Le Christ de Dali
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Michel Garroté, réd en chef –- Le professeur Gregor Puppinck, docteur en droit et directeur de l’European Centre for Law and Justice, se livre à une intéressante réflexion anthropologique sur les chrétiens d’aujourd’hui (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : « Les chrétiens ont de plus en plus de difficultés à vivre dans la société. Il y a un climat d’hostilité croissante envers le christianisme. Il semble que le mal s’enracine dans la société. L’ésotérisme et la violence sont devenus omniprésents dans les médias ; l’avortement, la drogue et la pornographie sont galvaudés ; chaque jour des églises et des cimetières sont profanés ; le blasphème serait devenu une forme d’art dont le grand public devrait se délecter ; des activistes comme les Femen s’attaquent aux symboles de la religion, et les médias manquent rarement une occasion de dévaloriser l’Église ».
« C’est cette hostilité latente envers le christianisme qui explique l’indifférence, voire la complaisance, de notre société face aux profanations de son patrimoine religieux et aux massacres des chrétiens dans le monde. Le concept de non-discrimination est une impasse, car il est fondé sur une égalité abstraite : le vrai problème n’est pas d’abord dans une volonté réelle ou supposée de discriminer les chrétiens, mais dans le fait que la loi s’éloigne de la justice et qu’elle envahit tous les domaines de l’existence ».
« Ce ne sont pas les chrétiens qui sont moralisateurs, c’est la loi qui s’est mise à faire de la morale, plus encore, c’est la loi qui prétend être la morale commune. La véritable question est celle de la définition de la justice et de la source de la morale publique. Ce que les chrétiens perçoivent comme une discrimination antichrétienne n’est autre que la violence avec laquelle une autre morale prétend remplacer l’anthropologie chrétienne ».
« Dans notre culture subjectiviste, peuplée de sujets supposés irrationnels, la conscience individuelle a perdu toute son autorité, si bien que la loi serait la seule norme morale sociale objective admissible et praticable : la pensée unique. Il ne faut pas chercher à entrer dans le concert des minorités opprimées. Demander à être toléré, c’est renoncer à être compris et donc à témoigner ».
« L’injustice particulière que certains chrétiens subissent est la conséquence d’une injustice plus grande tenant à la définition même de l’homme. Il faut garder à l’esprit que le devoir des chrétiens n’est pas de se faire une existence à l’abri des ennuis, mais de témoigner pour tous. Le combat porte aujourd’hui sur la détermination de la source de la morale, dont le monde essaie de déposséder l’Église et les consciences » (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
De son côté, le cardinal guinéen Robert Sarah a récemment déclaré (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : « Même parmi les baptisés et les disciples du Christ, il y a aujourd’hui une sorte ‘d’apostasie silencieuse’, un rejet de Dieu et de la foi chrétienne en politique, en économie, dans le domaine éthique et moral ainsi que dans la culture occidentale postmoderne ».
« Involontairement nous respirons à pleins poumons des doctrines qui vont à l’encontre des êtres humains et qui génèrent de nouvelles politiques qui ont un impact en érodant, en détruisant, en démolissant et en agressant gravement, de façon lente mais constante, par-dessus tout sur l’être humain, sur sa vie, sur sa famille, sur son travail et sur ses relations interpersonnelles. Nous n’avons même plus le temps de vivre, ni d’aimer, ou d’adorer. Voici un défi exceptionnel pour l’Église et pour la pastorale de la charité. L’Église, en effet, pointe également les différentes formes de souffrance dont est victime la personne humaine ».
« Un humanisme sans Dieu, jumelé à un subjectivisme exacerbé, idéologies qui sont aujourd’hui véhiculées par les médias et par le biais de groupes très influents et très puissants financièrement, se cachent sous les apparences de l’aide internationale et opèrent également dans l’environnement ecclésial ainsi que dans nos agences caritatives ».
