“Pour que la révolution sexuelle puisse tenir sa promesse du plaisir sans culpabilité, des fœtus ont été avortés”, écrit Robert Oscar Lopez, activiste anti-gay (Robert Lopez vient de me préciser qu’il n’est pas anti-gay), défenseur du droit des enfants, professeur de littérature américaine et classique à l’université de Northridge, et élevé par une mère lesbienne.
“Pour avoir grandi avec une mère lesbienne et avoir passé la plus grande partie de ma vie immergé dans la communauté homosexuelle, je connais bien ce milieu”, explique Lopez.
Robert Oscar Lopez: “Ils repoussent les questions existentielles, comme par exemple : “comment concilier mes besoins, leurs conséquences pour mes relations sociales, mes obligations envers les autres, et moi-même ?” avec des actions plus immédiates et anesthésiantes : quelques snifettes d’une bouteille de poppers, quelques visites aux douches communes du hamam, un échange vivifiant sur les forums d’Advocate, et une manifestation pour fermer les services d’adoption d’une œuvre catholique – à moins qu’ils donnent des bébés aux couples gay, là tout de suite et à leurs conditions.”
Robert Oscar Lopez: “Tout cela serait parfait si les répercutions se limitaient à celui ou celle qui décide d’adopter cette stratégie dilatoire. Mais ceux qui basent leurs choix sociaux sur des illusions détruisent les gens autour d’eux. Nous autres, êtres sociaux, finissons toujours par emporter les autres dans notre folie.”
Robert Oscar Lopez: “Au nom de la révolution sexuelle… des enfants ont été balotés dans les affaires de divorce, et les enfants nés dans des familles aux relations instables ont souffert de confusion et d’un sentiment d’abandon, en silence, en souriant, afin de confirmer les choix égoïstes de leurs parents pour assouvir leurs fantasmes.”
Robert Oscar Lopez: “De cette génération de dommages collatéraux est née ma génération. Des enfants forcés à vivre avec des familles formées d’un couple du même sexe, et qui doivent faire semblant de vivre dans le bonheur absolu d’une famille sans père ou sans mère ; des enfants qui ne pourront jamais admettre les sombres heures, les heures oubliées où ils ont du faire semblant, pour ménager les égos fragiles de leurs égotistes parents homosexuels, et sauver les apparences, pour que la presse de droite ne puisse pas condamner leurs familles et les utiliser comme preuve que l’homosexualité est un péché.”
JPG : Il ne fait pas doute pour moi que l’adoption d’enfants par un couple homosexuel, et plus encore par deux hommes, est un autel sacrificiel au nom de l’égoïsme suprême, et qu’il a été légalisé avec le plus total mépris pour l’enfant. Il ne s’est pas trouvé de défenseur de l’enfance dans les rangs progressistes, pas un seul pour appeler à la vigilance, pour exiger un retour d’expérience, des enquêtes auprès de jeunes adultes ainsi adoptés, dans les pays qui le pratiquent depuis un certain temps. Les naufragés de ce désastre ne parleront pas avant quinze ou vingt ans – s’ils osent un jour parler.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
un enfant peut être très heureux avec deux papas ou deux mamans plutôt que de vivre dans un orphelinat dans la plus grande indifférence , alors qu’une fois adopté des parents adoptifs lui donneront tout l’amour qu’il n’a pas eu .. ça c’est un cadeau de la vie …
Ce que vous avancez est une absurdité. C’est le fruit de l’ignorance.
En tant qu’ex orphelin, je me permet déjà de vous signaler que l’indifférence dont vous parlez dans les orphelinats, ben j’y ai JAMAIS été confronté. OK, j’ai 40 ans, les choses ont peut-être changé en mal (mais j’en doute) mais je peux vous garantir que le personnel était au petit soin avec nous.
Alors bien sur, un éducateur pour 15 mômes c’est pas un papa, le partage est un peu dur à avaler et oui, on dormait seul…
Mais dans nos rêves, à votre avis, on rêvait de parents homos ? Évidemment que NON !
