L’ Administration américaine a réagi très fermement et à la vitesse de l’éclair aux déclarations du Ministre de la Défense Moshe Ya’alon publiées par le quotidien israélien Yedioth Ahronot :
“John Kerry – qui est venu nous voir plein de détermination et qui fait preuve d’une obsession incompréhensible et d’un sentiment messianique – n’a rien à m’apprendre sur le conflit avec les Palestiniens”
En réponse, les USA ont condamné les commentaires de Ya’alon comme « offensants et inappropriés ».
Alors que l’Administration américaine a réagi très rapidement aux « remarques », (selon moi justifiées, du Ministre israélien), elle continue à superbement ignorer les déclarations et manifestations inamicales et offensantes des « Palestiniens” et Arabes.
Des responsables « palestiniens », représentant de multiples organisations, y compris l’Autorité palestinienne, ne se sont pas privés de critiquer quotidiennement Kerry au cours de ces dernières semaines, sans que cela ne dérange le Département d’Etat américain.
Parmi les responsables “palestiniens” qui ont été extrêmement critiques sur le rôle de Kerry dans ces négociations de paix, nous pouvons citer Yasser Abed Rabbo, le Secrétaire général de l’OLP, et l’un des conseillers les plus proches de Mahmoud Abbas.
Le mois dernier, Rabbo a lancé une attaque virulente contre Kerry, dénonçant ses dernières propositions comme inacceptables :
« Kerry n’a pas le droit de décider où se situeront nos frontières. Si les USA le souhaitent, qu’ils donnent une partie de la Californie ou Washington à Israël. Le cadre de l’accord proposé par Kerry est très dangereux. »
Rabbo a aussi accusé Kerry de chercher à « apaiser Israël en se pliant à sa demande expansionniste dans la Vallée du Jourdain, sous le prétexte sécuritaire. Il veut acheter le silence d’Israël sur l’accord nucléaire avec l’Iran. »
Les Responsables « palestiniens » ont également divulgué des détails sur la dernière proposition de Kerry pour arriver à un accord de paix entre Israël et l’AP. Certains sont même allés plus loin et ont accusé Kerry d’être en faveur d’Israël, oeuvrant à « liquider » la cause palestinienne en extorquant les « Palestiniens ».
Tayseer Khaled, membre du Comité de Direction de l’OLP avait accusé Kerry d’escroquer politiquement les « Palestiniens ». Ces allégations ont depuis été reprises par d’autres « Palestiniens ».
En outre, des manifestations anti-Kerry sont devenues un phénomène banal à Ramallah et dans différentes villes de Judée, de Samarie et de Gaza. Lors de ces protestations, Kerry est souvent désigné comme un pion entre les mains d’Israël.
Au cours d’une manifestation à Ramallah, les « Palestiniens » chantaient : « Oh Kerry, le lâche, vous n’êtes pas à votre place en « Palestine ».
Ces « cris de cœur » pourtant si peu amicaux n’ont suscité aucune réaction de la part de l’Administration américaine, ni de Kerry, le principal concerné.
A Bethléem, il y a quelques semaines, les « Palestiniens » envahirent les rues pour protester contre la visite de Kerry. Et lors de la visite de Barack Obama dans cette ville, l’année dernière, les « Palestiniens » lancèrent des chaussures contre son portrait et brûlèrent sa photo.
Là encore, silence total de la part de l’Administration américaine
Des manifestations anti-Kerry eurent également lieu en Egypte et en Jordanie, au cours desquelles son portrait fut brûlé et sa présence déclarée non grata.
Pourquoi alors, Kerry n’a-t-il jamais été offusqué par ces insultes et protestations arabes ?
Il a suffi d’une toute petite déclaration critique envers Kerry de la part d’un ministre israélien pour immédiatement plonger les relations entre Israël et l’Administration américaine dans l’ère glaciaire, alors que les multiples accusations, autrement plus offensantes, et les violentes manifestations de rue contre Obama et Kerry dans les territoires palestiniens et les capitales arabes sont complètement ignorées par Washington.
Rosaly :
la susceptibilité de Kerry varie-t-elle en fonction de la nationalité de ceux qui émettent des critiques ?
Si Kerry est vraiment concerné par le processus de paix, il doit également demander à l’AP et aux gouvernements arabes de baisser le ton et d’arrêter les incitations aux manifestations anti-américaines et contre sa personne. A moins, évidemment, que ces déclarations et protestations arabo-palestiniennes ne soient pas considérées comme des offenses.