« Les valeurs chrétiennes qui la guident et l’identité ecclésiale de l’activité caritative ne sont pas négociables ; elles doivent rejeter toute idéologie contraire à l’enseignement divin, rejeter catégoriquement tout soutien économique ou culturel qui imposerait des conditionnements idéologiques opposés à la vision chrétienne de l’homme » (fin des extraits adaptés ; voir ci-dessous liens vers sources).
Reproduction autorisée avec mention :
Michel Garroté réd en chef www.dreuz.info
Sources :
http://www.abc.net.au/radionational/programs/spiritofthings/religion-under-attack/3653090#transcript
http://www.thinksite.eu/userfiles/file/Guest%20Speakers%20and%20Participants.pdf
http://www.lanef.net/t_article/quelle-non-discrimination-gregor-puppinck-25844.asp?page=1
http://www.ncregister.com/daily-news/what-is-authentic-catholic-charity/
http://www.zenit.org/fr/articles/la-charite-revele-l-amour-de-dieu
La démocratie est fondée sur la chrétienté. On ne peut renier l’histoire. Jésus lui même a séparé l’état de la religion, dans sa phrase
Rend à césar ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Jésus respectait le pouvoir en place et n’est jamais rentré en guerre contre la démocratie et la république. Par contre les fondements de la justice républicaine sont fondés sur les lois de D’ieu. Les dix commandements qui sont universels et indiscutables. Ils sont là pour édifier la société et pour qu’elle soit viable. Il semblerait que nos gouvernants soient plus intelligents que le créateur lui même. Ils changent les temps et les lois universelles. Celles qui étaient bien avant leur naissance et qui ont fondé les droits de l’homme. Quels hommes orgueilleux, présomptueux de renier l’histoire, et les racines de leurs ancètres.Ceux qui se sont battus au prix de leur sang. Leurs idéaux sont faux, hypocrites, ils ont changé le mal en bien, et le bien en mal. Ils peuvent se moquer et continuer dans leur lancée. Mais la réponse du Tout Puissant va être fulgurante, il y a toujours un prix à payer pour la trahison et le mensonge. Sodome a été détruite par le feu. L’Egypte a vécu les dix plaies. L’histoire se répète dit-on, c’est mathématique…
à cet effet relire la prophétie d’Ovadia sur l’ecxellent site séfarim.
on est en plein dedans.
les hommes se châtient suffisamment eux-mêmes par leurs irresponsabilités pour que D.ieu n’ai pas besoin d’en rajouter.
Vous reniez la justice de Dieu ? Sa colère, sa fureur, sa jalousie, sa vengeance ? Ancien et nouveau testament ne font qu’un, c’est le même Dieu qui ne change pas ! Si la justice de Dieu était approximative, il n’aurait pas eu besoin de quitter sa gloire et de venir subir l’humiliation, le châtiment ultime, la condamnation de mort et la descente aux enfers pour sauver les créatures arrogantes et ingrates que nous sommes devenues. Si l’Église est si malade aujourd’hui, c’est parce qu’elle ne craint pas Dieu et n’a aucune notion de sa justice. Avez-vous déjà été dans la présence du Seigneur, écrasé au sol par sa gloire ? Il y a un temps de grâce et il y aura le jour redoutable de sa colère. Qu’est-ce qu’un amour sans justice ? En tant que père, laisseriez-vous vos enfants se fourvoyer jusqu’à récolter tous les fruits pourris de leurs agissements ? Laissons notre folle sagesse de côté et soyons renouvelés par l’Esprit Saint. La crainte de l’Éternel est le COMMENCEMENT de la sagesse…
Tous ces orgueilleux, je leur souhaite bien du courage car lorsqu’ils se présenteront, comme nous tous, tôt ou tard devant le Divin, ils ne pourront lui mentir et au regard du mal qu’ils auront fait, la facture risque d’être très lourde. Mitterrand lui même s’en inquiétait à la fin de sa vie et c’était légitime !