Moi j’ai jamais pût être adopté, ma génitrice ayant fait le nécessaire (Dieu la maudisse) mais j’ai été PLACÉ à neuf ans, dans une famille que j’ose qualifier de NORMALE, dans le sens HÉTÉRO, et au final j’ai eut une chance FABULEUSE…
…à 14 ans j’étais capable de dire Papa et Maman, et de le ressentir…
papa1 et papa2, maman1 et maman2 pour moi c’est juste monstrueux.
Une famille d’accueil comme dans mon cas, ça a un rôle à jouer. Celui de faire passer le môme du statu de “gamin de personne” à fils ou fille d’une famille dans toute sa banalité, ainsi, le ou la gosse peux “oublier” qu’il ou elle a été jeté comme un kleenex…
…et ça les “familles homoparentales” ne le pourront JAMAIS justement.
Eh non, ma pauvre dame, malheureusement vous vous fourrez le doigt dans l’oeil jusqu’au coude.
Tout comme les parents d’enfants de sexe indéterminé, persuadés il y a quelques décades que «la science» pouvait désormais façonner un garçon ou une fille à volonté à coup de lavage de cerveau et d’interventions chirurgicales. Evoquez donc la question avec les malheureux qui ont survécu le traitement, ils vous en diront des nouvelles. La presse médicale et les autorités, elles, sont à présent muettes sur le sujet.
Tout comme les supporters de l’opinion largement répandue dès les années 60 suivant laquelle les enfants n’avaient pas besoin de deux parents pour se développer harmonieusement. On en voit le résultat dès qu’on interroge les enfants de parents séparés, ballotés entre père et mère toute leur enfance et adolescence – et encore bien heureux quand ils n’ont pas servi de munitions dans la guerre que se sont livrée leurs parents.
Tout comme ceux qui ont cru dur comme fer que dès l’instant où les femmes auraient le droit de vote, il n’y aurait plus de guerres.
Tout comme les millions d’individus formatés à accepter les yeux fermés n’importe quelle affirmation péremptoire des “autorités”, des “élites” et/ou des psychologues sans la vérifier et sans jamais la remettre en question, quels que soient les ravages qu’elle provoque.
Il n’y a pas de miracle : un enfant a besoin de grandir avec ses parents naturels et sa famille «élargie» pour avoir une chance de se bâtir un avenir heureux. L’adoption, bien sûr, à condition qu’elle recrée le cadre naturel, impossible avec un couple de même sexe.
La vie est un cadeau !!! acceptons l’ordre des choses , la nature le fait naturellement !!! l’enfant est le fruit d’un papa et d’une maman.
Je ne vois pas bien le rapport entre l’avortement et le contenu de cet article. Les raisons pour lesquelles une femme pourrait avorter ne sont même pas évoquées. Quel rapport entre l’avortement et l’homosexualité, entre l’avortement et le divorce, entre l’avortement et les familles recomposées ? C’est vraiment n’importe quoi.
En attendant le parlement français va bientôt voter le “l’accès à la PMA” soit le droit de se procurer un enfant parce qu’ils (les gays) le valent bien… La destruction continue tranquillement.
JE PENSE EFFECTIVEMENT QUE CE GOUVERNEMENT AURA FAIT BEAUCOUP DE MAL A NOTRE PAYS .IL AURAIT ÉTÉ PLUS SAGE DE PASSER PAR UN REFERENDUM;MAIS L’ECRAN DE FUMÉE A CACHÉ PAS MAL DE CHOSES!!
LE SPAM ME POURSUIT ??
Je n’ai rien contre les homosexuel(le)s. Elles (ils) font partie de la nature comme les hétéro. Il y en a dans ma famille et il ne me viendrait pas à l’idée de faire des différences. Mais on peut prendre les choses par le bout qu’on veut : chez les humains de la planète TERRE, seule la femme peut enfanter et nous ne sommes pas à la veille que cela change. Rien n’empêche donc un couple de lesbiennes de mettre au monde un enfant soit par la PMA soit par une relation sexuelle avec un homme. Pour un couple d’homosexuels c’est totalement exclus, PMA ou pas !
