Publié par Hervé Roubaix le 14 décembre 2013

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“Les enfants d’une école de Paris, près de Denfert-Rochereau, n’auront pas de Noël cette année” explique un email qui circule.

Je ne sais pas si l’information est vraie. J’ai posé des questions, j’attends des réponses. Le nom de l’école n’est pas mentionné, ce qui ne permet pas de facilement vérifier. Mais là n’est pas le problème. L’islamisation avance, et ce n’est pas ce que vous avez demandé, voilà le problème. L’an dernier, d’ailleurs, une école maternelle de Montargis (Loiret) avait réellement décidé de ne pas inviter le père Noël en raison de l’importance de la population d’origine immigrée, et avait provoqué la polémique.

Et je ne serais pas surpris que d’autres écoles soient tentées par cet effacement culturel pour faire place à d’autres. Le coup de gomme sur le passé de la France, c’est dans l’air du temps. Il avance aussi vite que le rejet, par le peuple, de ce multiculturalisme imposé. Mais la diversité a hélas déjà gagné.

Selon l’email qui circule donc, les parents auraient été prévenus qu’ « à la présence du père Noël cette année, l’équipe pédagogique a préféré son évocation », pour « ne pas effrayer certains enfants jeunes, solliciter leur imaginaire, respecter les pratiques diverses des familles ». La laïcité n’est donc qu’un mauvais alibi.

D’ailleurs il n’est pas évoqué à l’université d’Avignon, où, depuis plusieurs mois, des étudiants de confession musulmane prient dans l’enceinte de la faculté.

« Une fois, j’étais à la bibliothèque et d’un coup j’ai entendu des chants en arabe. Je les ai vus qui priaient en bas du bâtiment. J’ai vu qu’un copain à moi était dans le groupe alors je lui ai demandé “vous avez fait la prière ou quoi ?”. Il m’a répondu sèchement en me disant qu’il n’y avait rien de drôle », confie un étudiant en droit.

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Interrogé par Le Dauphiné1, Emmanuel Ethis, président de l’université d’Avignon, confirme: « c’est arrivé plusieurs fois cette année. Il y a eu des prières qui se sont faites dans des lieux reculés ». En fait de lieux reculés, des salles de cours servent carrément de lieu de prière collective.

Yannick Blanc, préfet de Vaucluse a reconnu qu’« il s’agit de phénomènes liés à l’intégrisme comme il peut y en avoir partout. Nous y sommes très attentifs.”

“Il faut savoir que l’université n’est pas hors du monde. Elle suit les courbes d’évolution de la société », dit le président de la fac, avec juste raison.

La société évolue vers son islamisation. Les Français ont accepté l’abattage de leur culture, de leurs racines et de leurs repères en baissant la tête, pourvu qu’on leur foute un peu la paix.

C’est dans ce contexte de despotisme, de négation absolue de la démocratie – qui n’est certes pas la préocupation centrale des Français – que le premier ministre a commandé un rapport sur l’intégration qui prévoit de ne plus exiger des immigrés qu’ils s’intégrent, mais d’exiger des Français de faire progressivement disparaître tout signe ostentatoire pouvant évoquer la France et son passé chrétien, pour ne pas heurter les sensibilités immigrées.

Ce n’est ni plus ni moins qu’une déclinaison des accords Eurabia révélés par l’historienne Bat Ye’Or, (et que ses opposants dénoncent comme une théorie du complot). Ayant en notre possession les exemplaires originaux de la revue Eurabia, nous pouvons attester qu’il n’y a ici aucun conspirationnisme mais une continuité entre Eurabia et le rapport sur l’intégration du premier ministre Ayrault. L’ensemble faisant un tout cohérent qui contredit les détracteurs de l’historienne.

Le rapport prévoit le retour du voile à l’école, la reconnaissance de toutes les langues de manière identique, c’est à dire l’arabe et les langues africaines. Il veut faire un trait sur la “France en reconnaissant la richesse des identités multiples».

Le rapport devait être publié après les municipales. Il s’est produit un couac. François Hollande a tenté de sauver les murs en affirmant: «Ce n’est pas du tout la position du gouvernement».

Mensonge. Le rapport dit clairement le contraire : “les préconisations serviront de base au travail que le gouvernement engage désormais, pour définir les grands axes de la nouvelle politique d’intégration de notre pays”.

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La nouvelle politique d’intégration du gouvernement consiste donc à désintégrer la France pour que les étrangers ne se sentent pas dépaysés.

Et tout cela, bien entendu, alors que jamais le peuple français n’a été consulté et qu’aucun débat national n’a été mis en place. Jamais les Français n’ont demandé que leurs repères culturels et historiques soient effacés, que leur passé soit déraciné, remplacé par celui du Maghreb et de l’Afrique, et que leur environnement, cette France si charmante, soit modifié par des burqas et des restaurants kebab.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

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