Merci d’avoir mis en page mon tableau favori de Salvador Dali .
Une pure merveille artistique.
…mais complètement païenne puisque le peintre est à la place de Dieu.
Selon Dali,il s’est inspiré des dessins de saint Jean de la croix,à qui le Christ apparaissait ainsi -un Christ cosmique- ,lors de ses extases mystiques.
“l’activité caritative ne sont pas négociables ; elles doivent rejeter toute idéologie contraire à l’enseignement divin, rejeter catégoriquement tout soutien économique ou culturel qui imposerait des conditionnements idéologiques”
Rarement on aura vu énoncer deux propositions aussi totalement contradictoires dans la même phrase ! Gregor Puppink promeut donc ce qu’il condamne.
“nous respirons à pleins poumons des doctrines qui vont à l’encontre des êtres humains (…) un humanisme sans Dieu (…)”
Un humanisme ne peut – bien sûr – aller à l’encontre des être humains… ou il n’est pas un humanisme.
Oui à l’esprit chrétien et à l’humanisme propre à la pensée greco-judéo-chrétienne.
Non à l’intégrisme de certains croyants qui nous vouent aux gémonies. Gregor Puppinck aurait-il oublié que les voies du Seigneur sont impénétrables ?
L’oeuvre de Dali est assez inégale.
Mais ce Christ est absolument magnifique. Le génie et la technique de Dali s’y expriment pleinement.
Merci Michel pour le choix de cette illustration.
« Un humanisme sans Dieu, jumelé à un subjectivisme exacerbé, idéologies qui sont aujourd’hui véhiculées par les médias et par le biais de groupes très influents et très puissants financièrement, se cachent sous les apparences de l’aide internationale et opèrent également dans l’environnement ecclésial ainsi que dans nos agences caritatives ».
Exemples dégoûtants ici : http://www.jforum.fr/forum/france/article/le-financement-d-ong-politisees
A la lecture de ces 2 analyses, on peut se demander si la question n’est pas : « Peut-on combattre sa peur d’être chrétien ? ». Une peur bien légitime après tout, au vu des persécutions et de la haine dont font l’objet les chrétiens dans le monde, y compris dans nos pays dits civilisés.
La première Église a été persécutée comme jamais ensuite dans toute l’histoire de la chrétienté et pourtant elle ne cessait de prospérer à en devenir incontrôlable par le pouvoir romain… Une fois cette persécution abandonnée au profit d’une assimilation au pouvoir (contrôle de l’intérieur), c’est le confort qui a eu raison d’elle et de sa puissance car la dépendance à l’Esprit Saint et à ses provisions surnaturelles a été remplacée par des impôts et des privilèges matériels. C’est typiquement la corruption de la foi par l’influence de Mammon, l’amour de l’argent, des richesses, des biens matériels, le confort et la gloire que tout cela amène. La dépendance à cet esprit se caractérise par la peur de manquer, de l’inconfort et donc une incrédulité croissante quant à la capacité de Dieu à subvenir à tous nos besoins. Tout comme un musulman (étymologie), un chrétien est censé se soumettre à Dieu dans tous les domaines et le moi doit s’effacer au profit de la vie et des œuvres de Jésus en nous. “Ce n’est plus moi qui vit mais c’est Christ qui vit en moi”. Dans une société comme la nôtre (mais qui décline à présent), il est évident qu’un chrétien a de nombreux combats (tentations, moqueries) pour rester attaché à Jésus et vivre selon la justice de Dieu. On voit d’ailleurs parmi les non-croyants de plus en plus de personnes choisir de changer de vie, de la simplifier et de remettre certains besoins ou priorités à leurs places. Une prise de conscience des abus humains (du péché quoi) est en marche… et c’est l’œuvre du Saint-Esprit pour attirer à lui, pour convaincre et amener à la repentance (changement de mentalité). Jésus nous a averti que ceux qui voudront le suivre auront à souffrir tout comme lui mais partageront également la