Mais dans les deux cas, seul le désir des adultes est pris en compte avec l’idée qu’ils ou elles se font de l’évolution psychologique de l’enfant, pas forcément homo, lui, dans un milieu unisexe. Les militants GLBT peuvent bien gueuler comme des veaux sur le droit à l’égalité, la nature s’en fout. Et lorsqu’on passe outre la nature, forcément les enfants trinquent même si leurs pseudo parents sont convaincus du contraire. Ils ou elles ne manqueront d’ailleurs pas de vous citer les cas de tel ou telle qui a grandit dans ce milieu et qui se porte comme un charme mais qui n’ose pas dire le fond de sa pensée pour préserver la cohésion du milieu où il a grandi…
La procréation consiste à faire un enfant, pas des parents !
Et voilà les résultats:avortements,pédérastie et autres caprices de l’être humain enclin au mal depuis le péché d’Adam et Eve, voulant se prendre pour des dieux ils préparent le grand précipice de leurs ténèbres.Malheur aux habitants de la terre disait N D de Fatima à cause des péchés…
Le titre laissait entendre qu’on allait parler d’avortement et bien non,encore une fois les éternelles récriminations contre les couples homosexuels
Pouvez vous affirmer qu’un enfant élevé par deux femmes ou deux hommes sera moins heureux et moins équilibré qu’un enfant en famille monoparentale ou avec un couple hétéro où (par exemple) le mari boit et roue sa femme de coups
L’essentiel pour rendre un enfant heureux c’est de l’aimer,et aimer son enfant et lui assurer une bonne éducation n’est pas l’apanage d’un couple hétéro
Maintenant si vous désirez parler d’avortement c’est quand vous voulez,je vous le dis tout de suite je suis totalement contre !!!!!!!
“Pouvez vous affirmer qu’un enfant élevé par deux femmes ou deux hommes sera moins heureux et moins équilibré qu’un enfant en famille monoparentale ou avec un couple hétéro où (par exemple) le mari boit et roue sa femme de coups” : la formulation de votre question est déjà un formidable aveu.
Un formidable aveu de quoi ?
Oui,je crois qu’il y a trop d’enfants malheureux avec des familles dites normales pour qu’on puisse encore affirmer avec force que des enfants élevés par deux femmes ou deux hommes ne le soit pas correctement
Je suis en effet pour la tolérance et pour voir l’amour qui exsiste entre deux personnes du même sexe et je sais que je vais faire hurler,pourquoi refuser la maternité à une femme alors que la conscience en paix,on en laisse une autre totalement dépourvue de la moindre étincelle de tendresse maternelle en avoir sous prétexte qu’elle estt en couple avec un homme
Alors oui si vous voulez,je ne villipende pas un couple femme-femme ou homme-homme et je reconnais à ces gens le droit d’avoir des enfants même si je suis bien plus réticente pour ces derniers
!!!!!!
Un enfant élevé par deux femmes ou deux hommes qui boivent et se rouent de coups sera moins heureux et moins équilibré qu’un enfant en famille monoparentale ou couple hétéro où le mari boit et roue sa femme de coups.
lol ! :laugh:
Je suis ,infirmière , puéricultrice, et une maman (par adoption) , je pense que cet article, mériterait d’être davantage développé , mais je suis d’accord avec le rédacteur
Intéressante remarque. Développé est toujours possible. Mais dans quelle direction ?
c’est plus des enfants c’est des choses au yeux des gays et lesbiennes
Pour ceux qui sont convaincu de la sainteté de la torah, il est clair que deux hommes ou deux femmes ensemble est une anomalie, une violation de la justice de YHVH, et donc l’on ne peut s’attendre à quelque chose de positif.
Un couple hétéro qui se dispute, c’est la même chose, les conflits sont la marque d’un manque de sagesse, là aussi l’enfant sera en souffrance.
