Publié par Salem Ben Ammar le 26 novembre 2013

Allah

Les tunisiens se voyaient déjà en haut de l’affiche mais ils ont oublié que leurs chevilles étaient restées entravées par les chaînes de l’islam, ne sachant pas qu’ils vivent depuis 1400 ans sous le pire régime despotique et négateur de l’être humain : l’islam, l’idéologie de l’asservissement, de l’avilissement, de la servilité, de l’abêtissement, de la chosification de l’être humain, de l’indignité humaine, de l’assujettissement et de la soumission.

L’homme n’est pas libre dans l’islam, il a été créé par Allah pour le servir, moutonner devant lui, un esclave congénital, un ‘abd, un captif qui n’a aucun espoir de quitter un jour son bagne.

L’islam est un bagne à perpétuité d’où personne ne peut échapper et en sortir vivant

Le musulman est condamné à vivre dans un état d’embastillement permanent, du berceau jusqu’à la mort, et malheur à celui qui veut rompre ses chaînes.

L’homme est une banale propriété de droit canon musulman, il appartient à celui qui l’a créé, Il n’y a de salut pour son âme que dans sa résignation absolue à la dictature de son Allah et Maître, voué à rester un éternel esclave, tant qu’il n’a pas brisé les chaînes qui l’empêchent de recouvrer sa liberté.

Les tunisiens, comme tous les peuples musulmans, n’ont aucune chance de se remettre dans le sens de la marche de l’histoire tant qu’ils seront les esclaves d’Allah.

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Fiers d’être des Abd Allah

Tout heureux d’assumer leur statut d’hommes aliénés et propriété d’Allah, déchus de leurs droits sur eux-mêmes, dépourvus de volonté propre, et n’ayant aucune prise sur leur destin humain, les musulmans sont une chose entre ses mains. Lui dicte, eux s’exécutent, et s’offrent en offrande pour satisfaire son appétit insatiable de chair humaine.

Jamais les Abid de l’islam ne goûteront aux joies des libertés humaines.

Quand un esclave fait le choix de son maître plutôt que de sa liberté, jugée comme un sacrilège punissable des feux de l’enfer, il y a tout lieu de croire que sa condition d’esclave est sa seule raison d’être et de vivre, un mal incurable dont la guérison remet en cause sa propre survie.

Abid ils le sont, et Abid ils le resteront jusqu’à la nuit des temps. La solution n’est pas dans l’islam, comme ils persistent à le croire, mais dans la rupture totale.

On ne fait pas d’un produit toxique un traitement de décontamination. L’environnement est pollué par l’islam, le pire déchet radioactif que le monde ait jamais connu.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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