Quand il était lycéen à Hawaii, Barack Obama était un gros fumeur de pétards.
On peut aussi dire « joints », ou cigarettes de haschich, cette substance autrefois prisée par les ḥašišiywn, une secte chiite qui éliminait physiquement ses opposants. Le mot ḥašišiywn a donné le mot assassin. Pour autant, Obama n’assassinait pas quiconque à l’époque. Il avait mis l’islam, qu’il pratiquait en Indonésie, et qu’il pratiquera à nouveau à New York (avant de se convertir à la théologie noire de la libération), entre parenthèses, et il était pacifiste, gauchiste, baba cool. Il avait fondé le choom gang, la confrérie des fumeurs de pétards, et il avait la réputation d’être celui qui gardait la fumée le plus longtemps dans ses poumons, pour un maximum d’effet.
Lorsqu’il a suivi les préceptes de la théologie noire de la libération, il a goûté à des drogues plus dures, et ne l’a jamais caché. Puis il a arrêté la drogue.
On peut néanmoins se demander s’il ne continue pas, quelquefois, à fumer des pétards. Et si ses pétards n’ont pas un goût de pétard mouillé, avec retard à l’allumage.
Ses trous de mémoire, ses bégaiements quand son prompteur se bloque, ses écarts d’humeur qui ressemblent à ceux d’un maniaco-dépressif, son comportement bizarre sur un parcours de golf qui, sans aller jusqu’aux outrances d’une Miley Cyrus un soir de MTV Music Awards, n’en ressemblent pas moins parfois à ceux d’une rock star en pleine déchéance, et peuvent conduire à se poser des questions.
Et son attitude ce vendredi, puis ce samedi, conduit à se demander s’il lui arrive de se regarder lui-même.
Après avoir laissé John Kerry tenir, vendredi, un discours qui ressemblait à celui d’un Commandant en chef et parler sur un air martial de ce que l’administration Obama reproche à la Syrie, et après avoir laissé John Kerry s’avancer et évoquer une action imminente, sans consultation du Congrès et sans attendre le rapport des Nations Unies, il a fait diffuser, une heure plus tard, une déclaration prononcée par lui où on le voit, hésitant sur les mots, dire qu’il n’a, en fait, pas pris de décision, et que s’il en prenait éventuellement une, ce serait celle de mener une action très limitée, sans vouloir atteindre le régime syrien. Ceux qui ont vu la déclaration diffusée ont vu un homme hésitant, apeuré, petit sur son siège à côté de ses invités : comme sur la photo de lui et de son équipe diffusée après l’élimination de Ben Laden.
Le lendemain, samedi, Obama a repris son habit de Commandant en Chef, pour trois minutes, devant la Maison Blanche : pour dire cette fois qu’il avait pris une décision, que finalement, il voulait agir, oui, mais pas tout de suite, pas trop vite, et après avoir consulté le Congrès et écouté les premières déclarations des Nations Unies, donc pas avant le neuf ou le dix septembre au plus tôt. Ceux qui l’ont vu samedi ont vu un homme différent, requinqué, mais pressé de partir se livrer à son activité favorite, une partie de golf.
Qu’en déduire ? Qu’Obama a affirmé une position depuis des jours sans l’affirmer explicitement, mais tout en laissant entendre que c’était sa position, qu’il a reculé tout en avançant, disant qu’il allait frapper sans vouloir frapper et sans vouloir fixer d’objectif, et tout en laissant Kerry s’avancer sur les objectifs, qu’il a dit à Kerry d’affirmer l’imminence d’une frappe sans l’aval de l’ONU et du Congrès avant de contredire Kerry un peu plus tard, et de changer de position sur tous les plans le lendemain tout en disant à nouveau qu’il allait frapper.
Qu’en déduire, donc ? Qu’Obama semble avoir de sérieux troubles, qu’il devient titubant, ou, comme l’a écrit Charles Krauthammer, « adepte du zigzag ». Que la chaise vide à laquelle faisait allusion son concurrent lors de la campagne présidentielle de 2012 est effectivement une chaise vide ou, pire, une chaise occupée par un gauchiste islamophile assez idiot et au cerveau atteint, un type qui veut obsessionnellement abaisser les Etats Unis et les détruire de l’intérieur, favoriser l’islam radical, mais qui semble de plus en plus incapable de prendre une décision cohérente.
John Bolton, peu après que Charles Krauthammer ait parlé, a dit que c’était le moment le plus bas pour la crédibilité des Etats-Unis dans le monde. Et John Bolton est un diplomate, qui emploie un langage de diplomate.
