Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 septembre 2013

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Le mammouth informe, déficient, politisé jusqu’à la moelle, gangrené par les syndicats communistes admiratifs de l’échec de l’URSS, centré sur les intérêts des profs, de l’idéologie et du bourage de crâne destiné à fabriquer des Français moyens, dociles, sous-éduqués, qui éviteront, une fois adultes, de faire des vagues et de poser des problèmes au gouvernement qui les abusera à sa guise en les endormant de belles paroles, l’Education nationale donc, déplaît à près de 6 Français sur 10, et cela ne lui fait ni chaud ni froid.

La machine infernale qu’est l’Education nationale est une orgie de gaspillage : gaspillage d’argent, gaspillage de l’intelligence des profs qui ont de bonnes idées pour la rendre efficace, gaspillage des meilleurs élèves pour décomplexer les moins bons, gaspillage du temps des élèves, gaspillage de bon sens. Suffisante, imbue de son privilège, tentaculaire et liberticide, elle fait peser sur la France le poids de sa médiocrité.

Et lorsque près de six personnes sur dix (58 %) estiment que la qualité de l’éducation en France n’est pas satisfaisante (sondage CSA* pour RTL), ça la laisse de glace : la remise en question n’est pas inscrite au catalogue des réflexes de cette machine à broyer les cerveaux.

Lorsque ma fille est arrivée en âge d’aller à l’école, je vivais à ce moment là en France, et je m’étais promis qu’elle ne passerait pas entre les griffes de l’Education nationale. Les écoles privées étaient trop éloignées de ma vision de l’excellence, et avaient hérité de cette administration dégénérée le dégoût de l’élitisme et du dépassement de soi qui me sont chers. Aux miettes de liberté que la France laisse à ses citoyens en regard de mes valeurs et de mes règles de vie, ce fut la goutte d’eau qui me décida à quitter la France : mettre ma fille à l’abri de cette machine de propagande qui déjà dans son nom porte son impertinence. Je ne l’autorisais pas à éduquer mes enfants, son rôle est l’enseignement – et elle est n’est pas à la hauteur.

À la question “jugez-vous que la qualité de l’éducation en France est ?”, 45 % des personnes interrogées ont répondu “peu satisfaisante” et 13 % “pas du tout satisfaisante.”

J’ai vécu aux Etats Unis. Je suis trilingue. En France, l’anglais est enseigné par des gens incapables de parler un bon anglais, incapables d’enseigner et de parler avec un accent acceptable, incapables de préparer les étudiants à tenir une conversation basique en anglais.

Mes amis historiens sont catastrophés par la stupide façon dont l’histoire est enseignée, qui fait perdre toute possibilité de réflexion à partir de cette matière fondamentale. Et c’est sans compter les innombrables manipulations dogmatiques de l’histoire, et la réécriture conforme aux paradigmes des extrémistes.

Les jeunes arrivent à l’âge adulte et font 4 fautes d’orthographe et de syntaxe par phrase : la formation des profs de français, leurs méthodes d’enseignement, sont à jeter aux orties.

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Et je ne parle pas de la vague de fond qui est en train de détruire les repères de vos enfants : la théorie du genre. Papa porte une robe… “Robert, mon papa et moi vivons dans la même maison”… salopards d’idéologues en train de détruire les valeurs naturelles que l’homme s’est donné.

Près des deux tiers des plus de 65 ans jugent que l’éducation en France n’est pas satisfaisante, contre 55 % des moins de 35 ans”, souligne CSA, car les plus âgés ont encore présent à l’esprit le souvenir du niveau d’un certificat d’étude, auquel des Bac +3 échoueraient aujourd’hui, ils se souviennent de la discipline, de l’éducation civique, de l’autorité des enseignements et du respect qui leur était dû – (même si déjà un pays comme les Etats Unis avait de meilleures méthodes pour développer l’imaginaire, la liberté de penser, et la créativité des enfants)

L’université française est à la traîne du monde. La recherche Française est à la traîne du monde. La littérature française est à la traîne du monde. L’art français est à la traine du monde. Et l’Education nationale en porte le poids de la responsabilité – et elle s’en frotte les mains : son objectif est d’abaisser le niveau des Français à celui des originaires des pays sous-développés destinés à remplacer ce monde blanc qui les fait vomir.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

* Sondage réalisé par Internet du 27 au 29 août auprès d’un échantillon de 1 005 personnes résidant en France âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas).

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