Les Arabo-palestiniens peuvent cracher impunément sur Kerry, Obama, les USA, cela glisse par-dessus leurs épaules. Ce sont des victimes, soyons magnanimes, et puis ils aboient mais ne mordent pas. Par contre, la moindre critique d’un ministre israélien, même justifiée, est intolérable. Deux poids, deux mesures . Comme d’habitude quand il s’agit du conflit israélo-palestinien.
Source : “Kerry’s Peace Process Double Standards” by Khaled Abu Toameh – Gatestone Institute (traduit et adapté par Rosaly)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Barack Hussein Obama veut rentrer dans l’Histoire
Kerry aussi car il fait des allers et retours entre les USA et Israël dans l’espoir qu’Israël
cède un territoire aux palestiniens …et pour qu’ils signent le processus
de paix .. c’est sans espoir .. Israël ne doit pas céder ….
Meggido : il est déjà rentré dans l’Histoire comme le,plus mauvais et le président le plus con que les usa aient jamais eu.? Plus jamais ça…
Thot, le Hussein va rentrer dans l`Histoire, car il est le pire et mauvais President, menteur, faux et pas fiable, qui a detruite l`Amerique. Kerry aussi, comme son hypocrite copin , l`offusque., par la verite quan elle vienne d`Israel. Quand les Arabes brule et crache sur leurs photo, ils sont borgne, aveugle., car ils sont “des amis”. :clown: la vache !!
Les américains baissent la culotte ,comme tous les occidentaux devant les arabes à cause du pétrole ils sont lâches et veules!!
14/01/2014
La malédiction islamiste au Moyen-Orient, par Hélios d’Alexandrie
Califat-carte
Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur le sens des évènements qui ont cours dans le monde islamique en général et dans les pays arabes en particulier: la guerre civile en Syrie, les changements politiques en Égypte, le retour en force des jihadistes sunnites en Irak, l’autonomie politique acquise par les kurdes, la crise politique en Turquie, la désintégration de la Libye, l’impasse politique et l’avenir plus qu’incertain en Tunisie, les conflits internes au Yémen, le réalignement de la politique américaine au Moyen-Orient à la lueur du conflit multiséculaire entre sunnites et chiites, l’accès de l’Iran au statut de puissance nucléaire… De toute évidence les affaires vont mal en terre d’islam, mais ce qui est encore plus frappant c’est qu’elles ne cessent de s’aggraver avec le passage du temps.
Avec le retroscope il nous est possible d’affirmer que la situation actuelle était prévisible mais qu’elle n’a pas été prévue. Les nuages ont commencé à s’accumuler dès la première crise pétrolière en 1973, en même temps que la guerre du Yom Kippur, déclenchée par l’Égypte et la Syrie contre Israël le 6 octobre de la même année. L’embargo pétrolier mis en place à cette occasion à l’encontre de l’Occident, a eu pour effet de tripler du jour au lendemain les prix du pétrole, entraînant un transfert massif de richesses, et par le fait même de leviers politiques, en faveur des pays arabes producteurs de pétrole.
À bien y penser, la Malédiction qui sévit sur le Moyen-Orient, repose sur deux piliers: l’islamisme et l’argent du pétrole.
Les monarchies pétrolières et à leur tête l’Arabie Saoudite avaient le choix entre le développement humain des peuples arabo-musulmans et l’islamisation, elles ont sans hésiter choisi la deuxième option, motivées par la peur de l’occidentalisation, et par le désir de faire triompher l’islam. Stratégie défensive par excellence, dont le but était de faire échec aux idées de liberté, de progrès et de démocratie, jugées dangereuses pour les régimes monarchiques en place. Des sommes colossales ont été consacrées pour atteindre ces objectifs, la propagande et l’endoctrinement islamiques ont atteint toutes les couches de la société, à travers l’enseignement scolaire, les médias, les mosquées et les centres culturels islamiques. Le “succès” a dépassé les attentes des plus optimistes. Deux résultats majeurs ont été atteints, voire dépassés: le premier, sur le chapitre de la haine de tout ce qui n’est pas musulman, le second sur celui de l’enfermement et du rejet de l’occident. Il a fallu à peu près vingt ans d’efforts soutenus pour atteindre une masse critique d’individus dûment islamisés, suite à quoi l’islamisation s’est poursuivie naturellement par le fait du mimétisme et de la pression sociale environnante.