Mark Steyn a écrit que les Etats-Unis se dirigeaient vers la défaite la plus accablante et la plus rapide de leur histoire, et c’était avant qu’Obama ressemble à un ballon gonflé à l’hélium en train de se dégonfler au bord d’un parcours de golf.
Si, ce qui est désormais très hypothétique, Obama décide d’agir, l’action sera limitée, mais ses conséquences potentielles seront bien plus lourdes que s’il avait agi présentement : il a perdu l’initiative et donné à ses ennemis tout le temps requis pour s’organiser, évacuer ce qu’ils entendent évacuer vers l’Iran ou vers l’Irak.
S’il devait décider d’une action plus vaste, il n’aurait, c’est une évidence, aucune perspective stratégique.
Je pense que les ennemis du monde occidental se réjouissent, que le mépris de Poutine envers Obama s’est accru immensément, qu’Assad doit rire sarcastiquement d’Obama lorsqu’il téléphone à Khamenei.
Je pense que Khamenei se dit qu’il peut continuer à fabriquer sa bombe atomique aux fins de se sanctuariser au plus vite, sans craindre autre chose qu’une éventuelle frappe israélienne, qu’Obama ne soutiendra pas, ou tout bas, s’il est en phase dépressive.
Je pense que les amis des Etats-Unis au Proche Orient, ou tout au moins ce qui en reste, sont très inquiets, et cherchent des solutions de rechange. L’Arabie Saoudite et les émirats du Golfe regardent présentement du côté de Moscou. Israël se retrouve placé dans une position très inconfortable : non seulement il y a un ennemi d’Israël à la Maison Blanche, mais c’est un ennemi aux allures de serpillère imprégnée de substances étranges.
Je pense que David Cameron doit pester contre Obama qui l’a placé dans une position où il s’est retrouvé dénudé, et un peu ridicule.
Je pense que Fabius et Hollande en France apparaissent plus grotesques encore qu’ils ne l’étaient voici peu.
Heureusement qu’en France, la presse est très largement docile et trouve toujours à justifier l’injustifiable quand il s’agit d’Obama.
L’ordre ancien du monde est en miettes. Et Obama doit rester encore trois ans à la Maison Blanche. C’est très long.
Au temps où il y avait un Président des Etats-Unis à la Maison Blanche, ce Président avait défini des objectifs clairs, demandé au Congrès de déclarer la guerre, tenu une ligne précise, malgré les difficultés. Si ce Président avait commis le millième des actes ineptes commis par Obama, il aurait été traîné plus bas que terre, et il n’en a pas moins été trainé plus bas que terre. Obama n’a aucun objectif clair, et ses objectifs sont très sombres, erratiques et inavoués. Il n’a pas consulté le Congrès et, s’il va le faire, sans se presser, c’est surtout pour noyer ses errances en essayant d’en faire assumer la responsabilité par d’autres. Il n’a pas de ligne précise, sauf peut-être une ligne de cocaïne sur un bureau (j’en viens à me poser la question). Il a commis un tombereau d’actes ineptes, mais la presse française, pour l’essentiel, l’adore.
Le bilan d’Obama au Proche-Orient est déjà bien davantage qu’accablant, et il risque encore de s’alourdir.
Obama, rappelons le, a abandonné l’Irak à l’Iran et y a laissé s’y réinstaller des bases arrières d’al Qaida, éliminées à la fin de la présidence Bush, d’où un retour à un climat de guerre civile. Il a abandonné Moubarak en Egypte, aidé les Frères musulmans à prendre le pouvoir au Caire, avant d’avoir à se résigner à les voir tomber lors du coup d’Etat du général Sissi, et il a donc sa part dans les massacres de Coptes dans le pays et dans la transformation du Sinaï en base arrière d’al Qaida, encore. Il a profondément distendu les liens entre les Etats Unis, les émirats et l’Arabie Saoudite, jusqu’au point de rupture. Il a favorisé l’avancée d’Erdogan vers une dictature islamiste en Turquie et les progrès de l’Iran vers le nucléaire militaire. Il a laissé le conflit pourrir en Syrie, jusqu’à ce qu’on en arrive à la situation actuelle. Il a placé la Jordanie dans une situation intenable, vu le nombre de réfugiés syriens désormais présents dans la périphérie d’Amman. Il a, en laissant le conflit pourrir en Syrie, permis l’extension de celui-ci vers le Liban. Voyant il y a quelques semaines que le seul ilot de stabilité régionale subsistant était Israël, il a fait intensément pression sur le gouvernement israélien pour que des « négociations » reprennent et que des assassins soient relâchés.
