Publié par Hervé Roubaix le 2 novembre 2013

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Dans la cour du collège Jacques-Prévert de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) pendant la récréation, Lehna a été lynchée par un groupe d’une dizaine d’élèves de 5e et de 4e.

Motif : le jeu, le “baptême des 6èmes”, un prétexte pour évacuer la violence d’une sous culture africaine qui remplace – avantageusement disent les élites immigrationistes de gauche – les valeurs de la France. Si les agresseurs avérés avaient été d’extrême droite, la petite Lehna aurait fait la une de toutes les télés. Là, ils s’en foutent…

Tout cela, il ne faut pas l’amener dans le débat public, car la France est une démocratie fière de la répression de sa liberté d’expression.

Comme on est plus petits qu’eux, les 4e disent qu’ils ont le droit de nous frapper

Lehna a été rouée de coups. Elle a subi un traumatisme crânien, de multiples contusions au visage. A RTL, la fillette déclare “Je me suis ouvert la lèvre puis ils ont commencé à me frapper. Ils m’ont donné des coups de pied dans la tête, m’ont marché dessus, m’ont jeté leurs sacs et ont poussé tout le monde sur moi. Quand je me suis réveillée, j’avais beaucoup de sang. Je croyais que c’était un rêve. J’étais choquée, j’avais du sang partout, j’aurais pu mourir”.

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Lehna ne “comprend pas” pourquoi ces élèves plus âgés se sont livrés à un tel accès de violence à son encontre. “La dernière fois, j’avais pris un coup de poing”, dit-elle. “Quand il y a quelqu’un à terre, ils viennent tous et ils tapent”.

Lehna ne comprends pas non. Personne ne comprend s’il ne veut pas comprendre. Ou simplement regarder et écouter…

En Algérie, explique le site Algérie focusl’indiscipline et la violence scolaire sont les grands maux de l’école algérienne.

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“L’école n’est pas une garderie où l’on se débarrasse de ses rejetons, dit Rachid Brahmi dans Algérie focus. Sans la franche collaboration des parents, le personnel éducatif est incapable d’assumer toutes les défaillances. Inutile de chercher un bouc émissaire : l’éducation de l’enfant s’enracine dans la cellule familiale, pour se poursuivre ensuite au niveau éducatif et social. Victor Hugo disait : «L’éducation, c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’État qui la doit.” De même, la discipline est une question familiale, scolaire et publique.”

Inutile d’aller chercher plus loin.

Les parents de ces enfants issus de l’immigration ne pouvaient pas abandonner leurs habitudes, leur culture, leurs traditions barbares dans la poussière de leurs pays délabrés et embrasser les valeurs d’un pays sur lequel ils crachent en empochant ses subsides.

En Algérie, on déplore 3 000 cas d’agressions graves par an dans l’éducation nationale. Il faut donc s’attendre à pareille proportion en France.

Rachid Brahmi – je devais encore le citer car je n’ai pas trouvé de journaliste français pour le dire, conclut : “l’éducation sculpte la citoyenneté.”

Aïe. Ca va faire mal.

Ca va faire mal, lorsque ces hordes sauvages entreront dans la vie active avec pour mission de soutenir l’économie de la France, de la propulser dans la compétition mondiale et la haute technologie et, accessoirement, payer les retraites des Français.

Les sub-sahariens et les maghrébins engagés avec dynamisme dans le 21e siècle technologique ? Où avez-vous vu ça ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

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