L’absence de développement humain a eu paradoxalement l’effet d’ancrer davantage l’islamisation et de la consolider. Du moment que l’objet de la haine est bien identifié, il est aisé de le charger de tous les maux: sous-développement, pauvreté, maladie, chômage, échecs, défaites, oppression et humiliations de toutes sortes. Seule échappatoire possible: l’islam… Davantage d’islam et rien que l’islam… L’islam est la solution à tous les maux… Si ça va mal, c’est parce que les musulmans ne sont plus musulmans ou pas assez, ils se sont détournés d’Allah, du coran et de la charia. Pour s’en sortir, pour vaincre leurs ennemis, pour dominer l’humanité comme ils l’ont déjà fait il y a quatorze siècles, ils doivent retourner à l’islam des origines dans toute sa pureté et sa rigueur, c’est de cette façon qu’ils connaitront le succès et qu’ils obtiendront justice sur cette terre et dans l’au-delà. Du coup est désigné comme ennemi, tout ce qui n’est pas musulman ou tout ce qui détourne le musulman du vrai islam, tout ce qui entrave l’enfermement.
La stagnation et l’immobilisme ont pour longtemps accompagné l’enfermement et la haine. À l’intérieur des sociétés islamiques, l’augmentation lente mais continue de la tension est demeurée imperceptible, elle a été longtemps contenue par les régimes oppressifs en place. Ces mêmes régimes s’étaient d’ailleurs accommodés de l’islamisation qu’ils ont encouragée et instrumentalisée, récoltant au passage de généreux subsides que les monarchies pétrolières leur versaient régulièrement. Alliés indéfectibles de l’occident ils se sont quand même permis de le charger de la responsabilité de leur échec en maniant avec virtuosité le double discours.
Mais l’occident n’était pas en reste, faisant fi de l’histoire et de la réalité, il favorisa volontairement l’islamisation par tous les moyens, en commençant par ceux qui exigent le moins d’effort: se fermer les yeux, se boucher les oreilles et faire mea culpa. Mais il ne s’est pas contenté de ne rien voir et de ne rien entendre, il a réduit au silence tous ceux qui voyaient venir le danger et qui osaient sonner l’alarme. Pour plaire aux monarchies du pétrole et récolter de juteux contrats, il a déroulé le tapis rouge à l’islam et à l’islamisation. Du coup le virus qui se répandait en terre d’islam ne s’est pas fait prier pour débarquer et élire domicile en occident. Profitant de l’État de droit et des libertés, il a réussi à se répandre rapidement, au point que les islamistes les plus virulents, menacés d’arrestation dans leurs pays d’origine, ont préféré collectivement s’installer, ou pour être plus précis conquérir “pacifiquement” l’objet de leur haine.
Ceux qui ont nourri le monstre et qui lui ont permis de faire des petits, ont cru longtemps pouvoir le maintenir sagement enfermé dans sa cage. Il ne leur est pas venu à l’esprit qu’un jour il échappera à leur contrôle, semant la destruction et répandant le sang partout où il se trouvera. Jusqu’à présent potentats arabes et dirigeants occidentaux croient pouvoir utiliser ou manipuler le monstre à leur profit, on voit ce que cela donne comme résultats en Syrie, en Irak, en Égypte, en Libye, en Somalie et au Mali.
Les peuples musulmans ont ingurgité des doses toxiques d’islam. L’argent que versent les occidentaux en échange du pétrole, a servi à ancrer les peuples musulmans dans la haine et l’obscurantisme. Ils étaient sous-développés et faibles il y a quarante ans, ils le sont davantage aujourd’hui mais avec considérablement plus de ressentiment et de violence. Ils avaient un peu d’espoir de pouvoir s’en sortir il y a quarante ans, mais aujourd’hui ils ne savent même pas s’ils réussiront à survivre. Ils ont tout perdu y compris la possibilité de rebrousser chemin, la coupe de l’islam ils devront la boire jusqu’à la lie, jusqu’à ce que l’islam s’autodétruise.