Quel est le prochain épisode ? Le Sénat américain pourrait, à une très courte majorité, voter en faveur d’une action en Syrie.
A la Chambre des représentants, ce sera plus difficile. Si le Congrès donne un feu vert à Obama, il agira, et si cela tourne mal, comme c’est très possible, il dira, après une ligne, que c’est la faute du Congrès. Si le Congrès donne un feu rouge (ce qu’Obama souhaite), il dira que c’est la faute du Congrès. S’il envoie deux missiles sur les fesses d’un chameau (comme aurait dit George Bush), il dira, après une ligne, que c’est une victoire pour lui-même, et les journalistes des grands médias français baveront sur ses chaussures.
Les morts en Syrie ? Qui a jamais cru qu’Obama se préoccupait des morts où que ce soit ? Qui ? Un journaliste des grands médias français ? François Hollande ? Autant dire : personne.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info
HOLLANDE EST UN LÂCHE !
Pourquoi ? Incapable de résoudre la crise qu’il niait sous Sarkozy, il cherche désespérément un dérivatif, étant prêt pour cela à sacrifier d’abord nos soldats, ensuite les français de l’Etranger (attentats) et enfin pourquoi pas les Franciliens premiers exposés bien sur. Ce Type est innommables, pleutre, lâche, incompétent, inconscient, bref, les qualificatifs manquent à son sujet.
.
Qu’as tu fais Peuple de France ? Peux tu dormir la nuit
tranquillement ?
En réalité, plutôt qu’imputer les comportements d’Obama à la drogue (quoique cela reste une possibilité), j’ai plutôt l’impression qu’il s’agit d’un lâche qui ne connaît rien à la chose militaire, encore moins à la diplomatie.
Obama est un être rusé, intelligent sous certains aspects, diabolique mais … faible.
Après avoir fait souffler les vents les plus menaçants sur Damas, après avoir envoyé Kerry porter l’estocade avant la frappe, est arrivé la seule chose qu’il n’avait pas prévue : Assad n’a pas cédé et est resté en place dans une attitude de défiance complète vis-à-vis des USA!
Une fois l’heure de la vérité arrivée, quand il ne pouvait plus ajouter que l’acte aux menaces, se retrouvant dramatiquement seul, il a reculé. C’est un jour qui rentrera dans l’histoire quand les terroristes de tout poils et les dictatures les plus sanguinaires ont compris qu’ils pouvaient gagner et que les USA ont commencé à reculer!
Finalement, ce qu’Obama voulait était la chute du régime pour provoquer mécaniquement l’arrivée des FM & associés au pouvoir.
Il ne voulait pas FAIRE la guerre.
C’est une baudruche dont les manipulations ont dû être très efficaces dans la société civile et le monde politique national mais qui ne vaut rien sur l’échiquier international. Confronté à un opposant déterminé, il plie.
Voilà un puissant signal à tous les dictateurs et autres coupeurs de tête de la planète : Ne cédez rien aux USA, c’est à eux de céder!!
Vous avez pleinement raison. Il n’empêche que le comportement d’Obama peut varier d’un jour à l’autre. Vendredi, il donnait l’image d’un type lâche, hésitant, écrasé sur sa chaise, bégayant. Samedi, il avait retrouvé toute son assurance: il avait décidé de reculer et de se défausser sur le Congrès. Et il partait jouer au golf.
L’un n’empêche pas l’autre Monsieur Millière. Il est vrai que toutes les apparences semblent indiquer une consommation de drogue entre vendredi et samedi.
Merci pour votre article et votre commentaire. J’espère que votre santé s’améliore.
Cordialement.
Je ne suis pas du tout convaincue que l’Iran veuille atomiser Israel meme si Ahmanidejad a dit qu’il voulait que le gouvernement ( et pas le pays comme certains le prétendent, erreur de traduction délibérée) israélien disparaisse. Il reste encore une petite communauté de Juifs orthodoxes qui vit sans problèmes en Iran. L’Iran n’a jamais commencé une guerre mais je ne dis pas non plus qu’il ne se défendrait pas. Fumer des pétards ne provoque qu’un état de somnolence et de bien-etre passager, à moins d’en fumer continuellement et là cela se voit immédiatement.
Dot,
L’Iran entreprendra d’atomiser Israël le jour où les dirigeants iraniens auront décidé de se suicider.
Sans compter qu’on voit mal les mollahs se priver de leur bouc émissaire favori.