Et donc comparer le péché avec le péché ne permet de justifier plus l’un que l’autre, il sont tous les deux malsains et sources de malédictions pour le monde, le couple qui a de la sagesse est lent à la colère et il met sa gloire à oublier les offenses, combien plus pour un couple hétéro.
AMEN!!!!
Pourquoi ne peut-on plus cliquer sur “j’aime” sans être obligé de cliquer sur 4 boutons ?…
Ceci dit, excellent témoignage à diffuser.
Je préfère de loin un enfant adopter par un couple de même sexe qu’une interruption volontaire de grossesse il y a d’un coté la VIE probablement pas idéal et en face il y à la MORT .
ou simplement adopté par une famille qui veut un enfant et qui ne peut pas en avoir !
Eh oui ! Où était le bon temps où la femme ne pouvait pas accéder au plaisir tellement elle flippait de tomber enceinte. Le bon temps où elle pondait et où si besoin, le monsieur allait aux putes. La maman ou la putain…
Ah le bon vieux temps…
Il y a quand même la contraception, non ? Il est vrai que ça rend la femme libre de sa sexualité. C’est peut être là que ça coince…
Je ne vois pas trop le rapport avec l’homosexualité..
@ Noelle
«Les femmes ne pouvaient pas accéder au plaisir par peur de la grossesse”, dites-vous. Toutes ces pauvres victimes des hommes qui les ont empêchées de jamais connaître le plaisir, c’est à frémir !
Ce qui fait frémir, en fait, c’est l’ignorance crasse des gobeurs de telles contre-vérités. Toute la littérature occidentale depuis le Moyen-Âge jusqu’à l’aube du XIXème siècle dément cette théorie, en un temps où au contraire, la fécondité était considérée comme une bénédiction du ciel, et témoigne de l’enthousiasme, jugé parfois excessif, des femmes en matière de plaisir sexuel. Ce n’est qu’à l’aube du XIXème siècle que la bourgeoisie triomphante, bientôt suivie par le reste de la population, s’est préoccupée de réduire le nombre de ses enfants, d’abord pour des raisons économiques (c’est ce qui s’appelle faire l’amour dans une tirelire), ensuite pour échapper à toute responsabilité, à toute conséquence de ses actes.
«Sous tous les rapports, les femmes ressemblent à des fleurs ; mais sous celui de la fécondité, elles n’ont aucune ressemblance avec elles ; la plupart des femmes, les femmes comme il faut surtout, et je vous prie, prolétaires mes amis et mes frères, de croire que c’est seulement pour me conformer à l’usage que je me sers de cette expression, car pour moi, la femme la plus comme il faut c’est la plus aimable et la plus jolie ; les femmes comme il faut, donc, ne produisent plus ; ces dames sont mères de famille le moins possible ; elles se font stériles par économie. Quand la femme du greffier a fait son petit greffier, la femme du notaire son petit notaire, elles se croient quittes envers le genre humain, elles abdiquent. … Le fait est que les enfants sont fort chers, et que cette dépense n’est pas à la portée de tout le monde ; le pauvre seul peut se permettre le luxe d’une nombreuse famille… Mais dans le siècle de mon oncle Benjamin, les choses allaient tout autrement : c’était l’âge d’or des accoucheurs et des sages-femmes. Les femmes s’abandonnaient sans inquiétude et sans arrière-pensée à leurs instincts ; riches ou pauvres, elles faisaient toutes des enfants, et même celles qui n’avaient pas le droit d’en faire.» (*)
Quant aux filles de joie, je m’étonne que les femmes «libérées» dont vous faites partie puissent ne pas rendre hommage aux services hautement thérapeutiques qu’elles dispensent à une humanité souffrante toujours en quête de plaisir. Attention, leur syndicat pourrait bien vous traîner en justice pour discrimination !