même espérance du salut et de l’héritage éternels. Ceux qui voudraient se soustraire à cette destinée terrestre renient purement et simplement le Christ, le sauveur qui n’a jamais été en fait le Seigneur de leur vie (loin de moi, je ne vous ai jamais connus !). Souvenons-nous des raisons qui ont poussé Pierre à renier Jésus par trois fois : la peur de souffrir. Cette chute, cette immense déception et découverte de sa vraie nature orgueilleuse ont par la suite radicalement changé sa vie, heureusement car son cœur n’était pas trop dur, contrairement à Judas qui s’est suicidé. Le temps est venu pour les chrétiens de se préparer à faire LE choix définitif de leur destination car il va être de plus en plus difficile pour eux de quitter l’autoroute des compromis qui mènent au chaos pour suivre Jésus sur le chemin étroit à contre-courant du monde ! Tout le monde le sent, c’est comme si le ciel s’apprêtait à nous tomber sur la tête d’un jour à l’autre mais nous faisons l’autruche (optimisme forcené et infondé)…
En Jésus nous sommes à l’abri et les afflictions que nous connaîtrons ici-bas ne sont rien en regard de la gloire éternelle à laquelle nous participerons !
Ce n’est pas un hasard si l’Eglise et particulièrement l’Eglise catholique est systématiquement poursuivie ou censurée dans les pays totalitaires. Pour ceux qui connaissent un peu l’enseignement chrétien, la Foi chrétienne représente un danger pour ceux qui veulent imposer un “ordre nouveau”, car elle permet l’espérance (et donc l’indépendance vu la promesse transcendantale) et empêche en ce sens tout monopole étatiste sur nos vies et surtout sur nos esprits. Cette Foi représente une force incroyable car c’est la seule qui permette de lutter efficacement contre toute tentative de profanation des esprits. Et donc serions-nous en train de dériver vers une forme de totalitarisme? Oui, mais de manière sournoise et soft, mais de manière inéluctable (encore deux ou trois générations et c’est fait si on ne réveillle pas). On le voit aussi très bien avec la pensée unique et le lavage de cerveaux effectué par les media qui n’ont plus (ou si peu) pour but d’informer ou même de divertir (ce qui est différent d’abêtir). Ainsi les télévisions d’état, l’enseignement, les tribunaux et même dans certains pays la fonction publique ne cachent même plus leurs préférences, alors qu’elles sont financées par TOUT le monde (la dictature de la majorité, c’est donc ça la démocrassie). Des exemples concrets? Il est ainsi obligatoire de prendre position pour les palestiniens contre Israël. On est ainsi quasi-certain de perdre un procès contre un locataire récalcitrant. On légifère sans arrêt car il faut des règles, des règles et encore des règles (ça valait bien la peine de faire la Révolution française). Et les impôts ne peuvent qu’augmenter au nom du Bien commun avec tout l’arsenal pseudo-moral, mais très culpabilisateur et inquisiteur, qui l’accompagne. Tout se fait toujours au nom du Bien, mais ce n’est pas le bien de Dieu, ainsi que vous l’indiquez justement, Michel. Tout ceci est encore une fois le résultat de l’une des nombreuses dérives de l’intervention obstinée de l’état dans nos vies privées, alors que le projet sociétal de vie en commun, c’est autre chose. On devrait écrire un livre sur toutes les contradictions flagrantes de l’état et du rôle néfaste qu’il entend jouer à faire le Bien. La France est un pays très atteint par cette tare, car la nouvelle religion, c’est l’état. C’est très abstrait, tellement abstrait et stupide qu’il n’y a plus de repère si bien que les vraies valeurs judéo-chrétiennes non-négociables ont tendance à se dissoudre dans ce qu’on appelle le “relativisme moral” où tout se vaut, soi-disant. C’est assez inquiétant et cela va même au-delà de la christianophobie. Tout cela est donc mauvais signe.