Cependant,
Un Iran sanctuarisé par l’arme nucléaire est en soi une menace énorme pour l’ensemble du monde. (Terrorisme accru — dans le monde entier et pas seulement en Israël — avec dissémination de matériaux radioactifs pour la fabrication de bombes sales et cela dans l’impunité la plus complète puisque le régime iranien, avec son doigt sur le bouton rouge, sera devenu intouchable. Sans parler de l’inévitable nucléarisation des pays voisins au premier rang desquels l’Arabie Saoudite, le grand rival régional de l’Iran.)
Une menace suffisante, qui justifie que tous les moyens soient employés pour y mettre un terme.
Quant à Obama, drogue ou pas, sa conduite et ses humeurs dangereusement erratiques méritent d’être brocardées de la manière la plus féroce.
Au Proche-Orient, Tsahal possède aussi 100 à 300 ogives nucléaires, ce qui place l’Etat hébreu sur le même rang que la France et la Grande-Bretagne.Israël n’est pas signataire du traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Le pays n’est donc, légalement, pas soumis aux contrôles de l’Agence internationale de l’énergie atomique. Contrairement, par exemple, à l’Iran.
L’AIEA c’est c’est une agence de l’ONU, le Machin inepte, le cartel mondial des dictatures et de la couardise occidentale. Très bonne chose qu’Israël n’ait pas de compte à rendre à cette engeance.
Depuis qu’il est considéré comme possédant l’arme nucléaire, Israël (tout comme la France et la Grande Bretagne) n’a plus connu d’agression militaire de la part d’États voisins, mais uniquement de la part de mouvements non étatiques listés comme organisations terroristes. Comme quoi la sanctuarisation ça marche.
Qu’Israël soit sanctuarisé ne me pose pas de problème. Que l’Iran, cet instigateur et promoteur de mouvements terroristes comme le Hezbollah qui frappent partout dans le monde, ce vecteur d’un islamisme sanguinaire, soit sanctuarisé pose en revanche de sérieux problèmes au reste du monde.
Je ne parle pas le farçi,donc je m’en tiens à ce que toutes les informations mondiales ont répétées. Les Iraniens n’ont pas parlé de destruction d”israël par le feux nucléaire, car ils clament à répétition qu’ils ne cherchent pas à acquérir l’arme atomique ( ben voyons), mais qu’ils détruiront Israël.
Ce n’est qu’en 1942, qu’Hitler avait éructé au Sportpalatz de Berlin qu’il éradiquerait la race Juive d’Europe, et c’est ce qu’il était en train de faire ayant commencé dès son entrée au pouvoir en 1933 sans véritablement causer des problèmes aux gouvernants du monde entier à l’époque .
Les quelques milliers d’Iraniens de confession juive qui sont restés sur place, sont une sorte de ” village Potemkine ” destinés à montrer à l’opinion que leur gouvernement n’est pas raciste, et je crois me souvenir aussi que des rabbins complètement timbrés sont allés en Iran faire la bise aux Ayatollahs, car ces fous furieux ne reconnaissent pas l’Etat Juif d’Israël .
Vous avez raison et la preuve est donnée par plus de 6 ans de menaces de frappes imminentes jamais appliquées par Israël qui n’a pourtant pas hésité a frapper en Irak sans hésitation. :soldier:
Il semble que de grandes manif anti-guerre se préparent aux USA
A la fin notre pseudo président Ollende va se retrouver seul
C’est la constitution américaine qui oblige Obama à consulter le Congrès. Les bombardements en Libye en avait fait déjà hurler plus d’un à la violation de la constitution.
Cette fois ci il n’aurait pas coupé à un lancement de procédure de destitution, d’où la volte face.
La question est maintenant de savoir si la guerre va passer le vote.
Woland c’est le diable dans le Maître et Marguerite…
Et Israël qui négocie la paix? avec le peuple inventé sous l’égide des US, quelle crédibilité donné à ce président musulman qui ne sait pas où il va, J’espère qu’israel ne cèdera pas devant un pleutre pareil qui a déshonoré son pays.
Bonjour Guy et très heureux de vous lire à nouveau.
Je vous souhaite un très bon rétablissement.
Chouette article, comme d’habitude. Juste une précision : c’est Clint Eastwood, pas Mitt Romney lui-même, qui a comparé de façon tout à fait improvisée le fauteuil présidentiel d’Obama à une chaise vide.