Mais là où vous vous passez vous-même la corde au cou, c’est en avouant que vous considérez l’avortement comme un mode de contraception, sans doute sur l’air de «mon corps est à moi, j’en fais ce qu’il me plaît». Passons sur la «propriété» de ce corps unique objet de tant de soins et de préoccupations et bornons-nous aux progrès de la science en matière de gynécologie. Ils ont révélé que ce corps chéri si âprement revendiqué abrite dès le début de la grossesse un individu pourvu d’un groupe sanguin, d’une DNA, de caractéristiques physiques et physiologiques qui en font un être unique bien distinct de son hôte. Il est impossible, dans ces conditions, de le considérer à l’égal d’une dent cariée à arracher. L’avortement, que ce soit à 3, 6 ou 8 mois de la grossesse n’est rien d’autre que le meurtre de cet individu unique en formation, parfois capable de survivre à cette boucherie – d’où la recommendation de M. Obama aux avorteurs de ne pas porter assistance aux bébés encore vivants qu’ils ont arrachés par la force du sein qu’on a scrupule, dans ces conditions, à appeler «maternel».
L’avortement n’a jamais été considéré comme le substitut aux multiples moyens de contraception offerts à «la femme libérée». Lorsque nous en avons accepté le principe, il y a plusieurs décades, il nous avait été expliqué qu’il disparaîtrait au contraire très rapidement puisque la contraception était désormais en place et qu’il serait réservé à un petit nombre de cas uniques, par exemple lorsque la grossesse mettrait en danger la vie de la mère.
La suite a montré que ces prévisions étaient on ne peut plus erronées, la plupart des «femmes libérées» n’étant même pas fichues de pratiquer les moyens de contraception qu’on leur offre sur un plateau et préfèrant se soumettre à de multiples avortements plutôt que de s’astreindre à toute discipline, médicale ou autre, aussi bénéfique soit-elle. La recherche du plaisir n’excuse rien et il y a longtemps qu’on sait qu’elle n’est pas garante de bonheur. Sont-elles plus heureuses que les générations précédentes, ces «femmes libérées» aux avortements multiples ou flanquées de 5 ou 6 enfants de pères différents qui subsistent sur la charité publique ? Sur la base de l’expérience recueillie dans ma propre famille, je peux vous assurer que non, mille fois non.
Alors ne venez plus me rabattre les oreilles avec la libération (sexuelle ou autre) de la femme, vous me levez le cœur.
@ Atikva
J’ai dit tout ça, moi ? Non !
Je n’ai pas parlé de “femmes victimes de l’homme”.
J’ai seulement eu une mère qui a eu 6 enfants qu’elle n’aurait pas faits si elle avait eu une contraception. On est particulièrement fécondables, dans la famille…
Enfants du même homme, mon père, je précise.
Enfants non voulus pour les derniers, mais aimés. Je suis portant la dernière mais je la comprends. Ca vous étonne ?
Pas de femmes victimes des hommes, non, mais le CHOIX d’avoir ou non des enfants et d’en avoir le nombre voulu. Si possible…
Pour moi, contraception et aucun avortement. Merci.
Je ne sais si vous êtes homme ou femme, mais pour moi un enfant est une responsabilité. Et selon que l’on est l’un ou l’autre… la vie n’est pas la même et éventuellement limitée dans les choix.
Je crois quand même que tout votre message ne m’est pas consacré.
Je dirais seulement que si vous n’aimez pas la liberté, ou du moins d’avoir le choix dans les décisions fondamentales de la vie, c’est votre problème, mais laissez les autres avoir le leur.
Tout est déjà bien difficile…
Ah, je précise : j’ai eu une fille et ma vie sexuelle a été bien riche. Merci.
Pardon, j’ai oublié de mentionner l’auteur de ma citation : il s’agit de Claude Tillier dans Mon Oncle Benjamin.
et si quelqu’un PREND AU PIEGE UN DE CES PETITS QUI CROIENT EN MOI, IL VAUDRAIT MIEUX QU’ON LUI ATTACHE AUTOUR DU COU UNE PIERRE à MEULER ET QU’IL MEURT NOYE EN PLAINE MER! Malheur au monde à cause des pièges! Car il est nécessaire qu’il y ait des pièges, mais malheur à qui les tend!
