Publié par Jean-Patrick Grumberg le 4 décembre 2013

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“Pour que la révolution sexuelle puisse tenir sa promesse du plaisir sans culpabilité, des fœtus ont été avortés”, écrit Robert Oscar Lopez, activiste anti-gay (Robert Lopez vient de me préciser qu’il n’est pas anti-gay), défenseur du droit des enfants, professeur de littérature américaine et classique à l’université de Northridge, et élevé par une mère lesbienne.

“Pour avoir grandi avec une mère lesbienne et avoir passé la plus grande partie de ma vie immergé dans la communauté homosexuelle, je connais bien ce milieu”, explique Lopez.

Robert Oscar Lopez: “Ils repoussent les questions existentielles, comme par exemple : “comment concilier mes besoins, leurs conséquences pour mes relations sociales, mes obligations envers les autres, et moi-même ?” avec des actions plus immédiates et anesthésiantes : quelques snifettes d’une bouteille de poppers, quelques visites aux douches communes du hamam, un échange vivifiant sur les forums d’Advocate, et une manifestation pour fermer les services d’adoption d’une œuvre catholique – à moins qu’ils donnent des bébés aux couples gay, là tout de suite et à leurs conditions.”

Robert Oscar Lopez: “Tout cela serait parfait si les répercutions se limitaient à celui ou celle qui décide d’adopter cette stratégie dilatoire. Mais ceux qui basent leurs choix sociaux sur des illusions détruisent les gens autour d’eux. Nous autres, êtres sociaux, finissons toujours par emporter les autres dans notre folie.”

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Robert Oscar Lopez: “Au nom de la révolution sexuelle… des enfants ont été balotés dans les affaires de divorce, et les enfants nés dans des familles aux relations instables ont souffert de confusion et d’un sentiment d’abandon, en silence, en souriant, afin de confirmer les choix égoïstes de leurs parents pour assouvir leurs fantasmes.”

Robert Oscar Lopez: “De cette génération de dommages collatéraux est née ma génération. Des enfants forcés à vivre avec des familles formées d’un couple du même sexe, et qui doivent faire semblant de vivre dans le bonheur absolu d’une famille sans père ou sans mère ; des enfants qui ne pourront jamais admettre les sombres heures, les heures oubliées où ils ont du faire semblant, pour ménager les égos fragiles de leurs égotistes parents homosexuels, et sauver les apparences, pour que la presse de droite ne puisse pas condamner leurs familles et les utiliser comme preuve que l’homosexualité est un péché.”

JPG : Il ne fait pas doute pour moi que l’adoption d’enfants par un couple homosexuel, et plus encore par deux hommes, est un autel sacrificiel au nom de l’égoïsme suprême, et qu’il a été légalisé avec le plus total mépris pour l’enfant. Il ne s’est pas trouvé de défenseur de l’enfance dans les rangs progressistes, pas un seul pour appeler à la vigilance, pour exiger un retour d’expérience, des enquêtes auprès de jeunes adultes ainsi adoptés, dans les pays qui le pratiquent depuis un certain temps. Les naufragés de ce désastre ne parleront pas avant quinze ou vingt ans – s’ils osent un jour parler.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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