Je suis pas sure q`il est lache, mais je le dis depuis toujours, q`il est traitre, un voyou, et un des “Freres Musulmanes”, qui veut detruire l`Amerique. Et il est aussi, comuniste. For some of you it maybe funny, but l am very happy that l live in Israel.
http://img.over-blog.com/300×373/4/23/42/31/84/hollande-obama.jpg
En effet, je n’avais pas pensé qu’obama en serait encore à se droguer, et puisqu’il a perdu du poids, la cocaïne est une suggestion très cohérente. Il est toujours aussi malin et s’apprête à blâmer le congre quel que soit la décision des deux chambres, ce qui lui offre un échappatoire ‘c’est pas moi qu’ai commencé… c’était eux je le jure’.
En fait Guy on se sent précaire et vulnérable, et puis l’on se rend compte que le reste du monde libre est dans cette même situation. L’allusion a la chaise vide est tristement bien placee. C’est inquiétant surtout alors que le monde arabe est très perturbé. Obama a même perdu l’allié No 1 de l’Amérique (l’Angleterre), il fallait le faire !
Quand on a vu John Kerry speech mon mari et moi l’on s’est dit exactement la même chose – qu’il avait pris une position présidentielle, peut-être prépare t’il 2016 et cette conférence n’etait qu’une orchestration ? car Hillary Clinton s’est salie avec les massacres de Benghazi, et les nombreux scandales des années 1990’s.
Je pense néanmoins que ce dernier éternuement de la part d’O serait le coup de grâce, car déjà les medias gauchistes doutent de lui aux U.S. Et en France, même obamazoom a tiqué… yes Guy… obamazoom !!! Unbelievable, isn’t it…
Merci de renseigner si bien le monde francophone sur ce qui se passe dans notre belle Amerique. Take care and feel better.
Hi Guy, j’attendais avecimpatience ces conclusions, ce merveilleux article qui va dans la meme direction de mes pensee le plus profondes.
Il est diabolique ce mec, ou meme temps il n’est pas con, mais pas instruit. Il est pour le canabis a fond aux states, et c’est pas pour rien, Tout le monde, et specialement les jeunes save qu’il est le new Bob M.
On est bien dans la merde, (sorry) avec un CASE pareil. Il se bien arrange de mettre la faute sur les autres, peu importe les consequences de ses actes. Je n’ai jamais vu un US President acting like a mentally retarded, et au meme temps like a viper. Dur a expiquer, sorry…Good article as always, thank you Dear Guy.
WOW! Mr. Milliere, que de lucidité. J’adhere a tout ce que vous dites.
Apres avoir lu votre article, j’ai envie de rire et de pleurer tant votre description d’Obama est precise. Cet homme est un guignol, un clown, un pantin, mais diabolique. Il joue a ainsi-font-font-font-les-petites-marionnettes, en mettant en jeu l’integrite des Etats-Unis, sa credibilite, et surtout sa securite. Hier il disait qu’il allait chercher l’accord du Congres avant d’agir (alors qu’il est clair qu’il a decide d’agir, meme tout seul), aujourd’hui, lors d’une interview avec Chris Wallace, John Kerry insistait sur le fait que le President avait pris sa decision (d’aller de l’avant). Le porte-parole de l’ONU a bien precise qu’il n’y avait aucun doute sur l’emploi des armes chimiques utilisees en Syrie, mais que la delegation n’avait pas pour mission de deterniner qui avait utilise ces armes chimiques, Assad ou ses opposants. Obama a decide que c’etait Assad. Donc, sans preuve, il va lancer quelques petits cacas de missiles sur la Syrie en faisant bien attention de ne pas faire trop de degats, de ne pas viser Assad et son gouvernement, de ne pas chercher a le renverser, et que l’attaque serait breve. Tout cela pour mettre Israel dans une position encore plus delicate. Tout cela pour quelques centaines de millions de dollars que nous n’avons pas. Tout cela pour risquer de facher serieusement la Russie, l’Iran et la Chine. Et n’oublions pas le Venezuela qui ne nous aime pas beaucoup non plus, et qui n’est pas tres tres loin de nous. Si tous ces pays decident de former une coalition pour nous attaquer, ce n’est pas l’armee americaine, maintenant fortement affaiblie par Obama, qui va gagner la bataille. Tout cela pour sauvegarder le peu d’honneur qu’Obama croit qu’il a encore. Tout cela pour sauver la face qu’il a perdue tant aux yeux du monde qu’aux yeux du peuple americain. Obama, malgre son intelligence, est un imbecile de premier ordre. Jamais dans l’histoire des Etats-Unis un president a fait des menaces telles qu’Obama les a faites sans avoir un plan d’action. Il n’a aucune experience militaire, aucune experience economique, et il vit dans une bulle d’air qui commence a manquer d’air.