Rien ne permet d’entrevoir aujourd’hui la fin de la guerre civile en Syrie. Au contraire, son expansion en direction de l’Irak et du Liban est bien engagée, elle prend de plus en plus la forme d’une guerre de religion entre d’un bord l’Iran chiite et de l’autre l’Arabie saoudite et les principautés du Golfe sunnites. Une guerre par procuration où des populations entières sont forcées de fuir et où les morts se comptent par centaines de milliers. L’islam est retourné à ses vieux démons, sunnites et chiites rejouent la Grande Fitna d’il y a 1400 ans. La guerre Iran-Irak qui s’est terminée il y a 25 ans, n’était à bien y penser qu’un prélude à la guerre actuelle. Les combattants sont recrutés dans le monde entier, mais la guerre finira par impliquer les commanditaires eux mêmes, soit les arabes et les perses; le choc entre les deux principaux foyers de la haine islamique, l’Iran et l’Arabie, semble inévitable.
L’Arabie est minée de l’intérieur, la décomposition est cachée sous le vernis de la richesse pétrolière. Chômage et inégalités sociales criantes, aliénation et même persécution de la minorité chiite, tensions extrêmes entre une majorité islamiste et une minorité qui rejette l’islam, non sans violence. Avec le décès prochain du monarque actuel une crise de succession est à prévoir, elle rendra plus visibles les tensions et les lignes de fracture dans la société.
Mais l’Iran ne s’en porte pas mieux, on y rencontre les mêmes lignes de fracture. Comme en Arabie, le calme apparent est dû à la répression qui prend bien souvent la forme d’exécutions publiques. Les opposants cependant ne désarment pas, comme en Arabie les apostats de l’islam sont de plus en plus nombreux et ils ne rêvent qu’à une seule chose, se débarrasser des mollahs et de leurs sbires.
L’Égypte pourra-t-elle échapper au conflit? Cela semble de moins en moins probable, d’ores et déjà les troupes égyptiennes combattent les jihadistes dans le Sinaï et à moindre degré dans le désert non loin des frontières avec la Libye. Mais l’Égypte est à la fois dépendante et en quelque sorte garante de l’Arabie. L’économie de l’Égypte est en lambeaux, le peuple égyptien survit grâce aux dons octroyés par l’Arabie et les émirats du Golfe, l’Égypte est sunnite et observe avec angoisse les progrès de l’Iran chiite tant en Irak qu’en Syrie, elle ne restera pas neutre en cas de conflit ouvert entre l’Iran et les monarchies du pétrole, l’armée égyptienne ne pourra faire autrement que prêter main-forte aux forces armées saoudiennes et émiraties.
L’Égypte n’en a pas fini avec les Frères musulmans et de leur côté les salafistes semblent attendre leur heure. Les attentats commandités par les islamistes se poursuivent entretenant ainsi le climat d’insécurité. Mais le peuple égyptien, en mettant les Frères musulmans à la porte, ou plus précisément dans les prisons, ne s’est pas pour autant débarrassé du démon islamique, il s’est simplement affranchi de ses créatures terrestres. Le démon islamique n’abandonne pas facilement sa proie et nul ne sait comment l’exorciser. L’avenir est des plus incertain, les islamistes de l’intérieur n’ont pas dit leur dernier mot, et les impacts d’une guerre ouverte entre l’Iran et l’Arabie sont à craindre, les Égyptiens n’ont pas fini de souffrir.
L’administration américaine a changé d’avis au sujet de la Syrie et de l’Iran. Sa priorité à présent est de faire échec aux jihadistes sunnites qui se battent en Syrie et en Irak et que l’Arabie Saoudite et le Qatar financent généreusement. Le danger qu’ils représentent semble actuellement plus grand que celui d’une éventuelle arme nucléaire iranienne. Il s’agit d’un renversement d’alliance dicté par les nouvelles réalités sur le terrain, et dont l’Arabie Saoudite et le Qatar font les frais. La nouvelle politique américaine constitue un encouragement à l’Iran dont l’intrusion en Irak, en Syrie et au Liban ne fera qu’augmenter.
À mesure que les conflits se développent et se ramifient, les peuples musulmans se divisent et se morcèlent. Les appartenances nationales de naguère cèdent la place aux multiples appartenances d’ordre confessionnel, ethnique et tribal. Les kurdes ont déjà entrepris de créer leur propre état aux dépens de l’Irak et de la Syrie, les alaouites syriens possèdent déjà leur territoire, les libanais sont divisés plus que jamais, les tribus irakiennes sunnites n’accepteront jamais l’hégémonie des chiites. Pris entre plusieurs feux les chrétiens fuient par milliers.
