sa paye.
Le 24 mai, Léo Frank est inculpé. Le 28 juillet, il passe en jugement. Le 25 août, il est condamné à mort. Quant à Conley, il n’a droit qu’à un an de prison. Durant les deux années suivantes, Frank se bat comme un beau diable pour démontrer son innocence. Peine perdue. Il multiplie les appels. Même la Cour suprême fait la sourde oreille. Pourtant, les témoignages disculpant Léo se font plus nombreux dans la presse. Ainsi, un repris de justice jure qu’il était avec Conley la nuit du meurtre en train de jouer aux cartes dans l’usine quand celui-ci serait monté à l’étage, aurait trouvé Mary et l’aurait assassinée pour lui piquer sa paie. Il assure même avoir été témoin du meurtre. Mais ce témoignage, comme d’autres, est négligé par la police. Frank reste condamné à être pendu haut et court. Il n’y a plus qu’une grâce du gouverneur pour lui sauver la vie.
La grâce du gouverneur
Effectivement, le 21 juin 1915, le gouverneur de la Géorgie, John Slaton, commue la peine de Franck en prison à vie. Fureur des habitants. Les voilà aussi enragés que Cécile Duflot à qui on supprimerait son maroquin. De populaire, le gouverneur devient haï. Surtout quand la presse découvre qu’il est copain comme cochon avec l’un des avocats de Frank. Immédiatement, plus d’un millier de personnes font le siège de sa villa, l’obligeant à fuir l’État. Mais ce n’est qu’un amuse-gueule. Puisque les autorités pourries jusqu’à l’os ont gracié le Juif violeur, la foule décide de se charger elle-même d’appliquer la peine de mort. Allons chercher Frank dans la ferme prison de Milledgeville pour le lyncher !
Pourtant, elle n’a pas le temps de passer à l’action, car un codétenu de Frank, un certain William Creen, lui tranche la gorge sur 21 centimètres de longueur avec un couteau de boucher. Mais n’ayant pas été formé dans un abattoir casher, ce maladroit ne parvient pas à le saigner entièrement. Frank s’en tire après plusieurs jours de lutte contre la mort. Creen explique qu’il a voulu tuer Frank pour éviter que la foule en colère n’envahisse l’établissement et ne lynche tous les détenus. Comme si on le croyait… Après avoir été soigné, Frank est transféré dans une prison bien à l’écart de la ville. Là où les Chevaliers de Mary Phagan viennent l’enlever le 16 août, pour le pendre.
sur le point à lire les commentaires satisfaits des pointeurs et des pointeuses félicitant l’auteurs de l’article uncertain lewino, juif qui pour leursatisfaction,pointe du doigt une affaire qui impliquait un corélégionnaire .
Qu’on lui offre un poste de Consul au CAIRE ou en SYRIE !
à gaza