Depuis quand on annonce qu’une attaque est imminente, et quelques heures plus tard on dit que l’attaque n’est pas pressante? Depuis quand on devoile les dispositifs qui seront utilises, et l’endroit ou ils se trouveront, avant de “surprendre l’ennemi”? Obama a perdu la tete. Il se prend pour une vedette d’Hollywood, mais il est le President des Etats-Unis. C’est extremement grave.
Si Obama croit que ses petits cacas de missiles vont regler le probleme au Moyen Orient, et qu’il aura puni Assad pour de bon, et que tout deviendra tranquille apres les petits cacas de missiles, il a besoin d’un bon neuro-chirurgien.
Moi j’ai besoin d’un traitement anti-depressif.
Avec une note d’humour, évitez à l’avenir de regarder des navets hollywoodiens, surtout quand ils sont fumants de bêtises. L’Amérique est plus forte qu’Obama. Revenez-nous avec les références de vos contactes de hauts niveaux. Parlez-nous des américains qui inventent le future. La Campagne D’Irak demande plus de pourparlers, de contacts qui se font en ce moment entre les Russes et les Américains et le pluriel est important… :soldier:
Obama et “son” military, non mais des fois?
http://www.theblaze.com/stories/2013/08/31/obama-refers-to-u-s-armed-forces-as-my-military-twitter-users-go-just-a-tad-ballistic/
La situation ne serait pas si grave et les conséquences potentiellement si dramatiques pour tous, que l’on serait tenter de rire aux éclats et de souhaiter qu’Obama se plante le plus vite possible.
ET si on cessait une fois pour toutes d’encenser ou au contraire de diaboliser OBAMA et les Occidentaux.
J’ai l”impression que l’écrasante majorité de l’opinion occidentale et des médias est pacifiste fatigué des guerres et du Moyen Orient en général. Ils ont suffisamment de problèmes en interne. Obama, Hollande et les autres sont des leaders “moyens” ou “normaux” comme on dit.
Mais dans ce cas il faut cesser de faire de la morale de pomper le torse et de prétendre diriger le Monde au G7, G8, G20 et au CS de l’ONU que les Russes, les Chinois et les Islamistes savant appréhender beaucoup mieux que l’occident.
Il serait temps de réformer l’ONU et se débarrasser une fois pour toutes du terme “communauté internationale” qui ne veut rien dire.
Ce commentaire me perturbe beaucoup, a moins que je l’aie mal compris. Il me fait penser aux hippies et leur slogan “faites l’amour, pas la guerre”.
Bien sur que nous n’aimons pas les guerres, que nous sommes fatigues des guerres. Mais on ne peut pas non plus jouer la politique de l’autruche et laisser les gouvernements qui nous preoccupent ici prendre toutes les decisions pour nous en restant aveugles et muets, en vivant notre petit train-train quotidien et en se preoccupant uniquement de nos besoins personnels immediats. C’est avec cette attitude que les puissants de ce monde arrivent a leurs fins, qui ne sont pas necessairement d’assurer notre petit confort quotidien. Il faut que les voix s’elevent, que l’opposition se fasse sentir, que l’on fasse tout ce qu’on peut pour maintenir l’eglise au milieu du village. Malheureusement, nombreux sont les americains, et les europeens, qui voient (ou, pire, ne voient pas) la situation se deteriorer, et se taisent, regardent de l’autre cote, se declarant “citoyens du monde” (ce qui, a mes yeux ne veut absolument rien dire) en esperant que l’inevitable ne les atteindra pas, pendant que l’islam radical avance a un rythme effrayant jusqu’a ce qu’il aura envahi definitement l’univers entier.
Quant a votre allusion a l’ONU, je suis d’accord avec vous, l’ONU a besoin d’un gros balayage. D’ailleurs, les USA devraient en sortir, je ne vois pas pourquoi on continue de financer cette institution qui est visiblement anti-americaine. On a besoin de cet argent ici, aux Etats-Unis.
@Mr milliere,
L’existence d’Israel ne repose que sur la volonté d’H.shem et sur la force de Tsahal
Croyez vous que l’ineptitude de obamuze va enfin contraindre Bibi a agir tres prochainement contre les 120 cibles iraniennes avant la sanctuarisation?
Cordialement
Le Speedé en manque et le Ravi de la crêche vont en guerre .
Quelle triste rigolade!