Je suis bien d’accord avec vous. Souvent critique sur les pratiques païennes de l’église catholique, je lui rends néanmoins un hommage appuyé pour son engagement et sa présence sur le terrain, ce qui est bien moins le cas pour les autres confessions.
Vous analysez bien le problème d’insoumission des chrétiens à un système de valeurs étrangères à la justice de Dieu et je pense que le terme “soumission” est une clé du comportement humain. En effet, quoi de plus insupportable pour un esprit dit libre que de se soumettre à autre chose qu’à son intellect ? A l’opposé, quand l’intellect est détruit à force de manipulations mentales, quoi de plus confortable que de se soumettre à un système protecteur mais fermé de type cocon ou utérus ? C’est le syndrome Matrix : chercher la vérité et sortir de sa zone de confort ou ignorer la vérité et rester dans la chaleur de ses illusions. C’est pourquoi je me dois de lancer une sonnette d’alarme au monde catholique, puisque c’est le seul système religieux de cette ampleur qui possède un clergé influent. Attention à ne pas vous soumettre aveuglément à votre pape et donc à l’institution car si la doctrine de votre guide dévie de la vérité qui est en Yeshoua seul, c’est vous tous qui êtes menacés d’éloignement du royaume de Dieu. Le don de discernement du Saint-Esprit est indispensable à tout chrétien. Il viendra forcément un temps où il faudra choisir entre la foi catholique, quelles que soient ses évolutions, et la foi en Dieu qui a pour objet une personne qui ne change pas au gré du temps terrestre et des mœurs humaines. La foi n’est pas une adhésion à un corpus de traités philosophiques ou à des valeurs morales mais c’est la ferme assurance des choses qu’on espère, conformément aux promesses de Dieu et à ce qu’il a dit et révèle aujourd’hui encore de son royaume éternel. La foi vient de ce que l’on entend (les témoignages, miracles, guérisons, etc) et ce que l’on entend vient (est conforme aux promesses) de la Parole de Dieu. L’Évangile auquel nous croyons ne consiste pas en paroles mais en puissance. Les apôtres enseignent et leurs paroles sont confirmées par des démonstrations de puissance (signes, miracles, etc), ce qui achève de convaincre les plus sceptiques. Cherchez le feu du Saint-Esprit et restez à son contact. Un chrétien sans puissance du Saint-Esprit ne sert à rien et se met en danger de régression.
Un exemple percutant mais je ne crains pas de dire la vérité : les apparitions et miracles de Lourdes ne sont pas conformes à la Parole de Dieu, ce sont séductions démoniaques qui n’ont rien de gratuit spirituellement parlant. Voyez d’ailleurs l’idolâtrie locale, la débauche d’argent et le récent jugement de Dieu sur cette ville. Ouvrons les yeux, toute chose a des liens spirituels et tout ce qui nous entoure nous parle de Dieu. Nous avons tous des idoles, des autels où nous adorons d’autres dieux et du feu étranger en nous. Que le Saint-Esprit nous ouvre les yeux sur toutes ces infidélités que nous devons abandonner à la croix de Jésus. Nous n’aurons pas d’autres dieux devant la face de l’Éternel ! (1er commandement)
Je pense à l’interdiction de la croix qui est un signe religieux, ou bien au port de la kippa qui est également un signe religieux !
Bref, de mon village je me suis rendue au gros bourg à proximité : L’Arbresle. Je ne parle pas du nombre de muzz avec la barbe et en costume traditionnel qui circulent ou sont au café, ni du nombre impressionnant de femmes en foulards, ni de la salle de prière construite depuis peut (et peut-être prochainement une mosquée). Mais ce qui m’a surtout interpellée c’est une bande d’enfants encadrés par deux muzz dont une avec le foulard.
Alors république laïque ? Moi je pense plutôt république bananière.
Suis-je raciste ?