Matthieu 18:1-7
Je me demande ce que pense les familles en Isräel qui ont une ribambelle de petits enfants qui courent autour de leurs parents HETERO, avec une maman enceinte. Nous avons vu des dizaines de familles ainsi à Yéroushalayïm ce printemps, je vous assure que c’est réjouissant, même si tous ont leur soucis familiaux, leurs problèmes personnels, il y a une chose qui est sûre, ces familles sont bénies de Hashem, CELA SE VOIT!!! Hashem bénit TOUT le monde, même les humains qui sont dans le péché, la différence est que quand on s’enfonce dans le péché, on quitte la bénédiction de Dieu. Ce n’est pas Dieu qui ne bénit plus, c’est l’humain qui s’éloigne de LUI par son péché, et les couples homos entraînent dans leur malédiction des être innocents qui n’ont rien demandé. Je rejoins ce commentaire qui dit qu’aucun orphelin, aspirant de tout son coeur à être adopté, désire être adopté par un couple homo. Dans la tête d’un petit enfant ça n’existera jamais, car ce n’est pas voulu de Dieu. D’ailleurs la plupart des couples homos ne vont même pas chercher un enfant dans un orphelinat, ils s’arrangent pour se les faire “fabriquer”, c’est une abomination tout simplement.
Merci Jean-Patrick pour cet article.
Aujourd’hui il faut du courage pour oser écrire cet article. L’homosexualité masculine et féminine est une perversion sexuelle. Elle était encore officiellement considérée comme une pathologie mentale jusqu’en 1973. Suite au harcèlement, à la guérilla, au lobbying intensif et extrêmement virulent des homosexuels américains, les psychiatres américains, de guerre lasse, ont décidé de retirer l’homosexualité du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux. Vous remarquerez que, ce n’était pas une conclusion faisant suite à des études scientifiques sérieuses mais que cette décision était consécutive à de très fortes pressions et incessants harcèlements du lobby homosexualiste intégriste américain.
Je vous livre ce témoignage vidéo de l’incroyable dégénérescence, de l’avilissement invraisemblable et de la violence insupportable des hordes de pervers et dégénérés de partisans en faveur de l’avortement, de sodomites et lesbiennes gauchistes devant la cathédrale San Juan en Argentine (crachats, insultes, blasphèmes, etc …).
Si les partisans en France de LMPT avaient seulement osé faire le dixième du centième de ce que cette horde de sauvages dégénérés et hystériques ont fait à ces paisibles catholiques, tous se seraient retrouvés en prison grâce à Manuel le Chimique et Taubira la Banane. A voir absolument et à diffuser sans limites ! Scandaleux ! Ignominieux ! Révoltant ! :
http://www.youtube.com/watch?v=MAJZAmiaplE
http://www.youtube.com/watch?v=wPUvUYU7Qzw
(se connecter sur cpte pour visionner images)
http://www.youtube.com/watch?v=m8dYxtv7IBc
Voici le paradis homosexualiste que l’on nous promet.
Bravo Jean-Pierre Grumberg pour votre prise de position claire, EN FAVEUR des enfants, et CONTRE l’hypocrisie ambiante. Hypocrisie qu’on n’appelle déjà plus “politiquement correct” car ces idées sont encore plus vissées chez les gens qu’avant. Sombres, sombres temps…
Je voulais dire Jean-PATRICK bien sûr (impssible de corriger dans les secondes après avoir posté le message…)
l’homosexualité ne me concerne pas, c’est la vie privée de chacun, bien que l’on puisse s’interroger sur le discours homo.
En effet, rejeter l’autre sexe, c’est rejeter fondamentalement la différence, et s’enfermer dans un narcissisme stérile.
Les homos réclament le droit à la différence pour eux, tout en rejetant même inconsciemment, la différence.
Par contre il est impensable de laisser des couples d’hommes jouer à papa/maman.
leur vie privée leur appartient, les enfants eux, n’ont rien demandé.
quand la gauche sera virée, il faudra bien demander son avis au peuple et laisser s’exprimer les avis qui informeront vraiment les électeurs.