Donc, le type qui est à la Maison Blanche, c’est ça…
https://www.youtube.com/watch?v=aTZYSzxZcvA
“Il a profondément distendu les liens entre les Etats Unis, les émirats et l’Arabie Saoudite” : je pense le contraire, surtout s’il parvient à faire la guerre à la Syrie
Obama n’est pas habitue a essuyer des vestes, comme il en fait l’experience maintenant, parce qu’il a toujours ete souitenu par les medias. Il agit comme un enfant gate par sa maman, obtenant tout ce qu’il veut sans devoir meme taper du pied. Les medias sont tres largement responsables de son arrogance, l’ayant toujours enveloppe d’une couche protectrice. Ils en ont fait “l’intouchable” Obama. Et bien sur ceela lui est monte a la tete.
Contrairement a Obama, President Bush, tout au long de son mandat, a du subir l’opposition des medias, la critique, les attaques et les injustices, voire la haine, mais cela n’a pas influence ses decisions. Son amour-propre n’etait pas le combustible qui le faisait fonctionnner, mais ses principes et ses valeurs morales, envers le peuple americain et son amour sincere de nos forces armees, ont fait de cet homme un des plus grands presidents americains.
Je pense donc que ce sont les medias qui sont responsables de la situation dans laquelle on se trouve aujourd’hui, apres avoir reussi a mettre un pantin a la tete de la Maison Blanche. Le journalisme est mort.
Maintenant qu’Obama se sent pris dans son propre piege, il demande que le Congres prenne la decision pour lui, en esperant que sa decision soit supportee par ledit Congres (il doit trembler dans ses culottes le Barry Hussein), avec, au fond de ses pensees, l’intention de blamer ledit Congres si les choses ne tournent pas aussi bien qu’il l’espere. Si les choses tournent bien (a ses yeux), il va rebomber le torse et reprendre son attitude arrogante, le menton releve.
Obama, abject individu.
M. Millière, je ne vous cache pas ma déception face à l’attitude de certains leaders républicains, et non des moindres comme John McCain et Marco Rubio, qui persistent à vouloir soutenir massivement les djihadistes syriens et menacent de voter négativement lorsque le Congrès sera consulté … s’ils estiment que l’intervention envisagée ne va pas assez loin !
A croire qu’ils n’ont rien compris à l’idéologie des factions de l’opposition syrienne…
Le GOP a vraiment besoin d’une remise à niveau de certains de ses membres.
Moi aussi je pense que ce type en fume du bon, il a l’esprit tordu des consommateurs de marijuana, le sens moral dégringole et la dépression latente ainsi que les remontées soudaines, l’incohérence etc, dommage pour les Américains cette plongée chez les démocrates, mauvais cheval ,mauvaise course.
By Sean Hannity:
September 03, 2013
Barack Obama has suddenly discovered a new-found appreciation for Congress. For a man who has perverted the power of the executive branch in order to achieve his liberal goals, when things get tough he turns to Congress to spread the blame.
Yesterday and today, Obama has met with Congressional leaders over the crisis in Syria. His window of opportunity to convince them to support a strike on Syria is short, as he is supposed to head to the G20 summit. While the topic of Syria isn’t officially on the table at the G20 summit, there is no doubt that the meeting’s discussion (being held in Russia) will find its way to the issue of Syria.
Here’s what’s happened over the last few days:
On Friday, Secretary of State John Kerry came out with a statement calling Syrian leader Bashar al-Assad a “thug” and a “murderer.” I wonder if Kerry used the same sort of language when he dined privately with Assad just a few years ago. There’s an image that you won’t likely see circulating among the lapdog media. But Kerry’s statement seemed to imply that Obama was on track for a limited strike in Syria. Doing nothing was “not an option,” according to Kerry. Kerry said that the question isn’t what we know – that’s been confirmed – but what we are going to do about it.
After sending Kerry out there to make the case for action, on Saturday Barack Obama came out with a statement on Syria: “I have decided that the United States should take military action against Syrian regime targets.” But even though he has apparently already made the decision, Obama threw us a curve ball: That he will seek Congressional approval before any action is taken in Syria. Oh really? Seems like he’s doing things a little backwards, don’t you think? Like I said above, Obama hasn’t shown much appreciation for Congress and its authority until he finds himself backed into a corner. Obama and his advisors are not dumb. They recognize that there really isn’t a win-able solution in Syria and the American people overwhelming do not support any action. So rather than bearing the brunt of that blame all on his own, Obama is now trying to spread the wealth. Involving Congress is not some great act of Constitutional appreciation, it is a selfish act of trying to save his presidency.