L’effondrement du monde islamique se poursuit sous nos yeux. En accéléré comme en Syrie, en Irak et en Libye, ou au ralenti comme en Égypte et en Tunisie. Il y a quarante ans les musulmans, forts de leur richesse nouvelle, ont tout misé sur l’islam, les occidentaux par lâcheté, cupidité et bêtise leur ont facilité la tâche. Les musulmans auraient pu miser sur le développement humain, sur les lumières et sur le progrès, les trillions de dollars auraient servi à tirer les peuples islamiques de l’ignorance et du sous-développement, mais il aurait fallu pour cela que les musulmans, tant chiites que sunnites reconnaissent, et la vacuité et les dangers de l’islamisation. Il est à présent trop tard, les toxines de l’islam ont sérieusement détraqué l’esprit des musulmans, le mal est sans remède et nul n’est en mesure d’interrompre son cours.
Peut-on entrevoir une lueur d’espoir? Pas tant que l’argent du pétrole coulera à flot et que l’occident y trouvera son profit immédiat. L’islamisme se nourrit d’argent et ne semble pas devoir en manquer. À bien y penser, la Malédiction qui sévit sur le Moyen-Orient, repose sur deux piliers: l’islamisme et l’argent du pétrole.
Lire aussi :
La chute du monde islamique (entretien avec Hamed Abd el Samad) (Partie 1)
La chute du monde islamique (entretien avec Hamed Abd el Samad) (Partie 2)
Réflexions sur la «chute du monde islamique» (Hélios d’Alexandrie)
@maury. Reflexion tres optimiste, rien a dire !!! Mais il ne leur est pas venu a l`esprit q`un jour, leur precieux petrole va seche, et que le monstre d`islam, chiite, sunnite, alaouite, salafite et diableiite va se decompose, alors c`est l`effondrement de l`islam, le remede du grand mal d`humanite ???? :devil: :ghost:
L’attitude d’obama sur la ,petite “affaire kerry” montre bien qu’il veut blamer Israel de l’impossibilité d’aboutir mais peu importe car cette administration n’est nPAS américaine mais anti-américaine. NQu’elle tire les conclusions qu’elle veut PEU IMPORTE,elle s’apercevra qu’elle ne peut RIEN faire contre Israe’l et changera de ton. Il faut que Netanyahou et ceux qui dans son gouvernement et ailleurs ont peur de déteriorer les relations avec les usa se rendent compte que obamama n’est qu’une BAUDRUCHE remplie de vent! Evidemment point n’est besoin non plus de réagir avec grossièrté comme il le mérite et laisser les arabes faire le travail du rejet de ses plans encore qu’un peu de grossièrté serait utile pour faire comprendre à obamama qu’on n’a pas poeur de lui. BRAVO AU MINISTRE DE LA DEFENSE AYAL’ON
@Rosaly
De toutes les manieres, rien de + ne sortira de ces negocations de mes deux
Jadis, allemands et francais ont realise la paix des peuples
Je ne connais pas de paix de gouvernements, celles ci sont destinees a s etioler avec le temps .
Yaalon a tres bien agi et c est son bureau qui s est excuse,pas lui…
La nuance est importante et cette non excuse n a pu se faire qu avec l accord de Bibi
Yaalon a acquis legitimement ce poste qu il meritait depuis longtemps
Bibi a un jour perdu les elections quand le Peuple a vu qu il ne jouissait plus de l.appui us mais tout est different aujourd hui et cette administration post americaine ne plait pas du tout a l Israelien moyen qui a compris a qui il avait affaire…. :pissedoff:
la vache Kerry possède une susceptibilité à géométrie variable car il s’offusque comme une vierge effarouchée à la moindre remarque de la part des Israéliens alors qu’il reste sourd aux critiques beaucoup plus acerbes et virulentes de la part des “palestiniens”, ce qui prouve que ce personnage à double visage est encore plus fourbe qu’on puisse l’imaginer ; rappelons pour mémoire qu’il avait pris position en faveur de la flottille turque qui a violé le blocus mis en place par les Israéliens, ce qui signifie que son hostilité vis à vis des Juifs devrait lui interdire d’exercer la moindre médiation; il fait partie de la race des “nuisibles” qui doivent disparaître de la surface de la terre et le plus rapidement sera le mieux……
Je veux croire que la susceptibilité à géométrie variable de Kerry doit être interprétée diplomatiquement en direction de l’Orient compliqué.