Yesterday Obama met with Lindsey Graham and John McCain … yes, Obama is actually meeting with the man who was once his opponent to now help bail him out. John McCain’s opinion is that if Obama is going to strike, he needs to make it a worthwhile strike, meaning that lobbing a few cruise missiles is nothing but a symbolic gesture that lacks any real goal. If the goal is the depletion of Assad’s ability to respond, then we need to act with enough force to do so. But that’s the problem – Obama doesn’t really seem to have a goal other than to save his own butt and retain what little credibility he has left. McCain is looking for “a resolution that addresses Assad’s weapons capability, gets weapons to the rebels and shifts momentum on the ground in favor of the Syrian Free Army.” Meanwhile, an official briefed on the options in Syria told the L.A. Times that Obama would “seek a level of intensity ‘just muscular enough not to get mocked’ but not so devastating that it would prompt a response from Syrian allies Iran and Russia.” Not to be mocked? Is this what our foreign policy has come to?
On the other side of the spectrum you have anti-war Democrats who want a more limited approach. In drafting a new resolution, Democrats want to make sure that the language is specific enough to prevent boots-on-the-ground action in Syria. Similarly, you have libertarian-minded Republicans who also do not want to be dragged into another war, especially by a president who they see as hypocritical considering his previous position on Iraq. And somewhere in the middle you have the Democrats who are reluctantly willing to back Obama because, well, he’s Obama and therefore can do no wrong.
This morning Obama met with House and Senate leaders. After this meeting, John Boehner announced that he will support Obama’s call for action. Also this morning, members of Congress had a classified briefing on the situation in Syria. Just as the show is getting underway, John Kerry, Chuck Hagel and Chairman of the Joint Chiefs Martin Demsey are testifying at the Senate foreign relations committee.
So we are at the point now where Obama has decided that action will be taken in Syria, but he wants Congress to validate his decision. John Kerry reasserted on the Sunday shows that Obama has the authority to do so without Congressional approval. So if that’s the president’s decision, then he can stand alone and he can go for it and then he can single-handedly bear the responsibility for whatever repercussions come as a result. After all, it’s HIS failed foreign policy that has gotten us to this point. I’m not saying that this is the correct strategy, but Obama did have the option over a year ago from Hillary Clinton and David Petraeus to act in Syria while there was still a chance of supporting the pro-American, secular rebels. That chance is now gone, as the rebel opposition has been largely usurped by al Qaeda affiliates or sympathizers. This is just one of many examples of Obama failing to act, hoping that his lead-from-behind strategy will produce the utopian results he speaks of in his speeches. From Tehran to Egypt to Syria, Obama’s actions have shown the world that the United States is unwilling to lead and we are not to be counted on. Some Americans are OK with this, as they wish for the United States to return to an isolationist mentality, particularly in regards to the Middle East where “victory” seems impossible. Others view this as a blow to our global credibility, which will ultimately cause instability around the world and therefore come back to bite us in the end anyway.
If Barack Obama believes that there is an important U.S. interest in Syria, he has failed to really explain it … especially to the American people. Instead, he is relying on the media, which is once again hypocritically willing to carry the water for why Obama is justified in taking action in Syria. Even the New York Times public editor has called out the paper’s coverage of Syria as not “consistently skeptical.” Elliott Abrams writes in the Politico: “Surely this episode will be studied in schools of government for decades, as an example of how foreign policy should never be conducted: without apparent guiding principle, unpredictably, by fits and starts, and via statements and speeches that are misleading if they are not incoherent.”
Here are a few more articles related to Syria, for those of you trying to keep up with the situation:
As Syria Heats Up, White House Nixes Briefings
Unannounced Israel-U.S. missile test fuels jitters over Syria
Syria Refugees Top Two Million, U.N. Sees Worst Crisis Since Vietnam
U.S. Still Hasn’t Armed Syrian Rebels
Report: Bashar Assad calls President Obama ‘weak’
http://www.hannity.com/article/seeking-approval-on-syria/17939
Cher Guy MIllère
votre article dépeint exactement la psychologie du personnage Obama que vous avez parfaitement analysée et la situation dans laquelle se trouvent les USA qui plongent vers les abysses sous sa conduite depuis 5 ans; mais, ce qui m’étonne de plus en plus, c’est que parmi les Américains et leurs représentants, aucun d’eux ne se lève pour dénoncer haut et fort la gestion catastrophique d’Obama qui fait courir un très grand danger pour le pays et la démocratie dans le monde; pourtant, à l’heure d’internet , il serait très facile à des journalistes, des associations voire des particuliers de diffuser sur la toile des éléments factuels susceptibles d’informer de plus en plus d’Américains que cet homme conduit leur pays sur la mauvaise pente comme vous le faites si bien, de votre côté, pour renseigner les Européens de langue française, ce dont je vous en remercie infiniment.