En revanche je m’aperçois que l’Orient compliqué s’approprie le vocabulaire sophistique des occidentaux. Ainsi le mot ” sécuritaire ” qui banalise le danger terroriste .
ces le plan machiavelique de husein et son sbire qui et en train de capote il ne s’attandais pas a ces reaction de la par de moche ayalon qui et tout de meme le ministre de la defence de l’etat d’ISRAEL et l’orce que en 1973 apres la guerre de kippour tout les generaux de tout les pays occidentaux on dit que san la vallee du jourdain le pays etait indefendable alor comment aujourd’hui il veus que on donne la vallee du jourdain a des terroristes …..il ferais mieux de commencer a preparrer leur defence lui et son patron parce qu’il von avoir de serieux problemes apres leur mandat
kerrys est contre israel ou il fait du travail pour les palestinien
Liberté pour Jonathan Pollard!
Excellent article
hi
dhimmitude dhimmitude quand tu nous tiens
tu nous lache pas
la dhimmitude des usa et de l’occident explique aussi cela
s arabes dhimmiphieront l’occident et plus l’occident s’auto dhimmiphiera
et plus ils seront virulent contre israel et le peuple juifs qui liu ne veut nullment etre a nouveau des dhimmis des arabes
by
plus le
http://www.thedailybeast.com/articles/2014/01/15/senior-uk-defense-advisor-obama-is-clueless-about-what-he-wants-to-do-in-the-world.html
M. Maury,
Tres interessant votre article mais vous ne parlez pas des millions de musulmans qui affluent dans nos contrées occidentales et qui se reproduisent à la vitesse grand V. Qu’en sera t il dans quelques dizaines d’années quand nous serons domminés par cet islam qui detruit tout et nous pourri deja l’existance, vaste question ???
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/16/97001-20140116FILWWW00716-hypocrisie-de-l-ue-sur-les-colonies.php
“”C’est de l’hypocrisie. L’Union européenne convoque des ambassadeurs à cause de la construction de quelques maisons ? Quand l’UE a-t-elle convoqué des ambassadeurs palestiniens à propos des appels à la destruction d’Israël ?” a lancé M. Netanyahu devant les correspondants de la presse étrangère, réunis pour ses voeux.
“Il est temps de mettre un terme à cette hypocrisie”, a-t-il ajouté. “Ce deux poids-deux mesures n’aide pas à la paix, je pense que cela la repousse”.
EXACT !
J’ajouterai que j’ai honte d(être européenne ce soir, sincèrement honte.
J’ai trouvé ceci également :
http://weaselzippers.us/shin-bet-thwarts-terror-kidnapping-plot/
“The Israel Security Agency (Shin Bet) thwarted an attempt by a Hamas-affiliated group to set up a terrorist cell in the West Bank for the purpose of kidnapping Israelis, security forces announced on Wednesday. The terror plot was directed by Palestinian security prisoners in Israeli prisons, the Shin Bet added.
“Those involved were in their first stages of planning the attack,” the Shin Bet said in a statement.”
« Kerry n’a pas le droit de décider où se situeront nos frontières. Si les USA le souhaitent, qu’ils donnent une partie de la Californie ou Washington à Israël. Le cadre de l’accord proposé par Kerry est très dangereux”.
Nous pouvons de même dire :
« Kerry n’a pas le droit de décider où se situeront nos frontières. Si les USA le souhaitent, qu’ils donnent une partie de la Californie ou Washington AUX ARABES. Le cadre de l’accord proposé par Kerry est très dangereux. »
Les chiens yankees aboient et la caravane juive passe.
Tant que le squatteur de la maison blanche, et ses éventuels semblables seront au pouvoir, les USA resteront une puissance “has been”, malgré leur force militaire. Le clistère triste kerry, n’est que la sinistre incarnation de cette déchéance voule par une majorité d’Américains, ne l’oublions pas !
déchéance voulue par une majorité d’Américains : oh que non, voir ceci entre autres:
http://weaselzippers.us/gallup-obamas-approval-rating-back-below-40/
Le rejet d’Obama et son administration est bien réel aux USA.